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Ma Geôlière

Chapitre 1

SM / Fétichisme
Ma GeôlièreBonjour/Bonsoir,Je vais vous conter une histoire tout droit sortie de mon petit esprit.Je dois cependant vous établir le contexte. Mon histoire prend place en l’an 2074, depuis une dizaine d’années maintenant, on sait greffer des pénis et des testicules, ainsi donc, l’homme est devenu complètement inutile. Il n’en faudra pas plus aux lobbies féministes pour affirmer leur pouvoir et stigmatiser le nouvellement définit "sexe faible".Partout dans le monde naissent des sociétés complètement matriarcales, la France n’échappe pas à ce changement et dès 2070 la gouvernance est entièrement assurée par des femmes. Les hommes eux sont progressivement écartés et il est désormais offert aux couples "lesbiens" d’avorter lorsque l’enfant est un garçon.Le cadre étant placé, nous pouvons plonger dans l’histoire.
Mon nom est Annabelle et aujourd’hui c’est l’anniversaire de mon incarcération.Eh oui, ça fait 1 an que je suis emprisonnée, pourquoi ? Pour apologie du terrorisme. Je suis née en 2054, je n’ai jamais connu mon père, ma mère m’a élevée seule, elle m’a tout de même inculqué les valeurs républicaines et j’ai toujours cru en l’égalité des sexes et de par un procès expéditif, je finis en prison. Dès le premier jour j’ai compris que cette prison était très spéciale, par exemple, je ne dispose que de 30min par semaine pour avoir accès à internet, comme toutes les détenues je dispose d’une salle de bain personnelle, directement installée dans ma cellule, cellule de 10m².
Je n’ai vu l’intérieur d’autres cellules qu’une fois, quand mes gardiennes m’ont fait entrer dans la mienne, car oui, j’ai l’impression que tout le personnel de la prison est exclusivement féminin.Les gardiennes viennent distribuer les repas par un orifice classique de cellule, puis repartent.
Avec cette description on pourrait se dire que ce n’est pas si mal au final... Pourtant...
Au bout de la deuxième semaine je fis la connaissance de Nina, je fus assez choquée de cette première rencontre, car souvenez-vous, je ne suis même pas censée avoir de contact avec les gardiennes, leur seul rôle étant de distribuer les repas.
Mais peu importe, c’était le mercredidi 3 mai 2073, je m’en souviens car c’était la première fois que j’ai pu reparler à ma mère. J’étais donc à la salle informatique et cette gardienne, 1m75, brune, cheveux bouclés, yeux marron, de type Magrébine me dit :
" Si tu veux quelques minutes en plus, laisse ton verre d’eau plein ce soir."
Sans trop me poser de question, j’entrepris d’accepter, après tout pourquoi refuser quelques minutes de plus avec le monde extérieur...
Le soir venu, je suivis les instructions et laissai mon verre d’eau plein, et lorsque l’on récupéra mon plateau, la porte de ma cellule s’ouvrit complètement et laisse apparaître une gardienne, mais pas n’importe laquelle, Nina.

Elle m’emmena à la salle informatique, comme prévu et je pus discuter avec ma mère.Au bout de 45min Nina restée à la porte pour surveiller toute activité, me rappela, je compris que c’était l’heure de retourner à la cellule.Cependant quelque chose ne collait pas, Nina ne me ramenait pas à ma cellule mais dans un local sombre et humide, puis je compris que ces quelques minutes en plus avaient un prix.
Elle m’agenouilla devant elle et descendit sa braguette laissant apparaître une culotte rose, je ne compris pas ce qu’il m’arrivait jusqu’à je vis sa verge dégoulinante de présperme. Elle me lança brutalement :
" Suce-moi le gland, pétasse ! "
J’ai d’abord tenté de me relever, ce à quoi elle me donna un coup de pied en plein ventre. Férocement elle me dit :
" Refais ça et je te brise en deux !"
Puis elle me mit son énorme queue dans la bouche et me força à lui faire une fellation. Elle n’allait pas en finir là, car elle me frappa la tête et me dit "de le faire avec passion ".C’était la première fois que j’avais une bite dans la bouche, d’ailleurs elle me dit :
" On dirait que c’est la première fois que tu le fais salope."
Je réussis à retirer son gland de ma bouche pour lui dire :
" Mais c’est la première fois ! "
Ce à quoi elle répondit :
"Oh putain ! Une vierge, j’ai du bol !"
Puis m’enfonça son gland dans la bouche et au bout de 5min je me suis dit que si je la faisais jouir, j’en aurai fini, alors j’engloutis son gland faisant même des va-et-vient, en prenant soin de lécher ce dernier.
Sa réaction ne se fit pas attendre et elle jouit dans ma bouche en lâchant un :
" On va bien s’entendre toi et moi cocotte."J’essayais encore de régurgiter sa semence quand elle me prit par le bras et me ramena à ma cellule.Une fois sur place elle me dit :
"La prochaine fois tu seras littéralement à mes pieds salope."
Elle accompagne cette phrase d’un clin d’œil, et je pense que j’en reste encore traumatisée.
Ainsi donc la nuit suivant l’événement Nina se présenta à ma cellule, cette fois en tenue de sport et comme la nuit dernière nous repartîmes dans le fameux local.Mais une odeur forte de transpiration me chatouillait les narines. C’était Nina qui apparemment sortait d’une séance de sport. Elle sortit sa queue par sa braguette comme l’autre fois et me fais signe de commencer la fellation et comme la première fois je lui lécher le gland comme une petite chatte bien qu’à ses yeux je ne sois qu’une chienne...
Ce qui devait arriver, arriva et je pris sa décharge dans la bouche et la recracha, lorsqu’elle s’en rendit compte elle me gifla et me dit :
" Tu gâches mon sperme sale pute !?"
Elle poursuivit en me giflant une seconde fois, je commençais à pleurer lorsqu’elle me prit dans ses bras et me demanda pardon, elle rangea son matériel et me raccompagna à ma cellule. Je fus très troublée, et je ne trouvai pas le sommeil.Elle me laissa tranquille pendant une petite semaine, après quoi nos rencontres nocturnes recommencèrent.Cette fois je me rendais bien compte que j’avais un minimum de pouvoir sur elle, hélas ce n’était qu’une illusion car dès que nous entrâmes dans le local, elle me dit :
"La dernière fois j’y suis peut-être allé trop fort... Mais je compte sur toi pour que ça n’arrive plus"
Dans un geste que je ne comprends moi même pas à ce jour, je fis signe de la tête pour signifier mon accord.
Elle sortit son pénis et spontanément je me mis à lui lécher le prépuce, voyant mon engouement elle me dit :
"Eh bien ma cochonne on dirait que t’as faim ce soir"
Je ne me rendis compte de mon comportement de salope que lorsqu’elle se déchargea dans ma bouche et que j’avalai tout son sperme. Elle me sourit et sans réfléchir je lui souris.
Je pensais en avoir fini, mais elle retira ses bottes et me dit :
"J’ai transpiré toute la journée et j’ai mal aux pieds, t’as intérêt à faire des miracles cocotte."
Elle me tendit son pied droit accompagné d’une chaussette effectivement dégoulinante. Elle m’ordonna de lui retirer ses chaussettes. L’odeur était celle de vestiaire de lycée, elle me dit que si je faisais un bon travail elle me laisserait tranquille, alors je commençais à la masser, mais elle me stoppa net en rigolant et en disant :
" Cocotte... Je pense que tu te débrouillerais mieux avec ta bouche."Offusquée et au bord des larmes je lui dis :
"Je ne sais même pas comment tu t’appelles, tu me forces à te sucer puis à te lécher les pieds ? Qu’est-ce que j’t’ai fait ?"
Elle me répondit calmement et d’une voix douce :
" Ma cocotte, je m’appelle Nina et toi désormais tu es ma salope personnelle."
Ça y est je pleure. Mais ça ne me sauvera pas cette fois car je constate qu’elle bande, je vois même son sexe palpiter, elle me caresse la tête et me met son pied gauche sur l’épaule, le droit près de la bouche et me dit d’une voix douce :
"Fais-le pour moi mon cœur."
Je ne savais plus où en-étais-je et sans que je puisse y faire quoique soit elle me mit son gros orteil dans la bouche, à ce moment précis j’ai arrêté de me battre et je devenais complètement "sa petite salope" et je commençais à lui lécher les pieds pendant qu’elle se masturber, je prenais le droit puis le gauche.
Au bout d’un moment elle me retire ses orteils de la bouche et me dit :
"Gobe-moi le gland et je te ramène en cellule cocotte."
Je m’exécutai et elle jouit une deuxième fois dans ma bouche et une deuxième fois j’avalai toute sa semence à la fois sucrée et amère, de toute façon je devais m’y habituer...
Elle me raccompagna à ma cellule et depuis à peu près un an je suis la salope de Nina.
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