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Un gendre attentionne

Chapitre 12

Avec plusieurs femmes
RÉCOMPENSE (SUITE)
Francine toque à la porte avant d’entrer dans la chambre de ses parents le lendemain matin. Elle se penche sur sa mère. — Maman ? S’il te plait, tu peux venir ? murmure-t-elle. Tu peux m’accompagner dans le couloir ? J’ai à te parler et je voudrais pas réveiller Papa. Juliette intriguée enfile une robe de chambre et suit sa fille. Au moment de passer la porte elle regarde son mari qui change de position dans le lit. Ça va, il dort toujours. Elle referme derrière elle. — Qu’est-ce qu’il y a ? demande-t-elle. — C’est Roméo… Il dit que Papa n’a pas eu sa récompense. — Oh ! Il a fait deux fois l’amour avec moi hier soir, C’est pas une récompense ça ? — Il parlait d’une récompense plus personnelle… Euh… Tu sais que nous utilisons nos filles de salle pas seulement pour faire le ménage et… euh… Il suggère qu’une d’entre elles vienne le réveiller. — Et s’offre en guise de cadeau ?… Ma foi ! Pourquoi pas ? Il le mérite. Tu sais qu’il a rompu avec sa secrétaire ? — Non, je savais pas. Alors tu es d’accord ?… Viens, je te présente Sophie. — Oui, allons encourager cette vierge promise au sacrifice. — Vierge ?… euh… — C’est façon de parler !…
Pierre dans une demi-conscience a perçu les mouvements dans le lit et senti que sa femme se levait. Où va-t-elle ? Pourquoi se lève-t-elle si tôt ? Il est trop bien dans les draps pour faire l’effort d’ouvrir un œil. Le calme revenu il sombre à nouveau dans le sommeil… Il se réveille brusquement avec la sensation qu’on l’observe. Il n’a pas rêvé ! Une jeune fille, un plateau chargé du petit déjeuné en main l’observe. Elle est vêtue de la blouse blanche du personnel de l’institution. Serait-elle nue dessous ? Il s’assied dans le lit, prenant soin de cacher son bas ventre qui prend du volume. Ne s’est-elle pas trompée de chambre ? — Que désirez-vous mademoiselle ? Je ne suis pas un pensionnaire de cet établissement, vous savez. — Euh… Je sais monsieur… euh… C’est monsieur Roméo, le directeur qui m’a demandé de venir vous apporter le petit déjeuner. Il m’a dit… euh… — Que vous a-t-il ordonné ? Parlez mon enfant. — Il m’a dit de me comporter comme avec les malades… euh… les vrais. — Ah ! Il a dit ça ? Très bien, très bien, très bien… Posez votre plateau… Oui, là, sur la table… Bien… Venez vous asseoir ici, dit-il en tapotant les couvertures à coté de lui. Elle obéit, genoux serrés, yeux baissés. « Elle doit tout juste être majeure » pense-t-il en contemplant le visage lisse sans plis aux paupières ni rides, « enfin j’espère ». Il se rassure, son gendre ne prendrait pas le risque d’embaucher une mineure dans son établissement.
— Que font-ils les malades, mademoiselle… euh… Sophie ? lit-il sur le badge qui orne la blouse. Vous voulez bien que je vous appelle Sophie ?
— Oui monsieur, Sophie tout court, pas mademoiselle. C’est comme ça qu’on dit. — Eh bien Sophie, que me faut-il faire pour me comporter comme les autres ? — Ben monsieur… — Je m’appelle Pierre, Pierre tout court, pas Monsieur. — Ben Mons… euh… Pierre, ça dépend. Y en a qui caressent mes jambes… — Comme ça ? interroge-t-il en glissant la main sous le tissu blanc, sur la peau satinée de la cuisse. — Oui… Aaah ! gémit-elle lorsque Pierre mêle ses doigts aux poils du pubis, vérifiant ainsi que la jeune fille est nue sous son vêtement de travail comme il s’en doutait. — C’est tout ? — No… Aah ! Non. Y en a qui soulèvent ma blouse… Oui, comme ça, indique-t-elle quand Pierre remonte l’ourlet au-dessus de l’aine découvrant le triangle de poils. — S’il vous plait, pouvez-vous soulever les fesses ? — Attendez ! Sophie se met sur ses jambes, fait passer la blouse par-dessus la tête et revient s’asseoir sur le lit. — Oh ! Merci Sophie !
Pierre retourne à son exploration digitale du sexe. Les seins, petits et hauts placés attirent sa main libre. Il s’amuse à triturer le tétin entre le pouce et l’index. — Oh !… Ah !… Aaah ! gémit-elle quand Pierre reproduit sur le clitoris la caresse sur le téton. — Ils vous caressent ainsi les malades ? — Ssssh !… no-non… Oooh !… Aaarrgghh ! Un violent tremblement l’ébranle. Privilège de la jeunesse de partir ainsi au quart de tour, pense-t-il avec un peu de mélancolie, quelle chance ils ont ces jeunes… Il se secoue. Il est fier de l’avoir fait jouir, mais cela ne suffit pas. Son gendre plein de prévenance lui offre ce tendron, autant en profiter jusqu’au bout !
La jeune fille récupère vite. — Oh ! Vous alors ! — Ils ne vous caressent pas les pensionnaires dont vous avez la charge ? — No- non… Euh… Si, corrige-t-elle, mais pas si bien. — Vous savez ce que vous feriez, Sophie si vous vouliez me faire plaisir ? — Oh oui ! Dites-moi ce que je dois faire, mons… Pierre. — Allongez-vous sur le lit. Pierre sort des draps pour laisser de la place. — Oh ! s’écrie-t-elle en apercevant la verge droite. Elle veut la prendre en main. Il se dérobe. — Tout à l’heure… Je vous promets, ajoute-t-il devant sa moue de déception… Allongez-vous… oui… laissez-moi faire. Il parcourt la figure de petits baisers évitant avec soin les lèvres que la jeune fille tend vers sa bouche. Le cou, les épaules, le haut de la poitrine, les tétons, reçoivent la visite de ses lèvres. — Aah ! Elle veut appliquer la figure de Pierre contre ses seins. — Laissez-moi faire, commande-t-il. Il s’installe entre ses cuisses, embrasse l’estomac, insinue sa langue dans le nombril. — Hii ! Vous me chatouillez !… Aaah ! gémit-elle quand des doigts écartent les poils pubiens et qu’une bouche s’applique sur son sexe… Oooh !… Aaah !… Ouiii ! Sophie se tord sur le lit. Elle agrippe le drap qu’elle froisse entre ses doigts. « Une de plus ! » se félicite Pierre. Oui, une de plus qu’il amène à la jouissance par ses caresses buccales. Il est fier de son pouvoir, d’être capable d’emmener au septième ciel une toute jeune fille, lui qui approche de la soixantaine. Il suce le clitoris, lèche les lèvres rougies par l’excitation, recueille à la source la rosée du plaisir, explorent les deux orifices. Sophie roule la tête de part et d’autre, ne sachant comment extérioriser son bonheur. Un gémissement continu s’échappe de ses lèvres serrées. Tout à coup, elle se raidit, s’arque boute, ne touche le lit que de la nuque et des talons, reste quelques secondes en l’air, puis retombe sur le drap.
Elle desserre les cuisses, libérant Pierre ravi. Elle met plusieurs minutes à retrouver une respiration normale, les yeux clos. Il s’étend à ses cotés et la contemple. Qu’elle est belle ! Et si jeune ! Il faut qu’il lui fasse l’amour ! Il la frôle de la main sans s’attarder à un coin particulier. Elle ouvre les paupières. — Que… qu’est-ce qui m’est arrivée ? — Vous avez eu un très bel orgasme. — Mais non ! Je connais, il faut baiser pour ça et c’est moins bon ! — Je vous remercie, mais je vous assure, vous avez éprouvé un orgasme. — Vous croyez que je pourrais en avoir d’autre comme ça ? — Je l’espère pour vous. Sophie reste un instant immobile, songeuse. — J’en reviens pas… Qu’est-ce que je peux faire pour vous remercier ?… Ah ! Je sais ! Elle s’agenouille d’un bond. — Couchez-vous ! A votre tour ! Il obéit en souriant. Elle se couche sur lui. Il frémit au contact de la peau douce. Elle glisse peu à peu, découvrant la poitrine, le ventre, le sexe dont une bouche avide s’empare. — Aaah ! Elle sait y faire, songe-t-il, elle a de quoi s’entraîner avec les pensionnaires ordinaires de l’établissement. Il ferme les yeux, attentif à récolter les multiples sensations que la langue experte fait naître. Il va succomber mais se ressaisit. Non, ce n’est pas dans sa bouche qu’il veut terminer ! Non, pas avec une aussi belle fille !
Il l’attire à lui. — Ce ne sont pas tes lèvres que je veux aimer, répond-il à l’interrogation muette des yeux étonnés. — D’accord ! Elle se place à califourchon sur son bassin et empoigne la verge tendue à l’extrême. Elle hésite au moment de la ficher dans son vagin. — Euh… Il faudrait pas que j’y mette un préservatif comme pour les autres ? — Je ne suis pas un malade moi, affirme Pierre peu désireux de jouir de Sophie par capote interposée. — Vous avez raison… Aaah ! Double cri de satisfaction. Sophie se démène sur la queue qui la transperce. — C’est… comme ça… que tu veux… m’aimer… j’aime bien… oui… encore… plus fort… Aah !… ouiii ! Pierre sourit, Sophie fait les demandes et les réponses. C’est elle qui mène la danse. Il caresse ses flancs remonte vers la poitrine qu’il soutient de ses mains en coupole. — Ouiii ! La porte s’entrouvre. Pierre voit la figure de Juliette passer par l’entrebâillement. Elle lui sourit. D’un signe de tête, il lui demande de le rejoindre. — Une minute, j’arrive, répond-elle avant de disparaître. — Qui… Aah !… qui c’était ? interroge Sophie. — Ce n’est rien… Aah !… continue. Un peu fatiguée, la jeune fille suspend un instant sa danse. Il en profite pour la prendre à bras le corps et la retourner sans se désunir.
Il la domine maintenant, plongeant son regard dans les grands yeux qui le fixent. A son tour de la combler ! Il réduit la cadence, il n’a pas la vitalité de la jeunesse, mais a la satisfaction de la sentir vibrer lorsqu’il la pénètre à fond. — Ne bouge pas mon chéri. C’est Juliette qui se place dans son dos. Il ne l’a pas entendu entrer. Que fait-elle ? Oh ! Elle a emprunté le double godemiché ! — Oh ! Ouiii ! Cette nouvelle sollicitation dans son cul lui redonne des forces. Il amplifie ses coups de reins, alternant les profondes pénétrations avec des va-et-vient plus rapides. Juliette suit comme elle peut. Le rythme imposé par son mari rend encore plus efficace le déclenchement des ressorts interne de l’appareil. Elle sent qu’elle ne va pas résister longtemps… Ni Sophie d’ailleurs juge-t-elle au changement de diapason des gémissements. La jeune fille martyrise ses flancs de ses talons. Elle voudrait nouer ses jambes autour des reins de son, non, ses cavaliers, mais ne peut à cause de Juliette. — Aah !… Oui !… Ouiii !… Aaah !… Noon !… Ouiii !… Aaah !… Meuhhh ! Sophie ne sait plus où elle en est. Ah ! Ce ne sont pas ses patients habituels qui la font jouir ainsi, ni les petits copains du samedi soir trop pressés de tirer leur coup. Son enthousiasme est contagieux et entraîne Juliette. Celle-ci, au bord de l’orgasme, n’a plus la force de bouger. Elle laisse Pierre faire tout le travail, s’enfoncer dans Sophie et reculer sur le sexe artificiel qui rentre dans son cul. Le jeu des ressorts est suffisant pour la transporter au septième ciel pendant que la jeune fille de salle bêle son plaisir.
Un sentiment de triomphe gonfle la poitrine de Pierre : Il vient de faire jouir deux femmes en même temps ! Et pas n’importe lesquelles ! Son épouse et une jeunette à peine sortie de l’enfance ! Il arrête ses mouvements de bassin pour souffler un peu. Derrière lui, Juliette anesthésiée par l’orgasme se décroche. Il se retourne et sourit de voir la queue de plastique darder avec indécence. Il la compare avec la sienne, plus longue d’accord mais moins grosse. Il se rend compte tout à coup qu’il n’a pas encore perdu sa raideur, ni lâché son sperme. Comment cela se fait-il ? Lui qui craignait l’éjaculation précoce il n’y a pas si longtemps ! Il caresse la verge d’une main distraite. Non ! Il ne va pas se masturber !
Sous lui, Sophie reste inerte, le souffle court, les yeux clos, la bouche ouverte. Elle sera incapable de participer à une nouvelle joute. Reste Juliette. Il se détache de la jeune fille et entreprend de débarrasser sa femme de l’encombrant appendice. Elle lui sourit, lui tend les bras et l’attire en elle. Ils ne se pressent pas. Les lentes pénétrations qu’ils s’imposent leur laissent le loisir de savourer la montée du plaisir. Rien n’existe que leur bonheur. Ils perçoivent vaguement que Francine entraîne Sophie en dehors de la chambre. Ils n’ont plus besoin de la jeune fille, leur jouissance est égoïste, ils ne sont qu’eux deux à la partager…
(A suivre)
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