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La gérante de la galerie d'art

Chapitre 7

SM / Fétichisme
La pénétration de cette queue majestueuse est à la fois douloureuse et si plaisante. Ma chatte est écartée plus que jamais. Les hommes pensent souvent que c’est la longueur de leur membre qui compte. C’est en fait l’épaisseur qui donne plus de plaisir. Dans ce cas les deux sont réunis. Mes lèvres puis mes chairs internes sont écartées à fond et je jouis. Il me prend comme un étalon s’empare d’une pouliche mais avec plus de patience. Je couine et râle à chaque coup de bélier :
""Ooouuuhhhhh ! Hhhhiiiiiii"
Il me rentre dedans avec plaisir car ma chatte est comme un gant de velours autour de sa queue.Les talons de mes bottes crissent sur le sol à chaque pénétration. Je sens qu’il ne peut me pénétrer entièrementJe sens des petits orgasmes s’enchainer en moi.
Soudain il arrête et sort de moi. Je pousse un cri de dépit. Je pousse un cri de douleur et de dégoût lorsqu’il pose cette pince sur mon téton. Je l’enlève aussitôt. "Ça va pas non?  T’aimes faire mal à une femme ?  Fais-le avec ta virilité, comme un homme !" je m’exclame.
Je vois dans son visage que je viens de faire une erreur.  Je l’ai défié. Il se relève et se remet en place. Il pose un petit tabouret pour être plus haut. Il place sa bite à l’entrée de mon intimité et il commence à plonger en moi. Je commence à crier : Oooohhhhhhhhh Ouiiiiiiiiii Ahhhhhhh merde c’est gros !" Dans cette position il peut rapidement enfoncer tout ton membre en moi. Il bute au fond de ma chatte. Il va me punir à coups de bite.

° ° °
Elle n’a pas vraiment apprécié l’initiation s.m. par les jeux de pince sur ses mamelons, la chienne. Elle s’est indignée et j’ai vu sourdre une colère subite dans ses yeux.Pourtant j’ai fini par lui imposer ces pinces qui relient ses deux tétons avec la chaîne qui va se balancer en cadence ; elle doit commencer à s’habituer à cette sensation douloureuse, c’est sûr.Mais j’ai senti de la rébellion et une pointe de défi dans ses mots : ah elle veut que je lui fasse mal « comme un homme » ? Eh bien elle va être servie !Pour commencer je vais chercher un crochet en métal terminé par une boule et relié à une laisse. Je m’approche de son cul et me mets à la fesser vigoureusement : une dizaine de claques viriles et fortes s’abattent comme à Gravelotte sur ses belles fesses épanouies, elle pousse des hennissements stridents.Je ne la laisse pas souffler : je lui enlève le plug en tirant dessus lentement mais d’un geste ferme et sûr, lui dilatant le trou de balle dans un mouvement sortant, elle pousse un « AAAHHH » court et désespéré. Son anus resté béant ne reste pas inoccupé très longtemps : la boule métallique remplace le plug et lui ouvre encore plus son sphincter, comme le ferait un gland.
Je tire sur la laisse : la longueur est calculée et je lui fais redresser sa tête en arrière pour arriver à refermer le mousqueton sur l’anneau du collier de chienne : la tension sur son trou du cul est extrême, elle est obligée de garder le cou bien tendu en arrière pour ne pas s’arracher le trou de balle.Je suis content du résultat, je lui demande :
« - Alors, femelle, on se sent bien dominée par l’homme, ainsi ?! »
Je prends une série de clichés tous plus intéressants les uns que les autres. Puis je monte sur le marchepied médical. J’ai placé ma psyché juste devant elle. Je vois son visage crispé, presque angoissé. Elle doit sentir son petit trou bien dilaté. Elle est obligée de se cambrer au maximum, de creuser les reins. Ainsi, elle m’offre bien son cul, c’est délicieux.Clichés en rafale sur son visage dans le miroir, puis sur sa nuque, ses reins de chienne, son cul bien occupé.
Je plonge ma pine entre ses lèvres, elle est encore plus trempée que tout à l’heure. Elle beugle, mais je sens un tremblemant de plaisir, encore un orgasme !Je pose mes mains fermement de chaque côté de ses reins, emprisonnant bien sa taille avec mes grosses pognes, et je m’enfonce en elle. Dans cette posture je la pénètre beaucoup plus profond. Elle commence à s’en prendre plein la chatte, plein l’utérus, elle rugit. Je la pilonne comme un marteau-pilon mécanique, lent et implacable. Des grands coups de pine qu’elle se prend.Ses bottes raclent le sol. Entre deux coups bite je lui claque ses cuisses, ses larges fesses, elle m’excite trop ! La petite chaîne toujours en place se balance de plus en plus, prend du gite, tiraillant le bout de ses tétons. Ah la salope, je voudrais avoir une deuxième queue pour lui planter dans la gueule et lui enfoncer jusqu’aux amygdales.
Je finis par me retirer, je descends du marchepied. Je détache la laisse du mousqueton, elle peut relâcher son échine.Et là je lui dis :
« - Alors, chère Jenna, vous voulez que je vous fasse mal avec ma virilité, hein, comme un homme ?! Eh bien tu vas avoir ce que tu veux : descends de là et fous-toi à quatre pattes sur le tapis, cuisses écartées. Et cambre-toi bien, avance tes genoux au maximum. Tu as une jolie rosette, mais je crois que jusqu’à aujourd’hui tu n’as jamais su ce qu’était « se faire enculer » ; là, enfin, tu vas comprendre ! Allez, en position ! »
° ° °
Je ne peux pas croire qu’il n’ait pas joui encore. Tous mes autres amants jusqu’à présent n’ont pu durer longtemps dans ma chatte étroite. Ce gant de velours les fait jouir rapidement d’habitude. Lui il est comme une machine. Une machine à baiser, un robot sans répit. Je regarde son gros membre devant moi alors qu’il me détache. J’ai failli jouir mais la douleur sur mes seins m’en a empêché. Une fois libre, je titube sur mes talons aiguilles. Je suis comme ivre.Je ne comprends pas au début quelle est son intention.Obéissante et soulagée de ne plus avoir ces pinces sur mes tétons, je me mets à genoux (ce qui n’est pas facile avec des talons si hauts) puis à quatre pattes. Il prend une sangle et attache mes mains dans mon dos. Je suis forcée de poser ma tête sur le coussin au sol. A quatre pattes sur un grand matelas de cuir, je m’attends â être saillie à nouveau et finalement jouir sur son gros membre.Il semble qu’il ait autre chose en tête en versant du lubrifiant sur ma chatte meurtrie mais aussi sur mon cul.
° ° °
J’adore comment elle joue les ingénues. Elle me regarde avec des yeux de biche, clairs, limpides, presque un regard implorant de jeune chienne… alors que je m’apprête à sacrifier son cul fantastique.
Elle a toujours le crochet de métal bien fiché dans sa rondelle. J’appuie sur sa nuque, l’oblige à se courber en avant jusqu’à ce que sa tête touche le sol. C’est dingue comme j’ai envie de flageller ses fesses majestueuses de Messaline ! Je prendrais bien une laisse, une ceinture et lui zébrerais bien la croupe pour le plaisir d’entendre ses cris stridents, ses jappements de bourgeoise soumise…Mais elle m’a démontré que c’est une novice, une douillette, une chochotte… et qu’elle n’aime qu’une chose : se faire dominer tout en se faisant fourbir !Elle a les mains posées au sol, son visage posé sur ses avant-bras, comme une pouliche prête à être saillie. Je prends mon reflex et la mitraille en rafales, quelle vue !
Elle ne proteste pas quand je lui ordonne de mettre ses mains dans le dos, et que je lui lie les poignets sur ses reins. Ma parole, elle aime ça, ça la fait mouiller de se faire dresser et de s’offrir à un homme, un vrai, un étalon !
La voilà dans une posture des plus inconfortables. Elle repose sur ses épaules, sa croupe est plus tendue, plus haute et plus offerte que jamais. Je prends la corde reliée au crochet et la tire de plus en plus vers le haut, ce qui lui dilate l’anneau culier, comme si j’allais lui arracher : elle pousse des couinements de jeune truie. Je reprends des clichés, dont un avec ma grosse queue dressée en avant-plan ; si on ne comprend pas à quoi elle va avoir droit…
Elle ne proteste pas plus quand je lui fais comprendre qu’elle va se faire enculer : la vérité, elle n’attend que ça ! Je suis sûr que c’est ce qu’elle préfère. Ça tombe bien, ça fait longtemps que je rêve d’enculer une bourgeoise mûre avec ses bottes !Elle me fait un effet… C’est de jouer à la salope bcbg qui minaude et veut me faire croire qu’elle n’y touche pas, qu’elle est fidèle, sage, bien rangée… Si ça continue elle va vouloir me faire croire qu’elle va à la messe tous les dimanches alors qu’elle a dû avoir des tas d’amants… Avec un corps pareil, le contraire m’étonnerait.
Si elle allait jusqu’à là, je lui dirais au moment d’enduire le pourtour de sa rondelle d’abondance de gel : « tiens, est-ce que tu vas confesser à ton curé dimanche prochain comment tu t’es bien fait défoncer le fion ce soir, et que tu aimes la sodomie comme une droguée ?!  J’espère que tu iras dans le confessionnal en bottes et le cul nu sous ta jupe longue… pour encore mieux mouiller quand tu oseras raconter cette enculade d’anthologie, par le menu et en détails. Mais tu ne le feras pas, tu auras trop honte… »
Je tire sur le crochet lentement, la boule apparaît, et elle finit par ressortir en faisant un « PLOP » sonore… son œillet borgne reste ouvert, m’attend, m’attire. Je prends mon chibre large comme un bambou et le gland gros comme une balle de golf remplace aussitôt le crochet et je commence à enfoncer mon membre dans son rectum… et elle se met à gueuler…
Au lieu de la rassurer, au comble de l’excitation je lui annonce fièrement :
« Maintenant je vais t’enculer tellement fort que les yeux vont te sortir de la tête ! »
Sa chatte déborde de mouille, bave en un long filet de cyprine gluante qui se balance et tombe en abondance entre ses cuisses…

(A suivre…)
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