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"A genoux..."

Chapitre 1

Attiré et...dominé

Gay
C’est ma première histoire, alors j’espère qu’elle sera appréciée ;-)

Tout se passait à merveille. Nous étions devant une centaine de personnes dans un amphithéâtre de mon université, et l’intervenant que j’avais choisi pour parler de mon sujet, le processus de paix colombien, avait complètement captivé la salle. Je m’appelle Antoine, j’ai 22 ans, 1m70, brun et un poil fluet. Pour compléter ma formation, moi et mon groupe de travail devions organiser une conférence sur les relations internationales. Mais cela ne vous intéresse sûrement pas...et moi non plus, à vrai dire.
Ce qui m’intéressait, c’était Jacques, le fameux intervenant. Ancien chargé de relations publiques à l’ambassade de France en Colombie, il présentait les signes types de ce qu’on appelle le "bon vivant" : rieur, une petite bedaine, il compensait sa cinquantaine par un enthousiasme fou et quelques blagues bien senties. Avec sa barbe de 2 jours et son visage ouvert, c’était le type même du bon gars sur lequel on pouvait tomber dans un bar et boire à en oublier les heures. Devant l’assistance, nous dialoguions de manière fluide et la conférence fut achevée dans la bonne humeur et un sentiment de succès. Le soir tombant et l’amphithéâtre rangé, Jacques nous invita naturellement à aller boire un verre dans un bar proche de l’université. Sans cours le lendemain, la perspective d’une soirée arrosée nous plût tout autant qu’à lui, si bien qu’à minuit nous animions le bar de nous grands éclats de rire, encouragés par la personnalité de notre grand homme, qui avait même commandé une bouteille de champagne. Alternant entre shots et champagne, la discussion alla bien au-delà de la Colombie...
Jusqu’à ce que je me rende compte que j’étais le seul membre de mon groupe encore présent. Les autres, extenués, avaient abandonné la soirée, me laissant seul avec ce qui devenait mon idole. Nous parlions de tout sans filtre, cours, politique, aventures,...A la fermeture du bar, nous remontions la rue, les bras sur les épaules de l’autre, après qu’il m’ait invité à finir la soirée chez lui. "Antoine, des étudiants snobinards de mes deux j’en ai vu, mais toi t’es un partenaire comme j’en ai jamais vu !" Je rigolais, fier que j’étais de me distinguer aux yeux de mon mentor. Sur la route, on titubait, on se cramponnait l’un à l’autre, mais en arrivant devant la porte de son appartement nous étions tout de même moins soûls qu’au départ du bar.
Dans son appartement, nous continuâmes à discuter et blaguer. Plus ça allait, plus je réalisais à quel point j’étais attiré par lui, intellectuellement mais aussi...physiquement ! Célibataire, hétéro, mon opinion sur les relations entre hommes s’en trouvait un poil changée...Mais je me disais que ce n’était qu’imagination, que sur le canapé ou nous étions, si proches l’un de l’autre, presque corps contre corps, rien ne se passerait vraiment.
Jusqu’au moment où il mit sa main sur ma cuisse, sans intention apparente. Puis une autre fois, et encore une autre, il refit ce geste, et moi je continuais à plonger mes yeux dans les siens.... "Tu vas continuer longtemps à me dévorer du regard, beau gosse?" J’eus le souffle coupé, je n’étais pas sûr d’avoir bien entendu et alors que j’étais soudainement paralysé, il mit délicatement da main sur ma joue et dans un mouvement lent mais inexorable, plaqua ses lèvres contre les miennes. J’étais toujours paralysé, il avait fait cela doucement mais pour moi une éternité avait passée... "Alors Antoine, j’pensais pas que je te ferais autant d’effet... - Euh...je.... Je n’eus pas le temps de répondre, mon bégaiement étant interrompu par mon mentor, ou plutôt mon...homme, qui m’embrassait avec beaucoup plus d’autorité. Et cette fois, je lui rendis immédiatement son baiser. Je pris conscience de sa langue dans ma bouche, de la magistrale pelle qu’il me roulait, j’étais soudain plongé dans la sensualité que Jacques dégageait....je n’en revenais pas, je baisai avec lui, j’étais à la fois surpris et admirable de mon corps qui réagissait à chacune de ces caresses, je repensai à toutes ces accolades un peu trop amicales qu’il me prodiguait depuis le début de cette soirée, à mon tour mes mains se mirent à courir le long de son visage, de ses hanches, de ses fesses mêmes..
- Si tu savais comme tu m’as excité mon minet, je rêvais de t’emmener chez moi ce soir..." il m’arracha presque ma chemise, découvrant mon corps presque imberbe; "Je suis pas trop musclé...." dis-je avec un peu de honte, mais pourtant il se jetait sur moi, embrassait jusqu’à mes bras.... - Tais-toi un peu, tu as un beau corps jeune et bien excitant, alors arrête de pleurnicher et laisse-moi me régaler ! — Hmmm..."
Il m’embrassait dans le cou tout en commençant à jouer avec la bosse bien dure qui se formait dans mon pantalon...je m’abandonnais tout entier, à partir de là j’étais tout à lui, je me laissais entièrement faire. Mes mains montèrent le long de son torse velu lorsqu’il enleva sa propre chemise, je savourais jusqu’à l’électricité que firent mes doigts caressant ses poils...j’étais à demi allongé sur le canapé, mes jambes dépassant, et mon séducteur était affalé tout contre moi en continuant de me masser ma bosse… Je vis son sourire pervers alors que j’attirais moi-même ses mains sur mon pantalon pour qu’il me déshabille lui-même... "Vas-y, j’en ai tellement envie" dis-je doucement... "Tu ne seras pas déçu coquin, j’ai tellement envie de voir ta bite" Tellement pressé qu’il embrassa d’abord le tissu de mon caleçon rayé qui contenait à peine mon érection...Après ces beaux bisous sur mon entrejambe, il baissa d’un coup l’unique barrière entre ses lèvres et mon sexe et il goba mon engin dans le même mouvement. Chaque mouvement de sa gorge était une petite jouissance, il me pompait rapidement, mon gland bouillait, c’était trop bon...il était parfait, jusqu’à ses petites caresses sur mes boules. Alors que je me redressai, il quitta mon gland pour sucer mes testicules, m’arrachant un gémissement : "Jacques, c’est...c’est tellement bon...oui, mes tes mains sur mon cul, tes belles mains...j’aime tellement comment tu me suces...." ses mains jouant avec mes fesses étaient trop pour moi, je jouis durant de longues saccades, j’émis un rauque soulagement alors que mon suceur avalai allègrement mon sperme...et ses mains continuaient de pétrir mon cul... Il me roula une autre pelle délicieuse, je sentais le goût de mon sperme sur sa langue, je me serrai contre lui, son beau torse poilu...il était surexcité, ses mains m’enserraient fort, puis brusquement il me retourna : "Alors tu as aimé ma pipe mon beau? Tu me rends fou, tu es trop excitant, on va passer une soirée chaude !" dit-il en me claquant allègrement les fesses, je gémissais de plaisir à chaque tape, j’étais fou de lui depuis longtemps déjà... "Et toi Jacques, tu ne montres pas ta belle bite?" osai-je ; il a suffi que je dise ça pour qu’il m’embrasse goulûment, puis il retira son pantalon, son slip noir qui moulait une longue bite en érection (25cm à vue de nez, pour les amateurs de mensurations).
"A genoux !" ordonna-t-il, déclenchant ma satisfaction perverse... "Oui..." Il se mis à me caresser mon visage avec sa bite, je lâchais quelques bisous sur cette belle pine qu’il avait, elle sentait fort...il me bifla doucement, j’étais tellement content de l’exciter, il dirigea mon visage vers sa bite pour une courte pipe, puis me repoussa sur le canapé "Mets-toi à quatre pattes et cambre ton petit cul, j’arrive..." Et il revint en un éclair, je le sentis ensuite fourrer sa langue dans mon anus, j’étais sa chose...la sensation de son organe dans la cavité était totalement nouvelle, et je pris un pied terrible pendant cet analingus... Entre deux nettoyage de fion, il m’appelait "mon petit cul", "mon minet", ce qui m’excitait encore plus, ses mains caressant sans cesse mes fesses...après son lubrifiage "fait main" et le gel qu’il introduit ensuite dans mon fion, je savais qu’il aller me pénétrer, mon corps tremblait d’excitation. Il colla sa bouche à mon oreille "Antoine je vais t’enculer, tu vas peut-être avoir un peu mal mais je te garantis que je vais bien te fourrer, tu vas prendre ton pied mon petit puceau" et moi j’acquiesçai de la tête je lui signifier mon envie de me faire remplir, je passai même ma langue sur mes lèvres, comme s’il était possible de l’exciter encore plus... Une minute plus tard, Jacques tenait ses promesses !!! Après avoir agi en douceur au début en se retenant, une fois les premières douleurs passées il m’enfonçait fort sa queue poilue dans mon cul, mon souffle était coupé tellement la sensation était forte, mais très vite je me mis à l’encourager encore plus "Ta queue est tellement bonne, vas-y, vas-y, nique -moi" "Oh oui Antoine ouvre bien ton cul cochon, ooooh t’es trop chaud, je vais te défoncer !" Je m’agrippai avec force au canapé, mon homme ne ménageait pas ses efforts et se mis à véritablement me troncher, les moments de douleur et les spasmes d’excitation s’alternaient, plus je me faisais fourrer plus la douleur laissait place à une soif de bite insoupçonnée...si ses mollets ne claquaient pas contre mes fesses, c’est lui qui me donnait de belles fessées, et sa bite entrait toujours plus profondément en moi...il gémit alors que son sperme se déversait en moi, la sensation de vide que laissait peu à peu sa bite était compensée par son liquide qui remplissait mon trou...quand il eut retiré son engin, il se pencha pour m’embrasser mes fesses, mon trou...
Je finis par me retourner pour le bécoter, sa main redevenue délicate me tenait par le menton....je me libérai de son étreinte pour me mettre à genoux, lui debout, et revenir sur sa bite pleine de sperme et de tout ce qui avait pu se trouver dans mon cul avant le passage de l’étalon grassouillet qui m’avait enculé...je lui léchai allègrement la bite, enlevant peu à peu le sperme et lui caressant les fesses à mon tour "Oh, mon petit minet...je suis tellement heureux de t’avoir mis la main dessus" ; sa bite en bouche je lui souris, il me dit : "j’ai du mal à croire qu’un petit minet comme toi puisse être aussi....salope..." Je revins à sa hauteur, lui lâchant la bite, pour lui murmurer, presque comme une femme "Oui Jacques, je suis ta petite salope, tu m’as tellement bien enculé mon bel homme..." Je passai ses mains autour de son cou, il était un peu plus grand que moi et nous nous embrassâmes profondément...je passai mes jambes autour de ses fesses, ce qui lui permit de me soulever en plaquant ses mains contre mes fesses, c’est ainsi qu’il m’emmena sur son lit, toujours en me galochant comme le meilleur de mes amants....
A suivre mes coquins !!
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