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Un gendre attentionne

Chapitre 2

Hétéro
VENGEANCE DE JULIETTE
Francine prend sa mère par le bras et l’arrache à la contemplation de l’adultère. — Le salaud !… Le salaud !… Le salaud ! Juliette mortifiée est incapable de dire autre chose. — Calme-toi Maman, Ce n’est pas la première fois qu’il te trompe, tu le sais bien. — Peut-être, mais je l’avais jamais surpris… Puis, il m’avait promis… Salaud !… Salaud !… Quel salaud ! Oh ! Tu ne l’emporteras pas au paradis ! — Penseriez-vous à vous venger ? interroge d’un air narquois Roméo qui les rejoint après avoir donné des instructions à son technicien. — Il le mériterait ! — Bien dit Belle-Maman. Nous sommes prêts à vous aider car nous aussi nous avons à nous plaindre. N’utilise-t-il pas nos installations sans autorisation ? Comment comptez-vous procéder ? Qui allez-vous choisir ? — Euh… Mise au pied du mur, Juliette ne sait plus ce qu’elle désire. — Je vous suggèrerais bien Georges… — Tu n’y penses pas ! intervient Francine. Tu ne vas pas proposer à Maman de se faire baiser par ce malade ! — N’est-ce pas ce que tu t’apprêtes à faire ? Il te plaît tellement que tu ne veuilles pas céder ta place ? — Ne dis pas de bêtise, tu sais combien ça me coûte et que je le fais uniquement pour la bonne marche de l’établissement. D’ailleurs Maman refusera. — Si nous la laissions s’exprimer ?… Juliette ma tendre et douce belle-maman, vous nous rendriez un grand service en acceptant de vous occuper de notre patient. Qu’en dites-vous ? — Euh… — Tu vois chérie, elle est d’accord ! triomphe-t-il en interprétant à sa manière l’hésitation. — Vous avez raison, approuve Liliane l’amie du couple. Votre mari mérite une bonne leçon. — Vrai Maman ? Tu veux bien nous aider ? demande Francine. A son intonation pleine d’espoir, Juliette devine que sa fille ne serait pas mécontente d’échapper au dénommé Georges. Elle est tellement en colère contre son mari qu’elle est prête à accepter n’importe quelle proposition. — Tu… tu crois ? — Et puis, insiste Roméo, vous ne le tromperez pas vraiment. Vous ne ferez que nous aider dans l’application d’une thérapie qui a fait ses preuves. C’est la survie de notre établissement qui est en jeu. Juliette ne parvient pas déceler s’il est sincère ou s’il se moque. Elle est trop perturbée et ne retient qu’une chose : elle tient là une occasion unique de se venger et décide de ne pas la gâcher.
— Où se trouve-t-il votre Georges ? — Je vais le chercher, s’empresse son gendre. Je le conduis à la chambre A, non, pardon la B puisque la A est occupée. Vous m’y rejoindrez. Manière élégante de lui rappeler l’infidélité de son époux, pense Juliette, et de la conforter dans son désir de vengeance !
Francine l’accompagne. En chemin elle explique que le dénommé Georges, riche célibataire, nourrissait une passion refoulée envers sa mère et depuis la disparition de celle-ci, sombre dans une douce folie et un abattement dont il n’émerge que lorsque ses testostérones le démange. Sa sœur qui l’avait recueilli, avait eu peur quand son frère s’était jeté sur elle l’appelant « Maman » en tentant de la posséder. Elle a pris contact avec l’institution où maintenant Georges coule des jours paisibles entrecoupés de crises que Solange, une jeune infirmière, est chargée d’apaiser. — Et c’est toi qui te dévoue en son absence ? — Ça m’est arrivé quand il n’y a pas de personnel disponible comme aujourd’hui. — Vous ne pourriez pas lui administrer des calmants ? — Et le priver des derniers plaisirs de l’existence ? Voyons Maman, ce n’est pas charitable. Ah ! S’il s’agit de charité chrétienne, elle n’a plus rien à dire ! Elle suit sa fille plus excitée qu’elle ne voudrait l’admettre. — Autre chose Maman, continue Francine. Ne le laisse pas te prendre pour sa mère. Menace-le de tout arrêter si cela se produisait. D’ailleurs je veillerai sur toi. — Tu… Tu assisteras ? — De la cabine de surveillance vidéo… comme pour toutes les séances en salle de… euh… de décontraction, mais rassure-toi, je serai discrète.
Elles arrivent devant une porte fermée ornée d’un grand B. — C’est là… Juliette se prépare à ouvrir. — Un instant s’il te plait. Tu devrais enlever ta culotte avant d’entrer… Si, si ! insiste-t-elle devant le sourcil étonné. Il est préférable que tu n’aies pas à l’ôter devant Georges, ça pourrait le perturber… merci. Elle glisse dans sa poche le dessous que sa mère lui tend. — Je te la rendrai tout à l’heure. A ce moment Roméo sort de la chambre. — Ah vous êtes là ! Parfait. Vous pouvez entrer Juliette, Georges vous attend avec impatience. Je l’ai prévenu qu’il aura la visite d’une nouvelle soignante. Il est tout émoustillé. Bonne chance. — Oui, bonne chance, Maman. Tu verras, Georges est étonnant.
Sur cet encouragement insolite de la part d’une fille à sa mère qui va se faire baiser par un étranger, Juliette pénètre dans la pièce. La lumière tamisée la surprend. Elle met quelques secondes à s’y habituer. Elle remarque tout de suite les gravures érotiques sur les murs. Les couleurs sont annoncées ! ricane-t-elle en silence. Georges en blouse bleue, est assis sur le lit les mains entre les genoux. Malgré ses cheveux blancs il l’air d’un petit garçon. Ses jambes poilues qui pendent laissent deviner qu’il est nu sous son vêtement. Cette pensée la fait rougir. Une chaleur soudaine envahit son bas ventre. Elle s’appuie sur un dossier de chaise. Il lui faut réagir, c’est elle qui dirige les ébats et ne doit pas laisser Georges prendre le dessus. Elle respire profondément avant de l’interpeller : — Bonjour Georges. — Bonjour. Comment tu t’appelles ? — Appelez-moi Madame, s’il vous plait et je vous prie de me vouvoyer. — B-b-bien Madame. — Excusez-moi de vous le demander mais comme je suis nouvelle ici, pouvez-vous de m’indiquer comment vous procédez d’habitude ? — Ben… euh… Solange… euh… elle monte sur le lit à quatre pattes. — Comme ça ? demande-t-elle en s’installant le cul en l’air. — Elle soulève sa blouse, elle. Juliette fait remonter sa jupe sur les hanches. Elle sent le regard sur le postérieur nu. Cela la fait trembler. Quelques secondes passent dans un silence oppressant. Elle n’ose tourner la tête pour voir ce que fait Georges. Ne pas le perturber, voilà les consignes. Le lit grince et s’affaisse sous un poids supplémentaire. Des mains douces frôlent les fesses nues. « Je dois être couverte de chair de poule » pense-t-elle sans oser bouger. Des doigts s’insinuent dans la raie. Tout à coup, elle prend peur. Il ne va pas l’enculer par hasard ? Elle ne veut pas… Mais que faire s’il insiste ? Si elle résiste, cela ne va-t-il pas déclencher un drame ? Par chance, les doigts poursuivent leur progression en direction du vagin. Ouf ! Elle préfère !
Le bout du sexe remplace les doigts. Juliette se demande pourquoi Georges attend pour s’enfoncer. Peut-être que Solange, sa compagne habituelle l’aide en cet instant ? La jeune femme décide d’essayer et lance la main entre ses cuisses. Le contact du latex la désoriente un instant. Elle met une à deux secondes à réaliser que la verge de Georges est recouverte par un préservatif. Sûrement Roméo qui l’a habillé avant qu’elle arrive ! Elle n’y aurait pas pensé mais cela la rassure. Un instant de flottement puis elle se reprend et guide le gland face à la bonne ouverture. — Ah oui Maman ! Comme ça ! Ah non ! Pas d’allusion à sa mère ! Les ordres sont formels ! D’un bond Juliette saute du lit. — Je ne suis pas votre mère, que cela soit bien compris ! Sinon, je m’en vais. — Non, non Madame ne partez pas, je le ferai plus. Le pauvre Georges est désemparé, à genoux, la blouse ouverte, la bite à l’air. Elle semble bien grosse à Juliette, plus grosse que celle de son mari. Peut-être parce qu’elle est enveloppée de latex ? Ne lui fera-t-elle pas mal ? Elle espère que Roméo a pensé à l’enduire de lubrifiant. Plus temps de reculer après la contrition du bonhomme. — Bon, j’accepte de revenir, mais au moindre mot de travers nous arrêtons tout! Bien compris ? — Oui Madame.
Juliette remonte s’installer en relevant sa jupe. Georges introduit sa queue entre les cuisses. Elle la guide de la main et recule dessus. — Aah ! soupire-t-il. Elle serre les lèvres pour étouffer le gémissement que l’introduction lui arrache. La verge remplit son vagin. Cela tire délicieusement. « Vive les grosses queues ! » pense-t-elle. Dans son dos Georges reste immobile. Qu’attend-il ? Devra-t-elle faire tout le travail ? — Vous pouvez y aller Georges. — Merci madame. Il pose les mains sur les hanches de la jeune femme et commence le va et vient. Il ne se presse pas. Ses mouvements sont lents et réguliers. Il se retire presque complètement, s’immobilise une seconde pour se renfoncer jusqu’à ce que son ventre butte contre les fesses. Autre arrêt, elle sent les poils pubiens chatouiller son cul, puis à nouveau un recul etc. Juliette ne jouit pas à proprement parler. La pénétration est agréable, très agréable même. Elle est bien, elle a l’impression de flotter sur un doux nuage, mais garde la tête froide comme si le vagin qui se fait pénétrer lui était étranger. Est-ce cela que les prostituées ressentent lors des étreintes tarifées ? Georges maintient la même cadence. A ce rythme ils en ont pour un bon moment, réfléchit-elle. Elle attrape un cousin d’une main et y pose la joue, ce sera moins fatigant que de garder les avant-bras tendus.
— Très bien Georges ! Continuez ainsi. Qui a parlé ? Il a semblé à Juliette reconnaître la voix de sa fille. Elle se redresse perturbant le mouvement de son cavalier. — Qu’est-ce que c’est ? — C’est la Voix, consent-il à expliquer. Elle est toujours là quand je viens dans cette chambre avec Solange. Effectivement, Francine assiste au bon déroulement depuis la salle de contrôle. A ce moment un technicien lui fait remarquer sur un écran la présence de Pierre devant les salles. — Georges, déclare-t-elle, vous allez peut-être recevoir une visite, un homme. Vous ne le connaissez pas, vous. Pourquoi sa fille insiste sur le « vous » ? s’interroge Juliette. Ah ! C’est parce qu’elle, elle le connaît, il s’agit vraisemblablement de Pierre ! — S’il entre, vous devrez l’ignorer, poursuit la voix, faire comme s’il n’existait pas, compris ? Juliette étouffe un borborygme. Elle allait répondre car l’avertissement s’adresse aussi à elle ! — Oui, j’ai compris. — C’est très bien Georges, je vous fais confiance. Pour marquer sa satisfaction après ce compliment, Georges donne un violent coup de rein qui ébranle sa partenaire et déclenche la montée du plaisir. — Oh Georges !… Ouiii ! Juliette pince les lèvres, elle espère que sa manifestation intempestive ne perturbera pas son partenaire. Il reprend son rythme haché. La jeune femme respire. Ouf ! Tout se passe bien. Elle se prépare à la visite de son époux. Elle est tout émoustillée de lui offrir un spectacle comparable à celui qu’il lui a donné, juste retour des choses.
La porte s’ouvre d’un seul coup. Juliette sent Georges frémir, mais conformément aux ordres reçus, il n’arrête pas. Elle regarde Pierre bien en face. — Ah c’est… c’est toi chéri ? … J’en ai… pour quelques… minutes, je… je te rejoins… dès que possible… Il reste immobile la bouche ouverte puis il recule, tiré vraisemblablement par des mains secourables. La porte se referme, le couple reste seul.
Juliette ne sait pas l’effet de cette visite sur son partenaire, mais elle, en est toute retournée. De se savoir surveillée, d’avoir été surprise par son mari, déclenche une véritable révolution dans son corps. Les coups de queue de Georges ne sont plus anodins, ce n’est pas du bien-être qu’ils lui procurent mais une jouissance comme elle n’a plus le souvenir d’en avoir éprouvé. Elle a envie de crier son plaisir et mord le coussin avec rage comprenant qu’une telle manifestation perturberait son cavalier et lui ôterait tous ses moyens. Un premier orgasme la secoue. Elle s’efforce de rester immobile, de modérer le tremblement convulsif qui l’ébranle pour ne pas troubler Georges. La contrainte est un puissant stimulant qui ravive la jouissance. Elle sent les ondes de plaisir envahir à nouveau son corps. Si elle avait à sa disposition, d’autres mains que celles qui martyrisent le coussin, elle caresserait ses seins qu’elle devine durs comme de la pierre et le ventre. Elle a l’impression que son clitoris d’habitude si discret darde de plusieurs centimètres, en pure perte puisque rien ne vient le soulager. C’est frustrant !… Et tellement délicieux…
Une nouvelle secousse l’ébranle… une autre ! Cela ne va-t-il jamais finir ? En avant, arrêt, retour, arrêt, en avant, arrêt etc. Georges est infatigable. Juliette ne compte plus les orgasmes. Elle sent les gouttes de cyprine couler sur ses cuisses. Elle ne pensait pas qu’il soit possible de jouir aussi intensément… et aussi longtemps… Ah ! La cadence s’accélère, la fin approche, dommage… Non, c’est mieux ainsi, la fatigue commence à se ressentir… Aaah ! Les jets de foutre gonflent le latex et déforment les muqueuses vaginales, quelle sensation !…
Les deux amants restent affalés sur le lit. Dans un brouillard, Juliette sent que l’on retire Georges, qu’on le félicite pour sa performance. Oui, ils ont raison, pense-t-elle, il l’a fait jouir comme jamais. Des mains rabattent sa jupe, l’aident à se relever, c’est sa fille qui l’entraîne dans la salle de bain attenante où elle la déshabille et la douche. La fraîcheur de l’eau la revigore. Elle se sent bien, aucun remord…
( A suivre)
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