Alors que la porte de l’appartement se refermait, éliminant David de l’équation, le regard de Jeremy ne bougeait pas de sur moi. À croire que ses deux éjaculations successives n’avaient pas calmé ses hormones. Il ne parlait pas, mais semblait avoir encore envie de sexe. Envie de plus qu’une fellation. Pour ma part, je désirais pouvoir jouir. Francis : J’irais prendre une douche, tu veux venir ?Jeremy : Bien sûr ! Va ! Je te rejoins dans quelques minutes. Je laisse mes vêtements au sol puis, la queue toujours dure, je me dirige dans la salle de bain et démarre la douche. Je prends place sous l’eau chaude qui ruisselle, le long de mon corps. Je commence à tranquillement me nettoyer. Les épaules, les pectoraux, mon ventre, mes jambes, puis je remonte pour savonner mes couilles bien remplies et mon sexe gorgé de sang. La mousse facilite le mouvement de va-et-vient. Lentement, je me donne plaisir. Les yeux à mi-clos, je soupire. Le goût de sperme qui parfume ma bouche me donne les images pour augmenter mon excitation. À ce moment, Jeremy entre et se place derrière moi. Je ne le regarde pas, trop concentré, à finalement m’occuper de moi-même. Il récupère la barre de savon et commence à glisser ses mains dans mon dos en glissant vers le bas. Il arrive à mes fesses qu’il agrippe puis malaxe. J’apprécie ses caresses. Je lui montre en augmentant mes gémissements. Ses mains continuent de bouger sur moi jusqu’à ce qu’il s’arrête sur ma petite rondelle, serrée et vierge. Je sens qu’il commence à pousser son majeur vers l’intérieur. J’arrête le mouvement sur mon sexe, surpris par la sensation de son doigt qui s’introduit dans moi. Je soupire ! Le chemin est très serré. Jeremy me passe une bouteille au niveau des yeux. Une petite bouteille de lubrifiant anal. À croire qu’il avait prévu son coup. Il retire son doigt, puis le dépose à nouveau cette fois avec le lubrifiant. Cette fois, le chemin est beaucoup plus facile. Son doigt glisse en moi. Humm ! La sensation, qui m’était inconnue il y a quelques instants, est très agréable. J’en veux plus. Je bouge mon bassin pour lui montrer que je prends plaisir. Un deuxième doigt vient rejoindre le premier, m’arrachant des nouveaux gémissements. Pour la première fois, Jeremy me touche. Enfin ! Sa deuxième main glisse sur mes couilles et ma queue. Il saisit celle-ci et se met à me masturber alors qu’il pénètre mon cul de ses doigts. Je gémis sans arrêt. Je souhaite en avoir plus ! Je veux sentir sa queue au plus profond de mes entrailles. — Prends-moi ! Baise-moi fort ! Je veux être ta chienne ! S’il te plaît. — Viens ! On va à la chambre. Nous sortons de la douche et nous essuyons mutuellement. Par la suite, Jeremy m’escorte jusqu’à ma chambre qui est devenue notre chambre. Dans cette pièce, tamisée rouge par la lampe de lecture, se trouve, sur la table de chevet, deux élastiques à cheveux, une autre bouteille de lubrifiant ainsi qu’un dildo à ventouse. Dimension à l’œil, environ 15 centimètres. À la télévision, un porno. Un trip à 3. Une jeune femme de 18 ans qui se fait prendre, cul et bouche, par deux hommes bien membrés. Jeremy m’amène au lit où il me demande de prendre place, à quatre pattes, au centre du lit, face vers la télévision et de fixer celle-ci. Comme toujours, je lui obéis. Il se dirige vers la table de chevet qui est derrière moi, dans mon angle mort. J’entends le bruit de la bouteille qui ouvre. Par la suite, je sens le matelas débalancer par le poids de Jeremy qui est embarqué. Je devine qu’il installe le dildo, au mur, en fonction du bruit de succion qu’il fait. Quelques instants plus tard, sans avertissement, un liquide froid coule du bas de mon dos jusqu’à mon orifice déjà partiellement ouvert. Jeremy s’empresse de bien l’étendre sur ma rondelle avec ses doigts qui ne manquent pas une opportunité de me pénétrer. Je soupire à nouveau, mais demeure les yeux rivés sur l’écran tel que demandé par mon amant. Ses doigts lâchent rapidement mon petit trou. Il apparaît devant moi, la queue dressée, mais cachée à l’intérieur d’un boxer. À la main, les deux élastiques. Il saisit mes longs cheveux bruns et me fait deux lulus. Il maintient les deux couettes fermement dans ses mains. Son regard dominateur est posé sur moi. Je bande comme jamais ! — Devine qu’est-ce qui va se passer petite salope.— Je suppose que je vais devoir reculer jusqu’à ce que le dildo me pénètre complètement pendant que je vais vous sucer.— Erreur salope ! Demi-tour. Suce le dildo ! C’est moi qui t’encule. (Dit-il en relâchant mes lulus pour retirer son boxer et me présenter sa queue qui est enduit au grand complet de lubrifiant.)
Je fais demi-tour avec le plus beau des sourires. Je vais enfin me faire baiser. Visiblement impatient, Jeremy pousse immédiatement ma tête sur le dildo que j’avale sans grande difficulté. Il me tient par les lulus, le dildo entré, au complet, dans ma bouche. Il appuie son gland sur ma rondelle. C’est l’heure. Ma virginité anale va s’envoler dans les secondes à venir. Je me bouge le cul pour lui démontrer ma hâte. Mes gémissements sont étouffés par le dildo. Il débute. Je sens son gland étirer mes entrailles. Aidé par le lubrifiant ainsi que la dilatation effectuée avec ses doigts, son gros pénis se fraye un chemin. Je gémis et tente de sortir le dildo de ma bouche pour respirer avec plus d’aisance, mais Jeremy me maintient la tête. Au rythme de ses gémissements, il continue son chemin avec une poussée continue et assez rapide. Finalement, je sens ses couilles appuyer sur mes fesses. Il est entièrement en moi. La douleur est aiguë, mais semble s’estomper tranquillement. Il ne bouge pas et relâche la pression si bien que je peux libérer ma bouche. Je tourne ma tête vers lui. — Elle est tellement grosse. J’ai l’impression que tu m’ouvres en deux. — Et ce n’est que le début, je vais te baiser bien profond. Tu vas avoir mal, mais dans quelques semaines, tu vas me remercier et tu vas en redemander. Allez la bouche devant le dildo, grande ouverte, le dos courbé.
J’obéis et prends position. Il saisit mes lulus et je sens sa queue faire chemin arrière, jusqu’à ce que son gland soit pratiquement sorti de moi. Il entre à une vitesse fulgurante faisant claquer ses couilles sur mon cul. Ma tête est projetée vers l’avant, amenant le pénis en plastique dans ma gorge. Avant même d’avoir eu le temps de comprendre ce qui se passait ou de crier, il tire ma tête vers l’arrière et ramène sa queue à l’entrée de mon cul. Je tente de crier, mais je suis figé. Deux autres assauts ont le temps d’être menés contre mes entrailles avant qu’un simple son puisse sortir de ma bouche. Il me baise avec vitesse et force. La douleur est intense, ma bouche subit les pénétrations au même rythme. Je suis une vulgaire poupée gonflable. De temps à autre, je lâche quelques gémissements, aussitôt étouffés par le dildo. Après quelques minutes à me faire malmener, la douleur est légèrement moins vive, ce qui me permet de prendre le rythme imposé par Jeremy. Mes gémissements se font plus fréquents et intenses. Mon érection est revenue. Je sens le liquide couler le long de ma queue. — Tu apprends vite petite salope. Ton cul est tellement serré. Je ne prendrai pas de temps avant de le remplir.— Continue ! Baise-moi ! Remplis-moi ! Je suis ta chienne ! (dis-je de façon inaudible en raison des circonstances)
La sensation est de plus en plus agréable. Pour sa part, Jeremy grogne, me traite de tous les noms et se permet même de taper mon cul entre chaque coup de hanche. Ce qui devait arriver arriva. Ses coups accélèrent de nouveau. Il maintient mes lulus encore plus serrés avant de finalement tout lâcher dans un puissant grognement. Je sens le liquide chaud tapisser mon intérieur. Il a joui en moi. Quelle sensation intense et plaisante ! Après quelques secondes, il reprend ses esprits. Tranquillement, il se retire de moi. Je m’écroule. Il me fait retourner sur le dos. Ma queue est toujours dure comme du fer. À ma grande surprise, il saisit fermement ma queue et me masturbe. Je ne mets que quelques secondes à éjaculer dans les mains de mon meilleur ami. Ce coquin m’amène ses mains recouvertes de ma semence, à ma bouche. Je m’empresse de bien les lécher et les sucer. Une fois les mains nettoyées, il s’étend à côté de moi en silence. Tous deux épuisés de ma première sodomie. Rapidement, le sommeil nous trouve. Nous nous endormons, tel un couple. Moi la petite cuillère, avec le sperme sortant tranquillement de mon cul et lui la grande cuillère avec son gland toujours à l’entrée de ma rondelle détruite. À suivre...