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Garden Party

Chapitre 1

Inceste
Cette histoire comporte cinq chapitres.  Ma mère était assez troublée ce soir-là, ce qui était rare.― Je suis invitée à une garden-party par Laurence ce samedi. Et je dois venir impérativement accompagnée.Laurence était sa patronne dans une petite agence de communication où ma mère travaillait. Je ne dirai pas qu’elles étaient amies, mais cela faisait au moins dix ans qu’elles se côtoyaient. Et je crois que c’était la première fois que ma génitrice était ainsi invitée par son employeur.― Et tu as décidé qui t’accompagnerait ?― J’y serai bien allée seule, mais le carton d’invitation est très clair. Les personnes seules seront refoulées à l’entrée. Et je ne peux pas y aller avec une copine. Ce doit obligatoirement être un homme. C’est écrit sur le carton. C’est la première fois que Laurence m’invite à une de ses soirées privées. Enfin, là, c’est une après-midi.― Ça se passe où ? ― Dans sa maison de campagne, au milieu des vignes. Il y a un plan d’accès sur l’invitation.― Bon, ce sera l’occasion pour toi de rencontrer d’autres personnes. J’imagine qu’il n’y aura pas que des collègues de travail ?― Je ne sais pas qui il y aura. Si je pouvais, je refuserai. Mais je ne crois pas que Laurence le prendrait très bien.― Tu aurais tort de refuser. Ça te distraira. Avec qui vas-tu y aller ?― Tu ne veux pas venir avec moi ? Je m’appelle Antoine, j’ai 25 ans et je travaille dans l’informatique. Ma mère, Delphine a 47 ans. Nous vivons tous les deux ensemble depuis son divorce avec mon père, j’avais alors douze ans. Bien sûr, j’avais grandi, et nous avions chacun notre vie. J’envisageai de prendre mon propre appartement. Non que la vie avec ma mère soit difficile, au contraire, nous nous entendions très bien, mais c’était compliqué de faire venir chez moi une petite amie. Elle croisait forcément ma mère, et ça donnait à une simple coucherie occasionnelle un petit air officiel qu’elle n’aurait jamais dû avoir. J’évitais donc d’inviter des filles à la maison. Et à cause de cela, lorsque la fille avait à peu près les mêmes contraintes que moi, j’ai laissé passer des occasions, ce que je regrettais. Je n’étais pas pressé de me caser, comme on dit, et je multipliais les aventures.De son côté, j’étais persuadé que ma mère se restreignait pour les mêmes raisons dans ses relations avec les hommes. A vrai dire, je ne savais rien de sa vie privée. Mais je constatais qu’elle sortait très peu.J’étais heureux pour elle qu’elle soit invitée par sa patronne. Mais je ne pensais pas que c’était à moi de l’accompagner.― « Venir accompagnée », ça ne veut pas dire emmener son fils ! Je pense que Laurence s’attend à ce que tu viennes avec ton petit-ami, ou un soupirant.― Je ne vois pas avec qui d’autre je pourrai venir. Il y a bien Philippe, au bureau qui me drague depuis des années, mais je m’en voudrai de lui donner ne serait-ce qu’un infime espoir. Et puis, je ne sais pas si Laurence l’a invité lui aussi. Si elle ne l’a pas fait, c’est qu’elle a ses raisons, et ce n’est pas à moi d’y contrevenir. Et en dehors des collègues et des clients, je ne côtoie pas grand monde. On n’est pas obligé de dire que tu es mon fils.C’est vrai que j’étais toujours resté à l’écart du milieu professionnel où gravitait ma mère. Je n’avais jamais rencontré la dénommée Laurence dont ma génitrice me parlait pourtant presque tous les jours, ni ce Philippe, qu’elle n’avait jamais évoqué, du moins je ne m’en souvenais pas.― S’il te plait, viens avec moi ! Me supplia-t-elle.Je n’en avais pas envie, c’est peu de le dire. Mais je savais que si je refusais, elle déclinerait l’invitation. C’est bien à contrecœur que j’acceptais donc. Je m’attendais à une après-midi soporifique, mais pour lui faire plaisir, j’étais prêt à me sacrifier. 
* * *
 
Outre l’adresse et le plan d’accès, le carton d’invitation donnait quelques directives concernant le « dress-code ». Tenue décontractée pour les hommes, cravates interdites. Ça tombait bien, je n’aimais pas ça. Pantalons et tailleurs prohibés pour ces dames. Delphine portait donc une robe légère en tissu imprimé avec des dominantes de vert émeraude et de bleu dont le décolleté mettait en valeur ses seins généreux et laissait apercevoir fugitivement un soutien-gorge bleu foncé, plus ou moins assorti à la robe. J’avais opté pour un chino en coton beige et un polo Lacoste plus foncé. On était en plein mois de juin, et une petite laine ne se justifiait pas.Nous garâmes ma voiture dans un champ avec celles des autres invités. A l’entrée de la propriété, deux malabars contrôlaient nos cartons d’invitation et vérifiaient que l’invité était bien accompagné. Par bonheur, les deux cerbères savaient compter jusqu’à deux. Nous avions fait en sorte de ne pas arriver parmi les premiers, aussi y avait-il déjà pas mal de monde sur la terrasse et sur la pelouse lorsque nous y posâmes les pieds.Des jeunes filles assez peu vêtues déambulaient parmi les invités avec des plateaux chargés de champagne exclusivement. Je m’arrêtai un instant pour y soustraire deux coupes.Une femme à qui je donnais entre 55 et 60 ans, malgré ses efforts évidents pour en paraître moins, accueillit ma mère en la serrant dans ses bras.― Ah, Delphine, je suis si contente de vous voir. Avec qui êtes-vous venue ?Car malgré dix années de collaboration, ma mère et sa patronne se vouvoyaient toujours. Sans doute Laurence tenait-elle à garder ses distances avec ses employés.Ma mère se tourna vers moi, sans me trouver juste derrière elle. Elle fit un vague geste de la main dans ma direction.― Je suis venue avec un ami, Julien.Nous avions décidé de changer mon prénom pour la circonstance, ma mère ayant déjà raconté à ses collègues de travail qu’elle avait un fils prénommé Antoine. Un gars d’une quarantaine d’année, entièrement chauve, passa à ce moment-là entre elle et moi, et sa patronne crut que c’était lui, le « Julien » qui accompagnait ma mère. Son âge était d’ailleurs plus en rapport avec celui de Delphine que le mien.Lorsque je la rejoignis, Laurence était déjà passée à un autre couple. Nous glissâmes en périphérie du groupe ce qui nous permit d’embrasser d’un seul regard la presque totalité des invités. Nous étions une bonne soixantaine, avec une stricte parité hommes – femmes. L’âge des convives s’étalait en gros de vingt à soixante ans. Laurence n’était pas la seule de sa génération.― La petite mignonne, là-bas, me confia ma mère, c’est Justine, la fille de Laurence. Je repérai la « petite mignonne » et confirmai intérieurement l’avis de ma mère. Un beau brin de fille. Elle portait un débardeur assez large, visiblement sans rien en dessous, et une jupe des plus courtes qui mettait en valeur ses cuisses musclées et bronzée.― Laurence l’a eu assez tard. C’est une femme assez libre. Je ne sais même pas si elle sait qui en est le père, poursuivit Delphine, avec un rien de perfidie. Le gars en chemisette rouge, près de la serveuse, c’est Philippe, un collègue.― Celui qui te drague ?― Oui. Des fois, il est pressant, à un point que c’en est gênant. A d’autres, j’ai l’impression qu’il s’en fout, qu’il fait ça par habitude, et c’est gênant aussi. Bref, ce gars-là me remplit de gêne chaque fois que je le croise. Finalement, il y a assez peu de gens que je connais. La vieille rombière au fond, c’est la femme d’un conseiller régional. C’est une cliente de l’agence, pour le compte de son mari. Je finis par repérer la rombière en question. Elle était habillée quasiment pareil que la jeune Justine, mais n’avait plus son âge depuis bien longtemps. Une jupe très courte, un débardeur lâche et pas de soutien-gorge. Mais la comparaison s’arrêtait là : là où les tétons de la fille de Laurence pointaient fièrement sous le tissu, les mamelles fatiguées de la femme de l’élu penchaient désespérément vers ses chaussures.Je me fis la remarque que visiblement peu de femmes portaient un soutien-gorge dans cette réception champêtre. Il y avait ma mère, j’en repérai deux ou trois autres, et ça semblait être tout.Je n’étais pas un spécialiste des garden-parties, on s’en doute. Mais quelque chose m’interpellait dans le spectacle que j’avais sous les yeux.Je finis par remarquer quelques anomalies dans le comportement des invités. Un homme caressait les fesses de Justine qui ne s’en offusquait pas. Un autre embrassait une femme à pleine bouche. Une femme d’une cinquantaine d’années avait posé sa main sur l’entrejambe d’un gars sensiblement plus jeune qu’elle.― Oh, mon Dieu ! Murmura ma mère.― Quoi ? Qu’est-ce qu’il y a ?― C’est une sex-party. C’est tout à fait son genre. Laurence m’a invitée à une sex-party, et sans me le dire. Ce sont tous, ou pour la plupart, des couples échangistes. Tu vas voir, l’après-midi va vite tourner à l’orgie. Cette salope m’a piégée.Comme s’ils n’avaient attendu que la prise de conscience de ma mère pour se lancer, hommes et femmes commencèrent à se lâcher. Le débardeur de la femme du conseiller régional fut parmi les premiers à déserter le torse de sa propriétaire. Le spectacle n’était sans doute pas le plus sensuel qu’on pouvait espérer, mais, dans ce contexte, il parvint quand même à faire durcir ma verge.― Tu veux partir ? Demandai-je à ma mère.― Je ne sais pas. Si je pars maintenant, Laurence ne me le pardonnera pas. Elle me trouvera trop coincée, et elle me le fera payer. Je comprends maintenant pourquoi ses relations avec deux autres collaboratrices qui ont depuis quitté l’agence se sont détériorées à ce point. Du jour au lendemain, elle s’était mise à les harceler, alors qu’au départ, toutes deux figuraient parmi ses chouchous. L’une d’elles a démissionné quelques semaines après le début de ce changement d’attitude, l’autre a fait une dépression et a fini par être licenciée. C’est ce qui m’attend si je m’en vais maintenant. J’aurai préféré qu’elle ne m’invitât pas. ― D’accord… Dis-moi, tu es prête à coucher avec ces hommes ?― Non, absolument pas. (Un court silence.) Oh non, pas lui…Je suivis la direction de son regard. Son collègue Philippe se dirigeait vers nous, un sourire conquérant aux lèvres. Ma mère ne partirait pas, du moins, pas aussi tôt, j’en étais conscient, elle ne prendrait pas le risque de se faire mal voir par sa boss. Je me rendais compte qu’elle était prête à beaucoup de sacrifices pour conserver son job. Certes, il lui permettait de vivre, mais je crois qu’en plus, il lui plaisait. Alors, elle coucherait sans doute avec un ou deux de ces mâles qui se jetaient littéralement sur toute femelle encore seule, quand ce n’était pas le contraire. Les serveuses tentaient d’expliquer avec professionnalisme et fermeté aux plus entreprenants qu’elles ne faisaient pas partie des consommables. Ma mère était sans doute prête à faire preuve d’abnégation pour préserver son travail dans un environnement que j’hésitai à qualifier de « sain », mais visiblement, n’avait absolument aucune envie de frayer avec Philippe. Je me dis que je devais faire quelque chose pour elle. Sans trop y réfléchir, je me lançai. Je la pris dans mes bras et lui collai ma bouche sur la sienne. Elle fut tellement surprise qu’elle ne me repoussa pas. Je lui chuchotai :― Décide-toi : c’est avec moi ou avec Philippe.Elle comprit ce que je voulais dire et sa décision fut presque aussitôt prise. Elle me rendit mon baiser et posa sa main sur mon sexe. Son collègue était maintenant à deux mètres de nous. Je me tournai négligemment vers lui et lui lançait d’un ton léger :― Désolé, mais cette dame est prise. Repasse plus tard.Je me doutais qu’il n’était pas spécialement heureux. Mais j’étais plus jeune et plus costaud que lui, alors il ne dit rien. Il esquissa un petit sourire, comme si ce n’était pas grave, fit demi-tour et se replongea dans la mêlée, afin d’éviter d’être parmi les derniers à s’accoupler, ce qui signifierait hériter d’une de celles qui n’avaient pas encore trouvé preneur, parmi les femmes les plus âgées de la soirée.― Je ne crois pas qu’on puisse se contenter de nous embrasser...Elle jeta un coup d’œil par-dessus mon épaule et constata que plusieurs invités étaient déjà entièrement nus dont Laurence et sa fille Justine. Certains femmes, au moins dénudées jusqu’à la taille étaient agenouillées devant un compagnon de passage, et on devinait ce qu’elles tenaient en leur bouche.― Tu as raison, me répondit-elle.J’entrepris de faire glisser la fermeture éclair dans son dos. Sa robe tomba aussitôt. Je dégrafai son soutien-gorge, libérant ses seins, à la fois épanouis et fermes.― Elève-moi le pantalon, lui dis-je.Tandis qu’elle se débattait avec ma ceinture, je fourrai le bout de son sein dans ma bouche. Elle poussa un gémissement, de surprise ou de plaisir, je ne sus le déterminer. Peut-être des deux. Elle baissa mon slip.― Prends-moi dans ta bouche.― Tu es sûr ?― Regarde autour de toi. Si tu ne veux pas te faire remarquer…Effectivement, les pipes se multipliaient. Ma mère avait déjà fait son choix et en assumerait toutes les conséquences. Je sentis bientôt une douce chaleur entourer mon gland.Elle était à genoux, ne portant plus que son slip bleu, suçant consciencieusement ma verge. On s’en doute, j’étais très excité par cette situation inédite. Cela faisait des années (en fait, depuis que j’étais devenu ado,) que je n’avais plus vu le corps de ma mère dénudé. Delphine avait peu à peu pris ses distances avec moi. Plus de bains à deux, plus de porte ouverte alors qu’elle se changeait.Mais en quelques minutes, notre vie « normale » avait basculé dans quelque-chose que je ne savais pas encore qualifier. J’avais léché ses seins tandis que maintenant, elle avalait mon braquemart. Tout ça devant une soixantaine de personnes qui en faisaient autant. Je ne voulais pas jouir, en tous cas pas trop vite. Et pas dans sa bouche, ou du moins pas sans son consentement.Je me penchai, lui caressai les seins au passage et lui murmurai :― Hmmm ! Qu’est-ce que c’est bon.Elle me regarda droit dans les yeux, presque surprise, comme pour me demander « c’est vrai ? » Mais elle n’interrompit pas sa succion et ne prononça donc aucune parole.Quelques minutes plus tard, je lui caressais la joue et lui dis :― Viens, allons sur la pelouse.Elle se redressa. J’en profitai pour l’embrasser sur la bouche. Après un court moment de surprise ou d’hésitation, elle me rendit mon baiser. Etait-elle consciente que c’était la langue de son fils qui jouait avec la sienne, tandis que mes mains pétrissaient sa voluptueuse poitrine ? Avait-elle déjà compris que j’allais la pénétrer ?J’entourai sa taille de mon bras et la fis avancer hors de la terrasse. Elle se laissa guider. Un fois arrivés dans l’herbe, elle se débarrassa de ses chaussures. Je glissai ma main dans son slip et le fis glisser sur ses cuisses. J’accompagnai le mouvement en me baissant et mon visage se retrouva au niveau de sa toison brune. Je sentis ses poils me caresser la joue, ce qui aurait ravivé mon érection s’il en avait été besoin. Je posai une main sur ses fesses et lui pressai le pubis contre mon visage. Je ne maîtrisai plus rien. J’étais conscient que c’était ma mère, mais je n’avais qu’une envie : la baiser.― Mets-toi à quatre pattes, je vais te prendre par derrière.― Tu es sûr ?― Oui.Elle ne protesta pas et prit la position. Je passai mes doigts entre ses petites lèvres. Elles étaient mouillées. Sans perdre plus de temps, je présentai mon gland devant sa vulve et m’y enfonçai d’un seul coup. Elle gémit.― Vas-y, prend ton plaisir ! Lui dis-je.Cela semblait être le cas, en tous cas si je me réfère à ses râles. J’avais sous les yeux son postérieur épanoui. Je distinguai parfaitement son anus et le dessin de sa fente. Je ne tiendrai plus très longtemps. J’avertis Delphine.― M’man, je ne vais plus tenir très longtemps.― Vas-y mon chéri. C’est si bon.Je posai mes mains sur ses hanches, juste à l’endroit où elles s’évasaient et donnais de furieux coups de rein. Je sentis alors son vagin se contracter, et nous jouîmes ensemble.Nous restâmes un moment ainsi, tandis que mon membre perdait peu à peu de sa rigidité.Lorsque je levai à nouveau les yeux autour de moi, j’aperçus des hommes et des femmes, presque tous entièrement nus, qui s’embrassaient, se suçaient ou se pénétraient. Je vis Laurence, la maîtresse de maison, sur laquelle deux hommes s’activaient. L’un lui caressait les seins, l’autre glissait sa main dans sa vulve et on voyait sur son visage à quel point elle appréciait ce traitement. Je cherchai sa fille des yeux et finit par l’identifier, à genoux devant un homme qui aurait pu être son grand-père, lui pratiquant une fellation avec toute la fougue de la jeunesse. J’espérai que le cœur de papy tiendrait le coup. Je remarquai aussi quelques femmes dont l’anatomie largement dévoilée ou la gestuelle attira mon attention et mon intérêt. L’une pour sa poitrine largement développée, une autre pour ses longues jambes, une troisième pour son trémoussement alors qu’elle était bien plantée sur une verge. Mais je restai persuadé que la plus belle des femmes présente cet après-midi-là était celle dans laquelle j’étais resté fiché.J’aperçus aussi le collègue de ma mère, Philippe. Il besognait consciencieusement l’épouse du conseiller régional. Sans doute sa contribution à l’effort commercial de sa boîte pour conserver le budget de l’homme politique. Mais son regard ne détaillait aucune partie de l’anatomie de sa partenaire du moment. Il était tourné dans notre direction. Sans doute guettait-il le moment où nous nous séparerions pour tenter à nouveau sa chance auprès de Delphine.― M’man, ton collègue Philippe n’arrête pas de regarder dans notre direction.― Alors reste en moi.― Ça va être difficile. J’ai joui… Enfin, tu comprends, il va me falloir un peu de temps pour reprendre… Heu… De la vigueur.Elle se tourna et s’assit par terre, ce qui eut pour effet de m’expulser de son vagin. Je me laissai à mon tour tomber à son côté. Je lui pris un sein dans la main et commençait à le caresser. Ma bouche se colla à la sienne.Elle me rendit mon baiser avec fougue. Sa main se posa sur mon sexe qui fut sensible à cette délicate attention. ― C’est un peu tôt pour partir maintenant, me fit-elle remarquer, visiblement embêtée. Il faut sans doute que Laurence me remarque un peu plus. Et peut-être dois-je accepter qu’un autre homme que toi ne me touche. Mais pas question que ce soit Philippe. Et je n’aime pas qu’il me reluque à poil, comme il baverait devant un calendrier de camionneur.C’était une remarque un peu paradoxale. La soixantaine d’invités était nus, et chacun voyait parfaitement son voisin baiser sa voisine, qui, soit dit en passant, était parfois sa propre épouse. Ma mère et moi avions fait l’amour au milieu des autres sans la moindre retenue ni la moindre gêne. Pas seulement moi, mais tous les autres hommes pouvaient admirer son anatomie, et certains ne s’en privaient visiblement pas. Mais elle refusait ce droit à son collègue de travail.― Viens, allons-nous faire remarquer par ta patronne.Je la pris par la taille et nous nous dirigeâmes vers Laurence que ses deux admirateurs avaient abandonnée au profit de femmes plus jeunes. Ma mère déambulait pied-nus sur la pelouse, une main négligemment posée sur mes fesses, slalomant entre les couples en rut. Elle que je croyais plutôt prude, ne semblant éprouver aucune gêne à exhiber ainsi son anatomie. Je remarquai une coulée blanchâtre progresser à l’intérieur de sa cuisse. Si Delphine l’avait remarqué, ça ne la gênait pas d’exhiber ainsi le trop plein de mon sperme qui s’écoulait de son vagin. 
* * *
 
― Regardez, Delphine, votre ami Julien semble avoir trouvé chaussure à son pied. Ou vagin à son pénis, si vous préférez, nous accueillit Laurence en montrant l’homme chauve de tout à l’heure en train de pénétrer une femme aux cheveux longs et à la croupe accueillante dont je ne distinguais pas les traits. « Mais vous aussi, semble-t-il…― Laurence, je ne pourrais pas rester très longtemps…― Vous nous quittez déjà, Delphine ?― Non, pas tout de suite, heureusement, mais sans doute d’ici une petite heure.― C’est bien dommage. Les soirées sont souvent plus débridées que les après-midi. Mais si vous avez des obligations, je comprends.― Je vous en remercie.― Me prêteriez-vous votre cavalier ?― Bien sûr, mais on a bien parlé d’un simple prêt ?― Vous ne perdez pas le nord, vous. C’est un trait de caractère que j’aime chez vous, Delphine. C’est promis, je vous le rendrais. Comment s’appelle-t-il ?― Je ne sais pas, je crois que j’ai oublié de lui demander, répondit ma mère sur un ton désinvolte. Je vous laisse.Et elle s’éloigna de nous. Avisant le papy que j’avais vu Justine astiquer un peu plus tôt, elle se colla à lui. Après le traitement buccal qu’il avait subi, je doutais qu’il soit très entreprenant. Mais il ne négligea pas l’opportunité qui s’offrait à lui, mobilisa ses ultimes ressources et entreprit de la peloter.― Je m’appelle Jérôme, dis-je à Laurence ― Vous êtes un très beau garçon !― Et vous une femme magnifique.Elle rougit, forcément de plaisir. J’avais tellement forcé le trait que ce ne pouvait être de colère.― Avec qui êtes-vous venu ? Me demanda-t-elle.Je tendis la main vers la direction où se trouvaient le plus grand nombre de femmes, toutes très occupées.― Elle doit être par là-bas. C’est important ?― Non, vous avez raison, aucun intérêt. Je posai une main sur son sein et j’ai eu l’agréable surprise de constater que son téton durcissait. Je posai mon autre main sur ses fesses et glissai un doigt dans sa raie.― Ohh ! Il est rare qu’un homme s’aventure de lui-même de ce côté, minauda-t-elle.― Pourquoi, vous n’aimez pas ?― Oh si, j’adore. Mais je ne sais pourquoi, ils n’osent pas.― Alors, laissez-moi réparer cette impardonnable négligence. Si vous voulez bien écarter un peu plus les jambes…Ce qu’elle fit. Je me penchais sur elle et avalais un de ses seins. Ma main gauche ainsi libérée se glissa dans sa vulve qui était déjà bien hydratée, on s’en doute, vu que je n’étais pas le premier homme à s’intéresser à son intimité cet après-midi. Je glissai un doigt dans son anus, l’enfonçant autant que je le pouvais sans toutefois lui faire mal.Je ne savais pas trop où je mettais les doigts. Il ne faudrait pas que j’oublie de bien me laver les mains avant de reprendre le volant.Ma bouche passait d’un sein à l’autre, mordillant ses tétons durs comme du bois bien sec. Ses mains se promenaient partout sur toutes les parties de mon corps qui lui étaient accessibles. Sans vouloir me vanter, je crois que je lui procurai plus de plaisir que les deux gars qui m’avaient précédé. Vu d’un peu loin, j’avais l’impression qu’ils faisaient leur devoir vis-à-vis de l’hôtesse, sans plus. D’ailleurs, ils ne s’étaient pas éternisés.Je sentis tout à coup une langue s’immiscer entre mes fesses. J’en fus surpris et me retournais vivement, sans pour autant retirer mes doigts des orifices accueillants de Laurence. Je fus soulagé : ce n’était pas Philippe ou un autre mâle de l’assistance, mais une femme. Je reconnus bientôt Justine. J’écartais un peu les jambes pour lui faciliter l’accès à ma rondelle. Je me fis la réflexion que les délurées engendrent rarement des saintes.Je repris mon mordillement sur les seins de sa mère. Mes doigts ne pouvaient plus progresser dans son anus et son vagin : ils étaient trop courts pour cela.Je constatai alors que nous étions devenus en quelque sorte le centre d’intérêt d’un petit cercle de partouzards. Cela n’était pas si étonnant que ça : après-tout, je prenais soin de l’organisatrice de la party.Je remontai mon visage au niveau de celui de Laurence.― Chère hôtesse, je vois bien que j’exagère. Tous ces hommes n’attendent qu’une chose, c’est de prendre ma place pour vous prodiguer d’autres caresses. J’ai déjà trop abusé de votre patience.― Non, ne partez pas !― Hélas, il le faut. Je récupérai mes doigts et m’éloignait d’elle à reculons. Le cercle se referma et d’autres mains se posèrent sur son corps. C’était le bon moment pour m’éclipser. Mais je m’aperçus que Justine ne m’avait pas lâché, ni des yeux ni des mains. Ses doigts caressaient nonchalamment mes bourses.― Jeune fille, je vous remercie du fond du cœur pour vos délicats attouchements.― J’ai envie de baiser, me répondit-elle d’une voix rauque.― Je pense que vous devriez trouver ici ce que vous recherchez.Et je m’éclipsai. Je sais que j’avais été un peu mufle en lui répondant ainsi, et en d’autres circonstances, je lui aurai donné ce qu’elle demandait avant même qu’elle n’ait formulé sa requête, mais il me fallait retrouver ma mère.Elle avait abandonné le papy et se tenait sur la pelouse, près de l’endroit où nous avions laissé nos habits en vrac.― Ça va M’man ? Tu n’as pas été trop harcelée ?― Non, ça va. Je ne m’en suis pas trop mal sortie. Et toi, ça allait avec Laurence ?― Il faut que je me lave les mains. Puis nous nous rhabillâmes rapidement. Cinq minutes plus tard, notre voiture sortait du champ qui servait de parking.― Oh, zut ! J’ai oublié mon slip, s’exclama ma mère.Je remontai sa jupe jusqu’à apercevoir sa toison. Elle n’avait pas non plus remis son soutien-gorge qu’elle tenait à la main, si bien qu’elle était entièrement nue sous sa robe. Et j’aimais ça.― Ne t’inquiètes pas, il est dans ma poche.Je posai mon doigt sur sa vulve, bien décidé à la caresser.― Arrête !Ma main droite rejoignit la gauche sur le volant.
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