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De garçon timide à fille épanouie

Chapitre 14

Mauvaise route

Travesti / Trans
Nous sommes à cinq minutes de chez Bryan et mes mains caressent les queues grossissantes de Bryan et de Guy. Je vais bientôt coucher avec deux garçons qui m’excitent beaucoup ! Et je sais que je vais prendre mon pied.

Mais soudain, la musique dans la voiture se stoppe pour laisser place à la sonnerie du téléphone de Guy. Je découvre avec stupeur que c’est le numéro de ma mère. Mes gestes s’arrêtent immédiatement, et Guy nous somme de nous taire. Il répond…

— Oui Tata ?

— Non c’est Tonton, j’essaie de joindre Camille depuis 30 minutes, elle est toujours avec toi ?

— Oui on est en voiture là.

Je me blottis au fond de mon siège comme une jeune fille prise la main dans le sac, ou dans le boxer… Honteuse…

— Super, vous arrivez dans combien de temps ? Demande mon père.

Le malaise à son paroxysme !

— On allait juste déposer un ami et … Papa lui coupe la parole :


— Posez-le et rentrez alors parce que je m’inquiète. On compte sur toi Guy !

— OK Tonton oui on rentre au plus vite.

— A tout de suite je vous attend.

Guy raccroche. Un silence règne dans la voiture. Bryan s’est rhabillé et Guy essaie d’en faire de même. Je regarde mon téléphone et effectivement, j’ai six appels en absence. Mais j’ai aussi plusieurs messages de Nico. Mon coeur s’arrête ! Il m’écrit :

Message 1 : Coucou Camille, je voulais juste te dire que je me sens malheureux depuis une semaine. Tu me manques et je suis super envieux de ce mec au Club. J’ai une boule au ventre !

Message 2 : Désolé, tu me dois rien. Profites de ta vie.

Message 3 : Je vous ai vu avec Guy et ce mec, je pouvais pas rester voir ça. Je sais que je t’aime Camille ! Ça me rend dingue d’imaginer…!

J’ai la boule au ventre : il m’a vu faire la dépravée ! J’ai honte ! Quelle conne ! Je voudrais remonter le temps… On dépose Bryan qui me fait une bise et sort de la voiture. Je passe à l’avant, Guy me demande :

— Ça va cousine, t’es toute blanche ?! C’est l’appel de ton paternel qui te met dans cet état ?

Je tombe en sanglots…

— Non c’est pas ça. Je suis vraiment trop conne, je t’ai dit que j’aime un homme, et tu le connais. Il m’a écrit ce soir, il nous a vu en boite. J’ai tout gâché !

— C’est qui ?

— C’est Nico, mais lui en parle pas s’il te plait. De toute façon maintenant il doit nous imaginer en train de baiser et j’aurai plus aucune chance !

— Réponds-lui, dis-lui ce que tu ressens. Il t’aurait pas écrit s’il voulait pas de toi. C’est qu’il a des sentiments.

Je pleure…

— Je me sens bête Camille, c’est ma faute si tu étais dans cet état. On aurait pas dû te chauffer comme ça…

On arrive enfin chez mes parents. Papa est rassuré, il monte se coucher. Il a préparé le lit dépliant pour Guy dans ma chambre. On monte et je me glisse dans le fond de mon lit, sans mot. J’écris à Nico :

— Nico, je me sens salie, la pire des filles possible ! J’arrête pas de pleurer depuis que j’ai vu tes messages. J’ai tenté de noyer ma tristesse dans l’alcool ce soir et j’ai déconné… Je m’en veux tellement si tu savais. J’ai rien fait de plus avec eux je te le promets. Je suis au fond de mon lit, et folle amoureuse d’un garçon que je ne mérite pas.

Je ferme les yeux. Mon téléphone vibre. C’est lui, mon coeur s’emballe :

— Tu ne devrais pas t’en vouloir, j’ai le sentiment d’avoir joué avec tes sentiments et c’est moi qui suis responsable de la situation. J’aimerais te dire que je suis capable d’assumer mes envies mais je suis trop faible pour ça maintenant.

Je lui réponds :

— Qu’est-ce que tu veux dire vraiment Nico ?

Deux longues minutes et le téléphone vibre à nouveau :

— Je t’aime Camille, je suis dingue de toi. Je ne veux que toi ! Mais j’ai besoin de temps.

Je souris bêtement. J’ai envie d’y croire. Croire que ce n’est pas un jeu…

— Je veux te voir, s’il te plait ! Lui demande-je,— Demain, 14h chez moi, j’ai hâte ma chérie !

Je n’en reviens pas, notre histoire aurait-elle une chance ?

Guy respecte mon état et on s’endort tous deux sans un mot. Le lendemain matin, on discute de la situation et il joue le rôle du grand frère. Il s’excuse encore de sa conduite mais au final, tout va bien…

A 14h, j’arrive chez Nico. Je sonne à sa porte, complètement stressée. Il m’ouvre, je le trouve beau ! Il porte des baskets blanches avec socquettes, un jean troué bleu laissant apparaître ses chevilles, et une chemise bleue marine à rayures verticales :

— Salut Camille, tu es sublime !

Moi je porte des baskets à talons compensés blanches, et une robe crème qui laisse mes épaules nues, elle entoure le haut de mes bras, avec un noeud sur la poitrine et elle descend jusque sur le haut de mes cuisses. Sur ma peau bronzée, je la trouve sublime.

— Merci chér… euh Nico. Tu es beau gosse j’adore.

On se fait la bise. Mes mains se posent sur son torse, il sent bon !

— Est-ce qu’on peut discuter un moment s’il te plait ? Demande-t-il.

— Oui je suis venue pour ça. Et j’aimerais d’abord te dire que j’ai honte de ce que tu as vu cette nuit, je suis tellement désolée.

— A vrai dire, je me pose milles questions depuis notre voyage, mais la soirée d’hier a été un vrai électrochoc. C’est moi qui devrais te présenter des excuses. Je suis amoureux de toi mais incapable d’assumer notre relation auprès de mes proches. Pourtant je sais que personne ne pourrait savoir que tu as une qu… enfin tu vois…

Il est amoureux de moi ! Mon regard doit être celui d’un petite fille prête à tout pour lui !

— Attends Nico, relaxe-toi, je suis pas une gamine. Je sais ce que tu a pu ressentir. J’ai décidé d’assumer qui je suis mais je ne peux pas t’obliger à l’assumer aussi. Je comprends.

— Non ! Je veux dire… tu es à tomber, j’aime tout chez toi.

— Alors poses les vrais questions qui t’obsèdent…

— OK. Je me dis que si notre histoire marche, je serai jamais…

Il a du mal à me parler…

— Père ?

— Oui… Je sais, c’est con de te dire ça à toi, mais j’avais jamais imaginé vivre une histoire aussi forte avec une…

— Transsexuelle…

— Oui, oh désolé Camille je fais ma pleureuse alors que tu dois traverser un tsunami émotionnel !

— OK Nico, j’aimerais te poser une question à mon tour…

— Vas-y.

— Et si on y allait doucement ? Tu m’as demandé quels étaient mes fantasmes pendant les vacances. Mon fantasme, c’est d’être ta copine, j’ai pas besoin que tu cries sur tous les toits qu’on est ensemble ni que tu m’épouses demain. J’ai juste besoin de te savoir avec moi.

Nos regards se noient l’un dans l’autre, il prend mes mains dans les siennes et me dit qu’il m’aime avant de m’embrasser avec passion. Ce baiser fait battre mon coeur à cent à l’heure !

Je viens sur lui à genoux, il est assis sur son canapé. Nos bouches ne se quittent plus ! Je déboutonne sa chemise et rapidement, glisse mes mains sur son torse et sur son ventre fermes, contractés. Il me retire ma robe lentement et la jette au sol puis retire sa chemise.

— Chérie, tes tatouages commencent à s’effacer…
— Pour celui-là, je suis pas mécontente. Je lui indique le tatoo de mon bas ventre « Fuck me! »
— Je suis soulagé aussi, je veux pas que ma petite amie ai ce genre de tatouage sur son corps de rêve.
— Ta petite amie ? Alors tu es vraiment mon mec ?
— Oui chérie, je t’aime !

Mon sourire fait place à de nouveaux baisers. Nos bouches se lovent et nos langues jouent ensemble. Mes doigts ouvrent sa ceinture, déboutonnent son jean et baissent le zip lentement. Je me relève et lui retire ses baskets, son jean et ses socquettes. Je me place à genoux et embrasse son boxer, sa queue est tendue et gonflée au maximum déjà. Je lui retire en fixant son regard et reviens sur lui dans la position initiale.

A nouveau, on s’embrasse amoureusement, avec passion. Je prends soin d’onduler mon corps pour que mon sexe sous son string se frotte à la queue de mon mec ! Ses mains, d’abord sur mes fesses, viennent rejoindre l’étreinte. Il retire mon sexe du tissu et prend dans sa main nos bites l’une contre l’autre qu’il branle en serrant. Je suis aux anges !

Quelques minutes passent ainsi puis il passe ses mains fermement derrière mes cuisses, il se redresse et se lève en me gardant agripper à lui. Mes bras se tiennent à sa nuque, nos bouches ne se quittent presque pas alors qu’il m’emmène sur son lit. Il m’installe allongée, s’approche de la fenêtre et baisse le store. Lentement, il allume une dizaine de bougies qui rendent la luminosité hyper romantique. Il me demande de me déshabiller. Je retire donc mon soutien-gorge, mon string et mes  chaussures à talons pour me retrouver au naturel, comme lui.

L’ambiance est posée, il s’approche du bas du lit et à genoux sur le matelas, il amène mon pied à lui et l’embrasse, puis le lèche. La sensation est étonnamment excitante et sensuelle. Il continue avec le second et remonte sa langue sur mes jambes lentement. Il passe mes genoux puis lèche mes cuisses. Mon corps ondule de plaisir.

— Mon amour, je te savais pas si romantique !
— Tu aimes ?
— J’adore ! Tellement sensuel.

Sa langue reprend le chemin de mon corps, et caresse maintenant mes couilles, il les lèche. Je n’en reviens pas ! Puis sa langue remonte lentement le long de la veine pour atteindre mon gland déjà bien humide. Il me regarde fixement et approche ses doigts sur le bord de mes lèvres. J’ai l’impression qu’il me propose un choix. Soit je ne fais rien et il remonte, soit je suce ses doigts et il découvrira ce que ça fait de sucer sa femme… Je n’ose y croire, et aspire à ma bouche ses doigts accompagnant ma tête pour les sucer avec envie. Ai-je compris le bon message ?

Oui ! Il fait disparaître mon sexe entre ses lèvres et tente une pipe timide. Il a je crois, peur de me faire mal. Malgré tout, bien vite la pression devient trop forte et je suis sur le point de partir !

— Arrête ! Dis-je en gémissant.
— Je t’ai fais mal ? Demande-t-il inquiet en remontant la tête vers moi,
— Non, non au contraire… J’allais jouir…

Il me sourit et reprend de plus belle. Il semble même plus confiant et je me crispe, mes mains agrippent le matelas, mes yeux se ferment, mes jambes sont tendues, mon corps cambré, je gémis.

— Oh chéri ça vient ! Je hurle en me vidant dans sa bouche ! C’est irréel. Ma tête se met rapidement à tourner, mon corps tressaillit…

Sa bouche quitte mon sexe et je tente de reprendre mes esprits, il remonte vers moi en soulevant mes jambes grandes ouvertes. Je lèche et crache dans mes doigts pour humidifier vite mon entrée et son sexe car le message est clair. Et bien vite il pousse son gland en moi en me fixant des yeux la bouche s’approchant de la mienne. Il me pénètre et j’ouvre la bouche pour qu’il m’offre une pelle mémorable.

Nos langues se lovent alors que mon jus chaud est là au coeur de notre baiser. Je l’avale petit à petit, je n’en reviens pas. Il me fait l’amour. Mes jambes enserrent son corps contre moi, mes bras toujours autour de sa nuque on s’embrasse… Quel pied ! Il alterne les vitesse il baise comme un dieu, je gémis comme une folle. 

— Bébé je veux que tu jouisse en moi ! Le supplie-je,
— Tu es parfaite Camille ! Râle-t-il,

Bien vite il hurle de plaisir en m’enculant au plus profond, je me sens ouverte et remplie, aimée !

L’après-midi est câlin, on discute beaucoup de nous, et du futur qu’on souhaite donner à notre histoire. On est amoureux !
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