Je suis toujours à genoux, nu devant mon meilleur ami. Son sperme vient de passer de ma bouche jusqu’à mon estomac en glissant, tout doucement, dans ma gorge. Pour ma part, n’ayant pas éjaculé, mon excitation est toujours au maximum. Je reprends mon sexe en main. Celui-ci était dur comme de la pierre. Jeremy, lui, n’a pas lâché ma tête. Je commence à me masturber pendant qu’il frotte son sexe à demi dur partout sur mon visage, étendant le reste de sperme qui s’y écoule. Quelques insultes ici et là de sa part, combinées aux souvenirs très récents de ma première fellation et mélangé au plaisir actuel de sentir sa queue partout sur mon visage me mène à la plus grandiose éjaculation que j’ai vécue jusqu’à ce jour. Dans un râle de plaisir, dont la force m’était inconnue jusqu’à ce moment, j’éjacule en six saccades une importante quantité de sperme. Il y en a sur le divan, sur le plancher et même que certaines gouttelettes ont atterri sur les couilles de mon meilleur ami. Quelques secondes passent puis un fou rire simultané se fait entendre. Jeremy dit alors. Seigneur, tu en as mis partout. Les rires continuent un instant. Je finis par me lever et me dirige vers la table en coin où repose une boîte de papier mouchoir. Je lui tends quelques mouchoirs et nous essuyons mon dégât. Par la suite, comme si de rien nétait, je récupère deux bières, lui en tends une et nous reprenons nos places initiales sur le divan. À une exception près, nous sommes nues. Quelques minutes de silence, le temps de reprendre mutuellement nos esprits. Nous débutons une nouvelle partie de call of duty, puis deux et trois. Les heures passent. Nous sommes assis, nus à jouer au xbox. Nous discutons de tout et de rien comme si rien n’était arrivé. Aux environs de minuit, d’un commun accord, nous convenons d’arrêter. Une fois le xbox éteint, Jeremy me regarde. Sérieux, je dois en parler. Cétait la meilleure pipe de ma vie, on dirait que tu as fait ça toute ta vie. Tu avais déjà eu du sexe avec un gars ? Ahaha ! Merci, mais non, jamais ! C’était la première fois que j’avais du sexe en fait. Et franchement, j’ai bien aimé sucer. J’étais meilleur que Justine ? Je pensais jamais dire ça, je pensais que c’était la meilleure des meilleures, mais tu es une coche au-dessus ! Tes gorges profondes sont parfaitement baveuses et tu avales sans chialer. Hahaha merci ! (J’étais étrangement flatté de me faire ainsi complimenter) Sens-toi bien à l’aise de décliner mon offre, mais j’ai quelque chose à te proposer. Vas-y. Bien, depuis plusieurs années, nous sommes meilleurs amis. On a aucune gêne ou pudeur l’un envers l’autre. On est toujours ensemble, on se parle de tout, on sest souvent lavé ensemble, et ce soir, tu m’as sucé comme la meilleure des suceuses. En plus, tu sembles avoir adoré ça. Pour ma part, je suis 100% hétéro, mais j’ai un énorme besoin de sexe. J’ai pas le goût de retourner en relation et tu es définitivement la personne la plus douée pour sucer que je connais. D’autre part, je dois me trouver une nouvelle place pour habiter, vu que je suis séparé de Justine. Bref, ma question est la suivante : voudrais-tu que j’emménage avec toi ? Pour tout le monde, on serait coloc, mais ensemble on aurait un petit plus. Tu prendrais en quelque sorte la place de ma copine. Qu’est-ce que tu en dis ? Je pris un moment de réflexion. J’étais embêté. Chamboulé... Je dois y penser, jusqu’à ce soir, je pensais pas avoir d’attirance envers les hommes et là je suis perdu. J’ai adoré ça, mais je sais pas trop. Est-ce qu’on peut dormir là-dessus et je te reviens demain ?
Bien sûr, ne t’inquiète pas. Et peu importe, on va toujours rester meilleurs amis. Je lui ai remis les couvertures et oreiller pour qu’il puisse s’installer sur le divan-lit. Par la suite, je regagne ma chambre. Visiblement fatigué de toutes les émotions ressenties ainsi que des nombreuses bières consommées, je m’endormis à une vitesse fulgurante. Ma nuit fut remplie de rêve érotique. Tous gay. Mettant en scène mon meilleur ami à tout coup. Le lendemain matin, je me réveille avec ma bite qui est prête à arracher les couvertes. Je n’avais qu’une seule envie, sucer sa queue. Je regarde le cadran 7h am. Je me lève et sors tranquillement de ma chambre. En arrivant dans le salon, je pouvais voir mon meilleur ami, toujours paisiblement endormi, un simple rayon de soleil éclairant le lit. Il a retiré l’épaisse couverture durant la nuit. Maintenant, il n’est couvert que d’un simple drap mince de couleur blanc. Facilement, je peux voir au travers de ce bout de tissus. Sa queue est en pleine érection. L’envie est trop forte. Je vais au pied du lit puis me glisse sous la couverture. J’avance, tranquillement à quatre pattes, jusqu’à arriver directement au-dessus de son énorme sexe. Je prends quelques secondes comprenant bien que je m’apprête à franchir une étape. Hier soir, j’aurais pu mettre ça sur le dos de l’alcool. Ce matin, je suis complètement sobre. Ma décision est prise. Je crée un arc avec mon dos et me retrouve ainsi à la base de son sexe. J’étire la langue et la dépose délicatement sur son mat. Je remonte avec douceur, prenant le temps de bien licher ce morceau de chair. Sa respiration commence à s’accélérer. J’arrive au sommet. Le goût salé se dépose sur ma langue. J’ouvre grand la bouche puis je plonge cette queue jusque dans ma gorge. Instantanément, un soupir mélangé à un grognement sort de la bouche de Jeremy. Pour ma part, je prends du rythme, je descends et montre sur sa tige. Les bruits de succion se font de plus en plus intenses. J’y prends mon pied, encore plus intensément quhier soir. Ma main droite s’active sur mon sexe. Sans prévenir, il tire la couverte, mettant au grand jour sa queue dans ma bouche. Bon matin petite salope ! Tu avais faim. Je ne prends pas le temps de m’arrêter et réponds par un simple bruit étouffé par son sexe, alors que mes va-et-vient continuent. Il pose sa main sur ma tête dans le but de m’encourager à continuer mes gorges profondes. Puis, alors que mon menton est appuyé sur ses couilles, il me saisit la tête, retire sa queue de ma gorge et me dit: Alors tu as décidé d’être ma copine ?— Oui, s’il te plaît laisse-moi te sucer, j’adore ça. Il me prend au mot et appuie fortement sur ma tête pour enfoncer son sexe au plus profond possible. Je m’étouffe, la bave sort par mon nez. Deux trois coups ainsi, sans prévenir, il se déverse dans ma bouche. Pris de plaisir, mon liquide fait de même sur les draps du divan lit. Considérant la position, j’ai beaucoup de difficulté à avaler tout d’un coup. Une quantité s’écoule de ma bouche. Je me mets à lécher Jeremy pour être sûr de le nettoyer parfaitement. Alors ça, c’est un bon réveil ! Tu vas être une bonne copine. Nous éclatons de rire. Je donne un bisou sur son sexe puis je me lève. Il fait de même. Complètement nus, nous allons à la table de cuisine puis déjeunons sans aucune ambiguïté. Nous discutons pour planifier le déménagement de ses choses puis la journée se mit ainsi en branle. Notre amitié intime était officiellement commencée. À suivre...
