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La génèse

Chapitre 2

Une révélation faisant écho à nos propres désirs

Erotique
La révélation de nos amis, bien loin de nous choquer, était entrée en résonnance avec nos propres fantasmes et nos propres jeux intimes.

Cinq ans plutôt, Alice m’avait avoué avoir un fantasme "un peu hard" selon ses termes, celui de s’offrir à plusieurs hommes, et dans ses rêves les plus fous, à plusieurs inconnus. C’était LE fantasme le plus dingue qu’elle avait depuis des années.
A nos débuts, alors qu’Alice n’avait que 24 ans, j’avais découvert une femme tout en réserve et très pudique sur ses désirs sexuels. La première fois où j’avais mis sur le tapis le sujet des envies sexuelles et autres fantasmes, je l’avais vue se fermer à double tour à une vitesse spectaculaire. Pour moi qui étais plutôt du genre à vouloir tester toutes sortes de choses et à l’exprimer, sa manière de fonctionner m’apparaissait terriblement déroutante et frustrante. Dans mon esprit, exprimer ses désirs c’était faire confiance à l’autre, sans peur d’être jugé.
J’avais fini par m’accommoder de cette situation. Nous prenions beaucoup de plaisir à faire l’amour ensemble, mais nous n’en parlions pas. C’était trop compliqué et systématiquement source d’une terrible gêne, totalement contre-productive. Notre vie sexuelle n’en était pas pour autant monotone, elle était simplement à sens unique. Dans le feu de l’action, avec plus ou moins de succès, je proposais de nouveaux jeux ou de nouvelles expériences... et Alice validait ou refusait.
Les années, la maturité, mais aussi l’arrivée des enfants, changèrent ma femme, lentement mais sûrement. Plus expressive et plus entreprenante, elle finit par s’exprimer sur le sujet et verbaliser ses envies. Elle se mit même à prendre des initiatives, s’aventurant à proposer de nouvelles expériences. Cette lente évolution fut une vraie source d’épanouissement pour moi, comme pour elle.
En toute logique, l’aveu de ce fantasme "bestial" éveilla ma curiosité. Celui-ci n’était clairement pas le mien à l’époque, mais j’avais très envie d’en comprendre le fondement et le plaisir qu’il lui procurait. Et puis avoir connaissance des envies les plus cochonnes de ma femme, quelles qu’elles soient... c’était une vraie source d’excitation pour moi.
Un peu gênée au départ, Alice avait fini par se confier librement en voyant que je ne portais aucun jugement négatif sur son envie.
L’idée d’avoir plusieurs hommes pour s’occuper d’elle l’excitait beaucoup. Plusieurs mains, plusieurs bouches, plusieurs sexes "rien que pour elle", c’était l’assurance d’un plaisir intense. Et puis avoir deux sexes pour combler chaque recoin de son intimité et un troisième pour occuper sa bouche c’était un peu... "le Graal" à ses yeux. L’abondance et la diversité des plaisirs étaient donc une puissante motivation.
Mais son fantasme allait bien au-delà du simple plaisir physique. C’était aussi une véritable source d’excitation psychologique.
— J’avoue que l’idée d’avoir plein de mecs pour moi et d’être celle qui les fait tous bander... celle qui les fait tous jouir... bah... ça m’excite beaucoup ! m’avait-elle précisé, un peu honteuse quand nous en avions parlé.
Être "la reine des cochonnes" le temps d’un soir, celle que tous les mecs ont envie de baiser... c’était flatteur et excitant pour Alice.
Quant à l’idée de jouer avec les limites, les interdits, les codes, la bonne morale... là encore c’était une source de motivation supplémentaire. Une sorte de femme respectable le jour qui devenait une vraie salope la nuit... même si elle détestait ce mot !
De mon côté, j’étais partagé. J’adorais les vidéos pornos mettant en scène une femme se faisant prendre par plusieurs hommes dans toutes sortes de situations. Mais c’était du cinéma, et surtout ce n’était pas ma femme ! Là, il s’agissait d’Alice, avec tout ce que cela impliquait... émotionnellement parlant.
A l’époque de notre discussion sur son fantasme, Alice conclut notre échange en me précisant que pour elle, ce fantasme ne serait jamais réalisable. Elle en était convaincue.
En premier lieu parce qu’elle considérait que je n’accepterais jamais et que même si j’acceptais "pour elle"... je n’y prendrais aucun plaisir. Et la chose était impensable à ses yeux.
Le deuxième motif était qu’elle ne s’imaginait pas "assez bien" pour pouvoir exciter d’autres hommes que moi. C’était ridicule et je n’avais pu m’empêcher de lui faire remarquer.
Comme beaucoup de femmes, elle était complexée de ne plus avoir le ventre plat ou les seins aussi fermes qu’à ses 20 ans. Et pourtant... A 35 ans à l’époque de notre discussion et après deux grossesses... elle était toujours sublime ! Du haut de son mètre soixante-cinq pour soixante kilos, elle aurait pu faire bander n’importe quel homme. J’en étais convaincu.
La troisième raison était plus personnelle. Son fantasme lui semblait trop hard, trop honteux, trop improbable, trop risqué, trop irréaliste, trop gênant... les motifs intimes étaient plus que nombreux pour ne jamais franchir le cap. C’était pourtant une partie de ce qui lui faisait envie, braver les interdits... mais c’était aussi une part de ce qui la rebutait.
— Une femme complexe... enfin une femme tout court, avais-je pensé intérieurement.
Nous en étions restés là, un fantasme qui resterait un fantasme.
D’un naturel curieux, je décidais que "jouer" avec le fantasme d’Alice serait un bon moyen d’agrémenter notre vie sexuelle autant que de décupler son plaisir, psychologiquement parlant.
Régulièrement, je jouais avec son imaginaire pendant les préliminaires, mentionnant le plaisir qu’elle pourrait prendre si "une deuxième queue venait compléter la mienne", ou encore si "un autre homme profitait de sa bouche, pendant que je profite de sa magnifique petite chatte", etc.
Elle adorait m’entendre lui raconter toutes sortes de choses salaces dans lesquelles elle serait prise de toute part. Les yeux fermés, elle visualisait chacune de mes phrases murmurées au creux de son oreille...
En parallèle, j’avais bien compris que la double pénétration était l’un des moteurs de son fantasme, mais physiquement parlant cette fois-ci !
Même si nos jeux sexuels intégraient déjà le plaisir anal sous différentes formes, Alice avait mis du temps à m’offrir un libre accès à cette partie de son intimité. Son corps disait "Oh oui", mais sa tête disait "Trop indécent !". Langue, doigts et sexe y étaient à présent acceptés avec un réel plaisir physique autant que psychologique... mais nous n’avions aucun jouet vraiment adapté à la zone.
Il avait donc fallu y remédier !
En quelques semaines, elle devint accro au nouveau joujou qui rejoignait notre collection déjà bien fournie et que nous avions affectueusement surnommé : "le bel inconnu". Il s’agissait d’un plug, tout ce qu’il y a de plus simple. En silicone noir, de taille moyenne, il mesurait 3.8 centimètres de diamètre pour 15 centimètres de long.
A chaque fois qu’il faisait son entrée lors de nos ébats, elle obtenait des orgasmes aussi fulgurants qu’intenses. C’en était presque déroutant, mais je devais bien reconnaître que les sensations étaient divines pour moi aussi. Ce joujou modifiait de manière impressionnante la morphologie de son vagin, déjà naturellement étroit.
Alice finissait par réclamer ce jouet quand il restait rangé dans le tiroir un peu trop longtemps à son goût...
— Le bel inconnu, n’est pas disponible ce soir mon cœur ? demandait-elle, la voix remplie de gêne dans les premiers temps.— Glisse mon joujou préféré dans mon petit trou... et baise-moi fort ! me demandait-elle quelques semaines plus tard avec beaucoup plus d’assurance.
Je constatai que son fantasme était devenu une étonnante source de plaisir pour moi, avant d’admettre qu’il était devenu le mien également. Sans que nous nous en rendions compte, il avait modifié positivement beaucoup de choses dans notre sexualité, rendant Alice beaucoup plus expressive et encore plus... cochonne.
Plusieurs mois après la confiance d’Alice et les jeux sexuels qui suivirent, je décidai de réaborder le sujet avec ma femme, en lui expliquant que non seulement je serais d’accord pour qu’elle réalise son fantasme, mais qu’en plus il était devenu une grande source d’excitation pour moi aussi.
Surprise par mon changement d’opinion et probablement dubitative sur mon envie réelle, elle resta sur ses positions. Ce n’était qu’un fantasme et ça le resterait.
— Et puis je ne vois pas bien avec qui on pourrait faire ça... Et on ne va pas passer une annonce ! C’est trop glauque ! me lança-t-elle pour accréditer l’aspect irréaliste de ma proposition.
Pourtant dans les faits, nos jeux intimes accordaient toujours plus de place à cette envie partagée. Une fois sur quatre, "le bel inconnu" nous accompagnait.
Même nos "69" avaient évolué avec le temps. Là où il ne s’agissait que de caresses buccales, faisant office de préliminaire par le passé... c’était à présent une nouvelle manière d’attendre l’orgasme pour nous deux. Alice me suçait avec passion jusqu’à la dernière goutte, alors que je m’occupais avec ferveur de son clito, après avoir pris soin de combler son petit cul et sa petite chatte avec nos jouets.
Elle jouissait toujours vite et fort... et généralement bien plus vite que moi.
La confession de nos amis avait clairement réveillé en moi mon envie de partager Alice avec d’autres hommes... autant qu’elle avait ébranlé les certitudes de ma femme...
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