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Gentils Médors

Chapitre 2

Zoophilie
Le lendemain, dans l’après-midi, je vais à la SPA pour voir ce qu’il y a comme chien qui puisse m’intéresser, cette expérience avec Médor m’a rendu accro. Il y a des labradors, des bergers allemands, des dobermans, et d’autres races plus ou moins grandes, tous dans un état pas très reluisant et d’apparence tristes. Mais celui qui m’intéresse le plus, c’est un dog allemand assez jeune. Il parait en bonne santé, le poil brillant, le muscle saillant. D’autant que quand je me suis approché de sa cage, il est venu vers moi d’un air joyeux. Ce qui ne gâte rien, c’est qu’apparemment, le fourreau de sa bite est un peu plus gros que celui de Médor qui avait une bite déjà très satisfaisante.
–Apparemment, celui-là veut bien de vous, vous habitez où ?–j’habite dans une grande maison à quinze kilomètres d’ici, sur un parc de trois hectares. Elle est ceinturée d’un mur de protection, c’est une maison ancienne entièrement close, il pourra se balader comme il veut dans le parc, il ne pourra pas sortir. –C’est parfait, il sera très heureux, ce genre de chien a besoin d’espace.
Je décide de le prendre, le préposé le sort de la cage précautionneusement, il veut voir la réaction du chien à mon contact. Celui-ci vient vers moi calmement et plaque sa tête contre ma jambe.
–Je crois qu’il vous a adopté, je pense qu’il n’y aura pas de problèmes entre vous.–Je le pense aussi, je le prends, comment s’appelle-t-il ?–Il n’avait pas de nom quand nous l’avons trouvé, il y a une semaine, attaché devant le centre. Nous l’avons appelé Médor, il ne doit pas avoir beaucoup plus d’un an et l’année dernière, c’était les M. Mais vous pouvez changer son nom si celui-ci ne vous convient pas, il n’est pas encore enregistré.
Je suis scotché, Médor, ce prénom m’est destiné.
–Va pour Médor.
Le préposé m’emmène pour faire les papiers d’adoption. Médor s’installe devant le siège passager, il a tout juste la place, mais je n’ai pas eu besoin de reculer le siège. Je vais acheter tout ce qu’il faut pour un chien, gamelle, couverture pour dormir etc... Arrivé à la maison, je le lâche dans le parc, il court comme un fou entre les arbres, mais revient régulièrement vers moi se faire caresser avant de partir explorer un autre coin du parc. Je le regarde faire pendant un quart d’heure puis, j’entre dans la maison. Deux minutes plus tard, il est devant la porte. Je lui ouvre, il entre et commence à explorer les lieux. C’est une grande maison ancienne sur deux niveaux, mais je n’occupe que le rez-de-chaussée, ayant assez d’espace avec un grand salon salle à manger, une grande cuisine, trois chambres, deux salles de bain et deux WC. A l’étage, cinq chambres, trois salles de bain et deux WC. J’ai de quoi recevoir. Quand il veut monter à l’étage, je le retiens, je ne veux pas qu’il monte, il doit se contenter du premier niveau. C’est déjà bien qu’il puisse entrer dans la maison. La première soirée se passe très bien, Médor a besoin d’affection, il est très demandeur, mais ça ne me gêne pas. Il a déjà pris ses marques dans le parc, il va simplement falloir que je lui indique là où faire ses besoins, je n’ai pas envie qu’il en sème partout dans le parc. Deux jours se passent, Médor a maintenant complètement intégré sa nouvelle vie, il est joyeux, plein de vie, en bonne santé. Mais moi, je veux qu’il s’occupe un peu de moi. Pour ce faire, je suis constamment nu avec lui, et je marche le plus souvent possible à quatre pattes à côté de lui, mais il ne semble pas bien comprendre ce que j’attends de lui. Les jours passent, je suis de plus en plus frustré, et je dois partir pour Le Cap. Comme je possède un appartement que je loue de juin à mi-juillet et de mi-août à fin septembre, me réservant les quatre semaines à cheval sur le premier août, je peux emmener Médor avec moi pendant ces quatre semaines.
Nous arrivons au quartier naturiste du Cap en début d’après-midi, je préviens l’agence de location de mon arrivée et m’installe chez moi. C’est un appartement de trois pièces assez grand au dernier étage de la résidence avec une grande terrasse. Je suis au bout de l’étage et n’ai qu’un seul voisin sur la gauche. Je me déshabille immédiatement pendant que Médor fait le tour du propriétaire et repère assez vite un coin pour s’allonger. J’installe sa couverture et vais chez mes voisins. Ce sont deux homosexuels parisiens jeunes retraités, Guy et Serge, qui passent plus de sept mois par an au Cap, ils surveillent plus ou moins les locataires de mon appartement quand je ne suis pas là. Ils ont une chienne de race épagneul, Fidèle. Nous discutons un moment de tout et de rien. Je leur dis que je possède un jeune dog allemand. Ils semblent un peu gênés car leur chienne est en chaleur et la proximité d’un mâle les inquiète un peu. En moi-même, j’espère que Médor le sentira et deviendra un peu plus entreprenant. Pendant la discussion, je caresse beaucoup Fidèle tout en passant ma main sur mes cuisses et discrètement sur mes fesses. Quand je sors de chez eux en fin d’après-midi, je caresse plus que de raison la chienne des deux mains et une fois dans le couloir, me les passe sur l’anus. Quand j’entre dans l’appartement, je sens immédiatement une modification dans le comportement de Médor, visiblement il est excité. Il me tourne autour en posant sa tête sur mes cuisses et mes fesses. Sa bite sort largement de son fourreau. Je tire les rideaux pour m’isoler, me passe un peu de graisse sur l’anus et me met à quatre pattes en me couvrant le dos d’une serviette. Médor me tourne autour, il sent la chienne en chaleur, je vois son sexe sorti de sa gaine. Il se met derrière moi, et me saute dessus. J’accuse le coup, il est nettement plus lourd que Médor 1, mais la longueur de ses pattes fait qu’il peut les poser à terre et ne plus peser sur moi. Il donne de grands coups de rein, je sens son sexe taper sur mes fesses, je suis sur le point d’intervenir quand sa bite trouve enfin le chemin du bonheur et me pénètre d’un trait jusqu’à la boule. Il se déchaine sur mon cul, mais, contrairement à Médor 1, ses mouvements sont plus amples, sa queue est quand même plus longue et plus large et je le sens mieux me labourer l’anus sur toute sa longueur, j’adore. Il finit par donner un dernier coup de rein un peu plus important que les autres, me défoncer l’anus de sa boule, s’immobiliser et se vider en moi. Je sens son sperme me remplir le conduit anal au point de déborder. Je suis dans un état second, cette grosse bite qui me remplit de sperme me fait divaguer. Médor 1 était actif et solide, mais lui, il est au-dessus, sa taille, son envergure et les dimensions de sa bite en font une bête à part. il me possède, me remplit, me comble de plaisir. Rien que de sentir cette bite me défoncer le fion, ce liquide me remplir l’anus, son torse sur mon dos, son souffle sur ma nuque, je suis au bord de la jouissance. Il me suffit de me toucher la bite raide comme un bout de bois pour me vider sur le carrelage. Je prends un extraordinaire pied, je jouis du sexe et de l’anus, tout mon corps participe à ce moment d’extase. Je sais qu’on va passer de très bons moments ensemble. Médor se retourne, je me libère en poussant un peu pour éjecter sa boule. Il vient à côté de moi, me renifle, sa bite est toujours sortie de sa gaine, quelques gouttes en sortent. Je réussi à me pencher sous lui et la lui gober. Il reste un moment immobile, je sens du liquide venir sur ma langue, liquide que j’avale avec délice, j’adore ce nectar de vie. Je me redresse, Médor me regarde d’un air un peu étonné, je le caresse et vais prendre une douche. Je me fais un lavement, me sèche et reviens au salon. Je me sers un whisky et m’assoie sur le divan quand on frappe à la porte. C’est Guy qui vient me voir. Médor est sur sa couverture, mais en voyant mon voisin, il se lève et vient vers lui. Guy est un bel homme, à soixante ans, il est toujours mince, encore bien musclé et a surtout une très belle bite encore pleine de vigueur, je l’ai déjà vu bien raide quand il prenait un bain de soleil sur sa terrasse.
–Ca va Jean ?–Oui, pourquoi me poses tu cette question ?–Simplement, j’ai entendu comme un grand soupir il y a quelques minutes.
Je réalise que j’ai dû m’exprimer bruyamment quand j’ai joui, et que connaissant Guy, la raison de ce soupir ne lui était pas inconnu. Pendant ce temps, Médor est venu se frotter aux jambes de Guy et manifeste sans vergogne un désir sexuel. Son sexe est complètement sorti de sa gaine. Guy le regarde avec un intérêt manifeste.

–Tu sais que tu excite mon chien ?–Je ne comprends pas pourquoi.–Guy, tu as une chienne en chaleur chez toi, elle est toujours à se frotter à toi, Médor le sent et pense que tu es en chaleur, comme Fidèle.–Tu plaisantes.–Non, c’est la réalité.–Il me prend vraiment pour Fidèle ?–Tu n’as qu’à te mettre à quatre pattes pour le vérifier.–Jean, tu sais que je suis homo et que l’adore me faire enculer, mais par un chien, il ne faut pas exagérer.–Tu sais, c’est une pratique qui existe.–Ne me dis pas que tu en es.–Je dois te dire qu’au risque de te choquer, j’en suis comme tu dis.–Et c’est ce qui vient de se passer tout à l’heure ?–Exactement, et je dois te dire que j’ai pris un pied énorme, rien ne vaut une belle bite de chien, surtout celle de Médor qui est un peu hors normes.–Tu t’es fait enculer par Médor ?–Oui.
Guy me regarde bizarrement, mais le connaissant depuis très longtemps, je sais qu’il est très intéressé et qu’il se pose des questions en ce moment. Il se demande si il doit lui aussi tester cette forme de rapports sexuels. Je le bouscule un peu.
–Tu ne veux pas essayer ?–Tu plaisante.–Non, je suis sûr que tu en retirerais un magnifique pied. –Et là, devant toi ?–Si tu veux, je peux commencer pour te faire voir, mais pas jusqu’au bout, je ne sais pas si Médor pourrait assurer un autre coup après.
Je sens que Guy hésite, il en meurt d’envie, mais le fait que ça se passe devant moi doit le gêner. Pour le convaincre, je me mets à quatre pattes en posant la serviette sur mon dos. Médor n’hésite pas une seconde, me saute dessus, donne de grands coups de reins et finit par me pénétrer jusqu’à la garde. Guy me regarde, je vois qu’il commence à bander. Au bout de quelques secondes, je me libère de Médor.
–Mets-toi à quatre pattes.
Guy s’exécute, j’ai à peine le temps de lui mettre la serviette sur le dos que Médor est déjà sur lui et le perfore du premier coup de rein.
–Ho putain que c’est bon.
Médor se déchaîne sur lui, je vois que Guy apprécie de plus en plus, il donne des coups de reins vers l’arrière pour accentuer la pénétration de Médor. Il bande ferme. Médor s’immobilise dans un dernier coup de rein.
–Ho là, quelle bite.
Médor se vide en lui, je ne peux résister plus longtemps, je me glisse sous Guy et lui gobe la bite. Il se laisse faire. Aux contractions de sa bite, je sens qu’il ne va pas tarder à jouir. Je l’aspire, le suce, le mordille quand un puissant jet me remplit la bouche. J’avale le tout jusqu’à ce qu’il s’arrête de jouir. Je le libère au moment où Médor redescend de son dos, mais reste collé à Guy.
–Pousse un coup, ça te libèrera.
Une seconde plus tard, Guy est libéré et se redresse tant bien que mal. Je l’aide à se mettre debout.
–Putain, quel pied, tu avais raison, c’est extraordinaire. Mais tu en as profité pour me pomper la bite, jamais tu ne m’avais fait un truc pareil.
–En fait, il ne s’est jamais rien passé entre nous.–C’est vrai, mais je le regrette, tu pompe vachement bien.–Sur une aussi belle bite, ce n’est pas difficile.–Flatteur va.
Nous allons nous assoir sur le divan.
–Serge n’est pas là ?–Il est allé faire des courses juste après ton départ.–Comment se fait-il que tu m’ais entendu ?–Simplement le fait que tu fermes le rideau m’a intrigué, tu ne l’as jamais fait depuis qu’on se connait, et aussi ton insistance à caresser Fidèle alors qu’elle est en chaleur et que tu as un chien. Je dois dire que ça m’a interpelé et que je me suis posé des questions qui ont trouvées une réponse, et quelle réponse. –Mais je ne me souviens pas d’avoir fait tant de bruit.–Non, mais j’avais l’oreille collée au mur et avec ce béton, il est très facile d’entendre ce qui se passe à côté.
Nous entendons Serge rentrer, Guy va le rejoindre en me donnant rendez-vous pour le lendemain, comme tous les lundis, Serge va faire une randonnée de huit heures à seize heures, nous aurons toute la matinée. Je ne me couche pas très tard, juste après avoir promené Médor.
Le lendemain matin, Guy frappe à la porte. Serge vient de partir et je m’apprête à faire faire un tour à Médor. Il m’accompagne sans prendre Fidèle qu’il a déjà promené très tôt le matin, il a peur de la réaction de Médor. Nous discutons beaucoup, je lui pose des questions sur ses rapports avec Serge, il me dit que c’est le seul partenaire qu’il a eu depuis plus de dix ans et que c’est la même chose pour lui, ils sont restés fidèles pendant tout ce temps, ce qui est rare chez les homosexuels. Ils sont clean et font l’amour sans protections, ce qui décuple leur plaisir. Ils ont beaucoup discuté hier et sont tombés d’accord pour s’octroyer quelques libertés à condition que ce ne soit qu’avec des personnes de confiance. Je lui dis que j’ai fait un test, que je suis clean et que j’ai très envie de sentir sa bite se vider dans mon fion. Il n’hésite pas beaucoup pour me donner son accord. Nous rentrons au bout d’une grosse demi-heure et laissons Médor dans mon appartement. Je me fais un lavement et vais le rejoindre dans son appartement. Là, je me saisis de sa bite, m’agenouille et la lui gobe. Quand elle est bien raide, je me retourne, m’enduit la rondelle de salive et me penche un peu en avant. Il me saisit par les hanches, présente sa bite sur mon cul et pousse doucement. Je sens son gland se frayer un passage dans mon conduit anal. Il me pistonne quelques secondes et s’arrête.
–J’ai une meilleure idée.–A bon, laquelle.–Nous allons chez toi, tu te mets à quatre pattes, je t’enfile et Médor me défonce le cul, tu crois que c’est possible ?–Le mieux pour le savoir, c’est d’essayer.
Nous en profitons pour bien nous imprégner de l’odeur de Fidèle. Nous retournons chez moi, heureusement que c’est la porte à côté car Guy bande toujours comme un âne. Quand nous retournons chez moi, le résultat est immédiat, Médor nous tourne autour en sortant sa bite. Je me mets immédiatement à quatre pattes, avant que Médor n’ai la temps de réagir, Guy se met sur moi et m’enfonce son vit entre les fesses. Médor nous regarde, il a l’air de ne pas comprendre ce qui se passe, mais l’instinct est le plus fort, il grimpe sur Guy et lui plante sa bite dans la rondelle.
–Ah la vache, quelle bite, quelle vigueur.
Médor sodomise Guy à grands coups de rein que je ressens au travers de la bite qui me pourfend.
–Putain, je vais jouir, tien Jean, c’est pour toi.
Un jet de sperme me remplit le fion, c’est la première fois qu’un homme se vide dans mes entrailles, mais je suis un peu déçu, rien à voir avec le flot de liquide qu’est capable de t’envoyer un chien qui se vide en toi. Néanmoins, ça suffit à me faire jouir juste au moment où Médor se vide dans Guy. J’attends que tout soit terminé pour me dégager. Nous nous redressons, Médor a l’air d’en redemander, mais je préfère aller prendre une douche. Guy me suit, je le lave, il me lave, mais nous sommes un peu trop fatigués, nos bites restent encore flasques. Nous décidons de passer à autre chose.
Nous nous faisons un lavement complet. Nous laissons Médor et Fidèle chacun chez soi et allons passer deux heures à la plage. Nous sommes en milieu de matinée et il commence à y avoir du monde. Nous allons voir ce qui se passe derrière les dunes, pas grand monde. Au bout de quelques minutes, nous arrivons à un gros figuier qui sert d’abris aux personnes qui veulent s’amuser ensemble. Il n’y a personne. Guy s’assoie sur une branche horizontale et m’attire à lui. Il me gobe la bite qui finit par gonfler et se redresser à la verticale. Il se lève, s’enduit la rondelle de salive, me tourne le dos et dirige ma bite vers son fion. Je pousse et m’enfonce doucement en lui. Je le saisi par les hanches et commence des va et vient lents et profonds.
–Oui, j’aime bien comme ça.
Je suis concentré sur ce que je fais quand je sens des mains sur mes hanches et une langue se glisser entre mes fesses. Je me laisse faire, une tête vient à côté de la mienne.
–Alors Jean, on s’amuse sans moi ?
Je reconnais la voix, c’est Paul, un copain de longue date avec qui j’ai eu de nombreux rapports sexuels. Sa bite est d’une taille exceptionnelle, plus de cinq centimètres de diamètre et vingt-cinq de long terminée par un gland gigantesque. Une vraie bite de cheval et j’avoue que j’adore la sentir m’écarter le sphincter et s’enfoncer au plus profond de moi-même.
–Salut Paul, comme d’habitude s’il te plait.
Il comprend, se redresse, présente son énorme bite entre mes fesses et pousse doucement. Le gland se fraye un passage entre elles et arrive à l’entrée de mon fondement. Le sphincter s’ouvre comme une corole pour laisser entrer l’invité de marque. Il est dommage qu’il ai une capote, mais c’est la règle entre nous. Il se colle à moi, je sens son ventre sur le bas de mon dos. Je vois une de ses mains passer et se saisir de la bite de Guy. Il le masturbe doucement pendant qu’il me besogne. Ce manège ne peut durer longtemps, Guy finit par jouir le premier en se vidant sur le sable. Je me vide en lui quelques secondes avant que Paul ne jouisse. Je sens son sexe frémir entre mes fesses et dans mon anus, il se crispe sur moi. Nous finissons par nous remettre de nos émotions pour nous rendre compte qu’il y a six mecs autour de nous qui se masturbent. Guy salut imité par Paul et moi-même. Tout le monde applaudi, mais un des mecs en veut un peu plus et vient vers Paul. Il se saisi de sa grosse bite, lui enlève son préservatif, s’agenouille et le masturbe en le suçant. Mais malgré son enthousiasme, il ne parvient pas à le faire rebander aussitôt.
–Je suis saturé, je viens de jouir trois fois de suite, j’aspire à du repos.–Dommage, j’aurais bien aimé me la faire mettre dans le cul.–Une autre fois peut-être.–J’espère.…/…
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