Le piège de Damien est diabolique. Sous des airs de gentleman, il sait entraîner Ambre et lui montrer une autre vision de la sexualité. Antoine nous explique aussi comment il est devenu l’amant d’Emma.Résumé.Damien, un voisin demande à Ambre si elle peut l’aider pour une négociation avec des clients Chinois. Cela se passe à Paris. Il lui fait un cadeau étrange pour la remercier, des bijoux à tétons. Elle pourrait s’en offusquer mais il prétexte qu’une seule boutique était ouverte. Aussi il s’excuse et pour se faire pardonner l’invite au musée et au restaurant. Après cette délicate attention elle va dans sa chambre et alors il l’a séduit, mais d’une façon directive se moquant de ses réticences pour la fellation et la sodomie. Puis il lui demande de venir avec lui. Il est tard.
Ambre.
Malgré l’heure tardive il y du monde dans la petite rue. Sorties de spectacle, terrasses de café, mais aussi ces boutiques discrètes, les nombreux sex-shops ou entrent et sortent des hommes seuls, des couples, en repoussant un simple rideau qui fait la frontière entre un monde et l’autre. J’ai l’impression que tout le monde me regarde pourtant si, sur la demande de mon amant, amant, est-ce le bon mot pour juste une aventure ? mon chemisier n’est pas attaché jusqu’en haut, je ne suis pas provocante. Non, c’est le manque de petite culotte :—Non, ne la remet pas. Tu ne l’as jamais fait ?—Non, enfin une fois ou je l’avais mouillée par mégarde.—Tu avais jouis ?—Non, pas du tout, juste pipi.—J’ai l’impression qu’avec ton mari c’est vraiment pépère. Il s’en contente ? —Mais oui, nous avons… Nous sommes… Enfin vous voyez, nous avons du plaisir.—Petit jeu ! Petites jouissances ! Ça va au début du mariage mais avec le temps il faut savoir inventer.—Évidemment avec Emma vous vous accordez toute liberté. Pas nous. Nous sommes heureux comme cela.—Eh bien prend cette soirée comme un avant-goût de ce que peut être une sexualité libérée. Pour commencer, tu vas faire ce que je dis. J’ai plus d’expérience que toi...Ma jupe est pourtant assez longue pour qu’on ne puisse pas le voir, mais je ne suis pas tranquille.Il me tient par la main.Il pousse un rideau. Un autre monde. Près de l’entrée un comptoir avec un homme, assez jeune, Martiniquais ou de ces régions.—Salut Martial. Ça va les affaires ?
—Oh, Dam. Content de te voir. Je ne me plains pas, regarde.En effet il y a du monde. Des visages sérieux, homme seuls, visages plus souriant des couples. Une majorité de couples. Je suis étonnée.—Je te présente Ambre.—Bonjour.—Ainsi c’est vous la fameuse Ambre. Cette remarque m’étonne. Je questionne Damien du regard.—Je t’expliquerai. Martial reprend, tout sourire, publicité pour un dentifrice.—Vous êtes très belle mademoiselle.—Madame, s’il te plaît. Je ne fais pas dans la sortie d’école.—Madame alors. Vous êtes très belle Madame. Qu’est-ce que vous faites avec ce vieux libidineux ? Pourquoi ne pas choisir un homme de votre âge… Comme moi par exemple.—Arrête ton char. Répond plutôt à ma question. Est-ce que tu te souviens de mon dernier achat ?—Bien sûr. On avait même par…—Toujours trop bavard. Cela te perdra. Chérie tu veux bien montrer à ce jeune blanc bec ce que tu portes.Chérie ? Et puis quoi encore. Je ne comprends pas ce qu’il veut.—Défait ton chemisier qu’il puisse voir que tu les portes très bien. —Ici ? Sûrement pas. Damien se penche vers moi et me souffle à l’oreille.—Souviens-toi de ce que je t’ai dit dans la chambre. Des sensations particulières. Tu ne veux vraiment pas essayer ? Tu veux devenir une petite bourgeoise bien sage qui plus tard regrettera de ne pas avoir osé.Je sens le regard du vendeur. Tout autour de moi des objets et des tenues surprenants, des clients, une ambiance. Et puis ces mots de Damien. Ces mots comme un rappel de ce que nous avons fait, de ce qu’il m’a fait. Cette promesse pour une nuit.Oui, une nuit. Juste une nuit. De toute façon j’ai déjà failli à ma fidélité. Je dégrafe les boutons, assez pour qu’en tirant un peu sur le tissu ma poitrine et les bijoux soient visibles.—Magnifique. Vraiment magnifique. Vous les portez comme une reine porte une couronne. Comment peut-on être fière de ces compliments dans ces conditions ? Pourtant je les accepte et referme le chemisier.—Vous pouvez choisir dans cette vitrine. Dit le vendeur avec ce sourire "Colgate".—Vraiment ? Et bien Ambre tu lui as tapé dans l’œil.La vitrine contient des objets que je ne connais pas. En matière sombre, métal brillant ou verre, les objets sont à la fois étranges et beaux. Des formes différentes, des tailles différentes…Devant l’étonnement que je dois montrer, Damien rit doucement.—Tu ne sais pas ce que c’est ?—Non.—Je t’adore. Si innocente ! Décidément Antoine a tout raté. Mais c’est aussi bien, cela me laisse le plaisir de te faire découvrir tant de choses… Ce sont des plugs… Non, tu ne connais même pas le nom ? La forme ne te fait pas deviner ? Mon Dieu, si innocente, que c’est beau. Ce sont des objets que l’on glisse dans le petit trou.—Mais tu sais que… Je le tutoie. Cela m’est venu sans réfléchir. Une forme de renoncement ? … Je ne….—Pas encore, mais cela aussi tu vas y goûter. De toute façon on ne peut pas refuser ce cadeau. Choisis la matière, je ne te conseille pas en verre, la couleur, la pierre. Pour ce qui est de la taille, je sais ce qu’il te faut.Je m’incline. Je choisis : Métal, pierre bleue. Damien ouvre la vitrine, en choisit trois, trois tailles différentes.—Mais !—Laisse-moi faire. Je sais ce qu’il te faut. Il les pose sur le comptoir. Ces deux-là sont sur mon compte. Il y a du monde dans la salle à l’étage ?Le vendeur regarde un écran.—Un couple et des mecs. —Le couple est…—Oui, Ils ont commencé depuis un moment.—Tu me gardes ça. Il lui donne les objets. Tu me mettras de la crème aussi.—Bien sûr. —Viens je vais te montrer quelque chose qui devrait te plaire.Il m’entraîne. Un peu plus loin deux escaliers. Un qui descend, un autre qui monte.Il s’arrête.—En bas ce sont les cabines individuelles ou pour couple. Tu sais tout de même que cela existe ?—Oui, je ne suis pas si cruche que vous pensez. Tiens, je reprends le vouvoiement !—On va monter. Là-haut il y a une salle de projection. On va y aller, mais je voudrais que tu me promettes de faire ce que je te dis. —Pourquoi ?—J’ai besoin de ta confiance. Il faut que tu te laisses aller. Après cela je te promets de ne plus jamais en parler si tu veux oublier. Ce sera un secret entre nous…—C’est… Si vous voulez, mais…—Pas de mais, totale confiance…—D’accord.—Parfait. Monte devant moi.Moins d’une minute plus tard, nous sommes devant une porte ouverte. Elle donne sur une pièce ou la première chose que l’on voit, c’est un large écran et on ne peut ignorer que sur l’écran une femme est avec deux hommes. La scène est crue, bruyante, l’actrice ne se privant pas de gémir et d’accompagner de la voix chaque mouvement des deux sexes qui la possèdent.—Avance. Il me pousse. Je découvre des canapés, des fauteuils, des banquettes et même un lit dans un coin. La pénombre n’est pas totale. Contrairement aux salles de cinéma il y a des éclairages diffus. Des spectateurs qui curieusement ne regardent pas le film mais sur le côté. Bientôt je remarque qu’une femme…Damien me dirige. Je n’arrive pas à quitter la femme qui se fait du bien. C’est cela que regardent tous les spectateurs, il y a même un couple très jeune. Ce sont des voyeurs. La vidéo n’a plus d’importance, le spectacle est dans la salle. Étrangement la femme qui chevauche un homme porte tout l’attirail de ce que les hommes adorent. La lingerie coquine qui affiche plus qu’elle ne cache, le porte-jarretelle, les bas, tout en blanc ce qui tranche sur la peau de la femme, très sombre. Elle se donne du plaisir. C’est une cavalière qui a quitté le trot depuis un moment. Son partenaire lui serre la taille et l’accompagne. Nous sommes juste le rang derrière eux. Je croise le regard de la femme. Elle me sourit me rendant complice. C’est beau. Elle est belle. De l’homme je ne vois que la tête, la nuque, les épaules et me soulevant un peu les mains. Les voyeurs qui sont sur le côté doivent mieux voir que nous.Mieux voir ! Mon Dieu heureusement que la petite voix sommeille, sinon elle m’aurait traité de perverse.Mais il n’est pas nécessaire de voir. Quelqu’un a dû couper le son de la vidéo car j’entends. Oui j’entends le claquement des fesses qui écrasent les cuisses. J’entends leur respiration. J’entends les gémissements de la femme et aussi ceux de l’homme.Et puis le plaisir arrive. C’est beau. Je n’avais jamais vu cela de si près. Antoine m’a bien proposé de regarder des vidéos mais je les ai trouvées trop crues, trop directes, sans vraie séduction.Nous sommes arrivés trop tard pour la séduction, mais nous assistons au déferlement de plaisir.La pièce est étrangement silencieuse. La femme vient de remettre sa robe. Le couple reste assis. Tout le monde semble attendre. Tous les regards se tournent vers le couple de jeunes, mais ils font semblant de ne rien voir. Alors les visages se tournent vers nous. Damien se penche vers moi.—Première leçon. Tu te souviens… Confiance…Je réponds un "oui" qui regrette déjà d’avoir été prononcé.—Alors laisse-moi faire.Il me prend la main. Nous sortons de la rangée. Tous les regards sont tournés vers nous. Damien me pousse devant lui. Nous tournons le dos à l’écran et faisons face à tous ces visages. Il est derrière moi mais je sens ses mains qui viennent se poser sur mon corsage. Déjà il défait un bouton. Je comprends ce qu’il veut. Me dénuder devant tous. Non, jamais je n’ai fait cela. Le plus que j’ai fait, c’est seins nus à la plage, mais ce n’est pas comme ici, une sorte d’exhibition.Son baiser dans le cou me surprend. Il est si doux et si loin de ce qu’il me demande d’accepter.—Laisse-moi faire. Tu es si belle. Laisse-moi montrer combien tu es désirable. Personne ne te connaît. Je croise le regard de la femme noire, celle qui chevauchait l’homme à notre arrivée. Son mari ? Son amant ? La rencontre d’un soir ? Elle me sourit. C’est un peu comme si je la connaissais.Je le laisse faire. Je vois la surprise lorsque tous ces visages découvrent les bijoux. L’homme du jeune couple parle à sa compagne. Nul doute que ce soit de cela qu’il lui parle. Le chemisier a passé la barrière de mes bras sans que je réagisse. Je suis surprise de ne pas être dérangée par tous ces regards. Je sais que je suis belle. Ce n’est pas de l’arrogance, car plus jeune on me l’a souvent dit. Moins souvent maintenant. On ne dit pas ce genre de chose à une femme mariée, du moins dans mon environnement. Je me surprends à me redresser. Mais Damien continue. Ma jupe suit le même chemin et comme je n’ai pas de culotte…Heureusement que je me suis épilée il y a peu. J’aurais eu honte de paraître "négligée".Arrête cela tout de suite…Tais-toi, ce n’est pas le moment.Non, ce n’est pas le moment. Je suis le centre du monde. Jamais je n’ai été regardée ainsi. Lorsque je croise leurs regards je n’y vois que de l’envie. Ces hommes ont envie de moi. Même la jeune femme qui n’a pas osé me fixe. J’ai chaud. On doit voir le feu sur mes joues.—Bien. Regarde comme ils te trouvent belle. Tu es si belle que c’est un péché de ne pas en faire profiter les autres. Mais on va leur montrer que tu n’es pas que belle.Il me pousse. Je me retrouve face à la banquette ou la belle noire est assise. Il me fait poser les mains sur le dossier. Je réalise alors ce qu’il compte faire. Je vais refuser mais le sourire de cette belle femme, si peu pudique pour se montrer comme elle l’a fait tout à l’heure, me rassure. Elle me regarde mais aussi regarde derrière moi. Je vois que Damien a sortis son sexe. Il bande. J’en suis surprise. Je ne lui inspirais pas tant de désir dans la chambre. Est-ce l’ambiance dans cette pièce ? Cela l’excite de me montrer à tous, de se préparer à …Le préservatif se déroule comme par magie. Tous suivent son sexe. Je le sens qui se place. Quelques mouvements de frottement le long de ma fente. Il pose ses mains sur mes hanches. Je l’attends. Oui, qui pouvait y croire ? Si on m’avait dit que cette soirée serait ainsi, une succession de transgression ! Moi déjà infidèle et qui accepte que l’on me prenne ainsi, devant d’autres.Il entre. Il est doux. Il se penche sur moi et me susurre dans l’oreille :—Tu es toute humide. Coquine.Il bouge. Il me possède longuement, prenant bien soin de ressortir son mandrin avant de me reprendre. Tous les regards sont vers nous. Je ne quitte plus celui de la femme qui est juste à côté de moi. Je me perds dans ses yeux. Elle me donne la force, l’envie comme elle tout à l’heure. Je gémis alors que Damien accélère.Je la vois avancer sa main. Elle regarde vers Damien. C’est comme si elle lui demandait. Sa main avance un peu plus. Elle la pose sur un sein. Je frisonne. Une femme me caresse. C’est délicat. Elle joue avec le lourd bijou qui attirent mes tétons vers le sol.—Non.C’est Damien qui vient de parler. Ce n’est pas à la femme qu’il s’adresse. Non, car je découvre qu’un homme, sexe tendu s’était engagé dans la rangée avec l’intention manifeste de me proposer son sexe à sucer. Mais mon amant me veut tout a lui. Il accepte juste qu’une femme joue avec moi.C’est possessif. Je me sens sa chose. Il décide pour moi. Mais c’est si bon…
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—Waouh, du grand art. Ce sont les mots de Martial qui manifestement a suivi sur son écran ce qui s’est passé là-haut. Tu ne m’oublies pas. Il ajoute, phrase hermétique pour moi, mais que manifestement Damien comprends.—Je suis sur la bonne voie.Je m’accroche à son bras. Je voudrais le questionner sur ce que les deux hommes se sont dit, ces sous-entendus qui semblent me concerner, mais je n’ose pas. Après tout, je n’ai pas à me plaindre. Damien prend soin de moi. Il est mon amant d’un soir. Il me fait découvrir tant de chose.Il ouvre la porte de sa chambre. Sans un mot il la garde ouverte. J’entre… La porte se referme derrière nous… Il est deux heures du matin, la nuit n’est pas terminée. Après tout… Un peu plus, un peu moins… Je suis une femme infidèle, alors au moins aller au bout de la nuit. Demain il fera jour et je redeviendrai l’épouse modèle. Je ne ferai pas de reproches à Antoine, je n’en ai plus le droit.Mais je dois veiller sur lui. Emma doit être redoutable.
Antoine.
Mai. —Antoine ? C’est moi Emma. Tu es au courant ?C’est la voisine, Emma qui m’appelle sur mon 06. Il est tard. J’ai mangé devant la télé, plateau repas en tenue décontractée. En slip pour ne pas le dire. Il fait une chaleur à crever. Je suis tout seul. Cela n’arrive que très rarement. D’habitude c’est moi qui peux être absent pour de courts voyages de prospections.Ambre est à Paris. Elle est avec le voisin, Damien qui a demandé son aide, elle est prof de Chinois, pour des négociations avec des clients. Je viens justement de recevoir un SMS ou elle me disait que tout s’était bien passé, qu’ils étaient au restaurant avec les mecs et qu’en principe, après, Damien avait prévu de les emmener dans un cabaret. Je suis heureux pour elle. Enseigner le Chinois dans un lycée n’est pas le top du top, surtout qu’elle a quitté un poste plus gratifiant pour que nous venions nous installer ici.—Au courant de quoi ?—Mais que les négociations ont aboutis.—Ah oui, Ambre m’a envoyé un SMS.—Il faut qu’on fête ça.—On va attendre leur retour.—L’un n’empêche pas l’autre. Allez, venez, j’ai une bouteille au frais et deux flûtes qui s’ennuient.—Il ne fait pas un peu chaud ? Je suis en petite tenue.—Venez comme vous êtes.—Je suis en boxer.—Et alors ? J’en ai vu d’autres… Je plaisante. Plus sérieusement, il fait meilleur dans mon salon, on a la clim. Allez, venez. Passez par le jardin, je vous ouvre la porte. Si on vous voyait entrer chez moi, cela jaserait…Je passe tout de même un short et un tee-shirt. La porte est ouverte. Le jardin est en contrebas, je monte quelques marches et vais dans le salon.Deux coupes, un seau à glace avec une bouteille, mais personne.—Je suis là.—J’arrive. Servez-nous.Deux minutes et elle arrive. Je comprends tout de suite que ce n’est pas qu’une invitation pour célébrer le marché signé par son mari, avec l’aide d’Ambre. Elle est en nuisette. Certes la poitrine est cachée par un renfort qui marque les seins. Certes la transparence est atténuée par une petite culotte, mais tout de même, ce n’est pas une tenue pour recevoir un jeune voisin.—C’est trop ? Je t’ai menti la clim est en panne et j’ai vraiment chaud. Cela te choque ?—Eh bien, c’est-à-dire que vous…—Je peux aller passer quelque chose de plus décent mais ce n’est pas la première femme que tu vois ainsi. Allons, trinquons.Elle ne me laisse pas le temps de répondre. D’ailleurs qu’est-ce que j’aurais répondu. Au lieu de trinquer j’aurais dû partir, sous n’importe quel prétexte, mais je ne bouge pas. Je ne veux pas avoir l’air ridicule en fuyant devant une femme.—Je me demande bien ce qu’ils peuvent faire en ce moment ? Elle dit soudain pensive.—Si j’ai bien suivi le programme, ils doivent tous être en boite.—Oui, c’est ce qui est prévu.—Pourquoi, le programme est changé ?—Non, en principe non, mais va savoir la vérité.—La vérité ?Elle nous ressert. Nous buvons en silence et puis elle reprend :—Tu ne te fais pas de soucis. Tu as confiance ?—Confiance ?—Oui, pas une seconde tu n’as imaginé que Damien et Ambre pourraient ?—Mais pas du tout. J’ai totalement confiance.—Je sais qu’entre hommes, vous avez échangé des confidences. Non, ne nie pas, il me l’a dit. Donc tu sais que nous sommes un couple libre, oui ?—Oui.—Reconnais que Damien a beaucoup de charme. De charme et d’expérience. Il sait conquérir une femme. Tu n’as pas peur qu’Ambre cède à ses avances ?—Mais non. Cela ne m’a jamais effleuré. J’ai confiance en mon épouse et en plus Damien est… Pourrait être son père… Alors !—Il est trop vieux pour elle, c’est ça ? Donc moi aussi tu me trouves trop vieille ?—Euh, non ce n’est pas ce que je dis… Je me suis mal exprimé. Je…—Tais-toi tu t’enfonces. Je vais te montrer que je ne suis pas si vieille.Et sans prévenir, elle se lève et d’un geste enlève sa nuisette. Mais elle ne s’arrête pas là, elle chasse aussi sa culotte.—Alors tu me trouves trop vieille ?Je suis paralysé. La première chose que je remarque c’est que ses mamelons portent des piercings. Sa poitrine est ferme, étrangement ferme et même si je n’ai pas l’expérience je peux deviner que la nature a été corrigée. Son sexe est lisse. Ses petites lèvres pendent un peu, marquant encore plus ce qui se devine.—Tu ne dis rien. Tu as honte. Je vais te montrer.Elle fait les deux pas qui nous séparent. Elle s’agenouille devant moi.Il faut te lever. Si tu ne bouges pas ce sera difficile après. Tu as bien compris que ses insinuations sur la fidélité de ta femme font partie de sa tactique comme la nuisette en est un autre. Son mari t’a bien expliqué qu’ils sont libres. Lève-toi. Tu es en train de te prendre dans ses filets. Elle a déjà tiré sur le short. Elle t’enlève le tee-shirt. C’est une Cougar. Cela n’existe pas qu’ailleurs. Elle en est un bel exemple. Un petit jeune…Le petit jeune, c’est toi.Arrête de fixer sa poitrine, en particulier les deux tiges de métal qui traverse les tétons et deux boules qui en marquent la fin.Tu bandes. Crétin tu bandes. Regarde elle a déjà sorti ton engin. Elle est super efficace. Putain son regard vers toi, le vice personnifié, ce n’est pas ton Ambre qui ferait…—Il parait que ta femme n’aime pas sucer. Quel dommage. Comment peut-on ne pas aimer ça. Regarde…Damien n’a pas su garder sa langue. J’avais été trop bavard lorsqu’il m’avait fait la confidence sur la liberté dans son couple. Avais-je besoin de dire ça ? De me faire plaindre ? Et ce salaud a été le répéter à sa femme… Comme moi j’avais parlé de ses confidences à la mienne…Je remarque que ses lèvres sont rouges et tranchent sur la peau rose de mon gland qui s’est libéré de sa gangue. Deux lèvres gourmandes qui tout de suite avancent, avancent et me font la démonstration qu’elles peuvent aller jusqu’à buter contre mes bourses.Évidemment qu’Ambre ne me fait pas cela. D’ailleurs avant elle je n’ai pas connu de filles capables de me gober si facilement. Emma jubile. Son regard pétille. Elle fait le chemin inverse.—Alors, cela te plaît ?—Oui, continue.Voilà comment je suis devenu l’amant de la voisine. Ce qui est bien avec elle, c’est qu’elle est totalement libérée. Elle m’en a fait la démonstration dans la foulée en me pompant jusqu’à ce que je ne puisse plus me retenir, libérant des flots de sperme dans cette gorge si accueillante et si perverse. Oh, oui, la perversité dans son regard alors qu’elle avale ma liqueur.Oh, la perversité alors qu’elle vient, dans la foulée, m’embrasser. Une fraction de seconde j’ai failli détourner la tête mais mon amour propre a pris le pas sur mon manque d’envie de goûter à mon foutre.Une nuit de sexe. Elle est infatigable et sait raviver la flamme comme personne. Un feu d’artifice. Elle ne l’a pas dit mais lorsqu’elle m’a demandé de la prendre par son petit trou, j’ai bien vu qu’elle savait que ce chemin m’était refusé par Ambre.Voilà comment je suis devenu si faible, accourant à chacune de ses demandes. Dans une petite ville comme la nôtre, l’anonymat est difficile à conserver, aussi nos rencontres se font en forêt dont la ville est quasiment cernée. Baises inconfortables dans la voiture, mais aussi baises sur une couche improvisée avec une couverture et surtout baises avec l’aide d’un arbre ou d’une table de pique-nique, ma maîtresse en appui, cambrée, offerte, m’encourageant d’une voix rauque qui m’excitait au plus haut point.Tu es mon seul amant actuellement.Elle m’avait avoué avec légèreté, comme si c’était une confidence normale. Elle assumait. Elle m’avait rassuré sur sa tentative de me faire croire que Damien et Ambre auraient pu fauter. Elle avait carrément posé la question à son mari et m’avait fait un cadeau que j’avais apprécié :Leur relation est purement amicale et professionnelle. Et elle avait ajouté : je n’ai pas parlé de nous.Ce secret me rassurait. Si Damien avait appris que j’étais l’amant de son épouse, bien que la jalousie ne fasse plus partie d’un sentiment dans leur couple, il aurait peut-être eu envie de relever le défi. J’avais confiance dans mon épouse mais il ne faut jamais prendre de risque. Il aurait pu lui dire que son mari batifolait avec la voisine et qu’elle était bien bête de se priver de choses qui…Très vite elle m’a proposé de ne plus nous protéger après avoir fait des tests. —Il faut que tu promettes de ne pas avoir d’autres partenaires ou te protéger.—Ma seule autre partenaire est Ambre.—Alors, coincée comme elle est tu ne risques pas de te retrouver cocu.La demande de Damien pour une seconde rencontre avec ses partenaires Chinois est ce qui pouvait nous arriver de mieux. Enfin une nuit et si elle était au niveau de l’autre en Mai, alors je serais un amant comblé.—Garde tes forces. Je te promets une surprise, il faut que tu sois en forme… Viens après ton travail. Dix-neuf heures. Passe par le jardin, comme l’autre fois.—Rassure-toi je vais assurer. Je sais que tu es une maîtresse exigeante. Que la journée me parait longue. Je débauche plus tôt afin d’avoir le temps de prendre une douche, m’épiler avec cette nouvelle crème qui ne brûle pas ces parties si sensibles et me faire beau avec une lichette de parfum.Je passe sa porte comme l’autre fois, quelques marches et alors que je m’attendais à découvrir Emma en petite tenue, je la découvre en robe. Elle n’est pas seule. Une autre femme est avec elle. Une femme que je ne connais pas. Heureusement que je ne suis pas venu en "négligé". Une visite impromptue ? En tout cas une visite dérangeante.Les présentations sont simples :—Antoine, mon voisin. Antoine je te présente Agnès une amie de longue date.—Enchanté.—Enchantée.—Ne fais pas cette tête-là. Agnès est plus qu’une amie. C’est elle, la surprise. Tu comprends pourquoi je t’ai demandé de garder tes forces. Ce soir il va falloir nous satisfaire toutes les deux. —Ah !—Je te trouve bien timide. On te fait peur ?—Non, mais c’est que…—Tu n’as jamais fait cela avec deux femmes ?—Ben, non. Une fois en soirée arrosée on a baisé dans le noir à côté d’autre couples, mais pas plus.—Qu’il est mignon ! Tu vois Agnès, je t’avais dit, toute une éducation à faire.Une éducation, elle n’est pas loin de la réalité. Je suis un garçon biberonné à la "toile" et en particulier aux sites pornographiques. Je crois que j’ai tout exploré… En imagination… Mais je ne compte plus les fantasmes irréalistes qui ont hanté mon adolescente et ma jeunesse. La vie est capricieuse. Je rêvais d’une maîtresse acceptant toutes les audaces ! J’ai rencontré Ambre. J’ai cru pendant un moment que je pourrais la faire évoluer vers certaines de mes envies, mieux qu’elle deviendrait demandeuse, mais non. Comment peut-on être une femme moderne, avoir son corps de rêve et ne pas aimer ce que d’autres avant elles avaient acceptés. Pourtant j’ai tout essayé. Les revues pour femmes regorgent de conseils pour "une sexualité épanouie". Ils abordent, certes en des termes très "châtiés", toutes ces pratiques, parlant de la fellation et de la sodomie comme si c’était une évidence et donnait des conseils pour mieux en profiter.Pourtant je ne demandais rien qui ne sorte d’un couple. Pas de libertinage, pas de pratiques particulières. Non.Mais la vie, si elle est capricieuse, elle sait aussi vous chérir. Ambre est l’amour de ma vie. Ambre ma maîtresse, qui avec un regard sait réveiller mon sexe, d’une main le branler et se faire un bien qu’elle n’avait pas peur d’exprimer.Je suis leur élève. Il ne leur faut que quelques minutes pour que nous nous retrouvions nus dans le salon. Si Emma est bien conservée, Agnès aussi. Le sexe, le libertinage sont-ils des crèmes de jouvence. Je ne suis pas loin de la vérité.Deux bouches gourmandes s’occupent de moi. L’une comme l’autre me pompe, s’embrassent sans pudeur, partageant leur salive. J’ai le plus grand mal à résister. Je voudrais m’asseoir mais elles me guident.Position étrange, non pas qu’elle soit inconnue mais d’habitude c’est Ambre ou Surtout Emma en forêt que je place ainsi.Position perverse alors que pour la première fois de ma vie, une femme me suce alors que l’autre profite de cette position pour me caresser les fesses et surtout glisser une langue mutine vers mon œillet.Heureusement que tu t’es douché et bien épilé avant de venir.Je suis leur jouet. Mon sexe est d’une rare dureté autant par ce qu’elles me font que l’étrangeté de la situation. Mon sexe, mes bourses, mon œillet sont au paradis.C’est ce doigt qu’Emma pousse dans mon petit trou après cette feuille de rose, que je pensais réservée aux gays qui me fait frémir. Jamais je n’avais connu cela. Étrange sensation, presque désagréable, mais qui se transforme en découverte alors que ce doigt bouge en moi. Il bouge, je le sens, c’est comme s’il vivait. Une crispation et sans que je le sente vraiment venir je jouis.Agnès goûte à mon foutre.Je suis leur élève. Je suis leur jouet. Mais que c’est bandant, de les voir s’embrasser devant moi, Agnès dégoulinante de salive et de foutre qu’Emma recueille et partage.Glauque. Non. Si dans les vidéos de cul cela faisait glauque, pire "téléphoner", sous mes yeux c’est le vice et la perversité dans leur meilleur rôle.Et les coquines ne se privent pas de m’inviter à ce festin, festin qui m’est devenu familier avec ma maîtresse.Le champagne rince les gorges. Un instant j’ai honte de me laisser guider par Emma sur des chemins inconnus pour moi. Ambre en ce moment travaille. Je suis un époux malhonnête qui profite de son absence, mais c’est si bon, plus que le fruit défendu, une corbeille entière que le destin met à ma portée.A ma portée… Oui du regard, alors que les deux femmes me regardent et se parlent à l’oreille avec un sourire qui promet le paradis.Elles bougent, elles s’embrassent, se caressent et puis Agnès s’installe à genou sur le canapé se servant du dossier comme appui. Son amie se glisse entre ses cuisses et la plus douce des musiques commence. Le corps d’Agnès me la cache, mais je ne peux ignorer qu’elle s’active pour tirer de tels soupirs et gémissements à sa complice. Ses deux mains posées bien à plat sur les fesses semblent les masser.Et puis la jouissance arrive. La femme ne la cache pas, elle est comme sa complice. Décidément ces libertines ne cachent rien…Et puis Emma réapparaît, visage humide, preuve de son efficacité. Elle me voit. Elle voit que je bande. Qui ne serait pas "touché" par ce spectacle si naturel. Elle se penche vers Agnès toujours en place. Elle lui parle. Les coquines parlent de moi, c’est sûr. Qu’importe, car elle me fait un geste de la main. Je me lève et m’approche.—Elle est à toi. Fais-la bien jouir. Pas besoin de capote, elle est comme nous, clean.Elle est à moi. Elle n’a pas bougé. Sa croupe, un peu lourde me fournit une bonne prise. Sa fente est gluante. J’y entre dans une glissade ou j’ai peur de disparaître tout entier. Mais non… Je suis bien à fond. Je m’accroche à ses larges hanches.Je bouge. Aussitôt elle gémit. Oh que c’est bon. Je sors mon sexe tout entier et comme attiré je replonge. Continue… Tout entier… Oui, comme ça je te sens bien.Je vois Emma quitter la pièce. Elle me salue d’un petit signe qui ne peut se traduire que par: Continue. Baise la bien.C’est un délice. La fente est juste à ma hauteurJe force un peu. J’ose me pousser d’un coup de rein. Que tu es dur. Je continue.J’ose me pencher un peu plus en avant pour poser mes mains sur ses épaules. Mes coups de rein deviennent plus brutaux. Mon ventre claque. Elle gronde. Quoi que je fasse, elle aime.Je redécouvre Emma qui est revenue. Une chose m’étonne. Elle porte un gode entre ses cuisses. Un simulacre de sexe, plus petit, plus fin, sombre comme la nuit. Les sangles qui font le tour de sa taille et de ses cuisses maintiennent l’objet bien horizontal. A moins que… Oui, je peux imaginer que la partie arrière de la chose est dans sa fente…Elle sourit. Elle est tout près de nous. Qu’elles sont ses intentions ? Veut-elle que nous prenions son amie en sandwich ?Elle recouvre la gode avec une crème grasse.Elle sourit. Elle se penche vers moi.—Je vais te faire découvrir un autre plaisir. Je comprends aussitôt. Ce truc est pour moi.—Mais je… Jamais…—Tout homme devrait essayer au moins une fois. Demande à Damien, s’il n’aime pas !—Damien ? Lui ?—Bien sûr. —Ah ! Cette confidence me surprend. Jamais je n’aurais imaginé un homme de sa trempe, de sa prestance, de son autorité naturelle, accepté de…—Je serai très douce. Tu verras. Les hommes sont comme les femmes, ce passage est très jouissif.Que dire ? Protester ? Refuser ? Mais si je refuse, elle va cesser de me voir ! Se moquer de moi ! Moi, refuser ce que son mari accepte et même apprécie comme elle le sous-entend !Refuser ce que je demandais à mon épouse, ne comprenant pas pourquoi elle me refusait ce plaisir.Mais déjà je sens qu’Emma est passée derrière moi et me caresse l’œillet.Une bouche.Une langue.Une humidité grasse.Un doigt qui masse et…entre.Une chose qui le remplace.Je sursaute. Elle vient de me claquer la fesse.Je sens… Oui je sens qu’il est en moi… Qu’il avance… Avance…—Tu vois c’est facile.Elle est tout contre moi, son ventre contre mes fesses.Cela signifie… Oh mon Dieu… L’objet est en moi, tout en moi. Je suis pris par le… Le cul… Comme une… Comme un…—Tu verras c’est encore meilleur avec un vrai sexe…Ai-je bien compris ? A-t-elle parlé de me faire sodomiser par un homme ? Doucement… Tout va trop vite pour moi… Je ne voulais qu’une maîtresse et…—AhhhC’est moi qui gémit. Oui c’est moi. Elle bouge en moi. Et puis Agnès, elle aussi parle, me parle, tout en tournant le visage vers nous.—Je la sens moi aussi. Tu es plus dur. Elle te fait du bien, n’est-ce pas ? Si tu veux, après vous me prendrez tous les deux. Ce sera bon. Et puis soudain d’une voix plus rauque. Plus fort Emma, il aime…Je suis leur jouet. Emma bouge plus vite, plus fort. C’est une sensation étrange, pas désagréable, déstabilisante si je réfléchis. Mais la raison s’efface. Chaque fois qu’elle me prend bien à fond nous sommes deux à l’accompagner. C’est comme si le gode me transperçait et venait comme un coin dans ma verge pour la faire gonfler.Mon Dieu j’aime ça. Si ma femme savait ! J’ai honte, oui honte… Une fraction de seconde alors que je sens ma sève monter…
Ambre.
De retour du deuxième voyage à Paris.Je redoute le moment où je vais croiser le regard de mon mari. Il va tout comprendre, je ne sais pas mentir. Dans le train, Damien m’a donné le coup de grâce. J’avais l’excuse que mon mari avait couché avec Emma pendant mon premier voyage à Paris. Sa faute excusait la mienne, même à un mois d’intervalle. Mais Damien m’a avoué que cela ne s’était pas reproduit. En toute équité mon aventure avec Damien dépassait l’infidélité de mon mari. Emma s’était faite tentatrice et il n’avait pas pu résister. Qui le condamnerait surtout qu’il n’avait pas continué. Mais moi, oui moi c’était autre chose.Cette nuit avec Damien avait dépassé la simple aventure. Je n’avais pas QUE couché avec un amant, oh que non. J’avais accepté de lui tant de choses faisant preuve d’une faiblesse inexcusable.Il avait juté dans ma gorge. Il m’avait prise devant d’autres. Et dans la chambre j’avais continué de me laisser guider.Oh, Antoine, peux-tu imaginer que lorsque je te dis bonjour, que tu m’embrasses avec tendresse, j’ai dans mon petit trou l’un des plugs que Damien a achetés ?Il faut que tu t’habitues. C’est la raison pour laquelle j’ai acheté trois tailles différentes. Ce soir je vais te mettre le premier. Tu vas le garder, jusqu’à ce que tu sois chez toi. Après on verra. Tout dépendra de ta "participation" cette nuit.Avais-je choix ? Le choix de refuser ? Le choix de ne pas participer ? Facile à dire une fois qua la machine est lancée. Je ne me reconnaissais pas. Il avait été infatigable.Finalement Antoine n’a rien vu. Il a été particulièrement amoureux. Peut-être qu’il se sentait coupable de son aventure avec Emma ? J’avais eu juste le temps de retirer le plug dans la salle de bain…J’ai honte ! Malgré son envie et le désir de me satisfaire, j’ai trouvé cela fade…Une nuit avait donc suffi pour faire de moi une femme infidèle, infidèle au point de penser à son amant alors que mon mari me besognait…Un jour, une semaine, un mois sans nouvelles de mon amant. Bien sûr je le croise en public, mais c’est comme avant, des "Vous", des échanges sans contenu. J’attendais. J’ai même proposé de les inviter à la maison, mais Emma prétexte des engagements pour refuser.N’avais-je donc pas été à la hauteur de ses espérances ? Pourtant ! Le petit plug que je cachais mais que j’avais mis de ma propre initiative la première semaine était une preuve de son influence. Chaque fois que je le portais ou que j’y pensais me revenait sa remarque :Tout compte fais je vais attendre. Oui, bonne idée. Donnant, donnant. Il ne pourra plus me refuser, si je lui fournis ce qu’il désire…Attendre. Quelqu’un ? Et donc pas lui ! Mon petit trou… Des objets pour le préparer… Pour un autre… Un échange ?Non, je me refuse à le contacter. Pas question de faire le premier pas.A suivre
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