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Un gendre attentionne

Chapitre 9

Hétéro
BÉNÉVOLAT
Roméo accueille ses beaux-parents. — Excusez Francine, c’est l’heure de sa tournée dans les chambres. Elle va bientôt nous rejoindre, ajoute-t-il après un coup d’œil sur sa montre. Je crois savoir, Belle-Maman qu’elle vous a concocté un petit programme pour cet après-midi car nous avons des défections parmi le personnel féminin. De votre coté Pierre, j’espère que vous accepterez de m’aider. — Euh… Qu’est-ce qu’il faudra faire ? Francine qui débouche du couloir évite à son mari de répondre devant Juliette. — Ah ! Vous êtes là ! Je suis bien contente. Viens avec moi Maman… — Hé là ma fille ! On n’embrasse plus son père ? — Mais si Papa ! dit-elle en se jetant au cou de Pierre en riant. Excuse-moi, mais nous sommes débordés aujourd’hui. Roméo t’expliquera ce que nous attendons de toi, moi je m’occupe de Maman… Tu viens ? lance-t-elle à celle-ci.
Pierre regarde sa femme et sa fille disparaître. — Hé bé ! On dirait qu’il y a le feu ! — C’est juste, approuve Roméo. Je sais pas ce qu’ont nos pensionnaires mâles depuis ce matin, ce n’est pourtant pas la pleine lune ! On dirait qu’ils se sont donné le mot. En plus une partie du personnel fait la grève des soins spéciaux. Ils réclament une augmentation de la prime attachée à ces prestations, augmentation que je ne peux à mon grand regret accorder pour l’instant sans mettre en danger l’équilibre financier. Dans quelques semaines, deux mois, trois au maximum, il me sera possible de les satisfaire mais pour le moment, nous devons Francine et moi, nous débrouiller avec les moyens du bord. Par chance les pensionnaires féminines sont calmes et les quelques membres de l’équipe soignante qui nous sont fidèles font face. Reste le problème des hommes. C’est la raison pour laquelle nous avons réclamé votre aide. Je vous remercie d’être venu, vous nous ôtez une sacrée épine du pied. — Euh… Que faut-il faire ? demande Pierre un peu perdu après la tirade de Roméo. Tout s’embrouille. Son gendre a parlé de quelques semaines, devront-ils aider le couple les week-ends prochains ? Puis, s’il devine en quoi consistera l’apport de Juliette, la séance avec Georges la journée des portes ouvertes étant suffisamment explicite, quel peut-être son rôle ? — Francine et Juliette s’occupent des pensionnaires qui ont des besoins… euh… qu’on peut qualifier de classiques, vous et moi on se charge des autres. — Oh ! Je devrais enculer des homos ? — Euh… Enculer, non, ça c’est mon job… C’est… euh… dans l’autre sens que je compte sur vous. — Quoi ? Me faire enculer ? Moi ? Pas question ! — Euh… J’avais cru comprendre… euh… L’autre jour… il me semblait que vous ne détestiez pas… Pierre soupire. Il se revoit recevant les hommages de son gendre et de… (« Comment s’appelle-t-il ? Ah ! Robert »)… un certain soir. Le plaisir, dispensé la veille par la queue d’Arthur, encore présent dans son cul l’empêche de s’enfuir comme sa raison lui commande. Roméo qui le sent fléchir insiste. — Vous nous rendriez un immense service. Je ne peux faire face à la demande à moi tout seul… Je vous en prie… — Bon… pour une fois… Présentez-moi ces homos qui veulent me trouer la rondelle! — Merci. Suivez-moi. — On ne va pas dans les salles spécialisées ? s’étonne-t-il en voyant Roméo s’engager dans un autre couloir.
— Non, nos épouses les occupent. Nous, nous opèreront dans les chambres…

Francine précède Juliette jusqu’à son bureau. — Déshabille-toi Maman et enfile cette blouse… Oui tout, insiste-t-elle quand sa mère fait mine de conserver son soutien-gorge et le slip. Juliette rougit, gênée de s’exhiber nue devant sa fille, puis elle ricane intérieurement, ce n’est pas la première fois, déjà lors de la soirée avec les amis du couple, puis le lendemain… Elle ôte ses sous-vêtements avant de prendre la blouse des mains de Francine. — Nous allons dans les salles spécialisées que tu connais. Je t’aide au début pour ton premier patient mais ensuite, tu te débrouilleras seule. — Je… je saurais pas faire… reste avec moi s’il te plait… — Impossible, je serai occupée dans la salle voisine. Allons Maman, un peu de courage. Souviens-toi comment tu t’étais comportée avec Georges, ce sera pareil. D’ailleurs ce sera lui ton second client, tu seras en pays de connaissance.
Francine ouvre la porte de la salle A. Elle donne un ordre par le téléphone mural et se retourne vers sa mère. — Je t’explique. Tout d’abord tu devras enfiler une capote sur le sexe, elles sont dans la table de chevet. Tu monteras sur le lit à quatre pattes… — Comme avec Georges ? — Oui, c’est la position que nous préconisons. Quand il a fini, tu ôtes le préservatif et tu lui nettoies la queue, puis tu attends qu’on vienne le chercher… Ah voici ton premier client ! Un septuagénaire très digne est poussé dans la salle. — Ah ! Madame Francine, c’est vous qui me recevez ? Quel plaisir de vous revoir. Je n’en espérais pas tant après les allées et venues de ce matin. Oh ! Je vois que vous êtes accompagnée. Je manque à tous mes devoirs, pouvez-vous me présenter à cette charmante dame ? — Tout de suite. Mam… euh… Madame, permettez-moi de vous présenter, Anselme, Vicomte de… euh… Excusez-moi mon cher, j’oublie toujours le nom de votre douaire. — Aucune importance chère amie, aucune. Le dénommé Anselme s’incline sur la main que lui tend Juliette et la porte à ses lèvres pour un baisemain dans la plus pure tradition de la galanterie française. — Enchanté de faire votre connaissance, madame… euh ? — Madame tout court ! interrompt Francine avant que Juliette ne dévoile son prénom. Je ne peux malheureusement rester plus longtemps parmi vous, les devoirs de ma charge… — Euh… Vous me renvoyez ? demande-t-il déçu. — Pas du tout ! Madame est là pour me remplacer et vous donnera entière satisfaction. — Ah ! Vous me rassurez ! J’ai cru un instant… — Vous savez bien cher Vicomte, nous ne vous laisserons jamais tomber. Comme madame est nouvelle parmi nous, je compte sur vous pour la traiter avec le plus profond respect. — Vous me vexeriez si vous imaginiez qu’il puisse en être autrement. Madame n’aura pas motif de se plaindre de moi, je vous assure. — Je vous en remercie. Me permettez-vous cher Vicomte de dire un mot en particulier à Madame avant de vous quitter ? — Je vous en prie. Francine prend sa mère à part. — Est-ce que je peux te laisser ? — Euh… Je crois, il n’a pas l’air méchant. Dis, c’est un vrai noble ? — Pas du tout ! Mais ça le flatte de nous le faire croire.
Anselme perd un peu de son assurance lorsque la porte se referme sur Francine. Juliette le devine intimidé. — Comme ma fi… Madame Francine vous l’a dit, je suis nouvelle ici et pas bien au fait des us et coutumes de cet établissement. Que me faut-il faire ? — Euh… Vous pourriez vous installer sur le lit à quatre pattes. — N’y a-t-il pas quelque chose à faire auparavant ? interroge-t-elle en sortant un préservatif du tiroir de la table de chevet. — Je vous demande pardon, j’oubliais, s’excuse-t-il en soulevant sa blouse bleue et dévoilant un sexe à moitié gonflé… Aah ! soupire-t-il quand Juliette le prend en main. Elle le manchonne doucement. Cela l’amuse de le sentir raidir entre ses doigts. — Mmh !… Vous… Mmh !… vous faites ça bien… Aaah ! Quand Juliette estime atteindre la rigidité nécessaire, elle déchire la protection de la capote et l’enfile sur la hampe qui hoquète, frémissante. Elle a peur un instant, que l’émotion soit trop forte et que le bonhomme éjacule dans sa main. Non, il se calme.
— Je monte sur le lit maintenant ? — Euh… oui, oui ! — Comme ça ? interroge-t-elle en relevant la blouse sur les hanches. — Ooh !… Vous… Vous êtes belle ! — C’est gentil ce que vous dites là… Prouvez le-moi ! Anselme grimpe à son tour sur le lit. Un bruit de tissu qu’on retire… — Monsieur le Vicomte ! les surprend une voix masculine par haut-parleur. Vous savez bien que c’est interdit ! Veuillez remettre votre blouse s’il vous plait! — Je… je m’excuse. Juliette se retourne, l’homme est nu, le sexe fléchissant. — Rhabillez-vous vite, je m’occupe de rétablir la situation. Elle caresse le latex du bout des doigts. Pas d’effet… Juliette insiste, sans succès. Elle ne va pas rester sur un échec ! Elle ôte la capote et prend le sexe mou en bouche. — Aaah ! Le résultat est immédiat. Elle s’empresse de recouvrir la hampe raide d’un nouveau préservatif.
— Je crois que nous pouvons y aller, déclare-t-elle en se remettant en position. — Je… je vous remercie. Il introduit la verge entre les cuisses. Juliette comprend qu’elle doit la guider. Une fois en place, Monsieur le Vicomte ne s’embarrasse pas de finesse. C’est à la hussarde qu’il compte faire l’amour ! Il s’enfonce d’un puissant coup de rein et entame tout de suite les vas et viens. Une chance, soupire-t-elle, que la préparation ait été excitante, la courte sucette en particulier, sinon sa pauvre chatte aurait souffert ! Elle résiste du mieux qu’elle peut à la violence de l’assaut. Elle aimerait pouvoir se caresser en même temps, mais cela est impossible, elle a besoin de ses deux mains pour conserver l’équilibre. — Aah !… Aaah !… Aaaah !… Aaarrgghh ! Anselme s’écroule sur son dos. Juliette se dégage. Se rappelant les instructions de sa fille, elle prend une lavette et une serviette dans le cabinet de toilette et entreprend de nettoyer son patient.
La fraîcheur de l’eau le ranime. — Aah ! Merci… merci beaucoup. — Ai-je été à la hauteur, cher Vicomte ? — Vous avez été parfaite… Si, si ! Vous pensez rester parmi nous ? Je me charge de votre publicité. « Mon Dieu, surtout pas ! » s’affole Juliette. — N’en faites rien, je vous en prie !… Ce… Ce sera notre secret. — Ah ! Vous avez raison. Je n’en parlerai à personne, vous pouvez compter sur moi. La porte de la salle s’ouvre. Une accorte infirmière en blouse blanche s’avance et prend Anselme par le bras. Il résiste. — Allons, allons, monsieur le Vicomte, il est temps de rejoindre votre chambre… Je reviens dans un instant, ajoute-t-elle à l’adresse de Juliette. Celle-ci comprend qu’elle doit patienter dans la salle. Elle sourit quand, au moment de franchir la porte, l’homme pose une main conquérante sur le fessier de la jeune femme qui réagit : — Voyons, monsieur le Vicomte, un peu de tenue. Un tel geste en public ne sied pas à votre rang. Anselme, avec un soupir, retire la main et pose le bras sur l’épaule de sa guide.
Au bout de quelques minutes, l’infirmière revient avec Georges. Celui-ci est ravi de revoir Juliette. — Oh ! C’est vous Madame ? J’ai beaucoup pensé à vous ces dernières semaines. — J’en suis flattée. Comment allez-vous Georges ? — Très bien, je vous remercie. — Nous pouvons commencer alors ? — Si vous voulez. Georges s’assied sur le lit. Juliette prend un préservatif dans la réserve et s’installe entre les genoux écartés. Elle soulève la blouse bleue. Le sexe gît sur la cuisse, ratatiné. — Voyons, Georges, vous n’êtes pas raisonnable. Comment puis-je croire que vous êtes heureux de ma visite ?… Ah ! J’aime mieux ça ! Sous ses doigts experts, la verge grossit et commence à se relever. — Oui !… Bien !… Encore un peu… vous êtes un bon garçon obéissant… Là… je pense que ça suffit. C’est bien, vous méritez une petite récompense. Juliette se penche et enfourne le gland, juste le temps de sucer le bout. — Aaah ! Elle déchire l’enveloppe du préservatif. — Je l’habille… là… Nous pouvons commencer.
Elle grimpe sur le lit et découvre ses fesses. — Qu’attendez-vous Georges ? Il se positionne derrière elle, tenant sa queue d’une main et fouillant entre les cuisses de l’autre. Cette fois, il n’a pas besoin d’aide pour découvrir le bon orifice et s’enfonce dans le vagin encore trempé par l’étreinte précédente. — Aaah ! Juliette retrouve le rythme étrange imposé par le bonhomme : en avant, repos, en arrière, repos etc. Le souvenir de la première fois et de la jouissance intense éprouvée balaie sa volonté de rester maîtresse d’elle-même. Elle ne peut s’empêcher de soupirer en proie à une émotion grandissante. En cachette de son partenaire, elle glisse la main sous le ventre pour gratouiller le bouton de chair sensible qui gonfle sous l’excitation. Pour éviter de gémir, elle mord le coussin sur lequel repose sa tête. Elle accompagne du bassin les coups de rein sans perturber son pourfendeur. Une onde de plaisir parcourt son corps… Une autre ! Georges poursuit sa chevauchée, indifférent aux mouvements de Juliette. Il maintient un rythme égal, apparemment infatigable. Oh ! Une nouvelle secousse ! Cela va-t-il durer ? Non ! Tout à coup, Georges gémit, accélère, puis s’effondre dans un râle sourd.
Juliette met de nombreuses secondes à s’en remettre. Son client s’agite sur son dos. Elle doit le nettoyer, vite ! Elle le bouscule, fonce à la salle de bain prendre la lavette et une serviette propre et revient au moment où l’homme se lève du lit. — Une seconde mon cher Georges. Elle soulève la blouse et débarrasse le sexe de son enveloppe de latex et nettoie le sperme. — Voilà ! Voilà ! Voilà ! — Vous reviendrez ? interroge-t-il. — Euh… je ne sais pas… peut-être. Assis cote à cote, ils ne savent que dire. L’entrée de Francine et de l’infirmière fait diversion. Georges les quitte au bras de son accompagnatrice.
— Alors Maman, ça va ? Pas trop fatiguée ? Tu sais, tu devrais te retenir, il n’est pas bon de s’impliquer avec les malades. — Pourquoi tu dis ça ? Tu me reproches d’avoir joui ? Je l’ai pas fait exprès. C’est venu comme ça. — Si tu veux, on en reste là pour aujourd’hui. — Parce qu’il y en a d’autres ? — J’avais pensé que tu pourrais m’aider pour encore deux pensionnaires, mais si tu te sens pas d’attaque… — Je suis un peu fatiguée d’accord, mais pas au point de te laisser tomber. Amène-moi tes deux zigotos… euh… Pas en même temps, s’il te plait. — D’accord, l’un après l’autre, déclare Francine en riant. — Accorde-moi quelques minutes, le temps de prendre une petite douche pour me revigorer. — Avertis la salle de contrôle quand tu seras prête, dit sa fille en désignant le téléphone mural. Je te quitte, j’ai un patient qui attend dans l’autre salle…
(A suivre)
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