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Geneviève, jeune professionnelle dévergondée

Chapitre 1

Trash
Assis par terre dans l’obscurité du placard, bouleversé, j’écoutais ma femme jouir et compris qu’elle avait été transformée en esclave sexuelle par cet homme. Malgré tout, je ne pouvais empêcher ma verge de bander et ne pu résister à me branler devant ce spectacle, envahit à la fois par un sentiment de honte et d’excitation.
Cette histoire a commencé au moment ou j’ai voulu faire une surprise à ma femme Geneviève pour notre cinquième anniversaire de mariage. Elle partait pour la semaine en congrès avec quelques employés de son entreprise. Elle est ingénieure pour une grande firme et ces séminaires sont monnaie courante. Ils sont toujours hébergés dans de grands hôtels de la métropole aux frais de l’employeur, Geneviève a d’excellentes conditions d’emploi pour une jeune femme d’à peine 26 ans, bien mieux que les miennes à 37 ans. Nous devions fêter notre anniversaire dans quelques jours, à son retour. Je décidai de devancer les choses. J’avais discrètement jeté un coup d’œil à son agenda de sa semaine dans son IPad et je savais qu’en ce mercredi, c’était soirée libre. Je voulais la surprendre et l’inviter à dîner dans un grand restaurant, la réservation était déjà faite. Je me dirigeai donc vers l’hôtel durant l’après-midi, c’était quand même 2 heures de voitures de notre domicile.
Enfin arrivé, je dus négocier avec la réceptionniste afin qu’elle me donne une clé de la chambre de ma femme. En lui expliquant mes motifs et en lui montrant mes papiers, elle accepta finalement non sans l’approbation du directeur. Je montai à sa chambre au quinzième étage, elle n’était pas encore là, tel que prévu, j’avais encore une trentaine de minutes devant moi que je passai à rêvasser au sexe que Geneviève et moi allions avoir, du moins je l’espérais. Une soirée à l’hôtel est toujours propice à des rapprochements sexuels, j’espérais que cette petite surprise puisse mousser un peu nos ébats. Ma femme avait toujours été timide au lit voire même un peu passive. J’avais l’intention de tirer un bon coup ce soir.
L’heure de la fin de leurs réunions approchait, je poussai un peu plus loin mon stratagème, il y avait un placard avec des portes persiennes, je décidai de m’y cacher. À peine avais-je pris mes aises dans cet espace clos, la porte de la chambre s’ouvrit, Geneviève entra, elle déposa son sac et retira ses chaussures. Les persiennes amovibles de la porte était ouvertes presque entièrement à l’horizontal de sorte que je voyais très bien dans la pièce tout en étant moi-même invisible, protégé par l’obscurité du placard. Elle était magnifique, elle l’avait toujours été. Elle était svelte, son cul dans son tailleur était craquant, petit mais légèrement bombé. Son chemisier blanc plongeant laissant deviner une belle poitrine ferme, devait faire baver d’envie ses collègues masculins. J’avais toujours adoré ses longs cheveux noirs à peine ondulés qui lui descendaient au milieu du dos. À ce moment, j’étais fier que cette superbe femme soit la mienne.
Je commençais à trouver que mon petit jeu avait assez duré, au moment où je m’apprêtais à me révéler, on cogna à la porte. Je restai caché, après tout, s’il s’agissait du supérieur de Geneviève, je ne voulais pas que ma présence lui cause des soucis. Elle ouvrit, je ne voyais pas le visiteur d’où je me trouvais mais elle semblait très contente de sa présence. Les deux s’avancèrent dans la chambre, je vis son invité, un jeune homme d’une trentaine d’année, je ne le connaissais pas, un de ses collègue ingénieur sans doute. C’était un grand type métissé, la peau d’un brun très clair, à peine basané. Il était baraqué et, je dois avouer, plutôt beau gosse dans son costard ajusté.
Je fus renversé quand je vis Geneviève, se tenant devant lui, détacher lentement chaque bouton de son chemisier et le retirer. Il lui fit signe d’ôter son soutient-gorge, elle s’exécuta, lui dévoilant ses seins sans aucune pudeur. Mais à quel jeu jouait-elle ? Je ne comprenais pas ce qui était en train de se dérouler sous mes yeux. Il lui demanda de lever sa jupe, elle ne portait pas de petites culottes, jamais elle n’avait oser ne pas porter de petites culottes, ce n’était pas elle! Du moins c’est ce que je croyais. Le salopard lui mis la main dans l’entrejambe et la caressa, elle lui dit en retour qu’elle était déjà toute prête pour lui. Le type la projeta sur le lit et commença à se dévêtir lui-même. Le placard était juste devant le lit, je voyais l’homme de dos, flambant nu, il se rua sur ma femme qui l’attendait docilement, les jambes écartées. Sans aucun préliminaire, il la pénétra, les fesses musclées de son amant allaient et venaient, Geneviève gémissait déjà Bruyamment.
Sans se retirer, il tourna sur lui-même entraînant ma femme au-dessus de lui. Je la voyais nettement, assise sur l’homme, le dos légèrement cambré vers l’arrière, ses mains en appuie sur les cuisses de l’homme. Elle bougeait son derrière d’avant arrière frénétiquement sur la verge d’un autre, recherchant l’orgasme. Elle gémissait comme elle ne l’avait jamais fait avec moi, sans aucune retenue, se caressant les seins et de pinçant les mamelons elle-même pour augmenter son plaisir et celui de son partenaire. Geneviève, la femme timide au lit que je connaissais, se métamorphosait avec ce type, son émancipation était magnifique, je dois l’admettre. Se penchant sur lui pour l’embrasser, son cul amorça des mouvements de haut en bas faisant à chaque fois entrer et sortir presque entièrement le pénis de l’homme qui me cocufiait. J’eus alors un autre choc. La grosseur de la bite qui transperçait ma femme était stupéfiante! Comment pouvait-elle accueillir en elle un verge si volumineuse, autant en largeur qu’en longueur. Mon orgueil en prit un coup. Malgré cela, je ne pouvais pas empêcher mon propre engin de commencer à durcir, voir ma femme se faire baiser devant moi m’excitait.
Il lui ordonna de se mettre à quatre pattes sur le lit, ce qu’elle fit immédiatement en l’appelant ’’son maître’’. Ce salaud avait fait de ma petite Geneviève son esclave sexuel, elle l’écoutait au doigt et à l’œil. Je n’avais jamais vu ma femme en 5 ans de mariage, nue à quatre pattes. Elle avait toujours dit qu’elle se sentait comme un animal et qu’elle n’était pas à l’aise dans cette position. Elle était maintenant ainsi placée, face à moi, les yeux fermés, la bouche ouverte, la croupe relevée, attendant de se faire prendre par son maître. Il se plaça derrière elle et lui annonça qu’il allait lui mettre dans le cul, ’’dans le cul de sa petite salope’’. Autre choc, j’étais convaincu qu’elle allait protester illico, qu’elle refuserait une telle demande. J’avais envie moi-même de sortir et de m’objecter. Au contraire, elle accota la tête docilement sur le lit pour permettre à ses deux mains d’écarter ses deux petites fesses, attendant la verge. De toute évidence, ma femme était le jouet personnel de cet homme, je n’avais pas su au fil des ans, l’amener vers son émancipation sexuelle. Geneviève avait trouvé quelqu’un qui pouvait, au fond d’elle, ma femme était désireuse d’être dominée.
L’homme commença à s’introduire dans le cul de ma femme. Les gémissements de Geneviève se transformèrent en cris. Je voyais son visage se crisper et sa bouche grimacer pendant que le salaud forçait l’entrée de son phallus dans l’orifice anal trop étroit et pas suffisamment dilaté. Voir à quelques mètres face à moi ma femme se faire sodomiser par cette grosse queue m’excitait de plus en plus. Je commença à me branler, c’était plus fort que moi. Il l’enculait maintenant vigoureusement. Sa verge gonflée entrait et sortait complètement à chaque mouvement de bassin. Le cul de Geneviève coulissait avec une facilité déconcertante autour du mandrin de son maître. Ce n’était pas sa première fois dans l’anus, loin de là. Elle criait sans arrêt son plaisir, elle adorait être sodomisée, l’homme répondait en augmentant la cadence et la puissance de ses coups. Je n’avais jamais osé pénétrer ma femme avec cette vigueur par le vagin, de peur de lui déplaire, voilà que cette brute lui défonçait littéralement le cul, et elle en redemandait!
Soudainement, son maître la souleva d’un seul bras et sans se retirer, la transporta sans effort vers l’endroit où je me trouvais. Par peur d’être découvert je m’assis par terre au fond du placard afin de rester invisible. Il stoppa juste devant la porte. La queue toujours enchâssée en elle, Il lui posa les pieds au sol. Sous la consigne de l’homme, elle dut se pencher vers l’avant, son corps formant un angle droit avec ses jambes. Sa tête et ses mains étaient appuyés directement sur la porte. Il reprit là où il avait laissé et continua à l’enculer dans cette position. Maintenant assis, je voyais clairement ma femme, elle était à un mètre de moi à peine. Ses seins vibraient et sa tête frappait dans les persiennes à chaque assaut qu’elle encaissant entre ses douces fesses. Le type la traitait sans arrêt de salope et de chienne, et à chaque fois, les gémissements de Geneviève augmentaient en intensité. Elle aimait être insultée et dominée. Pour maintenir son équilibre, ses mains agrippaient les lattes du placard. Je voyais ses doigts de mon côté de la porte pendant qu’elle subissait cette vigoureuse sodomie. Puis, ce que je ne croyais pas possible se produisit, les cris de ma femme prirent une proportion démesurée, elle jouit. Elle atteignit l’orgasme par pénétration anale. Son maître lui sautait le cul sauvagement, Geneviève criait de plaisir et tout son corps tremblait, le cul empalé sur la monstrueuse bite. N’ayant cesser de me masturber, je vins moi aussi et déchargea par terre, les cris de ma femme étouffant complètement le peu de bruit que j’aurais pu faire. Pour une rare fois, ma femme et moi jouîmes en même temps.
L’homme lui ordonna de se placer à genoux, elle s’exécuta sans broncher. Il branlait sa verge à quelques centimètre du visage de ma Geneviève. La bouche ouverte et la langue pendue, elle le suppliait de lui venir dans la bouche. Son maître choisi plutôt de tout décharger sur sa face. Sa grosse bite cracha une série de jets directement sur ma femme. Son jolie visage fut rapidement souillé d’une importante quantité de sperme. L’homme termina son éjaculation en assena quelques coup de phallus sur les joues de ma conjointe en la traitant de pute. Elle le remercia de l’avoir ainsi baisé comme elle le méritait. Jamais je n’aurais cru voir un jour le visage angélique de Geneviève maculé de foutre, j’étais subjugué, elle était splendide.
Il lui ordonna de ne pas essuyé son visage jusqu’à temps qu’il lui indique, s’il revenait et qu’elle désobéissait, les conséquences seraient sévères. Il se rhabilla en vitesse et quitta la chambre. Ma femme se coucha sur le lit, nue, le visage inondé de sperme, elle se conforma aux directives. Après un moment, elle commença à se caresser doucement la poitrine, puis rapidement, entama de se masturber. Elle jouit encore. Je réalisa pleinement que je ne connaissais pas mon épouse, c’était une vrai petite salope. Une bonne heure passa, le foutre sur son visage avait totalement séché, elle n’y avait pas touché. Soudain, son téléphone vibra, c’était un texto, elle le lu et se leva aussitôt pour aller se doucher.
J’en profita pour enfin sortir de ma cachette, je jeta un coup d’œil à son portable, le texto était de son maître lui disant qu’elle pouvait se laver. Il faisait parti de ses contacts, seul les initiales JR l’identifiaient. Il lui donnait également rendez-vous la semaine prochaine à 19h00 au gym, sans en préciser l’adresse. Je supposa donc qu’elle devait connaître déjà bien l’endroit! Je sorti de la chambre, encore plus perturbé. Il fallait que je découvre qui était cette femme qui partageait ma vie depuis 5 ans et dont je connaissais visiblement si peu choses. Elle n’ira pas seule à se rendez-vous la semaine prochaine.
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