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La génèse

Chapitre 5

Le jour "J"

Erotique
Un peu nerveux, je jetai un rapide coup d’œil à ma montre. Nous devions accueillir nos amis vers 19h30.
A trente minutes de leur arrivée théorique, je fis un petit tour rapide dans le salon, dans la cuisine et dans notre chambre pour m’assurer que tout soit bien rangé. Vêtu d’un simple boxer enfilé à la sortie de ma douche, je retournai dans la salle de bain pour finir de me préparer.
Lorsque j’entrai dans la pièce, Alice sortait de la douche au même moment. Sa généreuse et lourde poitrine attira mon regard. Forme, taille, fermeté... ses seins étaient juste parfaits à mes yeux. « Parfaitement adaptés à la taille de mes mains », comme j’aimais lui dire régulièrement...
Je continuai à parcourir son corps, admirant son petit ventre légèrement rebondi, puis ses hanches galbées et féminines à souhait... Un régal pour les yeux.
Je m’attardai sur son sexe, et la toison brune fraîchement redessinée qui le surplombait...
Ce magnifique triangle, parfaitement délimité et plus petit qu’à l’accoutumée, offrait une vue parfaitement dégagée sur son clitoris et ses grandes lèvres totalement lisses. Légèrement plus foncées et parfaitement visibles, ses petites lèvres invitaient à de langoureuses caresses...
Alice se séchait méthodiquement, contrairement à moi qui étais encore trempé quand j’enfilai mes vêtements. J’adorais la voir œuvrer ainsi. Peu discret, et n’ayant pas cherché à l’être, elle avait parfaitement remarqué mon intérêt pour ce « nouveau » sexe que je découvrais.
— Ce petit rafraîchissement te plaît ? m’interrogea Alice.— C’est superbe... J’ai déjà envie de te déguster, lui répondis-je avec une envie bien réelle.— Trop tard... nos invités vont arriver ! me rétorqua-t-elle après avoir pendu sa serviette.
En enfilant le tanga rouge et transparent qu’elle avait préalablement préparé, Alice m’indiqua qu’elle serait prête dans dix minutes. Je l’embrassai tendrement avant d’aller dans le dressing pour chercher mes vêtements... qu’évidemment je n’avais pas préparés.
Avec quelques minutes de retard, nos invités toquèrent à la porte.
Finissant de préparer l’apéro, je jetai un rapide regard vers Alice qui se trouvait dans la cuisine.
— Je vais ouvrir, l’informai-je en voyant qu’elle continuait à s’affairer.

Après avoir débarrassé Guillaume de la bouteille de rhum qu’il me tendait, notre accolade pourtant habituelle eut une autre saveur ce jour-là. Il était celui à qui j’allais « prêter » ma femme pour la première fois... et il faut bien l’avouer, cela m’amusait beaucoup. Une sorte de complicité ou plutôt de connivence nouvelle.
Vêtu d’un simple polo vert clair qui dessinait parfaitement son torse musclé et d’un jeans bleu ciel, il n’avait pas changé ses habitudes vestimentaires : simple, sobre et efficace.
— Tu n’as pas peur de prendre froid... lui fis-je remarquer sur un ton amusé.
Même si la température extérieure était exceptionnellement élevée pour un mois de février, il ne faisait que 8°C. Certes nos amis n’avaient que quelques dizaines de mètres à faire pour passer de leur maison à la nôtre, mais il ne faisait pas chaud pour autant.
Céline qui le suivait m’embrassa très chaleureusement en me déposant un doux baiser sur chaque joue, et après avoir posé sa main sur mon épaule. Je n’avais pas souvenir que nos embrassades furent aussi délicates par le passé... ou alors je n’y avais jamais prêté attention. Mais cet agréable contact complété par la délicate odeur de son parfum sucré me troubla sur l’instant.
Comme à son habitude, elle était superbe. Sa jupe grise, légèrement fendue sur le côté, mettait parfaitement en valeur ses longues jambes fines et dénudées. Elle laissait également deviner la généreuse largeur de ses hanches qui contrastait avec l’étroitesse de sa taille. Son pull rose pâle dont le col s’étirait d’une épaule à l’autre laissait dépasser l’une d’entre elles.
Ce haut masquait ses petits seins, mais ne laissait apparaître aucune bretelle de soutien-gorge. Elle n’en portait donc pas.
Nos invités rejoignirent Alice qui terminait les préparatifs dans la cuisine. Guillaume après l’avoir embrassée, la complimenta sur son apparence...
— La vache... tu as sorti les talons ! Tu es superbe ! lui lança-t-il une main sur la taille et en plongeant les yeux dans son décolleté savamment déboutonné.
Sa remarque « directe » déclencha un sourire de satisfaction sur le visage de ma femme, avant que nos femmes ne s’embrassent à leur tour.
Pourtant furtif, je saisis l’échange de regards complices entre Alice et Céline. Nos épouses semblaient toutes les deux heureuses de se retrouver pour cette soirée... si spéciale.
Comme convenu je n’avais pas informé Alice du « thème » de la soirée, mais elle n’était pas idiote. Une soirée sans les enfants, c’était forcément « LA soirée » que nous attendions tous les quatre.
Mi-stressé, mi-excité, je ne laissais rien transparaître des petites appréhensions qui occupaient une partie de mon esprit.
La soirée débuta comme d’habitude dans une ambiance joviale. Confortablement installés dans les deux canapés qui composaient notre salon, Alice s’était assise au côté de Guillaume sur le premier, tandis que j’avais rejoint Céline sur le second.
Nommé « chef des Mojito » pour ces dames, je retournais régulièrement dans la cuisine pour en préparer de nouveau. Des mojitos bien chargés, qui semblaient parfaitement convenir à nos femmes, tant ils ne faisaient pas long feu. Pour Guillaume et moi, j’avais sorti une de mes bonnes bouteilles de rhum, qui elle aussi descendait à vue d’œil.
Nous avions tous les quatre la même idée en tête... mais nous faisions tous comme si de rien n’était. Nous prenions notre temps.
La soirée commencée depuis une bonne heure, trois ou quatre verres d’alcool dans le sang plus tard, nous étions tous plus détendus. Quelques regards et quelques sourires commençaient à s’échanger, furtivement au début puis de manière plus franche dans un second temps.
Une sorte de petit jeu de séduction tout en réserve.
— Vous m’excuserez, mais moi je retire mes talons... J’ai trop mal au pied ! nous informa Alice, qui n’en pouvait plus.
Elle avait mis l’une de ses jupes noires plutôt courtes qu’elle ne portait habituellement qu’en été. Un petit cardigan blanc et volontairement peu boutonné complétait sa tenue.
Lorsqu’elle se penchait en avant, il laissait discrètement entrevoir la dentelle de son soutien-gorge rouge entre ses deux seins. Un vrai bonheur pour les yeux.
Alice, outrageusement penchée en direction de Guillaume, se débarrassa de ses talons inconfortables. Elle ne les portait que rarement et surtout jamais dans la maison...
Alors que je prenais la direction de la cuisine, Guillaume saisit cette occasion en or pour établir un premier contact.
— Tout ça pour obtenir un massage de pieds ! Elle est maline ta femme ! lança-t-il en tendant sa main droite en direction de ses jambes.— Ah bah si c’est gentiment proposé... Mais attention ! Tu as intérêt à être doué, mon homme est expert dans le domaine... lui répondit-elle d’une voix pleine de défi.
Sans se faire prier, Alice installa ses mollets sur les cuisses de notre invité, avant de reprendre leur discussion le plus naturellement du monde.
Je souris en arrivant dans la cuisine à l’idée que la soirée prenne enfin une nouvelle tournure. Alors que je préparais deux nouveaux cocktails pour nos épouses, Céline me rejoignit.
— Je peux t’aider ? Ils sont trop bons tes Mojito ! Tu mets quoi dedans ? m’interrogea-t-elle en se collant à mon épaule et en posant sa main sur celle-ci.
Ce geste, pourtant si anodin, fit monter la température dans mon boxer. Notre soirée avait commencé depuis un bon moment déjà, et l’idée de la baiser sauvagement sur le plan de travail de la cuisine me traversa l’esprit un instant.
Mais il n’était pas question pour moi de commencer quoi que ce soit, tant que je n’aurais pas la certitude que me femme soit prête à franchir le cap...
Tournant mon visage vers celui de Céline, mon sourire et mes yeux pétillants lui montrèrent que j’aimais beaucoup son approche. A quelques centimètres à peine de sa bouche, j’avais terriblement envie de l’embrasser.
En me décalant très légèrement sur le côté, je la saisis par la taille pour la placer avec douceur devant les ingrédients étalés sur le plan de travail. Je n’avais aucun doute sur le fait qu’elle sache réaliser d’aussi bon mojito que les miens, mais je répondis favorablement à sa question faussement naïve.
Nous étions si proches l’un de l’autre que mon sexe effleurerait son magnifique petit cul bombé au travers de nos vêtements. Et je prenais sur moi comme jamais...
— Eh bien c’est toi qui vas terminer les deux mojitos que j’ai commencés, lui répondis-je au creux de l’oreille et en laissant anormalement longtemps mes deux mains de chaque côté de sa taille.
Son petit frisson remontant le long de sa colonne vertébrale et se terminant par un petit mouvement de tête incontrôlé sur le côté m’indiqua qu’elle aussi appréciait ce doux moment. Il ne s’était encore rien passé, mais la tension sexuelle montait déjà en flèche, de toutes parts.
Nous finîmes de préparer tous les deux ces nouveaux verres en nous effleurant toujours davantage, puis nous rejoignîmes Alice et Guillaume.
A notre retour, Guillaume m’envoya un large sourire de satisfaction. Les choses s’accéléraient et il en était ravi. Ses mains avaient abandonné les pieds d’Alice et glissaient à présent sur toute la longueur d’une de ses jambes, jusqu’à mi-cuisse.
Les yeux fermés, sourire aux lèvres, ma femme profitait de ce divin massage qui ressemblait davantage à des caresses sensuelles qu’autre chose. Elle rouvrit les yeux lorsque Céline déposa les deux nouvelles boissons sur la table basse, pendant que je nous servais un nouveau rhum à Guillaume et à moi-même.
— Je suis déjà pompette... je vais finir complètement saoule ! nous indiqua Alice en me fixant du regard, sourire aux lèvres.
Ce contact visuel me confirma qu’elle était prête. Ses yeux semblaient me crier « on va baiser avec nos amis mon amour ! ». Mon cœur battait si fort que j’avais l’impression de l’entendre dans mes oreilles.
Guillaume s’aventura un peu plus haut et Alice écarta légèrement, mais instantanément son autre jambe, lui offrant un accès complet à la cuisse qu’il massait sensuellement. Les yeux de mon ami s’attardèrent sur l’entrejambe de ma femme légèrement visible sous sa jupe courte. Le rouge qu’il devinait semblait beaucoup lui plaire.
A peine m’étais-je assis, que Céline posait sa main sur l’intérieur de ma cuisse... à moins d’un centimètre de mon sexe gonflé par notre petit jeu de séduction. C’en était trop pour que je puisse continuer à résister.
Me penchant dans sa direction, nos lèvres entrèrent en contact pour la première fois. Elles étaient fines et douces, et ce premier contact avec sa bouche était délicieux. Alors que nos langues se découvraient avec tendresse, je glissai ma main sous son pull.
En parcourant son ventre plat, c’est la douceur de sa peau blanche et son piercing au nombril, dont j’ignorais l’existence, qui décuplèrent mon désir.
Guillaume nous observa quelques instants, le regard plein de satisfaction, avant de poursuivre ses massages de plus en plus hauts. Ses mains glissaient avec plus d’énergie, s’arrêtant au contact du sexe d’Alice encore camouflé sous ce bout de tissu rouge.
La respiration de ma femme, toujours les yeux fermés, s’accélérait un peu plus encore.
Naturellement, ses jambes s’ouvrirent davantage, offrant une vue dégagée sur ce morceau de tissus rouge... et transparent.
— Hummm... laissa échapper Guillaume en caressant du bout des doigts la culotte humide d’Alice.
Lorsque notre invité finit par s’incliner en direction de son entrejambe, elle laissa échapper son premier soupir de plaisir. D’une main, il décala sur le côté ce bout de tissu qui l’entravait, tandis que de l’autre par l’intermédiaire de son pouce il caressait avec délicatesse son clito déjà gonflé par le désir.
Sa langue ne tarda pas à remplacer son doigt, déclenchant de nouveaux gémissements étouffés de la part de ma femme.
— Retire-moi ma culotte... finit-elle par lui demander d’une petite voix.
Céline et moi, nous embrassâmes à pleine bouche durant de longues minutes. J’avais découvert que de son côté elle ne portait pas de dessous après avoir glissé ma main sous sa jupe. Ni soutif ni culotte... Dieu qu’elle était excitante !
D’une main experte, elle réussit à détacher ma ceinture, déboutonner mon pantalon et sortir mon sexe sans même que nos lèvres ne se soient quittées. Agrippée à ma queue avec force, la sensation de cette main ferme contrastait avec la douceur et la lenteur de ses va-et-vient sur mon manche. Elle me branlait avec délicatesse et puissance à la fois. Des mouvements d’une grande amplitude et une sensation orgasmique pour moi.
Ses caresses m’invitèrent à replonger ma main entre ses jambes largement ouvertes...
Les minutes défilaient, et nous étions tous les quatre dans un autre monde. Guillaume après sa longue dégustation avait repositionné Alice au bord du canapé. Il avait pris soin de déboutonner entièrement son cardigan, avant d’extraire ses deux gros seins de son soutien-gorge rouge, lui aussi transparent. Elle ne portait plus que sa jupe, mais remontée jusqu’à la taille.
Guillaume, qui venait également de quitter ses vêtements, se tenait à genoux entre les cuisses d’Alice. Sa queue dans la main, il caressait le sexe luisant de ma femme avec son gland. L’indécence de cette image m’excitait beaucoup.
Même si lui l’ignorait, je savais qu’Alice adorait cette sensation, puisque j’aimais moi aussi jouer avec son désir de cette manière. Ce petit moment d’attente et de répit, avant qu’elle ne me sente progresser en elle de toute ma longueur, l’avait toujours fait grimper aux rideaux...
De notre côté, Céline et moi avions décidé de nous installer dans une sorte de « 69 » improvisé. Pantalon baissé et jupe remontée, nous faisions plus ample connaissance. Elle me suçait avec passion, alternant sucions intenses, douces caresses avec le plat de la langue et tendres baisers avec ses lèvres brûlantes. Sa manière de me sucer était très différente de celle d’Alice, mais tout aussi merveilleuse, je dois bien l’avouer.
Tout en profitant de l’instant, je découvrais moi aussi son sexe, totalement lisse. Sa vulve bombée et légèrement rose, dissimulaient totalement son clito et ses petites lèvres. En écartant ses grandes lèvres joufflues à l’aide de mes deux pouces, j’enfonçais ma langue en elle, comme pour en extraire le jus. Elle était délicieusement chaude et humide.
Je poursuivis ma découverte en m’attardant sur la partie la plus sensible de son intimité. J’entamai de lentes caresses circulaires, comme pour faire rouler son petit clitoris tout dur sous ma langue.
Céline retira un court instant mon sexe de sa bouche, comme pour mieux profiter de cette dégustation en règle et laisser échapper ses premiers gémissements.
Tous les quatre ivres de désir, notre première aventure échangiste se déroulait à merveille. D’une manière naturelle et spontanée, nous prenions tous énormément de plaisir...
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