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La génèse

Chapitre 1

Une soirée ordinaire entre amis

Erotique
Confortablement installés dans le salon de nos amis, Alice et moi passions comme toujours un agréable moment. Voisins de lotissement depuis plus de 10 ans, nous avions fait la connaissance de Céline et Guillaume lors de notre première fête des voisins.
Nous avions rapidement sympathisé et, année après année, ils étaient devenus nos meilleurs amis. Apéro, repas, anniversaires, sortie avec les enfants... les occasions de passer un bon moment avec eux ne manquaient pas.
Guillaume, âgé de quarante ans à l’époque, était le plus vieux de la bande, même s’il n’avait qu’un an de plus que ma femme. De taille moyenne, mais athlétique, il avait le contact facile. Toujours joyeux, son côté « blagueur » nous avait vite mis à l’aise.
Céline, plus jeune que moi de deux ans, n’avait que 36 ans. Cette jolie brune élancée aux yeux bleus était plus réservée par nature, mais tout aussi joviale une fois en confiance.
En ce mois de décembre 2019, il faisait froid à l’extérieur et Guillaume rechargeait le grand poêle à bois qui trônait dans leur salon. Céline de son côté en profita pour aller chercher une autre bouteille de mousseux et des bières au frigo. Comme toujours, notre apéro commencé depuis plus de deux heures traînait en longueur.
Tout comme nous, ils aimaient prendre leur temps et profiter du moment. Nous avions tous déjà bien assez de contraintes la semaine dans nos métiers respectifs pour ne pas s’en créer de nouvelles le week-end. Nos enfants et les leurs s’amusaient dans les chambres, tandis que nous profitions de cet agréable moment entre adultes.
L’alcool aidant et au détour d’une blague de cul sur le thème des « plans à trois », un commentaire de Céline fit réagir son homme.
— Tu ne disais pas ça la dernière fois ! marmonna-t-il entre ses lèvres avant de boire une gorgée dans son verre.

Ses yeux rieurs semblaient pleins de sous-entendus. Sans un mot, Alice et moi échangeâmes un bref regard d’étonnement. A quoi faisait-il référence ? Puis, nous observâmes Céline en attendant sa réponse...
Depuis toujours, on pouvait lire toutes les émotions sur son visage. Aucun filtre, aucune ambiguïté... un véritable livre ouvert. Et c’en était presque fascinant de transparence.
Elle fixait Guillaume, l’air mi-agacé, mi-amusé. Sa remarque qui sortait de nulle part semblait l’avoir surprise elle aussi. Le sexe était un sujet de plaisanterie habituel, sans tabou, mais dans le cas présent, sa remarque semblait avoir fait mouche.
Le silence qui s’était installé la conduisit à répondre :
— Bah vas-y... explique maintenant ! Tu en meurs d’envie et là, forcément, ils ne comprennent pas... finit par lui rétorquer Céline.— Moi je dis que vous avez un truc de dingue à nous raconter ! ajoutai-je à mon tour pour tenter de sortir au plus vite de ce petit moment de malaise.

Guillaume, sourire aux lèvres, se lança dans une longue explication, nous dévoilant un pan entier de leur intimité : ils pratiquaient le libertinage... et depuis un bon moment déjà.
C’était donc bien ce que nous avions compris et son « tu ne disais pas ça la dernière fois » faisait bien référence à des expériences sexuelles bien réelles. Jamais nous n’avions abordé le sujet par le passé, et jamais nous n’avions décelé le moindre indice. Ce n’était aucunement quelque chose de choquant pour nous, mais nous étions quand même scotchés par cette révélation. Scotchés... autant qu’intéressés par leurs expériences pour être honnête.
Alice et moi avions tous les deux très envie d’en savoir plus.
Bombardés de questions, nos deux amis partageaient leurs petits secrets avec nous dans les moindres détails. Avec qui ? Depuis quand ? Combien de fois ? Les questions fusaient dans tous les sens, leur laissant à peine le temps de répondre à la précédente.
— Et tu l’as fait avec combien de mecs ? demanda Alice en regardant son amie, les yeux brillants. — En tout ? Ou en une fois ? En tout je sais pas trop... en une fois, j’ai déjà couché avec cinq mecs lors d’une soirée... mais pas tous en même temps quand même ! lui répondit Céline avec un petit sourire de fierté.

Céline voyait bien que le sujet passionnait Alice et comprit que sa réponse nécessitait des précisions. Elle nous expliqua alors qu’ils avaient participé à une soirée avec plusieurs couples, avant d’ajouter que c’était sa première et unique "triple"... Trois queues en même temps, il n’en fallait pas plus pour exciter Alice !
Je m’amusais intérieurement de voir le regard de ma femme s’illuminer. Elle était captivée par son récit, même si elle aurait sans doute aimé avoir encore plus de détails, notamment sur la manière avec laquelle elle avait pris son pied avec tous ces hommes « en même temps ».
Nos questions reprirent de plus belle... L’éventuelle gêne des débuts ou celle qui pouvait suivre ces moments de folie sexuelle... La manière avec laquelle ils rencontraient leurs partenaires de jeux... L’impact sur leur vie de couple... Notre échange dura bien une bonne heure sur ce seul et unique sujet.
Au terme de cette longue discussion, Céline conclut :
— Donc voilà... vous savez tout ou presque ! Si un jour ça vous tente, vous savez où on habite ! lança-t-elle en nous regardant à tour de rôle, les yeux pétillants.

Nous rigolâmes tous les quatre, comme s’il s’agissait d’une bonne blague... sans trop savoir quoi répondre à cette proposition pour le moins inattendue et surtout... très directe.
— C’est bon à savoir... rétorquai-je pour rompre ce nouveau silence gênant.

Notre soirée se poursuivit dans une excellente ambiance, comme toujours et comme si de rien n’était. Vers une heure du matin, nous nous quittâmes en nous embrassant chaleureusement, tout en prévoyant de nous revoir rapidement, comme à chaque fois.
A peine étions-nous rentrés et couchés, qu’Alice relança le sujet :
— Truc de dingue ! Tu t’en doutais ? Guillaume t’en avait déjà parlé ? Parce que moi, Céline... jamais ! m’interrogea-t-elle, surexcitée.

Je lui répondis par la négative et, malgré l’heure tardive, nous discutâmes un bon moment de ce scoop et de tout ce qu’il nous avait expliqué. Notre long apéro alcoolisé et leur révélation nous avaient franchement excités. Alice tout particulièrement...
— Leur proposition ? Tu en penses quoi ? finis-je par lui demander.— Et toi ? me répondit-elle dans la foulée.

Sa réponse, ou plutôt sa non-réponse, m’amusa. Elle ne voulait pas se lancer la première, me confirmant indirectement qu’elle était intéressée, ou du moins pas totalement fermée.
Je lui indiquai alors que l’idée ne me déplaisait pas... bien au contraire.
— Pareil... finit-elle par réagir après quelques secondes de silence.

Nous avions tous les deux besoin de laisser le sujet mûrir dans nos esprits. J’en profitai pour conclure cet échange en me glissant sous la couette. J’avais très envie de ma femme...
Naturellement, les cuisses d’Alice s’écartèrent. L’idée de sentir ma langue parcourir son sexe brûlant semblait parfaitement lui convenir pour clôturer cette soirée riche en émotions. Et mon impression se confirma : notre soirée avait visiblement eu beaucoup d’effet sur elle, puisqu’elle était déjà trempée.
Du plat de la langue, je parcourus quelques instants ses grandes lèvres, avant de poursuivre mes caresses à l’entrée de son vagin parfaitement lubrifié. Depuis toujours, j’adorais la butiner... Depuis toujours, j’adorais le goût et l’odeur de son sexe.

Même si ma passion pour son fluide corporel avait toujours été une énigme pour elle, Alice ne se faisait jamais prier pour une langoureuse dégustation. Elle adorait cela plus que tout au monde.
Sa petite chatte étroite s’ouvrit rapidement sous mes coups de langue de plus en plus profonds. Les mouvements de sa poitrine et sa respiration rapide me confirmèrent que les sensations faisaient rapidement monter son plaisir. Encore plus rapidement que d’habitude.
— Fais-moi jouir avec ta langue et tes doigts... avant que je te prenne dans ma bouche, me murmura-t-elle entre deux gémissements.

Sans aucune résistance, mon index et mon majeur se frayèrent un chemin dans son intimité. En débutant de lentes caresses du bout des doigts sur la paroi supérieure de son vagin, je complétai celles-ci avec de petits coups de langue sur son clitoris gorgé de désir.
Les cris d’Alice se firent plus puissants, plus rapides. Les abdos contractés, elle luttait déjà pour retarder son orgasme et le laisser monter encore un peu. J’en profitais pour accélérer la cadence... et la faire lâcher-prise.
Les lèvres collées sur la zone la plus sensible de son intimité, ma langue tapait en rythme sur son clito dure comme un noyau de cerise.
Ses cris montaient dans les aiguës, tandis que son sexe trempé ruisselait sur ma main. J’aimais par-dessus tout la voir perdre le contrôle sous mes caresses, prendre le contrôle de son corps et la faire jouir aussi fort que possible.
Aussi étrange que cela puisse paraître, j’avais toujours préféré lui offrir des cunnilingus que de recevoir des fellations... même si j’adorais ça aussi évidemment. Dominant par nature, j’avais besoin d’avoir le contrôle, d’être le chef d’orchestre de son plaisir... La voir jouir était pour moi ce qu’il y avait de plus beau et de plus excitant.
J’en profitai pour l’achever en ajoutant un troisième doigt dans sa petite chatte qui ne l’était plus, avant que ma deuxième main ne rejoigne la bataille. A l’aide de mon pouce, je réalisais des cercles sur son petit trou serré. Ces douces caresses anales la faisaient toujours fondre...
Sans surprise, elle finit par s’abandonner totalement au plaisir. Tête relevée, muscles de tout son corps contractés, elle laissa échapper un long râle de plaisir. Les spasmes de son vagin me firent ralentir le rythme, pour lécher encore un peu sa divine petite chatte transformée en petite fontaine. Quand le plaisir était trop fort pour elle, elle m’éjectait dans un mouvement réflexe en remontant dans le lit et en serrant les cuisses. Et j’avais bien l’intention de continuer à me délecter de son sexe quelques secondes supplémentaires.
Alors qu’Alice peinait à reprendre son souffle, je m’abreuvais une dernière fois de sa mouille chaude et abondante. Ma langue reprit brièvement la place de mes doigts... s’enfonçant bien plus profondément qu’au début. Ma femme était juste délicieuse.
— Je veux ta queue dans ma bouche... maintenant ! m’ordonna-t-elle d’une voix essoufflée, mais pleine de désir.

Heureux de l’avoir fait jouir, je remontai sans attendre, libérant son sexe largement ouvert et luisant de plaisir. D’une main ferme, Alice me saisir par la queue avant de m’enfourner dans sa bouche brûlante pour mon plus grand bonheur.
Comme si sa vie en dépendait, elle me suça à pleine bouche de longues minutes, tout en me masturbant avec une énergie... diaboliquement orgasmique.
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