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Un gentil garçon

Chapitre 6

SM / Fétichisme
J’attendais dans la cuisine ou plutôt ce qui était devenu la salle de briefing depuis ma soumission, habillé comme me l’avait ordonné ma sœur, que mes maîtresses arrivent. Ma grande sœur devait leur faire part de ma prestation au lit. Après quelques minutes d’attente, mes trois maîtresses entrèrent dans la cuisine. Ma mère parla la première:«Ta sœur nous a dit que tu avais été un bon amant pour elle. Nous te félicitons de ta performance mais maintenant, c’est au tour de ta tante de voir de quoi tu es capable au lit.»Elle se retourna ensuite vers ma tante et lui dit:«Tu peux te déshabiller en même temps que l’esclave, petite sœur. Épargnons-nous les préliminaires.»Puis à moi:«Qu’est-ce que tu attends, esclave? Déshabille-toi et va baiser ta tante!»J’obéis aux ordres de ma mère sans poser de questions car il était impossible de dire quoi que ce soit face à un ton comme le sien. Sans réplique. Ma tante se déshabilla également et la vue de ses attributs me fit bander comme un âne. Rouge de colère, ma mère me gifla. Le bruit de la gifle résonna dans toute la pièce.«HO! ÇA VA PAS DE SE MONTRER COMME ÇA DEVANT UNE FEMME?! CE N’EST PLUS TA TANTE MAIS TA MAÎTRESSE!!! TU DOIS BANDER UNIQUEMENT LORSQU’ON LE VEUT. TU ES NOTRE ESCLAVE PAS UN HOMME, C’EST COMPRIS?!»Ma sœur éclata de rire et dit à ma mère d’un ton moqueur:«Allons, maman! Pas besoin de t’énerver. Il ne nous sera pas soumis toute sa vie. C’est même plutôt bon signe de le voir bander. Lorsqu’il sera devenu un homme, tu devras te trouver un autre esclave, ma pauvre...»Le teint de ma mère commença à virer à l’écarlate. Sa propre fille qui défendait son esclave. Voilà quelque chose qu’elle ne pouvait supporter et qu’elle voyait comme une trahison. Elle voulut crier à ma sœur mais les mots ne sortaient pas. Ma grande sœur s’adressa ensuite à ma tante:«Quelle chance tu as, tante Rosalie! Tu verras. Notre étalon va bien te satisfaire. Tu prendras ton pied comme jamais. J’aurais presque envie de vous rejoindre...»Ma mère sourit d’un air mauvais et me dit:«Eh bien, tu as une réputation à tenir, esclave. Avec ta tante et moi, ce ne sera pas aussi facile qu’avec ta sœur. Nous n’avons plus fait l’amour depuis des années. Nos attentes seront donc plus grandes.»Puis, en me donnant une fessée:«Maintenant, monte dans la chambre avec ta tante et donne-lui ce qu’elle veut. Si tu ne le fais pas, tu risques de le regretter!»
Je suivis ma tante jusque dans sa chambre puis, lorsque nous fûmes tous deux entrés dans la pièce, ma tante referma la porte à clé et alla s’allonger sur le lit. Elle tendit les bras dans ma direction et m’invita à la rejoindre.«Allez, viens mon neveu. Viens baiser ta tante en manque.»Soumis, je rejoignis ma tante sur le lit. Elle me fit ensuite basculer sur le dos et me couvrit de son corps pour me rouler une pelle magistrale que je lui rendis instinctivement. Durant tout le temps que dura notre baiser, je laissai mes mains se balader sur le corps de ma tante. Je lui caressai d’abord le dos en descendant lentement jusqu’à ses fesses bien cambrées. J’écartai ensuite ses globes fessiers puis introduisis deux doigts dans son anus. Ma tante m’embrassa plus passionnément encore. Elle semblait aimer que je la fiste. J’interrompis donc notre baiser et retirai mes doigts de son orifice pour la faire passer en-dessous de moi. Ma tante me caressa le visage tandis que je contemplais sa magnifique croupe et ses splendides attributs. Ma queue me faisait mal tant elle était dure. Ni une ni deux, je pris ma bite dans ma main et l’approchai de la chatte de ma tante. Je lui caressai doucement la fente avec mon gland avant l’instant fatidique. Je m’enfonçai doucement dans le ventre de ma tante puis entamai une série de doux va et vient qui devinrent de plus en plus puissants et rapides et ne manquèrent pas de faire crier ma tante de plaisir.«OH! C’EST BON, MON NEVEU!!! CONTINUE, BAISE-MOI BIEN LA CHATTE!!!!!»Stimulé par les cris de ma partenaire, je poursuivis mes va et vient dans son sexe. Je la pénétrai ainsi durant une dizaine de minutes puis je sortis de sa chatte et me mis à la sodomiser. Comme dans la chatte, je commençai par y aller doucement pour ensuite y aller de plus en plus vite et de plus en plus fort. Mes couilles claquaient contre les fesses de ma tante qui ne manqua pas de m’encourager.«OH OUI!!!! C’EST BON!! J’ADORE, MON NEVEU!!! DÉFONCE-MOI BIEN LE CUL!!!!!!!!»Ses paroles, bien que très stimulantes, ne me permirent pas de rester plus longtemps dans son cul. Étant donné que depuis que j’ai baisé avec ma soeur, j’aimais jouir sur le corps de mes partenaires, je sortais toujours de l’orifice que je pénétrais pour jouir sur leurs seins ou dans leur bouche. Je sortis donc du cul de ma tante et me branlai au-dessus d’elle. Il ne me fallut pas plus de quelques secondes pour souiller la bouche et les seins de ma tante de mon sperme.
Épuisé par la jouissance, je m’allongeai aux côtés de ma tante qui me félicita de ma performance.«Bravo, mon neveu! Tu as été plus qu’à la hauteur de mes espérances. Maintenant, descends dans la cuisine et va voir ta mère. Et au fait, tu peux m’appeler tante Rosalie quand on est entre nous. D’accord, mon neveu?»Je lui répondis par un sourire et allai retrouver ma mère dans la cuisine.
La suite dans le prochain épisode Marc
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