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Généreuse

Chapitre 2

Le surfeur et la nudiste

Hétéro
Je vous raconte une histoire estivale qui a maintenant 3 ans. J’ai découvert le naturisme le fameux été après mon concours. Depuis je pratique souvent, notamment dans le Médoc où on trouve des plages sauvages et préservées. Je pratique souvent mais mes aventures y sont rares, en voilà une sympa.  
Ce beau matin de fin août, je pars bronzer mon corps au soleil en toute liberté. Pas grand monde sur la plage, deux couples de personnes plus âgées assez éloignés et un surfeur qui titille les petites vagues de ce beau jour d’été. Le soleil de 11 h commence à être chaud, des goélands surfent les petites lignes de houle. Seul le roulement des vagues lissées par le vent de terre est audible. Le sable est fin et jaune appelle à la détente et au calme.
 Je m’installe et me déshabille. J’adore cette sensation de nudité sur la plage, le soleil vous réchauffe la peau, l’air vous enveloppe dans votre intégralité. J’en ai une sensation d’apaisement et de tranquillité. Si selon vous la plage est un lieu parfait pour se ressourcer, alors dites-vous que la plage nue c’est cent fois plus efficace ! Je profite du moment, je m’étire vers le haut, monte sur la pointe des pieds, je me caresse la peau bronzée sur le buste, soulevant mes seins pour ressentir leur liberté, caressant mon ventre doucement. Je suis en harmonie avec mon environnement, prête à m’y inclure. Le monsieur à trente mètres sur la gauche ne va visiblement pas en rater un moment, il a suivi ma détente avec attention. J’aime être regardée alors quand je file à l’eau j’en rajoute un peu, j’avance de dix mètres et me re-étire pour soulever ma belle poitrine, je balance mes fesses pour l’attirer. Sa femme a-t-elle capté le manège ? En tout cas, il se retourne et reprend sa lecture. Je ris de la scène.
 Mise à l’eau difficile, elle n’est pas froide mais mon corps a un peu chauffé, la chair de poule me parcours très vite le corps. Les vagues sont petites, je m’amuse quand même un peu avec. Le bodysurf est une activité que j’ai apprise petite dans la baie de Saint Jean de Luz, je suis capable de plutôt bien m’en sortir dans des petites vagues, plus grosses l’appréhension me gagne un peu. Un peu plus loin, le chasseur de vague ne regarde plus la houle arriver, il me mate clairement ! Je suis seule à l’eau et j’offre certes plus de courbes que l’océan, alors il doit rêver de me surfer. Il est plutôt mignon, ne parait pas très grand, les épaules larges. Ce n’est pas le surfeur de magasine, les cheveux sont bruns, courts et raides, la peau bronzée. Le froid gagne du terrain mais je reste dans l’eau. Je saute quelques vagues histoire de faire émerger ma poitrine et de lui exposer. Encore une fois. Il se décale un peu vers moi et part avec une petite vague. Il glisse simplement et termine à quelques mètres. Je le regarde avec un beau sourire.

Il m’adresse un bonjour, plein de joie. Il parait plutôt mignon, assez trapu et musclé. Il repart vers le large et se fait renverser par une vague qui déferle devant lui. Il ressort de l’eau et se retourne vers moi en rigolant. J’adore ces petits culs de surfeurs !

 Tel un paon je continue à faire la roue, à sautiller, tenir mes seins dans mon bras et à les relâcher, à sauter haut pour exhiber ma vulve. J’aime chauffer les mecs ! … surtout quand ils m’attirent. Lui ne regarde clairement plus l’océan, il est focalisé sur la généreuse sirène qui s’expose. Assez timide ce garçon, il tourne la tête pour éviter les contacts de regard, simule de ne pas me voir avec une maladresse hilarante. Je joue avec lui un bon moment je pense puis je repars à mon campement.
 Je m’installe sur ma serviette, face au soleil afin de me réchauffer le corps aux rayons chauds du soleil. Il se passe un peu de temps et un « excusez-moi Madame » me sort de ma torpeur. C’est le surfeur, il a une voix qui manque un peu de confiance mais il a osé s’approcher. Il est là, ébloui par le soleil qui lui fait face, les yeux à moitié fermés. Je le découvre dans sa combinaison intégrale noire. Il a des épaules larges, il doit être assez musclé du haut du corps à force de rame, un peu gras au niveau des abdos. S’il mesure 1m70 c’est bien le maximum. Sous le bras droit sa planche. Il doit avoir la trentaine, un beau bronzage, des yeux verts magnifiques. Il a une barbe courte négligée, il transmets de la sympathie par son attitude. Ce mec est mignon et il me plait immédiatement.

" Bonjour, me dit-il
— Bonjour, je souris.
— Ma combinaison est presque neuve et j’ai du mal à la sortir, pourriez-vous m’aider s’il vous plait?
— Bien sûr ! - Je me demande si c’est une excuse d’approche ? -
— Désolé de vous déranger avec ça, c’est gênant mais hier j’ai galéré vingt minutes sur le parking et je suis rentré chez moi avec…. en inondant ma voiture.
— Pas de problème, j’ai la journée pour bronzer ! Comment ça se sort ?
— Il faut la dérouler sur l’épaule pour que je sorte mon bras droit, après je suis libre.
— Essayons !"

 Il pose sa planche et je me place dos à lui. Je suis un peu plus grande que lui. Ma main attrape la combinaison et tire vers l’épaule. Il soulève la combinaison de l’autre côté pour me donner de la marge, il se baisse, se contorsionne. Dans l’action mon sein gauche vient l’effleurer au niveau du cou, un frisson me parcours. Cette situation et ce bonhomme me tracassent.

" Excusez-moi, il rougit gêné.
— Pas de problème, ne t’en fait pas."

Un grand sourire est sur mon visage maintenant.
 Nous reprenons le pelage, le bras avance et le coude va sortir, il est maintenant bloqué mais force et se libère. Soulagé il m’adresse un grand merci et sort facilement l’autre bras. Le haut de la combinaison tombe devant lui, retournée. Je découvre des trapèzes dessinés, des pectoraux plutôt forts, l’homme est assez large. Son ventre est  agréablement charnu. Il est assez poilu et ce côté mâle me plait d’autant plus.

"Te voilà libre de ta combinaison, puis-je te demander un service à mon tour ?
— Bien sûr, la réponse du surfeur est assez hésitante.
— Peux-tu me mettre de la crème solaire dans le dos, je commence à cuire.
— Ah, euuh, oui bien sûr."

Je cherche la crème dans mon sac et j’en profite pour exagérer une position à genou et penchée. Ma poitrine se balance, mes fesses se tournent vers lui. Il ne rate pas un instant de la scène. Je me retourne et lui tend la crème puis m’allonge sans un mot. Il est totalement déstabilisé, se met à genou et vient exécuter le service.  Il étale la crème ne massant d’une main ferme. Il commence par les épaules, avance timidement sa main sur mon cou, l’entoure et le caresse. Il descend ensuite vers le milieu du dos, redépose de la crème et l’étale sur le bas du dos. Sa main vient caresser le côté de mon ventre et masse mes bourrelets en douceur. Il redescend encore et vient frotter le haut de mes fesses. Il commence à prendre confiance et je pense que le plaisir vient avec.

" Tu peux faire les jambes et les fesses aussi, je ne compte pas les couvrir aujourd’hui"

Il acquiesce et se lance dans la conquête de mes fesses assez franchement.
Je suis dos à lui et je savoure ce massage imprévu et agréable, nue et exposée, chauffée par le soleil. Ma libido se met en route, ma vulve se détend. Je l’imagine excité dans sa combinaison et gêné mais il reprend son geste. Il masse doucement mes fesses et de lui-même descend sur les cuisses et passe entre ce qui me procure un frisson qu’il doit ressentir. Il masse mes mollets et remonte encore entre mes cuisses, il effleure ma vulve. C’était forcément volontaire, le bruit que je libère et sans équivoque, je suis excitée au possible.

" Merci, dis-je, mais je crois que tu peux insister sur l’entrejambe si tu le souhaite" il ne peut voir la teinte rouge de mes joues mais j’ai bien pris un coup de chaud en osant cette phrase.
Je me cambre un peu et sa main vient se faufiler. Il caresse toujours mes cuisses mais plus vers l’avant et arrive enfin à mon sexe. Sa main l’effleure et l’entoure, les lèvres s’ouvrent et il place un doigt à plat sur l’ouverture. Il caresse légèrement le clitoris maintenant, le doigt glisse dans ma fente très humide. Un deuxième y pénètre. Je monte à quatre pattes pour augmenter ma sensation, me voilà nue et offerte à cet inconnu qui me touche par derrière, l’avant-bras coincé entre mes cuisses. Il insiste et m’amène tout proche d’un orgasme, je respire fort, avec une main j’appuie la sienne pour l’encourager. Je mouille telle une vague qui vient se déverser sur le rivage.  Le plaisir est si bon, j’expire profondément et me laisse aller. Il avance un peu son corps, se colle à moi et m’embrasse les fesses, me masse mon sein gauche pendu avec sa main libre. Il le tient, le remonte et continue de me doigter. Ma respiration est très rapide et le plaisir est extrême, un plaisir qui est plus la conséquence de la situation que des sensations, il s’y prend bien mais manque un peu d’assurance ; par contre m’exhiber ainsi, le cul à l’air et sans défense, c’est incroyable.

Je prends sa main et la retire doucement de la mare que constitue mon entrejambe :
"Ah mon tour de te donner ton plaisir" dis-je doucement et en souriant.

Je me retourne face à lui, à genou tout comme lui, et tire sa combinaison vers le bas pour libérer un sexe en érection. Il a une taille moyenne à petite mais une vigueur importante, il est très droit, assez large, le gland est bien exhibé. Je me baisse et le lèche doucement du bout de la langue. La pointe de ma langue titille le dessous du gland ce qui fait redresser le pénis, visiblement il apprécie. A l’aide de m main, je maintien ce sexe convoité à la base et commence une fellation intense. Il entre totalement dans ma bouche, ma langue dessine des cercles au bout. Le surfeur a perdu le contrôle et pousse de petits cris graves de jouissance. Ma main descend maintenant sur ses bourses et les masse. Pour finir un doigt va se coller sur son anus. Je le regarde, il ouvre grand les yeux et se décharge totalement dans ma bouche dans un râle puissant.

Il me regarde me délecter de son jus et ne sait quoi dire. En tournant la tête je devine le vieux qui a tout vu et pour qui on a peut être relancé la vie sexuelle. Je regarde le surfeur et lui parle :

" Tu m’as franchement excité maintenant, il va falloir assurer. Déshabille-toi et rejoins-moi dans la dune.
— Euh… oui bien sûr" son regard tourne autour de ma serviette, il doit voir le vieux mateur.

Je ne lui laisse pas le temps, je prends des préservatifs dans mon sac et ma grande serviette, lui montre les indispensables protections et file vers la dune en remuant mes fesses en chaleur. Je disparais de sa vue dans la dune, trouve un creux éloigné du chemin, m’installe et l’espionne entre les oyats. Il lui faut quelques minutes pour prendre sa décision et commencer à se déshabiller. Il me rejoint en courant la main sur le sexe.

" Alors tu te caches ? dis-je en rigolant
— oui, répond-t-il gêné,  c’était génial… enfin tu étais géniale et je n’avais encore...
— merci, ça va être à toi d’être bon maintenant !
— je commence à n’en plus en pouvoir." Il va me falloir aller au bout de mon plaisir et je compte bien exploiter son membre et son désir visible pour mes généreuses formes.

Je m’allonge sur le dos sur la serviette et écarte mes jambes, livrée à lui. Il me grimpe dessus et viens m’embrasser. Il descend et dépose des baisers dans le cou, puis mes seins qu’il malaxe et suce. Il adore les poitrines volumineuses, ça se ressent, je me demande même si ce n’est pas sa première de cette taille tellement il y passe du temps. Il est doux, plonge son visage entre mes seins qui s’étendent et s’offrent, les respire, les embrasse, y serre sa tête ; je ressens son sexe durcir et se coller à moi. Il y passe un temps fou…. au bout d’un moment trop !

" Il va falloir que tu changes de spot mon cœur" lui dis-je gentiment.

Il poursuit les baisers et descend sur mon ventre, j’adore ! Il malaxe mon corps, le plaisir monte. Sa main se faufile à mon vagin et le touche doucement. Il reprend sa descente avec sa bouche et se présente face à ma vulve. Il y plonge et la dévore avec une envie débordante. Il passe ses mains sous mes cuisses et les referme pour se faire emprisonner, j’accentue le mouvement et frotte mon clitoris sur son visage. Il étouffe des bruits de plaisirs, moi je les lâches et accélère ma respiration. Le surfeur est un bouffeur de chatte appliqué ! Il y passe du temps, me donne un plaisir incroyable à me faire abandonner toute volonté, juste subir le plaisir, relâcher mon corps au soleil et l’encourager à poursuivre. Je mouille énormément et dois le rapprocher de la noyade ! Il maintient mes jambes fermées, prisonnier volontaire du plaisir et du désir.

" Prends moi maintenant, entre en moi et amène moi très loin, je me livre à ta bite" dis-je en lui présentant un préservatif.

Les jambes écartées, je fais l’étoile de mer et me laisse prendre. Il est sur moi et fait de lents mouvements me permettant de sentir toute la longueur de sa bite. Il s’enfonce ensuite totalement, tourne en moi, va et vient. Je contracte mon vagin pour épouser la forme de son sexe. C’est bon, je monte. Je soulève mon bassin en position de gainage pour mieux ressentir, il prend mes larges fesses en main et les masse, il soutien ma position mais je le vois partir, se laisser aller au plaisir et au bonheur.
"Ne jouis pas maintenant ! sur le ton de l’ordre.
— Alors il faut changer de position, j’en peux plus, tu es trop… trop bonne, trop agréable, j’en peux plus.
— Retire-toi et allonge-toi, et inspire."

 Je sens son pénis battre en moi, coupé dans son effort et son plaisir, si près d’une libération. Il résiste bien et se couche. Je monte sur lui et insère sa bite en moi. J’ondule le bassin pour le ressentir, je maîtrise le rythme et le plaisir, ce contrôle m’a toujours facilité le plaisir. Les hommes sont des brutes quand ils sont proches de la jouissance, ceux qui se maîtrisent réellement sont rares. Je monte et je descends, le plaisir revient vite, pour lui aussi. Il lâche prise et regarde hypnotisé ma poitrine se balancer face à lui. Il pince mes bourrelets, soulève mes seins, se dresse pour y  loger son visage, au milieu. Il savoure les plaisirs de ma rondeur ainsi que ceux de mon expérience. Ma main passe derrière moi et trouve ses deux couilles que je masse doucement. Je commence à lui parler ce qui augmente nos excitations.

 " Tu aimes mais formes ?— Oh oui, c’est excitant
— Qu’aimes-tu ?
 - J’aime te toucher, te caresser –il associe geste et paroles – prendre ces grosses mamelles dans ma bouche, m’y enfouir dedans et y sentir ton odeur.
 - Oh oui, fait le, sens-moi, caresse moi plus fort.
 - J’aime aussi tes bourrelets –il les pinces forts – et tes larges fesses, et tes seins qui se balancent, oh j’adore.
 - Et tu aimes sentir ta bite en moi ? tes couilles à moi ?
 - Oh oui, j’adore, prends ton pied ! "

 Mon orgasme arrive, comme sur commande, il monte, je le sens, il m’excite de plus en plus, je ne vais pas tarder à hurler et il va surement jouir en même temps. Lui continue à parler mais je ne l’écoute plus, un seul sens reste, celui du plaisir. Je descends ma main entre ses couilles et son anus, cette partie de peau est ultra-sensible chez beaucoup d’hommes, il en fait partie.

" Tu aimes que je te touche ici. Tu aimes te faire toucher l’anus aussi ?— C’était la première fois, j’ai adoré, touche-moi, je vais jouir."

 Ma main frotte sa rondelle et je sens son pénis se gonfler pour se libérer. Je l’enserre avec mon vagin et cette dernière stimulation m’amène au sommet du plaisir. Nous crions tous les deux, là au milieu de la dune, en harmonie, la nature et les éléments vibrent avec nous. Le plaisir le ravage, le vide et il s’affale sur la serviette; je poursuis mon rythme, sa bite maintien sa posture malgré l’inertie de son corps, je savoure ce long et puissant orgasme avant de m’effondrer à mon tour sur lui, ruisselante de tous mes pores. Il embrasse le haut de mon corps et profite de moi comme s’il réalisait ce qui venait de se passer.

 " Tu avais déjà fait l’amour à la plage ? me demande-t-il.— Oui mais jamais avec un inconnu ! Avais-tu déjà eu une aventure avec une femme de mon type ?
 - Euhhh…. il est gêné
— Je veux dire ronde, ne fais pas le timide maintenant, tu m’as dévoré tout le corps et j’ai exploré tout le tient ! je ris
— Non jamais, j’ai adoré tes formes…. je dois dire aussi que je n’avais jamais fait l’amour avec une inconnue dont je ne connais toujours pas le prénom.
 - Marlène, ravi de te rencontrer. Un grand sourire est sur mon visage, surement radieux suite à notre partie de sexe.
 - Grégorie, ravi aussi.
 - As-tu aussi découvert ton anus aujourd’hui ?
 - Oui… beaucoup de découvertes aujourd’hui, j’avoue avoir aimé.
 - Veux-tu finir cette rencontre en découvrant le plaisir anal ?
 - On va un peu loin là non ?
 - Je ne vais pas te rendre homo, je vais ouvrir tes horizons et ton cul…. accepte ! ". 
J’affiche maintenant mon plus grand sourire coquin, son pénis retrouve une demi-érection, j’ai des qualités d’enseignantes à exploiter moi ! "Tu n’as rien à y perdre, ajoutais-je.  - Cette journée est folle, allons au bout, dis-t-il avec un manque d’assurance et une crainte importante.
 - Ne t’inquiète pas, j’ai déjà fait et je pense être douée, laisse toi faire et de toute façon c’est la seule voie pour obtenir mon numéro" dis-je en riant.

 Un chantage inutile mais qui le pousse un peu, j’adore initier les hommes à du sexe non conventionnel. J’aime aussi être initiée mais je pense que Grégorie n’a pas grand-chose à m’apprendre en matière de sexe. 

" Installe-toi sur les coudes pour m’offrir ton petit cul musclé, mon choux. La voix est proche de celle d’une vielle bonne femme ce qui détend l’atmosphère.
— Mais tu n’as pas de lubrifiant ? il est apeuré.
— Soit confiant, il me reste des préservatifs lubrifiés et je pense avoir assez mouillé pour te satisfaire."

Il m’offre son petit cul et je ne peux y résister, je le caresse doucement, masse les fesses et fais des ronds autour de son anus. Je passe mon index droit dans un préservatif puis dans mon sexe pour le lubrifier encore plus, l’excitation me donne une petite dose de mouille de plus. Je me masturbe doucement le clitoris de la main gauche et commence à enfoncer un bout d’index droit dans sa voie encore vierge. Il fait un petit bruit, je caresse ses couilles en le rassurant. Il a une érection qui monte, cette fois il m’est offert. J’insiste et sa rondelle lâche et absorbe mon doigt, cette première victoire en appelle d’autres, je caresse, tourne, élargis la zone en prenant tout mon temps.J’ai arrêté ma masturbation pour me dédier à la sienne. Je place un second doigt dans la capote et réinsère doucement et lentement. Mes doigts avancent petit à petit, sa respiration accélère, je l’encourage à respirer progressivement et profondément. Il me parle de son plaisir qui augmente, de contractions qui viennent toutes petites au début, elles augmentent et s’amplifient, se fond fortes au fur et à mesure de la progression de mes doigts.
Bien insérée, je cherche maintenant à m’approcher de sa prostate en douceur. Lui est baissé vers l’avant, totalement offert, l’anus ouvert à une femme dont il ne connaît que le corps et le prénom. Sa respiration est forte et très sonore. Ses fesses viennent de plus en plus appuyer sur ma main, il est relâché et se laisse aller au plaisir. Le plaisir me monte aussi mais je le laisse de côté, je poursuis le lent massage des testicules et continue ma stimulation. Je l’encourage aussi oralement, le complimente, le stimule. Grégorie fait de petits cris rapprochés maintenant puis s’exprime enfin :

" Putain, c’est bon. Fais-moi jouir, ça monte… c’est incroyable
— Laisse toi envahir par le plaisir, laisse les vagues venir et te balayer" dis-je en accélérant les mouvements circulaires de mes doigts insérés totalement dans l’anus.

Il a posé son visage sur le sable à côté de la serviette, ses bras ne le soutiennent plus, les cris s’enchaînent, le plaisir le dévaste. Je ne peux résister à la tentation et je me masturbe de ma main gauche et me donne du plaisir. Dans un dernier cri suivi d’un "oh" puissant de soulagement il se retire doucement et s’effondre lessivé. Il passe son bras entre ses cuisses par devant son sexe et pose une main sur son anus en position fœtale et doit encore ressentir de puissantes vibrations internes.

 Je me libère du préservatif et je poursuis mon plaisir des deux mains, étalée à ses côtés. Il retrouve ses esprits et se jette dans ma chatte. Je l’enserre à nouveau entre mes jambes qu’il maintien dans la position et le laisse me finir avec sa langue sur mon clitoris et au moins deux doigts dans mon con. À mon tour de me libérer librement et bruyamment emporté par un orgasme clitoridien.

 Il nous a fallu au moins 20 minutes pour récupérer et revenir à ma serviette. De nouveaux parasols avaient fait leur apparition sur la plage, le soleil était maintenant très haut dans le ciel. Hormis le vieux qui nous a regardé revenir en souriant, le pénis plutôt tendu, personne n’a compris le manège qui venait de se dérouler sur cette plage. J’ai griffonné mon numéro sur un bout de page arraché à mes mots croisés. Grégorie est reparti avec sa combinaison sur l’épaule et sa planche sous le bras, l’anus surement bien sensible. 
 Nous nous sommes revus, mais se sont d’autres histoires !
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