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Gentille complicité

Chapitre 2

Initiation fraternelle

Inceste
Je fermais la porte de ma chambre et relevais le bas de ma robe jusqu’au-dessus de mes hanches. Je fis glisser le bout de tissu le long de mes jambes et le remplaçais par le cadeau de ma sœur. Le petit triangle de mousseline cachait à peine la fente de mon sexe tandis que la ficelle s’introduisait profondément dans mon petit cul. Je rabattais ma robe et descendis vers la salle à manger. 
Ma sœur était affalée sur le canapé entrain de lire un magazine, la télé en bruit de fond. Je m’approchais d’elle afin de lui demander si elle voulait passer à table. Mon souffle fut coupé court par le spectacle qu’elle m’offrait ; elle était installée sur de ventre les cuisses bien ouvertes. Sa jupe était légèrement relevée, exposant ainsi une bonne partie de ses fesses. Sa nudité était cachée par un string similaire au mien. Mes yeux n’arrivaient pas à se détourner de cette vision envoûtante. Son petit derrière était parfait, une cambrure qui lui offrait une très jolie courbe et une peau de pêche parfaitement lisse. Je pouvais voir la lingerie s’insinuer entre ses deux petits globes de chair. Mon souffle s’accélérait et je me sentis soudainement fébrile. Je fus sorti tout à coup de ma torpeur quand ma sœur tourna la tête en ma direction et me dit d’un ton ironique :
— Ne te gène surtout pas !
Mon teint s’empourpra, et je baissais les yeux de honte. Elsa continua son petit manège en s’installant sur les genoux, les fesses bien en l’air et la tête couchée sur l’assise de canapé. Dans cette position je pouvais voir pratiquement toute son intimité. Le string ne cachait pratiquement plus son petit trou que je voyais apparaître de chaque côté de la ficelle. Le triangle de tissus s’insinuait entre les lèvres de son sexe glabre. C’était la toute première fois que je voyais ma sœur ainsi exposer. Mon cœur battait si fort dans ma poitrine et je sentis une chaleur très ardente naître entre mes jambes.
— Bon le spectacle est terminé petite sœur ! Il va être temps de faire notre petite séance photo, je vais chercher mon appareil.
Elle partit en direction de sa chambre. Je n’arrivais pas à sortir de cet état de semi hypnose. Je revoyais les images de ma sœur, ses fesses, son sexe. Je commençais à réaliser que j’allais bientôt être à sa place, m’exposer ainsi à la merci de ses directives d’artiste photographe.Je l’entendis arriver derrière moi.
— On va commencer gentiment, installe-toi sur le canapé.
Je m’assis les jambes croisées, les mains posées sur mes cuisses. Ma sœur commença sa mitraille. Elle était installée sur les genoux pour me prendre en contre plongée. Ma robe était remontée au trois quarts de mes cuisses.
— Maintenant tu vas remonter tes genoux sous ton menton et les entourer de tes bras.
Je m’exécutais en faisant bien attention à ce que mes chevilles cachent au maximum mon entrejambe. Une nouvelle vague de rafale retentit dans l’air. Je voyais à son regard que ma sœur en voulait plus. J’écartais un peu plus mes chevilles, lui libérant ainsi la vue. Elle ne se fit pas prier pour déclencher de plus belle. J’imaginais ce qu’elle pouvait voir, la transparence de la mousseline devait laisser apparaître la fente de mon sexe. Mon excitation s’amplifiait de seconde en seconde.
— Anna, je voudrais voir un peu ton joli petit cul, mais vu que le coussin sur lequel tu es assise est trop mou, je ne vois que le devant.
Je me tournais et me mis sur les genoux, les coudes appuyaient sur le dossier du canapé. Je remontais lentement le bas de ma robe jusqu’à mes hanches. Nouveau flot de rafales. Soudain je sentis deux doigts de sa main tirer sur la ficelle de mon string. Elle tirait tellement fortement vers le haut que je sentais le triangle de tissus disparaître dans mon sexe. Je me cambrais de plus belle. 
Son objectif était maintenant à quelques centimètres de mon cul. Elle devait faire des gros plans. Je sentais l’air s’insinuer entre mes fesses. Je pense qu’elle devait avoir le même spectacle que j’avais eu tout à l’heure. Je lui demandais après quelques clichés, si je pouvais voir les photos qu’elle avait prises. Elle me tendit l’appareil, je fis défiler rapidement les images. On pouvait effectivement bien voir la fente de mon sexe légèrement entrouvert à travers la mousseline. Mon cul n’était pas en reste, cambrée comme je l’étais, toute mon anatomie était presque totalement visible. Dans les gros plans je pouvais même voir le début des stries de mon anus de chaque côté du string. Un sentiment de gène et d’excitation se mélangeaient en moi.
— Ça te va Elsa ?
— Je trouve ça bien comme début mais je suis sûre que tu peux faire mieux.
Ma sœur n’avait vraiment pas froid aux yeux et j’étais curieuse de voir jusqu’où sa lubricité pouvait aller. Je décidais alors de jouer ma candide.
— Je ne vois pas ce que je peux faire de plus. Montre-moi que je comprenne.
Elsa sourit, et pris ma place sur le canapé. Elle s’installa alors sur le dos et fit remonter ses genoux jusqu’à sa poitrine. Mes yeux s’écarquillaient à cette vision presque pornographique. Dans cette position je pouvais voir la fine lanière de tissus entre ses lèvres largement ouverte ainsi que son petit trou à peine caché par le tissu.
— Je peux faire une photo de toi comme ça ?
— Si tu veux Anna.
J’empoignais l’appareil et commençais à shooter, d’abord sur un plan large et de plus en plus rapproché. Quand ma sœur s’aperçût que j’étais en train de lui photographier son intimité en gros plan, elle poussa le vice encore plus loin. Je vis surgir à travers mon viseur ses deux mains qui se positionnèrent de chaque côté de ses fesses et les ouvrit lentement. J’étais scotchée, je pouvais voir les sillons de son anus apparaître de plus en plus de chaque coté de la fine ficelle. Je déclenchais à nouveaux quelques clichés. Ses deux index et majeurs s’approchaient de son petit trou et finirent leur course dessus. J’avais le souffle coupé, mais qu’allait elle faire. Elle insinua ses deux doigts de chaque main de part et d’autre de son anus et l’écarta. Je voyais son petit trou palpiter et se détendre. Il commençait à s’ouvrir mais la ficelle cachait le trou naissant. Je photographiais de plus belle. Je pouvais voir l’humidité apparaître sur le tissu pincé entre les lèvres du sexe d’Elsa.
— Voila ce que j’appelle des clichés un peu plus osés, Anna.
— Je trouve ça vraiment plus qu’osé.
— Anna il va falloir que tu grandisses un peu, tu es une jeune femme maintenant, il va falloir que tu t’ouvres à de nouveaux plaisirs et à la découverte de ton corps. Allez Anna surprends moi !
— Je vais essayer.
Je me dirigeais maladroitement vers le canapé, où je m’installais les épaules et le haut du dos sur l’assise et fesses le long du dossier. Je finis par rabattre mes genoux au niveau de ma têtes. Je me sentais un peu gênée, affichée dans cette position.
— Ça te va !
— C’est parfait Anna !
Ma sœur fit le tour du canapé pour se positionner derrière le dossier. Elle commençait à déclencher. Je me sentais totalement offerte. J’ouvris alors mes grandes lèvres à l’aide de mes deux mains. Je voyais que ma sœur commençait à apprécier la charmante vue que je lui donnais. Cette pensée m’existait et je pense qu’elle pouvait le voir par la brillance de mes petites lèvres qui commençaient à suinter. Je tirais le tissu sur le coté pour exposer totalement mon sexe. J’observais ses joues rougir de plus en plus. J’ouvrais ma fente de plus belle, exposant l’entrée de mon vagin et mon clitoris qui commençait à darder.
— Mais tu es vierge ma petite chérie ! Comme c’est mignon.
Je délaissais alors mon sexe lisse pour me dirigeais vers mon petit cul que tant de garçons admiraient dans ma classe. Je pense que le spectacle que je faisais à ma sœur leur aurait beaucoup plu. J’écartais mes fesses de mes deux mains. Son objectif se rapprochait très fortement de mon cul.
— Quel beau petit derrière tu as là, Anna ! Montre-m’en plus !
J’étais fortement excité de mon montrer ainsi ouverte. Elle devait commencer à bien voir mon petit trou. Ma fente était de plus en plus humide. J’écartais mes deux globes au maximum. Les rafales pleuvaient. Avec mon index, je tirais doucement sur la ficelle de mon string pour exposer totalement mon anus à la vue d’Elsa. Sa respiration se faisait plus forte. Je le sentais palpiter sous cet écartèlement extrême. Je fermais les yeux pour savourer chaque sensation. Soudain je sentis les mains de ma sœur se poser sur mon cul. Ma respiration se faisait de plus en plus difficile. Ses doigts se rapprochaient de mon petit trou. Je ne sais pas pourquoi mais je me laissais faire, totalement abandonnée à la lubricité de ma sœur. Elsa posa ses deux index à l’entrée de mon anus. La sensation était très excitante, j’étais au bord de la jouissance et j’ouvris encore d’avantage mes fesses. Elle introduisit alors la première phalange de ses deux doigts et écarta mon petit orifice qui céda et s’ouvrit lentement. Etre touchée comme ça m’était encore inconnu. Mes yeux mi-clos, je regardais ma sœur se régaler du spectacle que je lui offrais. Je sentais ses doigts descendre de plus en plus au fond de mon orifice et l’écarter davantage. Ma main droite lâcha alors une de mes fesses pour se diriger vers mon sexe. Je commençais à faire des mouvements circulaires sur mon petit bouton à travers la fine couche de tissu de mon string. Ma sœur retira ses doigts et pris une dernière photo. Je sentais que mon anus était encore bien entrouvert. Il se refermait tout doucement. Je fus tirais de mon extase par le bruit de clés qui tournaient dans la serrure de la porte d’entrée.
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