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La génèse

Chapitre 6

Un partage orgasmique

Erotique
Céline et moi-même avions cessé nos jeux de langues. Nous nous étions enfin déshabillés à la hâte mais entièrement, avant qu’elle ne m’invite à me rasseoir sur le canapé.
Empalée sur moi, ses petits seins à hauteur de ma bouche, elle ondulait sur ma queue via de puissants et amples va-et-vient. Sa chatte trempée et peu profonde m’offrait des sensations divines. Je sentais mon sexe taper au fond d’elle à chacune de ses descentes enflammées. J’étais incapable de rester concentré sur ses tétons pourtant durcis par l’excitation.
Guillaume, quant à lui, baisait Alice avec force depuis quelques minutes déjà. Tête basculée vers l’arrière les sensations semblaient lui aussi le conduire dans une autre galaxie. Alice, fermement agrippée aux coussins qui l’entouraient, était sur le point de jouir. Ses cris de plus en plus audibles ne laissaient place à aucun doute : il la labourait sauvagement et elle aimait ça.
Bouche ouverte, souffle saccadé, Alice finit par laisser échapper un long râle de plaisir. Guillaume venait de l’achever. Alors qu’il n’avait pas encore atteint l’orgasme pour sa part, il stoppa ses assauts et resta immobile, planté tout au fond de la chatte de ma femme.
L’une de ses mains parcourut sa volumineuse poitrine pendant que l’autre caressa tout en douceur son clitoris démesurément gonflé. Il avait bien l’intention de profiter encore un peu des charmes de ma femme.
Sur le point de jouir à son tour, tout comme moi, Céline s’arrêta elle aussi brusquement. Les deux mains sur sa petite poitrine, elle pinçait sans ménagement ses deux tétons toujours pointés dans ma direction.
Immobile, elle finit par expirer lentement, comme pour reprendre le contrôle... en accompagnant l’instant d’un doux et long gémissement.
Venait-elle de jouir ??? Était-ce sa manière de faire ? Ou avait-elle volontairement stoppé cet orgasme sur le point d’exploser ? Bien qu’un peu déconcerté, je profitai de cette pause pour savourer l’exquise chaleur de son vagin et pour reprendre mes caresses sur ses seins qu’elle venait de libérer.
Céline finit par se lever, en me prenant par la main pour m’entraîner vers Guillaume et Alice, toujours emboîtés depuis une bonne minute. Alice, les yeux fermés le laissait occuper sa chatte brûlante de bonne grâce. Il venait de lui offrir un premier orgasme bestial.
Son homme se libéra du sexe de ma femme, et en profita pour tendre sa queue luisante à la sienne. Céline le lécha quelques instants avant de l’enfourner dans sa bouche. Une scène excessivement licencieuse qui aurait presque pu me faire jouir sur place...
Alors que je caressais la croupe tendue de Céline, Alice qui avait rouvert les yeux m’invita à me rapprocher d’elle avec la ferme intention d’imiter son amie. Elle venait de jouir, mais elle n’avait pas envie de s’arrêter en si bon chemin.
Voir ma femme dévorer mon sexe à pleine bouche, alors même qu’il sortait de la chatte trempée de son amie, quelques minutes avant... me conduisit à l’orgasme en quelques secondes seulement.
Alice n’en perdit pas une goutte, nettoyant les moindres recoins de ma queue avec passion. Elle était ivre de désirs et m’offrait un finish magistral.

Ma femme et moi avions tous les deux joui, mais pas nos deux invités.
Sans un mot et comme dans un jeu de chaise musicale, Céline quitta la queue de son homme et s’installa entre les cuisses de ma femme pour entamer de voluptueuses caresses avec sa langue.
A ma grande surprise, Alice la laissa faire... L’idée de lécher une autre femme lui avait toujours soulevé le cœur, mais il faut croire que l’idée de se faire déguster par une femme ne lui posait pas le moindre problème...
Guillaume, lui, décida de me remplacer en s’installant dans la bouche d’Alice que je venais de remplir. J’en profitai pour me positionner derrière sa femme agenouillée sur le carrelage et l’invitai par une caresse sur les fesses à m’offrir un meilleur accès à son intimité.
Alice venait de me faire jouir, mais j’en voulais encore moi aussi.
Céline pivota sans attendre son basin, sans que sa bouche ne quitte le sexe d’Alice. Fesses scandaleusement ouvertes, la vue était sublime... Et même si je n’avais pas encore récupéré de mon premier orgasme, l’envie de m’engouffrer dans chaque recoin de son intimité était toujours aussi présente.
— C’est trop bon... murmura Alice en se libérant furtivement du sexe qu’elle dévorait.
Léchée, baisée puis à nouveau léchée... ma femme ne pouvait qu’adorer l’attention qui lui était portée.
En ouvrant un peu plus encore la croupe de Céline avec mes mains, j’entamai d’indécentes caresses avec ma langue sur ce petit trou sombre et vierge de toute intrusion. Un délice indescriptible que de le sentir s’ouvrir sous la pression de ma langue. Ses petits gémissements me confirmaient que cette sensation lui plaisait autant qu’a moi. Je n’avais pas oublié qu’elle n’aimait pas spécialement la sodomie, mais je découvrais qu’elle adorait se faire bouffer le cul.
Au fur et à mesure que mes doigts se glissèrent dans son sexe, ma partenaire de jeu sembla perdre le contrôle de ses propres caresses sur ma femme. Elle avait le plus grand mal à rester concentrée, mais elle luttait...
Alice qui s’activait sur Guillaume avait repris ses vocalises, même si elles étaient étouffées par la queue qui l’occupait. Elle, qui n’avait jamais été intéressée par une relation sexuelle avec une autre femme, prenait son pied à se faire déguster par son amie.
Guillaume se retira sans préavis de la bouche d’Alice, puis se dirigea vers celle de sa femme. La saisissant par les cheveux, il effectua quelques allers-retours entre ses lèvres fines, puis se retira. Invitant son épouse à libérer l’accès à la chatte qu’elle butinait, il saisit Alice par les jambes pour la décaler un peu, avant de s’engouffrer en elle sans ménagement.
Il la baisa de nouveau avec force. Tel un bulldozer, il la défonçait sans ménagement, pour le plus grand plaisir de ma femme.
— Baise-moi comme ça..., me demanda Céline d’une voix douce en posant ses avant-bras sur l’assise du canapé.
Ce moment charnel avait commencé depuis plus de trois quarts d’heure et nous semblions tous les quatre inarrêtables.
A nouveau opérationnel depuis quelques minutes, je m’exécutai. L’orgasme lancinant de Céline, celui qu’elle avait bel et bien interrompu volontairement un peu plus tôt, reprit... mais à la puissance dix.
Elle hurlait de plaisir, entrecoupant ses rugissements de puissants « Oh oui », « encore » ou « plus fort ». Après l’avoir laissé me chevaucher avec douceur, je la baisai à mon tour, mais comme un animal cette fois-ci.
Alice, la bouche ouverte comme pour tenter de trouver de l’oxygène, regardait Guillaume s’enfoncer sauvagement en elle. Un regard que je connaissais bien et l’implorait de l’achever tant son plaisir était grand.
— Continue ! Continue ! le supplia-t-elle et l’informant qu’il allait la faire jouir une deuxième fois.
Nos deux femmes atteignirent le 7ème ciel quasi en même temps, suivies par Guillaume qui ne tenait plus après tant d’aller-retour dans l’exquise petite chatte de ma femme.
Je poursuivis encore quelques secondes mes coups de reins sauvages, avant de me figer à mon tour dans Céline. La queue plantée dans son vagin brûlant, je me vidai sans retenue dans cette chatte qui ne m’appartenait pas et sous le regard bienveillant de son mari.
Alors que nous pensions que ce moment d’une rare intensité touchait à sa fin, Guillaume présenta son sexe dégoulinant de sperme et de mouille, mais toujours raide, à la bouche de sa femme. Elle n’avait pas encore repris son souffle, mais elle s’activa sans rechigner sur la bite luisante de son homme.
— Ils sont inépuisables... pensai-je en découvrant avec admiration leur endurance.
Je libérai Céline, pour rejoindre Alice sur le canapé. Nous étions tous les deux épuisés et rassasiés. Sa tête sur le côté, à bout de force, elle posa sa main sur la mienne. Elle était incapable de parler ou de bouger, mais elle avait envie d’être au contact de ma peau.
En reprenant moi-même mes esprits, j’observai avec délectation ces deux chattes débordantes de plaisirs.
Celle d’Alice avait largement coulé sur le bord du canapé qu’elle n’avait pas quitté. Les cuisses toujours grandes ouvertes, un petit filet blanc parcourait l’entrée de son sexe totalement dilaté. Une vue d’une rare obscénité... mais sublime.
Celle de Céline, qui continuait à sucer son homme sans relâche, se vidait lentement entre ses jambes serrées. Régulièrement, elle goûtait sur l’intérieur de ses cuisses.
— Pas de doute... elle adore sucer... pensai-je en l’observant œuvrer.
Guillaume retira sa queue de la bouche de Céline, avant de la contourner et de s’enfoncer à son tour dans sa chatte. Il venait de jouir, mais il n’avait pas débandé... quelle résistance !
En la baisant à nouveau avec brutalité, il semblait décidé à offrir à sa femme un deuxième orgasme tout aussi puissant que le premier. Céline hurlait de nouveau à tue-tête...
— Cette superbe brune est une vraie machine à jouir... pensai-je en les observant comme un spectateur devant un film porno.
Les cris de Céline cessèrent brutalement et son corps se mit à trembler de toute part, secoué par ce nouveau moment d’extase. Guillaume finit par jouir à son tour, écartant avec fougue le cul de sa femme pour enfoncer sa queue au plus profond de son sexe.
Céline resta en position quelques secondes, à genoux sur le carrelage, la tête posée sur l’assise du canapé. Les mouvements saccadés de son dos laissaient transparaître sa respiration rapide, presque au bord de l’asphyxie. 
Alice avait repris des forces et l’observait, sourire au coin des lèvres. Nous venions de baiser comme des bêtes... et putain... que c’était bon.
Comme par miracle, nous avions tous joui deux fois. Un petit détail sans grande importance, mais qui occupait mon esprit brièvement. J’avais eu peur de ne pas être « à la hauteur », tout comme j’avais eu peur de ne pas reprendre des forces assez vite après qu’Alice m’ait fait jouir dans sa bouche.
Mais pour moi, tout s’était déroulé à merveille, tout comme cela semblait être le cas pour Alice et nos deux invités.
Nous fûmes les premiers à partir à la douche, laissant Guillaume et Céline reprendre des forces un verre d’alcool à la main.
En quittant le salon, je jetai un dernier regard...
La scène était surréaliste. L’odeur de sexe avait envahi la pièce, notre canapé et le carrelage était repeint et nos deux amis étaient toujours là dans notre salon... nus et luisants de transpiration.
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