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Gentils Médors

Chapitre 3

Zoophilie
Nous rentrons Guy et moi chez nous en donnant rendez-vous à Paul pour le lendemain, lui promettant une belle surprise. Nous devons nous retrouver comme d’habitude vers huit heures trente sous le figuier. Nous n’avons que peu de temps, car Serge doit rentrer plus tôt que prévu cette fois-ci. Arrivé chez moi, Médor me fait une super fête. Je dois me méfier car il n’est pas très conscient de sa taille et de son poids et risque de me faire tomber. J’ai encore envie d’une bite et me mets à quatre pattes. Mon sphincter est bien détendu après la séance avec Paul et Médor n’a aucun mal à me défoncer la rondelle. Il finit par se vider en moi en de longs jets de sperme chaud. Tout à mon action, je ne me rends pas compte que je suis devant la baie vitrée et que Serge me regarde légèrement penché du côté de ma terrasse. Je vois à son regard qu’il n’approuve pas particulièrement ce qu’il voit. Je n’en ai cure et laisse Médor finir de me besogner devant lui en pivotant un peu de manière à ce qu’il voit bien la grosse bite de Médor se vider bien enfoncée dans mon cul. Médor reste sur moi sans bouger, pour une fois je ne me dégage pas juste pour apprécier l’énorme boule qui obstrue mon fion me donnant la sensation d’être complètement possédé par cette étrange chose. Nous restons ainsi plusieurs minutes, toujours sous le regard de Serge maintenant accompagné de Guy. Je les vois discuter, je n’entends pas mais ai l’impression qu’ils ne sont pas tout à fait d’accord. Quand Médor me libère, je me lève et vais prendre une douche. Je déjeune, fais manger Médor et vais faire une petite sieste. Je suis réveillé vers quinze heures trente par des coups sur la porte. Je vais ouvrir, c’est Serge qui est là, devant moi. Je m’attends à des remarques désobligeantes mais c’est au contraire avec le sourire qu’il entre chez moi.
–Je dois dire que ce que j’ai vu tout à l’heure m’a surpris, étonné et même choqué. Mais au vu de ton expression sereine, en y ayant réfléchi, et après en avoir discuté avec Guy, je dois dire que j’en suis venu à une autre conclusion.–Laquelle ?–Ne juger la chose qu’après en avoir fait le tour.–C’est-à-dire ?–Après avoir essayé si tu es d’accord.–Bien sûr que je suis d’accord, d’autant que comme tu peux le constater, Médor n’attend que ça.
En effet, Médor tourne autour de lui la bite complètement sortie.
–Ok, mais pas aujourd’hui, je dois encore m’y faire, je ne pense pas être encore prêt.–Ok, mais il va falloir satisfaire Médor.–Vas-y.
Je dois dire que je n’attendais que ça, je me mets à quatre pattes sans même mettre une serviette, j’ai constaté que Médor venait se mettre en position sans me sauter dessus comme les premières fois. Il a assimilé nos tailles et agit en conséquence. Médor s’avance au-dessus de moi, son ventre frotte sur mon dos. Serge s’est assis par terre pour mieux voir, il se saisi de sa bite et se caresse. Médor s’enfonce en moi comme d’habitude, ses va et vient sont d’une extrême rapidité et au bout d’un peu plus d’une minute, s’immobilise pour m’enfoncer sa boule dans le fion et se vider en de grands jets de sperme. Serge se masturbe comme un fou, il ne quitte pas des yeux la bite de Médor dans mon cul. Quand je sens que Médor a fini de se vider en moi, je pousse un peu et me libère de son emprise. Il va se coucher sur sa couverture, je pivote pour laisser Serge voir mon sphincter laisser couler le trop plein de sperme par ma rondelle encore grande ouverte. Toujours à quatre pattes, je le regarde par en dessous, il se masturbe toujours. Très vite, il se raidi et je vois un long jet de sperme sortir de son gland et venir s’écraser sur le carrelage, juste entre mes pieds. Mon anus s’est complètement refermé, mes cuisses sont pleines de sperme, je me lève pour aller me doucher. Quand je reviens, Serge a nettoyé son sperme et les traces du sperme de Médor que j’avais laissé sur le carrelage. Il se lève et se dirige vers la porte.

–Je ne croyais pas être capable de faire ce que je viens de faire, je suis un peu surpris, mais en définitive pas trop étonné.–Pourquoi ?–Tu sais, avec Guy, nous sommes très liés, ça fait de nombreuses années que nous sommes ensemble et à part aujourd’hui, jamais nous n’avons regardé ailleurs. Toutefois, je commençais à trouver nos relations un peu routinières, il me manquait un peu nouveauté et là, je viens d’en trouver.–A ta disposition pour Médor.–Demain peut-être.–Quand tu veux, il ne demande que ça.
Il sort, je le suis avec Médor pour aller acheter de quoi manger ce soir. Nous rentrons après trois bons quarts d’heure de promenade. Il a l’air repu car il va tout de suite se coucher sur sa couverture. Moi, j’en redemanderais bien un peu plus, mais je laisse Médor se reposer. Après ma douche, je ne suis plus imprégné de l’odeur de Fidèle, il ne réagit pas beaucoup. Au bout de deux heures sur internet, je décide de voir comment il réagit avec moi si je vais le titiller un peu. Je me mets à quatre pattes et viens vers lui. Il est allongé sur le côté, la bite bien rentrée dans sa gaine. Je me penche sur lui et lui lèche le bout de la gaine. Il redresse la tête pour me regarder. J’insiste, et je constate qu’il réagit, sa bite sort lentement de son fourreau. Quand elle est sortie de deux centimètres, il se lève et se met derrière moi. J’ai les fesses pointées vers le plafond, mais ça ne le dérange pas, il m’enjambe pendant que je me mets sur mes bras. Sa bite arrive sur ma rondelle et s’enfonce violemment d’un seul coup au plus profond de mes entrailles. Il me pistonne comme d’habitude. Je suis heureux, il n’a plus besoin de sentir une femelle en chaleur pour me besogner. Il sait que quand je suis à quatre pattes, c’est que je veux qu’il me défonce la rondelle. Cela promet de belles perspectives d’avenir ensemble. Il m’a pris deux fois dans la soirée, il est inépuisable, c’est normal, il est jeune et en pleine forme. Je le promène une dernière fois vers vingt-deux heures et nous allons dormir chacun ans son espace. Le lendemain matin, en rentrant de la promenade de Médor je trouve Serge devant ma porte.
–Bonjour.–Salut Serge, tu désires ?–Je suis venu te dire que je ne me sens pas encore prêt, mais j’en ai une très grande envie, je ne sais pas ce qui me retient, mais je sais que ça va se faire.–Ok, pas de problème, je suis encore là pour presque un mois.–Ok, à plus.
Serge retourne chez lui pendant que je rentre chez moi. Je me fais un lavement, je veux encore une fois me faire sodomiser par Paul, j’adore sa bite de cheval. Je sors de la douche au moment où Guy frappe et entre chez moi. Nous partons au rendez-vous avec Médor, il n’est pas rare de voir des chiens se promener sur la plage le matin, je n’aime pas ça, mais les gens adorent faire courir leurs chiens sur le sable et les baigner dans la mer. Pour ma part, Médor se contentera des dunes, de toute manière, il a déjà fait ses besoins dans un lieu prévu à cet effet. J’ai pris une couverture pour l’étaler sur le sol, je n’ai pas trop confiance en ce sable piétiné par tout le monde et ou tout le monde éjacule. Nous nous sommes enduit le fion de graisse chauffante, nous voulons être prêt à toutes éventualité. Nous avons mis au point un petit scénario avec Guy pour lui faire comprendre le but du jeu. Nous arrivons sous le figuier, Paul est déjà là avec Claude, son copain. Ils regardent le chien avec étonnement.
–C’est à toi ce chien ?–Oui, je vous présente Médor.–Et en plus, tu l’as appelé Médor, pauvre chien. C’est un nom de petit chien, un chien comme ça, il faut l’appeler Napoléon.–Sauf que quand il est né, ça devait commencer par M.–Encore des foutaises de snobs anglais.Tout le monde éclate de rire, ils caressent Médor qui se laisse faire, il adore ça. –Et c’est quoi la surprise ?–Tu la caresse.–C’est lui ?–Oui.–Je ne comprends pas bien.
J’étale la couverture sur le sol et Guy met à quatre pattes. Médor n’hésite pas une seconde, il vient derrière lui, l’enjambe et lui plante son sexe dans l’anus. Comme il est déjà lubrifié, tout se passe bien. Il donne de grands coups de rein à une vitesse folle. Il bande comme un âne, je me glisse sous lui pour le gober et récupérer son sperme. Médor finit par se vider en lui, je vois le sperme couler le long de ses cuisses. Je reçois une grande giclée de sperme dans la bouche, j’avale avec délice. Tout en m’occupant de Guy, j’observe Paul et Claude. Ils sont scotchés devant cette scène. Les yeux de Paul ne quittent pas la bite de Médor qui se vide dans l’anus de Guy. Ils bandent tous les deux très fort. Je me redresse, reste à genou pour gober la bite de Claude. Il ne faut pas très longtemps pour qu’il se vide dans ma bouche.
–Oui, putain que c’est bon, tu as toujours cette bouche d’enfer.
Guy s’est libéré de Médor qui semble un peu nerveux. Je le caresse, il finit par se calmer un peu. Je lui dis de s’assoir, ce qu’il fait de bonne grâce.
–C’est ça que tu voulais nous faire voir ?–Oui.–Et c’est tout ?–Non.–Quoi encore.–Te laisser la possibilité d’essayer toi aussi. Je te jure que tu ne le regretteras pas, c’est incomparable.–Tu me prends un peu au dépourvu, je ne m’attendais pas à ça.
Claude s’avance vers Médor et le caresse.
–Et moi, je ne pourrais pas essayer ?–Bien sûr, c’est quand tu veux.
Il s’enduis la rondelle de graisse chauffante et se met à quatre pattes. Encore une fois, Médor n’hésite pas, sa bite est de nouveau sortie et vient se positionner derrière lui pour la lui planter dans le fion.
–Ho la vache.
Médor s’active comme d’habitude, je vois Claude secoué par les grands coups de butoir qu’il lui donne mais il a l’air d’adorer ce qui lui arrive.
–Ouai, vas-y mon chien, défonce moi la couenne, j’adore.
Je me jette sous lui, j’ai envie de le boire lui aussi, j’adore boire du sperme. Médor finit par s’immobiliser après lui avoir planté la boule dans la rondelle. Il se vide en lui, Claude se laisse aller et je reçois sa semence en pleine bouche. Quand il a fini de jouir, je me redresse juste au moment où Médor se dégage de Claude. Je vois son sperme sortir de l’anus de Claude encore grand ouvert et couler le long de ses cuisses. Je ne résiste pas, m’accroupi derrière lui et lui lèche consciencieusement l’anus ouvert pour finir sur les cuisses. Paul et Guy me regardent un peu étonnés, mais je suis pris par une envie frénétique de sperme, je veux en boire le plus possible. Il n’empêche qu’ils bandent tous les deux comme des ânes. Je me redresse, prend appui sur une branche en pointant mes fesses en arrière.
–S’il te plait Paul.–Ok.
Il se positionne derrière moi et me plante violemment sa bite dans l’anus. Je ressens une légère douleur du fait de la brusquerie de la pénétration, mais elle s’atténue rapidement.
–Ho là, tu veux me défoncer la rondelle.–Juste imiter ton chien.
Il s’active le plus vite possible, mais n’atteint pas le rythme de Médor, cependant, sa bite est tellement grosse qu’elle me remplit l’arrière train entièrement, en me dilatant le sphincter au maximum. Claude s’est positionné de manière à me gober la bite. Je ne résiste pas longtemps et pars dans un superbe pied qui me secoue dans tout le corps. Je me vide dans sa bouche. Nous restons un moment à récupérer et à discuter quand arrive un couple qui nous fait comprendre qu’ils aimeraient bien occuper la place, d’autant qu’une bonne dizaine de mecs sont derrière eux en se masturbant. Il va y avoir du spectacle. Nous laissons la place.
Le temps a passé, il faut rentrer, Serge doit nous attendre. Nous rentrons doucement, autant Guy que moi-même avons d’agréables sensations que nous transmet notre cul et nous voulons en profiter au maximum. Médor gambade autour de nous. Serge nous a préparé à manger, salade et grillade sur la plancha. Je vais prendre une douche chez moi où je laisse Médor après lui avoir préparé sa gamelle. Le repas se passe très bien, Serge est décidé à faire l’expérience Médor, il boit plus que d’habitude, je pense que c’est pour se donner du courage. Contrairement à nous, il se frotte constamment à Fidèle.
Vers quatorze heures, nous allons chez moi, Médor me fait la fête, mais il est tout de suite attiré par Serge. Sa bite commence à sortir de sa gaine. Sans attendre, Serge se met à quatre pattes, Médor le contourne, l’enjambe et vient se positionner. Il donne un grand coup de rein, mais rate sa cible, il recommence, mais n’y arrive pas. Je m’agenouille, réussi à me saisir de sa bite et la guide vers la rondelle de Serge. Je la vois s’enfoncer d’un seul coup jusqu’à la garde. Serge sursaute mais reste stoïque, il se laisse défoncer apparemment avec beaucoup de plaisir.
–Tu as raison, c’est incomparable.
Comme d’habitude, Médor s’active à une vitesse folle, mais cette fois-ci, ça dure plus longtemps que d’ordinaire. C’est peut-être le fait d’avoir éjaculé plusieurs fois dans la matinée qui lui donne plus de résistance. J’en profite pour me mettre sous Serge pour récupérer son sperme. Médor finit par s’immobiliser et se vider dans ses entrailles pendant que lui se vide dans ma bouche. Je n’en peux plus, j’ai envie de jouir de nouveau, mais je sais que Médor n’est pas prêt à recommencer tout de suite. Je me lève, je bande dur. Guy s’en aperçoit et me présente ses fesses après les avoir lubrifiées avec sa salive. Je l’agrippe par les hanches et m’enfonce en lui d’un seul coup. Je suis tellement excité qu’il ne me faut que quelques mouvements pour me vider entre ses fesses. Lui se masturbe, je reste en lui jusqu’à ce qu’il jouisse sur le carrelage. Nous nous asseyons tous les trois sur le divan que j’ai recouvert d’une couverture pendant que Médor va se coucher dans son coin. Serge est très heureux de son expérience et pense même avec Guy à acheter un mâle. Mais moins gros que le mien, ils n’ont pas beaucoup de place chez eux, c’est un grand appartement, mais ce n’est qu’un appartement et un chien comme Médor ne peut y être heureux. Ils optent pour un labrador après que je leur ai décri le comportement de Médor 1. Ils entrent chez eux et je vais faire une sieste après avoir pris une douche.
Vers dix-sept heures, on frappe à ma porte. J’ouvre, c’est Paul. Il est seul, Claude étant parti faire des courses.–Je peux entrer ?–Bien sûr.
Il entre. Médor se lève et vient vers lui. Paul le caresse.
–Tu viens pour lui ?–Oui, Claude m’a convaincu et je veux faire l’expérience tout de suite si c’est possible.–Bien sûr.
Médor a-t-il compris ce que veut Paul, toujours est-il que sa bite sort lentement de son fourreau. Je vois que Paul commence à bander.
–Je te propose autre chose.–Quoi donc ?–Tu sais que j’adore sentir ta bite dans mon cul, je te propose de me prendre à quatre pattes, je suis sûr que Médor voudra te sodomiser quand il nous verra comme ça.–Ok, je veux bien essayer.–J’ai discuté avec Claude, je sais que vous avez fait les tests il y a six mois et que depuis vous n’avez baisé qu’ensemble. Pour ma part, j’ai fait les tests il y a un mois, je suis clean et depuis, je n’ai baisé qu’avec Guy qui lui aussi est clean. Je te propose de m’enculer sans préservatif, je veux te sentir te vider dans mes entrailles, j’en rêve depuis longtemps.
Paul me regarde, je le sens un peu dubitatif, mais ses traits finissent par se détendre.
–Ok, moi aussi j’ai envie depuis longtemps de me vider dans ton cul, allons-y, nature.…/…
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