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Un gendre attentionné

Chapitre 13

Avec plusieurs femmes
CONVOCATION BIENVENUE
Pierre et Juliette ont repris le cours normal de leur existence. Normal ? Elle leur paraît bien vide maintenant. Chacun regrette en secret les moments passés dans l’institution, mais n’ose en parler au conjoint. Leur vie sexuelle s’enfonce dans la routine jusqu’au soir où Pierre, peut-être fatigué après une réunion éprouvante au bureau, s’effondre à peine introduit, laissant Juliette en plan. — Oh ma chérie ! Excuse-moi. J’ai pas pu me retenir… — C’est pas grave. Tu as eu une rude journée. — Si c’est grave… Tu sais… J’ai de plus en plus de difficulté à résister… J’ai peur de redevenir comme avant… et je n’ai plus envie de prendre une secrétaire plus jeune tu sais… L’allusion à la remarque de Juliette qui se félicitait que Lulu, son ex-secrétaire, lui ait fait l’amour avant elle, est claire. — Mon pauvre chou, sourit-elle. Ne te fais pas de mauvais sang, je suis sûre que ça passera. — J’ai l’impression qu’il me manque quelque chose que je suis incapable de définir. — Ah toi aussi ?… Qu’est-ce qui nous arrive ? C’est vrai, il y a comme un vide dans mon existence depuis… Elle laisse sa phrase en plan. Il sourit, heureux de constater qu’il n’est pas seul à regretter. — Depuis que Roméo ne fait plus appel à nous… C’est bien ce que tu voulais dire, n’est-ce pas ? — Tu m’en veux pas mon chéri ? — Je suis dans le même état d’esprit. Ils se serrent l’un contre l’autre, puisant dans le contact un regain de force.
— Oui, poursuit-il, j’avoue. J’avoue que les week-ends à l’institution me manquent. — NOUS manquent, complète-t-elle. Oh mon chéri ! Qu’allons-nous faire ? — Je suis sûr que nous découvrirons la solution, dit-il en chatouillant les tétons qui se fripent. Nous avons diagnostiqué le mal, c’est un bon début. — Il ne reste plus qu’à trouver le remède, c’est ça que tu veux dire ? Tu penses au club échangiste ? — Pas du tout, mon opinion n’a pas changé à son sujet. Non, tu pourrais parler à ta fille… — Pourquoi pas toi ? C’est la tienne aussi. — Ça sera plus facile pour toi d’aborder ce sujet avec elle. — Tu voudrais qu’on s’impose les week-ends ? Nous risquons de perturber les relations avec le personnel. Tu te souviens combien certains nous faisaient la gueule et ne voyaient pas notre intervention d’un bon œil. — Quelle autre solution proposes-tu ?
— Je… je sais pas… Non, elle n’en trouve pas d’autre. Elle non plus n’a pas envie de retenter l’expérience du club échangiste. Une fois ça suffit ! Quant à prendre un amant? Non merci ! Pierre a raison, c’est en offrant leur service dans l’établissement géré par son gendre et sa fille qu’ils avaient trouvé l’équilibre. Il faut qu’elle y retourne… qu’ils y retournent, c’est vital pour leur couple. — Embrasse-moi !… Oh ! Tu as encore envie de moi ?… La perspective de revenir à l’institution ? — Peut-être… Ça te gêne ? — Oh non !…
— T’as téléphoné à Francine ? lui demande-t-il le lendemain. — Euh… pas encore. — Qu’est-ce que t’attends ? — Non, pas aujourd’hui… demain, je te promets… Je t’assure. — Si tu as peur, je peux… La sonnerie du téléphone interrompt Pierre. — Allô !… Oh ! Bonsoir Roméo, comment allez-vous ?… Justement nous pensions à vous Juliette et moi… Ah ?… Vous voudriez nous parler ?… Des choses importantes?… Bon, nous passons samedi après-midi… Ah ! Le matin alors ?… Bon, d’accord, nous arriverons pour mettre les pieds sous la table… A samedi mon cher gendre, embrassez Francine de notre part… T’as entendu ? dit-il en reposant le combiné. — Ils nous invitent samedi pour le repas, c’est ça ? Pourquoi ? — Ils ont à nous entretenir de choses importantes d’après ce que j’ai compris. — Quoi ? — Aucune idée. Roméo n’a pas voulu m’en dire plus au téléphone. — Il ne nous reste plus qu’à attendre samedi… Euh… Dis… Tu crois pas que… Ils vont nous demander…— Oh ! Tu penses à ce que je pense ?… Non, ce serait trop beau. Sûrement de nouveaux plans d’investissements. Juliette reste songeuse. Elle imagine que les pensionnaires enchantés de leur service les réclament. Un gros soupir… Il ne faut pas rêver… Une bonne chose cette invitation, elle n’aura pas à téléphoner à sa fille.
Le samedi, un peu avant midi, Pierre et sa femme aussi fébriles l’un que l’autre, ouvrent la porte de l’institution. Ils ont peur d’être déçu car ils nourrissent tous deux le secret espoir d’être convoqué pour la reprise des ‘corvées sexuelles’. Ils ont du mal à dissimuler leur impatience mais doivent attendre la fin du repas que Roméo consente à les éclairer. — Nous avons à résoudre un grave problème, commence leur gendre. Je sais pas ce que vous avez fait à nos pensionnaires, mais plusieurs refusent maintenant les services que nous leur proposons. — Ah ! — Certains vont jusqu’à menacer de quitter l’établissement, ce qui occasionnerait une perte importante. Pierre et Juliette se regardent plein d’espoir. — Et que venons-nous faire là dedans ? interroge-t-il. Nous devons contribuer financièrement pour compenser ? — Pas du tout ! Euh… Nous en avons discuté longuement et nous n’avons trouvé qu’une seule solution à notre problème. Roméo marque une pause. Il se tourne vers Francine pour réclamer de l’aide. — Oui, enchaîne celle-ci, ça m’embête de vous le demander… Est-ce que vous pourriez… si cela ne vous gêne pas bien entendu… euh… — C’est si difficile à formuler ? Vous nous inquiétez. — Oh ! Rien de grave, les rassure Roméo, juste venir de temps en temps nous aider, le week-end par exemple. Oh ! Le regard de triomphe qu’échangent Pierre et Juliette ! Un peu tremblant, (une déception en cet instant serait terrible) il insiste pour obtenir plus de précision : — Euh… Vous aider ? Comme nous l’avions fait lors de vos démêlés avec le personnel ?… Celui-ci est au courant ? — Oui. Même que ce sont leurs délégués qui nous ont fait la proposition. — Qu’en penses-tu ma chérie ? Le couple a du mal à cacher sa joie. Pour la façade, Pierre pousse un gros soupir. — Bon nous acceptons… Mais c’est bien pour vous faire plaisir. « Oh ! L’hypocrite ! » sourit Juliette qui enchaîne : — Nous tenons autant que vous au succès de votre établissement. Francine regarde ses parents d’un œil critique. Elle pensait qu’ils hésiteraient. Prendraient-ils goût à leur rôle ? On dirait car la nouvelle demande les perturbe moins qu’elle craignait, tant mieux ! — Euh… Maman, Papa… Est-ce qu’il vous serait possible de commencer dès cet après-midi ? — Puisque nous sommes sur place, autant en profiter… — Vous pouvez pas savoir comme nous sommes contents, affirme Roméo. Comment vous remercier ? Juliette étouffe un petit rire. — Comment elle s’appelle, demande-t-elle, la petite aide soignante qui est venue rendre visite à Pierre la dernière fois ? — La dernière fois ? Ah oui ! Sophie. Vous souhaiteriez passer la nuit ici et qu’elle vienne réveiller Pierre demain matin ? Juliette fait signe qu’elle aussi voudra participer. — Ah ! Tous les deux ? Pas de problème. Chérie ! Contrôle s’il te plait si elle est de service. Francine décroche le téléphone mural. Roméo sourit à ses beaux-parents. — Je sais pas ce que vous lui avez fait, mais elle ne parle que de vous. — Sophie est de garde ce dimanche, annonce Francine. — Très bien, je vous promets de vous l’envoyer. — Euh… merci, mais il nous faut d’abord mériter notre récompense, déclare Pierre d’un ton docte. Conduisez-nous auprès des pensionnaires qui nous réclament. — Allons dans le bureau de Francine vous mettre en tenue, invite Roméo… Au moment de se séparer à la porte des chambres spéciales, Pierre se penche à l’oreille de Juliette. — Dis tout à l’heure… Quand ta chatte sera fatiguée… On se retrouvera pour notre caresse ? — Oh oui ! Ça aussi ça me manquait !
— Aah ! Quelle joie de vous revoir chère madame ! déclare Anselme qui accueille Juliette par un baisemain dans la salle spéciale A. Quand je pense à ce que j’ai du batailler pour obtenir votre retour ! J’ai crains un moment que le petit personnel jaloux de votre succès me prive définitivement du plaisir de votre présence. — Il n’en est rien mon cher vicomte, me voici de retour. Me permettez-vous de vous examiner ? Elle soulève la blouse bleue. — Oh ! Oui ! Je constate combien vous étiez impatient de me voir. On peut dire que vous savez parler aux dames vous ! sourit-elle en habillant la verge frémissante…
Dans l’autre salle, Pierre reçoit Étienne. — Bonjour Étienne, comment allez-vous depuis que nous nous sommes vus ? — Pas bien, pas bien du tout. — Ah bon ! Qu’est-ce qu’il y a ? Vous avez été malade ? — Oui, malade de ne pas vous voir. Figurez-vous que personne parmi le personnel soignant n’a été capable de me caresser comme vous, comme si un cul était la seule chose qui puisse me faire plaisir. J’ai du menacer pour qu’ils acceptent de vous faire revenir. - Allons, allons, calmez-vous, je suis là. Vous n’avez plus de soucis à vous faire… Asseyez-vous sur le lit… Là… Écartez les genoux… Bien… Laissez-moi soulever votre blouse… Ah ! Oui ! Vous avez besoin de moi ! Pierre se penche sur le sexe développé et l’introduit entre ses lèvres…

Juliette ouvre les yeux. Qu’est-ce qui l’a réveillé ? Du bruit dans le couloir? Elle tend l’oreille, rien. Non, ce n’est pas encore Sophie. Elle se tourne vers son mari. Pierre dort sur le dos à poings fermés. Une bosse soulève la couverture à l’emplacement du sexe. Juliette sourit : son époux retrouve ses réveils triomphants, c’est de bons augures. Elle glisse la main sous les draps puis se rétracte. Ce n’est pas une bonne idée, il aura besoin de toute son énergie pour les satisfaire, elle et la petite aide-soignante. Juliette est fébrile. Une femme, non, une toute jeune fille va la caresser. Il y a une éternité que cela ne lui était pas arrivé… Cela remonte à ses années de fac… avant son mariage avec Pierre. Elle y pense depuis que Francine lui a révélé que Sophie était appréciée par les pensionnaires des deux sexes. Aussi quand Roméo a parlé de récompense, elle a sauté sur l’occasion. Maintenant, au pied du mur, elle a peur. Oh ! Elle sait qu’elle aimera si la jeune fille est aussi douée que le prétend sa réputation, mais elle ? Saura-t-elle lui rendre la pareille ?
Un grattement à la porte : — Entrez ! — Quoi ? Qu’est-ce qui arrive ? sursaute Pierre… Aah ! C’est vous ! Entrez chère enfant ! sourit-il en voyant Sophie s’avancer timidement avec son plateau. — Déposez le petit déjeuner sur la table, invite Juliette, et venez nous rejoindre. Elle ouvre les draps sur son corps nu. — Euh… Vous voulez que j’aille avec vous dans le lit ? — Oui, vous avez bien compris. Cela vous gêne-t-il ? — Euh… non. — Alors, quittez votre blouse vous serez plus à votre aise. Après une seconde d’hésitation, (c’est la première fois qu’elle ‘opère’ avec un couple) elle soulève son vêtement par-dessus la tête.
« Quelle est belle cette fille ! » admire Juliette. Ni trop grosse ni trop maigre, les bonnes rondeurs là où il faut, une invitation aux caresses ! Lors de leur dernière rencontre, dans le feu de l’action, elle n’avait pas remarqué sa beauté. Cela l’étonnerait que toutes les filles de salles soit du même acabit. Sûrement une délicate attention de Roméo... « Il est parfait mon gendre», s’amuse-t-elle. Un coup d’œil à Pierre qui sourit de toutes ses dents au spectacle. — Installez-vous entre nous... N’ayez pas peur, encourage-t-elle. Sophie grimpe dans le lit et s’allonge sur le dos. Juliette recouvre leurs corps du drap. Elle devine au tremblement qui parcourt la jeune fille que celle-ci est intimidée. — Vous venez souvent apporter le petit déjeuner aux pensionnaires ? — Euh… Oui, ça fait partie de mon travail. — Ils sont gentils les pensionnaires ? — Oui, la plupart. — Ils vous font entrer dans leur lit ? — Non, c’est la première fois que ça m’arrive. — Qu’est-ce qu’ils font alors ? Pendant ce petit dialogue entre les deux femmes, Pierre s’amuse à dessiner des arabesques du bout du doigt sur la peau douce des flancs de Sophie. Elle frémit sous la chatouille. — Hii !… Certains me caressent…— Comme ça ? Juliette englobe le sein de sa paume. Le téton qui s’érige frotte le creux de sa main. — Et comme ça ? demande Pierre qui mêle ses doigts aux poils du pubis. — Aaah !… ou-ou-oui. — Font-ils ça aussi ? Avec un ensemble parfait, Juliette suce le téton fripé pendant que Pierre décapuchonne le clitoris. — No-no… Ou-ou-oui-ssshh !… Ssshh !… Mmmh ! La jeune fille s’abandonne aux caresses du couple. Chacun de son coté suce un sein. Juliette prend la place de Pierre sur le clitoris et celui-ci s’amuse à introduire un doigt puis deux alternativement dans le vagin et dans l’anus. — Aaah !… Ouiii… Mmmh !… Ssshh !… Ouiiiaarggh ! La jeune fille lance les mains à la recherche de quelque chose à quoi se raccrocher. Elle empoigne la verge de Pierre et la serre. — Ouch ! Tu me fais mal ! — Ex… Aaah !… Excusez-moi… Ssshh !… Mmmmh !… Oooh ! Un dernier sursaut et elle se calme.
— Oh vous alors ! — Ils te caressent ainsi tes pensionnaires ? demande Pierre. — Oh non ! Pas si bien ! Qu’est-ce que vous m’avez fait jouir ! — Et toi ? Tu les caresses ? interroge Juliette, heureuse que ses craintes sur sa capacité à satisfaire une femme ne se soient pas justifiées. — Pas tous. — Tu veux bien me caresser ? — Oh oui ! Elle se jette sur Juliette, passe les paumes sur tout le corps, insiste sur les seins, le ventre, caresse les cuisses, l’aine. Un doigt s’insinue entre les cuisses. — Embrasse-moi, ordonne Juliette. Sophie prête sa bouche. Pierre, aux mouvements des joues devinent que les langues entament un ballet amoureux. Il veut prendre part et frotte son gland turgescent sur la raie fessière. — Aaah ! Sophie abandonne Juliette pour embrasser Pierre et placer la verge entre ses cuisses. Un coup de bassin et la jeune fille s’embroche elle-même sur le pieu de chair. Juliette et son mari soupirent. Ils auraient aimé s’amuser encore un peu avec la jeune fille avant d’entamer les pénétrations, mais que faire contre l’enthousiasme de la jeunesse ?
Sophie chevauche Pierre qui soutient les seins de ses mains en coupole. Juliette s’est levée. Elle cherche dans la table de nuit le godemiché de sa fille qu’elle a emprunté la veille et le fixe à sa taille. Elle contrôle le bon fonctionnement des ressorts. La brusque détente dans son vagin, la fait gémir et fermer les yeux. Son mari sourit. Il va retourner sa cavalière et présenter ses fesses mais Juliette devance son mouvement. — Non, mon chéri, ce n’est pas pour toi. — Ah ! — Enfin, pas tout de suite. Ralentissez s’il vous plait. Il force Sophie à diminuer la fréquence de ses coups de bassin. — Oh ! Que faites-vous ? s’étonne-t-elle quand Juliette la pousse contre la poitrine de Pierre et caresse la raie fessière. — Ne bouge pas, nous ne te voulons que du bien. La jeune fille se retourne et sursaute en voyant la verge fine pointer devant Juliette. — Oh !… Vous voulez me mettre ça dans le cul ,… pendant que mons… euh… Pierre me… euh…— Oui, pendant qu’il te baise, n’ai pas peur des mots. Tu ne veux pas essayer ? Pierre la soulève et la fait descendre lentement sur sa queue pour maintenir l’excitation. Sophie n’est pas rassurée. — Ça fait pas mal ? — Non, parce que l’engin est plus fin qu’un sexe. Mais n’hésite pas à nous dire si la douleur devient trop forte, nous cesserons immédiatement. Laisse-moi faire.
Juliette tartine le cul de gel ainsi que la queue de plastique. Elle présente le bout face à l’anus. — Ne bougez plus ! Pierre, la verge au fond du vagin, serre la jeune fille contre lui. Il la sent trembler et pour la calmer embrasse ses cheveux. Juliette pousse, quelques centimètres s’enfoncent. Pierre sent la progression le long de son sexe. Cela lui fait une drôle d’impression. Sophie gémit. — Ça va ? interroge Juliette. — Ouisssh ! — Je peux continuer alors ? — Ou… oui. Juliette s’enfonce encore. — Mettons-nous sur le coté, Sophie sera moins coincée entre nous. Le trio bascule. Pierre et Juliette coordonnent leurs mouvements. Au début, Sophie ne bouge ni ne prononce une parole. Les lèvres serrées elle s’efforce de ne pas gémir. Le tiraillement provoqué par les deux queues est à la limite du supportable mais sa fierté l’empêche de se plaindre. Au bout de quelques minutes, les muscles se relâchent, la douleur s’atténue, le plaisir la remplace. Un plaisir profond qui vient de ses entrailles. Qui irradie dans son corps. Qui l’enveloppe totalement. — Aaah ! — Ça va toujours ? s’inquiète Juliette. — Aaah !… Ouiiissshh !… Oooh !… ouiii ! Elle essaye de bouger le bassin au devant des pieux qui la pénètrent, mais ne fait que contrarier les mouvements de ses partenaires. Elle y renonce. Juliette et Pierre rassurés amplifient leurs pénétrations. De sentir une autre queue, tout près dans l’orifice voisin conduit rapidement Pierre jusqu’au point de non-retour. — Aaah !… Je jouis !… Aarrgghh ! — Aaah !… Moi… Ouiii !… aussi… Mmmmh ! répond Sophie. Juliette ne dit rien, et pour cause. Depuis plusieurs minutes, elle étouffe les lèvres serrées les gémissements que les bonds dans son vagin du simili sexe poussé par le ressort lui arrachent…
Pierre ouvre les yeux. Il rencontre le regard de Juliette par-dessus Sophie encore à moitié évanouie. Ils se sourient. Quelle expérience ! — Peux-tu te retirer doucement ma chérie ? Je ne voudrais pas lui faire du mal surtout après ce succès. Juliette détache le godemiché de sa taille avant de l’extraire du cul de la jeune fille. Pierre récupère son sexe de son coté. La jeune fille gémit se retourne, ouvre les yeux. — Alors ? interroge Juliette. — Oh que c’était bon ! Je n’imaginais pas que c’était aussi bon ! — Je suis heureuse que cela t’ait plu. — Moi aussi, renchérit Pierre. Sophie se redresse et aperçoit le godemiché qu’elle prend en main et examine sous toutes ses faces. — C’est ça que j’avais dans le cul ? — Le coté le plus fin, l’autre était pour moi. Tu voudrais l’essayer ? — Oh oui ! Montrez-moi. — Tout à l’heure. Pour l’instant peux-tu m’aider à redonner de la vigueur à Pierre. Ensuite je te fixerai l’engin. — Vous voulez la double pénétration vous aussi ?
Juliette hésite. On lui aurait fait cette proposition une heure auparavant, elle se serait récriée horrifiée. Mais la jouissance de Sophie la fait réfléchir. Non, décide-t-elle, pas encore… peut-être une autre fois. C’est Pierre qui doit recevoir le godemiché dans le cul pendant qu’il la possède. — Non, pas aujourd’hui. C’est sur mon mari que tu opéreras. Mais d’abord, il faut qu’il soit en forme. Ça Sophie sait faire ! Elle se penche sur la queue flasque, la prend entre ses doigts et la lèche à petits coups de langue. Quel drôle de goût différent de ce dont elle a l’habitude ! pense-t-elle, jusqu’à ce qu’elle réalise que c’est la première fois qu’elle suce une queue qui vient de lui faire l’amour. Ce sont ses propres sécrétions qu’elle déguste ! Cela lui donne encore plus de cœur à l’ouvrage. Juliette sourit devant son empressement. Avec un tel traitement Pierre ne mettra pas longtemps à être d’attaque ! Effectivement, la queue grossit entre les doigts experts, s’allonge puis raidit. — Très bien ! Tu as réussi, ma petite Sophie, Pierre est de nouveau opérationnel. — Montrez-moi comment mettre le… comment vous appelez cet engin ? — C’est un godemiché. Approche-toi... Toi pendant ce temps, ordonne-t-elle à son mari, maintient ta rigidité !Pierre caresse doucement son sexe bandé tout en observant les deux femmes.
A ce moment la porte de la chambre s’ouvre et Roméo passe la tête. — Ah tu es encore là Sophie ? On a besoin de toi pour faire les chambres de l’aile B. La jeune fille obéissante lâche le godemiché et reprend sa blouse. — Vous ne pourriez pas nous la laisser encore un peu ? — Je regrette ma chère Juliette mais le service avant tout. Allez ! Dépêche-toi ma fille ! Tu les reverras, je te promets. — Au revoir Sophie et merci pour ce que tu as fait pour nous, déclare Pierre qui continue à s’astiquer. — Oui, merci beaucoup, ajoute Juliette. — C’est vous que je remercie, déclare-t-elle. Au moment de sortir, elle se retourne et leur adresse un baiser du bout des doigts.
La porte se referme. — C’est une très gentille petite. Je vous remercie de nous l’avoir envoyée. — Je suis content que vous soyez satisfait, déclare Roméo. — C’est bien dommage que vous ne soyez pas venu un quart d’heure plus tard, soupire Juliette. Nous avions l’intention d’utiliser Sophie, avec l’aide du godemiché de Francine pour augmenter la satisfaction de Pierre pendant qu’il me baise. — Oh s’il n’y a que ça pour vous contenter ! Pierre ! Regardez ! annonce-t-il en soulevant sa blouse et agitant son sexe développé. C’est pas meilleur qu’une bite de plastique ? — Vous feriez ça pour nous ? demande Juliette les yeux fixés sur la verge droite. — Tout de suite ! Il ne leur faut pas plus de quelques secondes pour se mettre en place, d’abord Roméo dans le cul de Pierre puis celui-ci dans le vagin de Juliette qui les attend étendue sur le lit. — Ah Roméo ! soupire-t-elle lorsque la verge frémissante de son mari s’enfonce en elle, vous êtes un gendre vraiment attentionné…
Fin
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