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Un gendre attentionne

Chapitre 5

Orgie / Partouze
LE GODEMICHÉ
…Sans attendre la réponse, Francine ouvre sa blouse. Elle est nue dessous. Pierre s’efforce de ne pas fixer le triangle de poils châtain au bas du ventre. La jeune femme présente l’engin entre ses cuisses. Elle l’enfonce en tournant légèrement, noue les lanières à sa taille, puis ôte la blouse qui la gêne. — Voilà ! N’étaient les seins aux tétons roses et les hanches en amphore, on pourrait la prendre pour un éphèbe en rut dont le sexe n’a pas encore atteint le diamètre adulte.— Mets-toi en position Pierre ! ordonne Juliette. — Mais… — Tu avais pourtant l’air d’apprécier hier soir ? s’étonne-t-elle. — Je crois que ça le gêne que ce soit moi qui opère, déclare Francine qui dénoue le godemiché et le tend à Juliette. Tiens, Maman, enfile-le, ce sera plus correct que tu fasses toi-même la démonstration. Pierre est furieux contre lui-même. Il devrait s’insurger, crier au scandale devant ce que les deux femmes projètent mais constate avec amertume qu’il n’en a aucune envie et qu’il brûle d’impatience de retrouver l’étrange sensation découverte la veille. Que ce soit son épouse ou sa fille qui l’encule peu importe ! Il se laisse guider par Francine qui l’installe à quatre pattes sur le lit, la tête appuyée sur un coussin, les genoux écartés. Il sait qu’il expose ainsi son trou du cul et dessous son sexe poilu. Il a dépassé le stade de la pudeur et ne regimbe pas quand la jeune femme enduit son anus de vaseline. Il ronronne même de plaisir. — Ça fait du bien n’est-ce pas ?
Pendant ce temps Juliette noue les liens qui fixent le godemiché. La protubérance dilate son vagin ; c’est agréable cette grosseur qui remue en elle quand elle bouge. Par jeu elle appuie sur la tige comme si elle voulait la décalotter. — Ooh ! Mu par un ressort caché, le simili sexe court s’est enfoncé de plusieurs centimètres. — Bizarre n’est-ce pas ? sourit sa fille. Appuie encore plus… oui, comme ça… encore… Tu sens le déclic ?… Tire dessus maintenant jusqu’à un autre déclic. L’ensemble s’allonge, la partie enfoncée dans le sexe retourne en position initiale. — Aaah ! — Oui, Maman, cet engin est conçu pour offrir du plaisir à deux personnes en même temps. Allez ! Viens ici, Papa s’impatiente ! Qui est le plus impatient ? Pierre de recevoir l’engin dans le cul ou Juliette de l’expérimenter ?
— Aïe ! Francine calme sa mère qui dans sa hâte appuie à coté de l’anus. — Maman, fais attention ! Il n’y a pas le feu. — Excuse-moi mon chéri. Je t’ai fais mal ?
— Non, ça ira. Sa fille rectifie la position et place le bout au milieu de la rondelle. — Tu peux pousser. L’anus résiste, le ressort se déclenche. — Aaah ! — Continue à pousser Maman. — Qu’est-ce qu’il y a ? demande Pierre étonné que le dard ne pénètre que de quelques millimètres… Aah ! Juliette comprime le ressort en même temps que le gland plastique déforme l’anus. Un déclic, l’engin s’enfonce de toute sa longueur dans le sphincter. — Recule maintenant, ordonne Francine. L’engin prisonnier de l’intestin reste en place dans un premier temps, Juliette sent la partie de son coté sortir du vagin, puis la tige glisse hors du cul. — Ça suffit ! Ne le fait pas sortir complètement, avertit Francine quand le bouclier de la simili verge émerge de l’anus. Recommence ! Juliette pousse à nouveau. — Aaah ! — Je vois que tu as compris. C’est étonnant, n’est-ce pas ? — Aaah !… Dis ma fille… Aah !… tu en as d’autre… des idées comme… Aah !… comme ça ? — Oh ouiii ! répond Pierre en écho.
Il est soulagé. D’accord, si sa fille avait opéré il aurait sûrement éprouvé du plaisir mais que ce soit sa femme qui l’encule décuple sa jouissance. Il faudra qu’il se procure un godemiché identique. Ça doit se trouver dans les boutiques spécialisées. Le frottement dans son cul lui remémore la séance de la veille et ce qui a précédé. Pourquoi ne pas essayer avec Lulu ? Il est certain que ça plaira à la jeune secrétaire.
Juliette donne des coups de rein réguliers. Malgré sa courte longueur, la partie du godemiché qui s’enfonce dans son vagin, lui procure un réel plaisir. Peut-être à cause de la brusque détente du ressort ? Puis, dominer ainsi un époux qui la bafoue lui procure un sentiment de puissance insoupçonné. Elle rend grâce à sa fille de le lui avoir fait découvrir. Il faudra lui demander de prêter l’appareil, car elle n’aura pas le courage d’affronter le sourire entendu d’un vendeur de sex-shop…
La verge de Pierre bande à lui faire mal. Et pas une des deux femmes ne pense à le caresser ! Il retire la main de dessous un coussin et tente de saisir la tige qui ballotte au rythme imposé par Juliette. Il n’y parvient pas par peur de rompre l’équilibre instable de leur duo. La position de la veille, la poitrine appuyée sur une chaise, laissant les mains libres est plus appropriée. Il devra y penser la prochaine fois. La prochaine fois ?… En attendant, il implore Francine du regard. Celle-ci déchiffre la prière muette. — Non, Papa, réplique-t-elle, n’y compte pas. Tu as l’air de l’oublier, mais je suis ta fille ! — Qu’est-ce qu’il… il veut ton père ? — Il voudrait que je le masturbe en même temps. — Pourquoi… tu veux pas… lui offrir… ce petit plaisir ? — Non, pas moi ! Qu’il trouve quelqu’un d’autre ! A ce moment la porte s’ouvre sur Roméo. — Ah ! Tu es là ma chérie ! On te cherche partout. Louis, le patient de la chambre 34 est tombé de son tabouret. On craint qu’il ne se soit fait mal, peut-être une entorse. — J’y vais tout de suite. Francine enfile sa blouse et se précipite chez le blessé. Juliette n’a pas cessé ses coups de rein. — Aah !… Aah !… Aah !
— Je constate chère belle-mère que vous appréciez les outils de ma femme… Et vous Beau-Papa ? Il se penche pour regarder sous le ventre et sourit à la vue de la verge tendue. — Ah oui ! Vous aussi goûtez le traitement ! « Qu’il cesse de m’appeler Beau-Papa ! Ça m’énerve ! » soupire Pierre. « Et puis, qu’attend-il pour me caresser ? En aura-t-il l’idée ? » Roméo n’en prend pas le chemin, préférant cajoler le dos de Juliette et ses seins. La curieuse pénétration dans son sexe émeut celle-ci au plus profond de son être. Quelle drôle de sensation pense-t-elle, saura-t-elle la retrouver ? L’orgasme éclate sans prévenir. Elle se cabre. — Ouiii !… Arrrgghh ! Elle s’effondre sur le dos de son mari. Roméo la soutient et la retire avec précautions. La longue tige émerge du postérieur, arrachant à Pierre un soupir de désappointement.
— Ne bougez pas beau-Papa, je la remplace. Roméo écarte sa blouse et sort un sexe qu’il affûte de quelques coups de poignet. Un coup d’œil à Juliette, elle reprend ses esprits et commence à dénouer le godemiché, tout va bien de ce coté. Il pique le surplus de vaseline sur la raie et en enduit la hampe. L’anus ne s’est pas encore contracté quand il s’enfonce. — Aaah ! Pierre vibre sur ses quatre membres. Une vraie queue, c’est encore meilleur ! Il a besoin de toutes ses forces pour résister aux coups de rein de son gendre. Ah ! Ce n’est pas la douceur féminine de tout à l’heure, mais cette brutalité ne lui messied pas. Ce serait parfait si Juliette le caressait comme la veille. Oui ! Elle s’est débarrassée de son encombrant accessoire et s’avance à genoux sur le lit. Elle tend la main sous le ventre de son époux. — Aaah ! gémit celui-ci quand la paume se referme sur la tige.
— Vous voulez faire plaisir à Pierre ? Il y a mieux que votre main belle-maman. — Ah ? Quoi par exemple ? — Il pourrait vous baiser en même temps. — C’est… c’est possible ? — Oh oui ! Croyez-en mon expérience. — Que… que faut-il faire ? Pendant ce court dialogue, Roméo est resté fiché dans le cul de Pierre. Prenant le torse de celui-ci à bras le corps, il le redresse. — Couchez-vous sur le dos, Juliette… Les jambes de part et d’autre de votre mari… C’est ça… Préparez-vous à le recevoir. Roméo empoigne la verge de son beau-père, la pointe vers le bas. — Juliette aidez-moi, je ne vois pas bien. Elle prend le relais de son gendre et guide la queue entre ses cuisses pendant que Roméo pousse Pierre en avant. La vibration de la hampe qui glisse dans le vagin, fait trembler Juliette. — Oooh ! — N’est-ce pas que c’est curieux belle-maman ? dit Roméo en retirant de Pierre puis se renfonçant. — Aaah ! Co… Aah !… comment ça se fait ? — Aucune idée, affirme-t-il, mais je sais que c’est très jouissif pour vous deux, pardon pour nous trois, pour l’avoir maintes fois expérimenté avec Francine et nos amis. Recule Beau-Papa et attend que je te repousse !
Pierre comprend la manœuvre. Il pousse en arrière Roméo, lui laisse le temps de reculer puis de s’avancer et le plaquer contre Juliette. Lents au début, leurs mouvements s’accélèrent pour atteindre un rythme de croisière qui convient aux trois acteurs. — N’est-ce pas Ju… Juliette que… que la queue… de Pierre… vibre d’une… manière par… particulière ? — Oh oui !… Ça se transmet à… à tout le … le ventre, c’est… c’est génial. — C’est ce… que me dit… Francine quand… nous baisons… de cette manière. — Aah !… Je… Aah !… C’est trop ! Pierre lui ne dit rien, trop occupé à cerner les sensations qu’il découvre. Tout juste émet-il un petit soupir quand les coups de rein de Roméo le projètent contre Juliette. La conjugaison des frottements sur la verge et dans son cul développe une jouissance délicieuse dans tout son corps. Un tremblement continu l’agite qui se transmet à Juliette par sa queue et qui lui revient en vibration du vagin. C’est divin ! Il aimerait que cela dure des heures, ne finisse pas. Il se sent investi d’une énergie nouvelle, d’une force insoupçonnée. Bien calé sur les avants-bras, il joue du bassin alternativement contre Roméo et vers Juliette.
— Ah ! Je vois que mon mari vous initie aux joies du triolisme ! Vous avez bien raison, s’amuse Francine qui revient dans la chambre. — Aah !… Tu es là chérie ?… C’était grave ? — Non, mon chéri, une simple foulure. Je l’ai bandé, il n’y paraîtra plus dans une petite semaine. — Tant… tant mieux. Le trio sur le lit n’est pas discret. Francine brûle de participer. Elle manipule distraitement le godemiché abandonné. — Oh oui, ma chérie ! s’exclame Roméo. Mets-le s’il te plait et viens derrière moi. — Tu… tu crois ? — Tu en meurs d’envie. — Enlève ta blouse alors. Roméo tape sur les cuisses de Pierre. — Ralentit, s’il te plait… Encore !… Juste de quoi maintenir la raideur le temps que Francine se prépare… là ! Il était temps, la pression diminue dans la verge, Pierre respire plus librement. Juliette apprécie la nouvelle cadence qui lui permet de mieux ressentir la vibration. Roméo ôte sa blouse. Comme sa femme il est nu en dessous. Est-ce que tout le personnel est habillé, ou plutôt déshabillé de la même façon ? s’interroge Juliette qui admire les pectoraux de son gendre.
Francine, harnachée, grimpe à son tour sur le lit. — Arrête un instant Papa, je ne voudrais pas faire mal à mon mari. Les mouvements cessent le temps de l’introduction de la longue tige. — Aaah ! s’écrie Roméo, la bitte dans un cul et une queue dans le fion, le pied! — Parce que c’est moins bien quand c’est moi ou Liliane qui sommes à la place de Papa et que tu nous baises ? se moque Francine. — Un cul ou un vagin, c’est du pareil au même… euh… non, tu as raison je préfère la douceur de ta chatte. Mais ne soyez pas vexé cher Beau-père, j’apprécie votre cul à sa juste valeur ! Vous pouvez reprendre le rythme… Tout doux d’abord… Là !… Oui ! Le temps que… Mmh !… que tout le monde s’accorde… Tu suis ma chérie ?… Bon ! A… Accélérez Pierre… Pas trop… Mmh !… Là !… Mmh !… Nous ne sommes pas… pas pressés.
Pierre se dit qu’ils doivent former un drôle de tableau, Juliette couchée les cuisses écartées et les trois autres serrés les uns contre les autres. « ...Après le repas on s’encule en couronne / Enculons-nous c’est le plaisir des Dieux... » Ces vers d’une chanson grivoise, lointain souvenir de ses années d’étudiant, courent dans sa tête. Jamais il n’aurait imaginé l’illustrer par un tableau vivant !
Juliette gémit de plus en plus fort. Elle griffe son mari qui accentue ses pénétrations sans modifier la cadence. Elle a envie qu’il accélère et en même temps est heureuse qu’il n’en fasse rien. Elle comprend que ce rythme modéré est pour beaucoup dans les sensations qui la submergent. Elle tente de résister à la montée du plaisir voulant que tout le monde jouisse ensemble, mais ses efforts sont inutiles. L’orgasme la rattrape. Une onde de chaleur parcourt son corps depuis le bas ventre jusqu’à la tête et les orteils. — Arrrgghh ! — C’est bien… Maman… tu jouis… ça me fait… plaisir… Tu verras… Ce n’est pas… fini. Ça fait plaisir également à Pierre, fier d’avoir réussi là où il avait échoué au réveil. « Oui, ce n’est pas fini ! Je vais encore te faire jouir ! » décide-t-il. La montée de la semence dans la verge l’alerte. Saura-t-il se contrôler ? Il respire profondément essayant de se décontracter. Ce n’est pas facile quand une queue dilate délicieusement votre cul. — Aah ! Roméo, je jouis ! … Mmmh ! — Ouiii ! Le cri de Francine libère les deux hommes. La pression des jets de sperme dans le vagin déclenche chez Juliette un nouvel orgasme. — Arrrgghh ! Puis, c’est le relâchement après l’effort. Les respirations s’assagissent. La première Francine se dégage avec prudence. La verge de plastique ne débande pas elle ! Libéré Roméo s’écroule d’un coté et Pierre de l’autre. Juliette peut se relever. Elle se dirige vers le cabinet de toilette. — Excusez-moi Belle-Maman, mais pouvez-vous nous laisser y aller auparavant Francine et moi ? Les exigences du service, vous comprenez ? — Je vous en prie.
Restés seuls Juliette et Pierre se dévisagent. — J’ai envie de rentrer à la maison, dit-elle. — Moi aussi. L’activité sexuelle débordante depuis la veille leur pèse. Ils n’en ont plus l’habitude et aspirent à du repos. — Nous allons partir ton père et moi, annonce-t-elle quand le jeune couple sort en blouse de la salle de bain. — Vous ne restez pas pour le repas de midi ? regrette Roméo. — Non merci, nous avons fait suffisamment de folies ce week-end. Nos estomacs réclament le repos. « Et nos sexes aussi... » manque d’ajouter Pierre. — Bon, nous ne voulons pas vous retenir. Puis-je t’appeler Maman, si j’ai besoin d’aide ? Juliette regrette en cet instant la promesse faite sous le coup de la déception après la piètre performance de son mari au réveil. Il faut dire que depuis il s’est bien rattrapé, mais elle n’ose pas se dédire. — Euh… ou-oui. — Il se pourrait que nous ayons besoin de vous aussi Pierre, renchérit Roméo. Pouvons-nous compter sur vous ? — Euh… oui, répond-il sans réfléchir. — Alors à bientôt ? — A bientôt. Ils s’embrassent sur les joues sans gestes déplacés.
La porte refermée, Roméo entraîne Francine une main sur les hanches. — J’aime bien tes parents tu sais. — J’ai vu comment tu les aimes ! — Oui, ma chérie, je les trouve très intéressants. — Ouais ! Le cul de Papa en particulier ! réplique-t-elle d’un ton acerbe. Roméo fronce les sourcils. Il enlace sa femme et la regarde dans les yeux. — Serais-tu jalouse ? Elle détourne le regard. — Je vous empêcherai pas de faire l’amour la prochaine fois, si tu le désires. — Oh ! Comment tu peux me le proposer ! Un inceste ! — Tu es adulte maintenant. Cela n’a plus la même signification que si tu étais adolescente. — Il n’en est pas question, j’aime bien Papa, mais pas de cette façon là ! — Alors ? Qu’est-ce que tu me reproches ? — C’est moi qui me fais des reproches. Je n’aurais pas du vous laisser faire hier soir, j’ai eu honte pour Papa quand vous l’avez enculé, Robert et toi. — Euh… Je pense pas que ça l’ait traumatisé. J’en veux pour preuve le plaisir que nous avons tous éprouvé ce matin… Oui tous ! insiste-t-il devant le froncement de sourcil. Cesse de te faire du mauvais sang pour rien.
Francine se dégage des bras de Roméo et ouvre la porte de son cabinet. — Dis ? Qu’est-ce que t’as voulu insinuer en prétendant que nous aurions besoin de Papa ? — Euh… Notre personnel masculin accepte de mauvaise grâce de se faire enculer, et nous avons quelques patients à qui cela manque cruellement. Je ne peux pas tout le temps me dévouer. — Oh ! Et tu voudrais que Papa… — Uniquement s’il est d’accord rassure-toi ! — Tu es impossible ! Elle lui claque la porte au nez…
(A suivre)
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