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La génèse

Chapitre 7

Du plaisir… au malaise.

Erotique
Alice et moi avions tous les deux dormi d’un sommeil lourd et profond. Les émotions de la veille nous avaient littéralement épuisé...
Notre matinée se déroula de manière habituelle, à ceci près que nous avions nettoyé les traces laissées par notre folle aventure, sur notre canapé et sur le sol. Laver le sol et déhousser des coussins ne m’étaient jamais apparus aussi « excitants » par le passé. Dans le cas présent, je souriais, la tête pleine de souvenirs...
Etrangement ni l’un ni l’autre n’abordions vraiment le sujet. Quelques petites allusions de ma part, mais aucun véritable débrief de cette soirée hors du temps.
Une gêne, lancinante, presque diffuse... s’installa peu à peu.
Le midi, nous mangions chez les parents d’Alice qui avaient gardé nos enfants la veille. Nous avions convenu d’évoquer une soirée en amoureux devant notre série du moment si des questions devaient nous être posées.
Un repas et une après-midi agréable, avant que nous ne rentrions à la maison.
Le moment du coucher venu, Alice m’embrassa tendrement avant de s’endormir rapidement.
— Je suis crevée... Dors bien mon cœur, m’avait-elle dit avant de se retourner.
J’hésitai à lui répondre avec humour, en faisant référence à toute l’énergie qu’elle avait dépensée la veille et pouvant justifier sa fatigue... mais je me retins. J’avais très envie de discuter avec elle de cette folle soirée, mais je voyais bien que quelque chose clochait.
Et puis je connaissais suffisamment bien ma femme pour savoir que l’état d’esprit dans lequel elle semblait être n’était pas propice aux discussions... Une engueulade au mieux, mais rien de bon.
Elle semblait mal à l’aise et ça m’ennuyait beaucoup, car dans mon esprit le moment avait été magique... pour nous deux. Je décidai de me taire, pensant qu’elle avait peut-être juste besoin de 24 heures pour « encaisser » l’intensité de cette expérience.
Je reportai notre échange au lendemain...
Les jours passèrent et se ressemblèrent. D’apparence, tout était normal, mais nous n’avions pas fait l’amour depuis une semaine ce qui était assez rare, en dehors des périodes d’indisponibilité pour Alice. Une situation d’autant plus étrange que ma femme avait posé une semaine de congé, pour être avec les enfants. Et en général, notre activité sexuelle était plus riche lorsqu’elle ne bossait pas.

Moi j’avais très envie d’elle, dès le lendemain à vrai dire, mais Alice me semblait toujours aussi... fuyante.
En cette veille de week-end, Alice m’envoya un SMS en fin de matinée.
[SMS]<Coucou mon cœur ! Pas trop longue ta journée ? Céline m’a proposé d’aller boire un coup après le boulot. Elle quitte à midi, donc on se fait une après-midi entre filles. Bisous !
Son message était une bonne nouvelle pour moi. Elle pourrait passer du temps avec son amie et j’espérais qu’elle puisse se confier et discuter de notre soirée. Je lui répondis avec entrain, lui souhaitant de passer un bon moment.
De mon côté j’avais prévu de profiter du week-end pour aborder ce petit « malaise » que j’avais ressenti depuis notre soirée. Son entrevue tombait à point nommé : elle m’offrait une bonne entrée en matière...
Alice m’informa de son retour à la maison vers seize heures, tandis que je rentrai du boulot vers dix-huit heures. J’étais nerveux, autant qu’impatient de pouvoir parler avec elle.
Les enfants couchés, nous nous installâmes sur le canapé en zappant à la recherche d’un programme intéressant. Comme d’habitude, il n’y avait rien et comme d’habitude nous lançâmes Netflix à la recherche d’une bonne série ou d’un bon film.
— Alors ton après-midi, tu ne m’as pas raconté ? lançai-je à Alice.— C’était très sympa... et ça m’a fait du bien, me répondit-elle en continuant de naviguer dans les menus.
Sa réponse aussi courte qu’elle eut été m’apporta deux informations importantes. Le malaise que j’avais ressenti était bien réel... et ce moment avec son amie lui avait « fait du bien ».
Je la questionnai donc plus directement sur ce qui n’allait pas depuis notre folle expérience, avec une inquiétude : qu’elle se referme comme une huître, comme elle savait si bien le faire.
A ma grande surprise, Alice m’expliqua assez facilement ce qui l’avait plongée dans cet état de gêne.
Après m’avoir confirmé qu’elle avait adoré le moment, elle m’indiqua qu’elle se sentait « honteuse » selon ses termes. S’offrir à un autre homme l’avait complètement chamboulée dans ses principes moraux et elle avait presque l’impression de m’avoir trompé.
— Et puis franchement... je ne comprends toujours pas que tu puisses avoir pris du plaisir en me voyant jouir avec un autre homme. Je me dis que tu ne dois plus avoir envie de moi du coup... ajouta-t-elle à la fin de sa longue explication.
Même si j’étais triste de la voir aussi mal, j’étais d’une certaine manière... soulagé. Elle n’avait pas mal vécu le moment et elle ne m’en voulait pas pour quelque chose qui aurait pu m’échapper.
En revanche, c’était « l’après » et la culpabilité qui l’avait envahie dès le lendemain. Une culpabilité qui n’avait pas de sens pour moi, puisque j’étais consentant ! J’avais moi-même passé un moment magique, mais son embarras était là, bien réel, et il allait falloir le gérer.
Un peu comme elle, j’avais eu peur qu’elle fût jalouse du plaisir que m’avait procuré Céline. Qu’elle se soit sentie trahie en quelque sorte... Mais il n’en était rien. C’était mon regard sur elle, autant que son propre regard sur elle-même, qui lui posait problème.
— Et du coup, tu en as parlé avec Céline ? Elle t’a dit quoi ? lui demandai-je en retour, tout en réfléchissant au meilleur moyen de la rassurer.— Bah que ça lui avait fait pareil au début, et qu’aujourd’hui ils vivaient le truc sans aucun problème... me répondit-elle.
Durant un long moment, je rassurai ma femme sur tous les aspects de cette culpabilité absurde. Minute après minute j’avais le sentiment qu’elle se décrispait, rassurée par mon retour autant que par l’échange qu’elle avait eu avec son amie.
Non, pour moi ma femme n’était pas devenue « une chose impropre » que je ne désirais plus. Bien au contraire !
— Si pour toi c’est trop compliqué à gérer, on est pas obligé de recommencer. On aura testé, on aura adoré le moment, et ça resta juste une super expérience... lui proposai-je afin d’essayer d’apaiser ses peurs.— Bah justement, je ne sais pas ! D’un côté j’ai trouvé ça tellement bien... de l’autre j’ai ce putain de sentiment de honte qui tourne dans ma tête... J’ai adoré un truc qui me met super mal à l’aise et ça me fait un peu peur... finit-elle par me répondre après un long silence.
Une fois de plus, ce n’était donc pas l’idée de coucher avec d’autres hommes qui lui posait problème, mais simplement le fait de l’assumer. Je lui expliquai longuement ma vision du libertinage en couple, à l’opposé de l’infidélité et de la tromperie. Un couple, c’était partager ensemble, prendre du plaisir ensemble et découvrir de nouvelles choses ensemble... et c’était bien ce que nous avions fait.
Alice m’écouta attentivement.
L’absence de cadre semblait également être un point de crispation pour ma femme. Une sorte de « mais où cela va-t-il nous conduire ? » pas forcément très clair, mais perceptible. Je tentai donc d’y apporter une réponse...
— Je pense qu’on devrait se fixer des règles, une sorte de code à respecter pour ne pas mal vivre nos futures expériences libertines... enfin s’il y en a d’autres, lui proposai-je en guise de première solution.— Oui c’est clair... on aurait dû le faire dès le départ. D’ailleurs j’avais failli t’en parler. Mais vu que je voulais pas qu’on en parle... me confessa-t-elle en avouant comme rarement son erreur.
Nous échangeâmes longuement sur les règles concernant nos hypothétiques futures aventures libertines.
La première concerna le fait que nous ne devrions jamais nous lancer dans ce genre d’aventure autrement que par attirance physique pour les personnes concernées. Pas de sentiments ou d’attirance affective, juste du désir. C’était une évidence pour moi, mais quitte à fixer des règles autant être le plus exhaustif possible.
La seconde concerna le fait de toujours être présent ensemble dans ce genre de moment. Il n’était pas question de participer à un moment de plaisir durant lequel nous serions séparés. Ce fut un point important pour Alice... et pour moi, là encore c’était un prérequis.
Notre troisième règle fut en lien avec le rythme de nos futures expériences. Elles devaient rester « exceptionnelles », et ne surtout pas remplacer notre vie sexuelle courante. Deux à trois fois par an, tout au plus... Alice valida cette règle qui semblait parfaitement lui convenir.
La quatrième fut relative à la gêne que nous pourrions ressentir l’un, comme l’autre. Nous nous promîmes d’en parler, sans attendre, et de tout stopper si l’un de nous en avait l’envie, ou si nos jeux avaient un impact négatif sur notre vie intime. Tout simplement de nous dire les choses, sans peur et sans réserve.
Aussi paradoxal que cela puisse être, ce fut Alice qui évoqua cette règle... Elle qui était restée mutique pendant une semaine ! Sans doute avait-elle eu peur que je n’ose pas lui dire le fond de ma pensée la concernant. Mais pour moi elle était toujours aussi désirable... si ne n’était plus encore... Ce qui était une évidence pour moi ne l’était pas pour elle. Je validai cette règle...
Le dernier point de ces cinq règles immuables concerna les partenaires avec lesquels nous serions susceptibles de partager ce genre de moment. Il n’était pas question de faire n’importe quoi avec n’importe qui. Pas d’inconnus trouvés sur le Net, pas de collègues de boulot, etc...
— On oublie les clubs échangistes ? lui demandai-je lorsque nous listions les différentes opportunités.— Franchement l’idée est excitante, mais j’ai trop peur de tomber sur des gros dégueulasses dans la vraie vie... donc à voir ! me répondit Alice, peu convaincue.
J’allais jusqu’au bout de la question en évoquant avec elle, les fameuses soirées spéciales dont m’avait parlé Guillaume. Elles n’étaient pas du tout d’actualité, puisque nous ne faisions pas partie du « groupe », mais j’avais envie de connaître son avis.
— C’est chelou, je ne savais même pas que ça existait. Après je trouve que c’est déjà moins glauque que le club échangiste ! Le petit côté « Eyes Wide Shut » me plaît déjà beaucoup plus. Et puis au moins... c’est Safe... me dit-elle.
Dans ses fantasmes, Alice s’imaginait facilement baiser avec des inconnus dans toutes sortes de situations ubuesques. Dans la vraie vie, c’était très différent. Outre l’importance qu’elle apportait à mon regard sur elle, il n’était pas question dans son esprit de prendre des risques inconsidérés.
Le rêve et la réalité n’étaient pas identiques et son envie de jouer en « sécurité » m’allait très bien. Elle pourrait parfaitement continuer de rêver s’offrir à d’autres hommes n’importe où et n’importe comment... tout en le faisant en vrai, mais avec beaucoup plus de tempérance.
Notre longue discussion nous fit du bien à tous les deux. Ma nervosité avait disparu et son mal-être semblait avoir été apaisé. Notre week-end s’annonçait moins compliqué que la semaine qui venait de s’écouler et j’en étais véritablement soulagé.
— On va dans le lit ? me proposa Alice en stoppant le film que nous ne regardions pas.
Le regard qu’elle me lança en accompagnant ses quelques mots fut sans équivoque. Un regard libérateur pour moi. Elle avait envie de faire l’amour...
Après avoir accueilli sa proposition avec enthousiasme, je rejoignis Alice arrivée la première dans notre chambre.
Allongée sur le dos au milieu du lit, elle s’était attachée les deux mains avec nos menottes en fourrure. Entièrement nue, une jambe légèrement remontée, je savourai l’instant et la vue en me déshabillant à la hâte.
Elle était si belle, si désirable... et d’une humeur délicieusement joueuse.
— J’ai trop envie de ta langue pour commencer... et après... tu fais ce que tu veux de moi, me lança-t-elle au moment même où je m’installai à ses côtés.
Je me positionnai sans attendre entre ses jambes, accompagnant mon approche de quelques douces caresses sur l’intérieur de ses cuisses, qu’elle avait plus largement ouvertes.
Le cunnilingus, long et passionné, que je lui offris était à la hauteur de la frustration qui avait été la mienne durant ces derniers jours. Je la dévorai à pleine bouche, me délectant de son fabuleux nectar.
Libérée de ses propres tourments, elle jouit avec une rapidité déconcertante. Mains attachées et bras tendus au-dessus de sa tête, elle utilisa ses mains plaquées sur la tête de lit pour accompagner mes coups de langue profonds dans sa vulve trempée.
Les mouvements de son bassin et les infimes va-et-vient qu’elle réalisait à la force des bras étaient juste fantastiques.
Le long gémissement qu’elle laissa échapper avant de bloquer sa respiration précéda les puissantes contractions de son vagin. Du bout de ma langue plantée en elle, j’avais l’impression que son cœur battait dans son sexe...
— Mets-toi à quatre pattes ! lui ordonnai-je en libérant son sexe luisant.
D’un bon elle s’exécuta, m’offrant sa croupe sans la moindre retenue. Bras toujours tendus au-dessus de son visage posé sur le matelas, les jambes largement écartées et cambrées à l’excès... elle m’offrit la plus belle vue du monde.
Sa petite chatte brillante et largement ouverte était fantastique. Et son petit trou... humidifié par le ruissellement naturel de sa mouille lorsqu’elle était sur le dos... l’était tout autant.
Le contact de ma langue sur ce dernier relança quasi instantanément ses vocalises. Il était brûlant et déjà parfaitement détendu. Mes coups de langue et les intrusions qui les accompagnèrent, témoignèrent de mon niveau excitation, pour le plus grand bonheur d’Alice. Je lui bouffais le cul comme un mort de faim... et il n’était plus possible pour elle de douter de mon désir à son égard.
Surexcité par ma dégustation, je finis par me redresser et la saisir avec fermeté, les deux mains posées sur le haut de ses fesses divinement ouvertes.
La dirigeant vers mon sexe dressé dans sa direction, je m’enfonçai de toute ma longueur dans son vagin bouillonnant.
— Ohhh ouiiiiiii... laissa échapper Alice dans un long souffle libérateur.
Statique et la tête basculée en arrière, je profitai de l’instant. Ce petit coin de paradis que je connaissais par cœur était, depuis plus de seize ans, une source inépuisable de bonheur pour moi.
Instinctivement, elle débuta d’amples et profonds va-et-vient, ondulant sur ma queue avec une énergie exceptionnelle. Ce n’était pas moi qui la baisais... mais elle qui me baisait avec la même force que celle qui était la mienne habituellement.
Le plaisir de voir sa vulve se déformer à chacun de ses allers-retours était tout simplement indescriptible...
— Jouis en même temps que moi... lâche-toi en moi ! m’ordonna-t-elle aux portes du paradis.
Sentant mon propre orgasme monter à la vitesse d’une balle de fusil, j’enfonçai mon pouce à mi-longueur dans son petit trou brûlant. Alice s’arrêta, les poings serrés et la respiration à nouveau bloquée.
Les battements de son vagin avaient repris et accompagnaient mes longues saccades. Nous venions d’atteindre l’extase ensemble...
Tous les deux immobiles, mon pouce planté dans son petit cul et ma queue au plus profond de sa merveilleuse chatte, je finis par laisser échapper un puissant soupir. Un soupir de plaisir autant que de satisfaction, celle d’avoir retrouvé la femme de tous mes désirs.
Le râle de plaisir d’Alice, débuté au premier soubresaut de ma queue, me sembla interminable. Il avait accompagné toute mon éjaculation, se prolongeant bien au-delà. Elle savourait ce moment de fusion partagé, transportée dans un autre monde.
Même si c’était loin d’être toujours le cas, Alice avait toujours adoré me sentir jouir en elle pendant son propre orgasme. C’était pour elle « le top du top » selon ses mots...
Nous restâmes quelques instants, totalement emboîtés, avant que je ne libère ses deux délicieux orifices. Puis, nous nous laissâmes chacun tomber sur le matelas, l’un en face de l’autre.
— Je t’aime mon cœur... me lança Alice d’une petite voix dans laquelle fatigue et bonheur se mélangeaient.— Moi aussi je t’aime mon amour... lui répondis-je en caressant son visage.
Notre semaine se terminait mille fois mieux qu’elle n’avait commencé...
Alice, pleine de désirs, m’offrit un week-end exceptionnellement riche en orgasmes et en prises d’initiatives. Cinq orgasmes en deux jours, je n’avais pas souvenir d’avoir pris autant de plaisir en si peu de temps, pas même lorsque j’avais vingt ans...
Ses peurs, sa honte et ses angoisses semblaient s’être dissipées pour mon plus grand bonheur.
Le lundi suivant, de retour au boulot la bite et les couilles endolories par cette suractivité inhabituelle, je décidai d’appeler mon pote Guillaume pour prendre des nouvelles. Hormis un bref échange par message, nous n’avions pas parlé depuis notre soirée.
— Hey salut ma poule ! Ça va ? J’allais t’appeler pour prendre des nouvelles ! me lança-t-il en prenant mon appel.
Nous discutâmes quelques minutes de nos week-ends respectifs, avant de revenir sur le précédent. Guillaume m’indiqua qu’il avait hésité à m’appeler, mais avait préféré me laisser le temps de « digérer » la soirée. Je lui indiquai que pour moi la « digestion » s’était très bien passée, mais que pour Alice ça avait été plus compliqué...
— Oui je sais, Céline m’en a parlé et ça lui avait fait pareil à l’époque... Elle en était malade la première fois, à en avoir envie de vomir les jours suivants ! Et pendant un bon moment. On a vachement discuté après et elle a fini par arrêter de se prendre la tête... les gonzesses quoi ! On va dire qu’on se pose moins de questions, même si moi aussi ça m’a fait bizarre le lendemain... Mais elles ont vraiment beaucoup de mal à pas se dire qu’elles sont de grosses salopes quand elles se lâchent... Alors qu’objectivement, c’est ce qu’on aime nan ? me répondit-il avec son style habituel.
Sa réponse manqua de finesse, mais sur le fond, il n’avait pas tort.
Porté par le week-end que ma femme venait de m’offrir et rassuré par le retour d’expérience de mon ami, je repris ma journée de travail l’esprit léger.
Pour mon plus grand bonheur, Alice avait très envie de se comporter de manière indécente, mais redoutait simplement d’être jugée de manière dégradante. Charge à moi de lui ôter cette idée de la tête en prévision de nos prochaines "folles aventures"...
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