Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 31 J'aime
  • 2 Commentaires

GéGé, la vieille tatouée.

Chapitre 3

Trash
Ses lèvres sont ouvertes sur son puit. Il est gluant. Ses effluves m’enivrent. Je passe un doigt sur l’orée de ce sexe qui palpite et le lui fait lécher. Elle me le suce en fermant les yeux. Je n’ai pas envie d’être violent avec une femme si frêle. Avec Isa et Lili, je n’aurais pas hésité à les embrocher sauvagement mais avec ce petit brin de femme, j’ai envie d’être plus doux. Je pousse doucement. Mon gland est aspiré par cette chatte qui me paraît immense. Elle est large et douce. J’ai l’impression d’introduire mon sexe dans un fourreau de satin. J’entre jusqu’au plus profond, jusqu’à ce que mon pubis vienne en contact avec ses fesses. — Putain, plus fort, plus vite... Baise-moi fort !!!
Je ressors doucement et rentre violemment. Elle crie son bonheur. J’y vais le plus gaillardement possible. Mon ventre claque au contact de son cul. Je lui administre des fessées sur son cul. Elle couine de plus en plus fort. Le rythme est soutenu.
— HAN, HAN, HUMMM, c’est bon Hervé ce que tu me fais... Vas-y défonce-moi comme une chienne...
Maintenant, je sors ma bite entièrement avant de replonger à fond. Ses petits seins ballottent sous mes coups de boutoir. Je prends sa queue de cheval, lui tire la tête en arrière et l’embrasse à pleine bouche. Je lui donne de la salive, qu’elle avale avec envie. Un de mes doigts s’immisce dans son fion. Elle me sourit. Je crache sur sa rondelle et lui introduis deux, puis trois doigts. Elle pousse son cul à la rencontre de ces trois doigts inquisiteurs. Je lui écarte la rondelle. Je ne sens aucune résistance, son sphincter s’ouvre sur son tunnel rose. D’une seule poussée je lui fourre son cul de ma bite lubrifiée. Elle soupir de bonheur. Elle contracte son petit muscle sur ma queue. Elle me sourit. J’accélère en sortant à chaque fois. J’adore voir son petit trou dilaté et ses boyaux rose m’accueillir à chaque poussée. Elle ahane, prononce des mots entrecoupés.
— HAN... C’EST BON TA... BITE... DANS LE... CUL. OUI... PLUS... FORT... PLUS VITE... HAN, HAN, OUIIII...
Je lâche les chevaux et ses cheveux, la prend par les hanches et lui assène des coups de plus en plus violents. Je reste en elle, je la bourrine par à-coups. Tantôt rapides et courts, tantôt lents et profonds, allant buter violemment sur ses fesses. Je ne tiens plus, j’ai envie de lui mettre ma sauce au fond des intestins.
— Oui, oui, je vais venir...
— Non, pas là... dit- elle en se déboîtant.
Elle se retourne et me gobe la bite avant ma première giclée. Elle m’aspire le gland, me pompe, m’avale tout. Elle me regarde avec douceur, se délectant de mon jus. Sans arrêter sa masturbation, elle me vide. Elle se retire et ouvre la bouche, le referme et déglutie.
— Très bon sperme, bon goût...
Elle éclate de rire et se relève et vas s’asseoir en prenant une bière. Je la suis et l’imite. Elle m’avoue que cela fait trois mois qu’elle ne s’est pas faite autant éclatée par une bite. Elle me propose de manger chez elle ce soir. Je lui réponds que cela serait avec plaisir. Elle se lève est vient s’asseoir sur moi à califourchon. Elle m’embrasse fiévreusement. Elle me masse la queue et s’étonne de sa raideur. Je lui mets une main entre les jambes et je m’étonne de sa moiteur. On éclate de rire. Elle me propose une douche, ce que j’accepte.A la sortie de la douche, je la croise dans le couloir. Elle me flatte la queue et se pince la lèvre inférieure. On reste bloqué dans ce minuscule endroit. Le parfum de sa chatte me monte au nez. Je la plaque sur le mur en bois, je lui prends ses jambes et la lève. Mon canon est à portée de tir. Elle me regarde avec étonnement.
— Tu ne débandes jamais ?

— Pas devant une nana aussi bien foutu que toi.
— Je suis vieille...
— On a l’âge que l’on veut se donner. Lui répondis-je en l’empalant.
— Putain Hervé, que me fais-tu ?
— Je te baise...
J’assure ses montées et ses descentes. Elle se laisse aller, ferme ses yeux et se pince la lèvre inférieure. La position est peu confortable mais je m’en fou. Je la pistonne ardemment. Elle jouit déjà. Je force mes pénétrations. Elle ouvre grand les yeux et la bouche. Mes mains lui triturent les fesses, ma bouche s’occupe de ses seins. Je lui mords les tétons, je malmène ses petits seins. Aucun son ne sort de sa bouche. Je la ballotte de bas en haut. Je me cale contre la cloison et la tire à moi. Elle est empalée sur mon viêt et ne peut subir que mon bon vouloir. Je change de position. Je me déboîte de cette chatte accueillante et baveuse, la met debout dos à moi. Je la prends sauvagement par derrière. Pas son cul, non, son accueillant et gluant minou. Elle lâche un « OUI » profond et sonore. Je la lime sans retenue, elle s’abandonne à mes coups de reins sauvages.
— OUIIII, HERVE, JE JOUIES... PUTAIN... QUE C’EST BON... HUMMM, HAN, HAN...
Les flocs-flocs, l’odeur que produisent sa chatte on raison de moi. Je jouis à mon tour. Des jets de sperme inondent son vagin. Le trop plein ressort sous mes derniers allers-retours. Elle a les jambes qui tremblent. Je sors sous un « floc » immonde. On part dans un fou rire nerveux.
— Ouf, ouf, t’es un amant de première... Comment fais-tu pour bander et éjaculer autant.
-J’ai un secret... lui dis-je en lui mordant le lobe de l’oreille.— Lequel ?
— Curieuse...
— Tu restes ici ce soir ?
— Tu en as envie ?
— Oui... Me répond-elle avant de s’éclipser dans la salle de bain.
Il est 08h00. On a baisé toute la nuit. Je me lève le premier et avant de m’enfuir je lui laisse un mot :
« A demain, j’espère... »
Je rentre chez moi, la queue molle.
Diffuse en direct !
Regarder son live