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De garçon timide à fille épanouie

Chapitre 17

C’est la rentrée

Travesti / Trans
Ce matin, ma langue semble moins gonflée par le piercing. Malgré tout je continue à sucer des glaçons et puisque c’est notre dernière journée en amoureux, je décide d’essayer de sucer la queue de Nico lentement. Entre le froid et le piercing, il prend beaucoup de plaisir malgré mes gestes moins sûrs qu’habituellement…

Une fois bien excité, je n’ai qu’une envie : lui offrir mon cul toute la journée. Mais il semble avoir bien d’autres idées en tête :

— Camille ta bouche est trop bonne ! Viens m’embrasser ! Ordonne-t-il.

Ses jambes sont écartées, il est sur le dos les genoux bien relevés. Comme j’aime le sucer et bouffer ses couilles dans cette position ! Pour une fois, je remonte vers lui mais il garde les jambes grandes ouvertes. Il ne l’a jamais fait… J’amène ma bouche à la sienne, on s’embrasse et ma langue est toujours timide mais bien présente. Ses pieds se soulèvent et passent dans mon dos, il m’enserre contre lui avec ses jambes. Je sens qu’il est super chaud mais mon sexe, bien que tendu, ne bande pas.

Plus le temps passe et moins je sens mon sexe durcir… Entre les hormones et cette cage de chasteté que j’ai porté tout le week-end, mon corps semble ne plus avoir besoin de ma queue pour prendre du plaisir… Pourtant, les mains de mon chéri qui passent sur mes fesses pour m’encourager à simuler une sodomie me font rapidement comprendre son envie.

— T’as envie que je te … ? Je ne finis pas la phrase par gêne en fait…

— Oui ma chérie vas-y.

Je n’ose dire mot et me convainc de tenter l’expérience même si à première vue, je n’en ai pas très envie. J’aime par dessus tout ma nouvelle vie et au lit, n’avoir aucune pression quant à mon endurance m’a complètement libérée. Mais depuis ce matin, mon mec semble vouloir me rappeler tous ces démons, d’abord lorsqu’il m’a sucé et maintenant… Il attrape le lubrifiant sur la table de nuit et s’en passe entre les fesses, puis il caresse ma bite avec et la mouille entièrement. Il constate que je ne bande pas assez et sans quitter ma bouche, me branle.

J’avoues que ses caresses me font rapidement durcir et même si je sens que je suis loin de bander aussi fort qu’il y a quelques semaines, je sais aussi que je suis au max… Alors je simule de le prendre et il semble plus excité que jamais. Sa queue est dure et humide. Et ça m’excite. Il me lance un « Encule-moi Camille » qui a raison de mes doutes. Je pousse mon gland contre son entrée alors qu’il écarte ses fesses. Le sexe s’enfonce assez rapidement et je sens la pression de son cul serré sur ma verge. Il se raidit et tient maintenant ses jambes relevées grande ouvertes.


Je commence de lents va-et-vient puis plus rapide en me concentrant, essayant de penser à autre chose pour ne pas venir trop vite. Rapidement je sens que la pression est trop forte et décide de stopper mes mouvements ; mais lui prends son pied et il bouge son cul contre moi. Je lance :

— Attends bouge pas !

— Tu vas déjà décharger ? T’aimes mon cul on dirait…

Quelques secondes et je reprends mes mouvements. Je ne me sens plus aussi fille et femme que depuis trois mois. Quelque chose me déplaît mais je veux faire plaisir à Nico et continue sans un mot. Lui m’encourage :

— Je comprends mieux pourquoi tu aimes avoir ma queue en toi bébé ! Vas-y sans t’arrêter ! Ordonne-t-il alors que sa main branle sa queue à fond.

Il ne se rend pas compte que ça ne me plait pas. Bien sûr j’ai du plaisir mais la situation me dérange. Il est concentré sur son propre plaisir et persuadé que je suis au septième ciel parce que prête à jouir. Non, c’est physique je n’y peut rien… Et rapidement je sens mon jus prêt à gicler entre ses reins. Je gicle et me crispe en retenant mes cris. La pression de son anus sur mon gland est bonne quand il se gonfle pour laisser jaillir mon sperme. Je joui en lui et sa main a raison de ses couilles qui explosent sur son ventre et son torse. Il gémît de plaisir et bien vite, on se câline dans les bras l’un de l’autre. Il me demande :

— Tu crois que je suis gay ?

— Quoi ? Mais tu te fous de moi ? Alors quoi, tu me vois toujours comme un mec ?

— Le prends pas comme ça chérie, c’est juste que j’ai aimé ça et je me pose des questions.

— Désolé, c’est juste que je me suis pas sentie moi. Mes souvenirs de garçon sont remontés et je …

Il me coupe la parole :

— J’ai compris désolé mon amour, tu es ma femme ! Mais honnêtement ta petite bite m’excite aussi beaucoup et j’adore te voir dure et quand tu gicle. Tu peux pas tricher contrairement à une femme et j’aime ça. J’ai voulu essayer, on le refera pas t’inquiète pas.

Il m’embrasse et j’ai besoin de retrouver ma place. Je le branle pour le remettre en forme. Rapidement il bande à nouveau, moi pas. Je suis sur le dos, jambes serrées. Il est sur moi et se lève. Il revient quelques secondes plus tard avec la cage et il m’enferme dedans.

— J’aime pas voir que tu bandes pas. Au moins comme ça, je peux me dire que c’est juste parce que tu peux pas.

Il me place en levrette et se retrouve vite au fond de mon cul. Je suis aux anges !

— Oui j’aime ça, baise-moi Nico, défonce-moi vas-y !

— T’es une bonne salope ; putain ce que t’encaisse bien !

— J’aime ta queue bébé baise mon cul !

Je hurle en gémissant à chaque claquement de son bas ventre contre mes fesses. Il me cambre en prenant mon cou dans ses mains ou en tirant mes cheveux. Il me démonte avec puissance et virilité comme pour se rassurer et je me sens bien. Chacun est à sa place ! Jamais il n’a besoin de se stopper ou de changer quinze fois de position. Il me nique comme une bête et ça dure ! Moi je ne penses qu’à nous, je prends mon pied ! C’est trop bon !

Après de longues minutes il me retourne et se vide dans ma bouche. Quel mâle, j’aime ça !

Plus tard dans la journée, il s’en va finalement, et me laisse dans mon appartement, seule… Je repense à tout cela. Je suis perturbée. Il n’aime pas me voir flasque mais je bande de moins en moins… Il a aimé m’offrir son cul mais pas moi…

Peu importe, demain, c’est la rentrée !

C’est l’heure du choix de ma première tenue de l’année :Je choisis d’abord de remettre ma fausse poitrine avec le bonnet B. Malgré beaucoup d’hésitation je sais que je vais retrouver des collègues et ça risque d’être moins surprenant…Je passe donc un joli ensemble string et soutien-gorge noir. Par-dessus, un pantalon slim moulant noir qui laisse mes chevilles apparentes, une jolie ceinture fine, un petit haut noir pas trop moulant ni trop décolleté. J’ajoute un blazzer gris clair, des socquettes et baskets blanches pour finir.

Un maquillage léger, parfumée, je coiffe mes cheveux mi-longs qui me donnent un visage fin et féminin. Mes ongles sont légèrement longs, noirs, fait au gel. Ça rend mes mains vraiment jolies et je porte toujours la bague, la montre et le collier que Robert m’avait offert. Je me trouve classe et sexy, j’adore. C’est déjà l’heure d’y aller. Mon père m’écrit un message pour m’encourager. Il est adorable avec moi.

J’arrive devant l’université : Laura est déjà là. On se jète dans les bras l’une de l’autre. Je suis heureuse de la revoir et c’est réciproque. Quelques minutes plus tard, après le reste de la bande qui me congratulent tous, c’est Ludo qui arrive. Ils sont tous adorables avec moi, et heureux pour moi. Ils me font rougir !

Ludo me fait la bise puis approche Laura en lui faisant un smack. Laura rit en voyant ma réaction :

— Ça va Camille t’as l’air choquée ?

— Non c’est pas ça mais vous… vous êtes ensemble ?

— Oui depuis notre soirée. On s’est retrouvé le lendemain à coucher ensemble toute la journée et on a continué à se voir. Tu m’as appris à aimer sa bite alors merci.

— Donc t’aimes plus les filles ?

— Si toujours mais j’aime surtout mon mec.

— Trop bien, félicitations alors à vous deux.

Les cours commencent. À midi, on mange tous ensemble et le soir venu, on va prendre un verre au bar. On se raconte nos étés. Je suis vexée de n’avoir aucun message de Nico de toute la journée. Moi je suis un peu perdue par rapport à hier… Et rapidement l’alcool me monte à la tête. Je suis pas la seule visiblement car on rigole tous beaucoup.

En rentrant chez moi, seule, je n’ai qu’une envie. Celle d’une queue ! Alors je m’enfile mon gode pendant plus d’une heure en regardant des vidéos porno de vrais mecs qui baisent des sissy travestis. Ils arrêtent pas de parler à leurs « proies » et ne s’occupent pas une seconde de leur clito. C’est de ça que j’ai envie ! Oublier mon sexe avec un mec dominant, un mâle qui assure.

Je finis par m’endormir pleine de frustration…

Les jours et semaines qui suivent, mes envies et ma libido sont au maximum mais mes érections se font de plus en plus rares. La Psy continue mon traitement et nos discussions me confortent dans l’idée que notre relation à Nico et moi ne pourra pas durer… Comme dit l’adage : loin des yeux, loin du coeur… Et après deux mois, on finit par se rendre à l’évidence. Ça me rend triste…

Nous sommes début Novembre quand arrive l’anniversaire de Laura. Une occasion parfaite pour noyer mon chagrin dans l’alcool en fêtant ma meilleure copine.
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