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La gérante de la galerie d'art

Chapitre 8

Histoire médaillée
SM / Fétichisme
Je me rends compte de ce qu’il s’apprête à faire. Je commence à protester. Je le supplie de ne pas faire ça, qu’il est bien trop gros pour moi, que cela ne rentrera jamais en moi. Je lui dis que je ne l’ai pas fait depuis trop longtemps. Je sais pourtant que cela ne l’arrêtera pas, bien au contraire.
Je vois son gros sexe luisant de mes jus et du lubrifiant. Je suis prostrée et liée sans aucune chance d’échapper à ce qu’il me réserve. Les pointes de mes bottes raclent le sol. Mes fesses lui sont offertes. Il crache sur ma rondelle, chose inutile pour la lubrifier mais pour me montrer qu’il me possède, que je suis à sa merci.Il se place derrière moi et enfonce un doigt dans mon petit trou tabou. Il rentre aisément avec un bruit humide montrant à quel point je suis bien préparée. Le deuxième doigt rentre sans problème également. Il fait quelques va-et-vient alors que je le supplie encore. Ma rondelle est dilatée et il veut me faire taire. Se plaçant presque debout au-dessus de moi il positionne son gland contre l’orifice puis il pousse. Je me tends en couinant. Mes mains se ferment comme des poings :
 «  - Ggggnnnnniiiiiii non. Oh mon dieu. Aaaaiiee ! »
Il me dit que je ne demandais que ça en me pavanant en bottes et avec des tenues trop suggestives. Son gland va un peu plus loin et avec un ploc il passe la rondelle. Je semble me détendre un peu car la brûlure diminue.
° ° °
Ah la chienne, même dilatée précédemment par la boule du crochet, je la sens si étroite…. Heureusement elle a été bien lubrifiée. Elle beugle, ses mains se crispent, je vois sa nuque se tendre, tous les muscles saillants, ses jugulaires gonflées : c’est sûr qu’elle ne s’est jamais pris une pareille pine dans le cul !Le gland force avec difficultés le canal musculeux de l’anus, elle est brûlante. Je fais une pause dans ma progression, attendant que son sphincter se relâche. Elle proteste, pleure, gémit, avec des stupides jérémiades de bourgeoise catho :
« Nooon, noon, cet endroit n’est pas fait pour ça, c’est contre nature ! Ça ne rentrera pas, tu es trop gros, tu vas me déchireeeer…— Arrêter de pleurnicher et encaisse. Des bourgeoises j’en ai enculées de 18 à 68 ans, et crois-moi, ça rentre toujours… et j’en enculerai encore ! Qu’est-ce que tu crois, que ton curé que tu visites tous les dimanches à l’église, il ne farcit pas sa bonne entre les fesses devant ses fourneaux en lui soulevant son tablier… ?! » Elle renifle, se détend un peu, son canal semble se détendre, ce qui me permet de m’enfoncer en elle en descendant, dans son splendide cul. Chaque centimètre de la progression lui arrache des cris déchirants - déchirants, le mot bien choisi pour cette laborieuse sodomie.J’ai l’impression que c’est une toute jeune fille qui se fait enculer pour la première fois malgré la préparation dont elle a bénéficié.  Je finis par buter contre ses fesses épanouies. Elle halète. Je suis sûr que jamais personne n’est allé aussi loin, sinon peut-être le gastro-entérologue avec son fibroscope (mais là elle devait être endormie, et le calibre devait être beaucoup moins intéressant…)Je sens ses entrailles se refermer sur moi, j’adore cette sensation. Je commence à sonder du bout de mon dard l’intérieur de son fondement.J’attrape ses poignets liés dans son dos et en tirant dessus je commence à la pistonner, d’abord lentement et sur une faible amplitude, puis en faisant coulisser la hampe de plus en plus loin.
Ses cris changent. Moins surpris, plus voluptueux. Mon membre doit titiller au passage sa zone G. Je prends de l’élan, presque jusqu’à ressortir mon gland, puis je l’enfile à fond, de plus en plus vite.Elle se met à râler, elle prend son pied, cette salope. « - Eh bien, voilà une bourgeoise qui aime se faire enculer ! Une petite salope qui faisait sa mijaurée et chipotait, une vieille chienne lubrique qui prend son pied en se faisant défoncer le cul… C’était bien la peine de jouer les saintes-ni-touche ! T’en rêvais, pas vrai ? » dis-je en attrapant mon Pentax et prenant plusieurs clichés (certains en plan rapproché de ses belles fesses et de mon dard disparaissant dans son anneau sombre, d’autres de ses poignets attachés, et des clichés sur son dos, ses épaules, ses beaux cheveux bruns ballotés au rythme de mes coups de reins… mention spéciale sur ses cuisses, ses bottes… et ses fesses dans l’angle de la photo.) Je la prends par les hanches et commence à lui imposer une brutale accélération : elle gueule ! J’aime cette possession. Je me penche et attrape ses nichons, les presse comme des outres, les fais rouler, les malaxe comme un dément ; je pince ses pointes encore endolories, elle pousse des cris suraigus de souris.  J’ai envie de l’attraper par les bottes, de soulever ses jambes et de la promener comme une brouette dans tout l’appartement, en l’embrochant toujours par le cul, et de me repaître de ses cris affolés.J’ai envie de continuer à l’enculer debout contre la vitre, qu’il y ait des voisins en face qui la voient dans l’encadrement lumineux, à travers la nuit qui baigne la cour séparant leurs fenêtres de la nôtre, se faire secouer, besogner, pendant que mon chibre lui éclate le petit !
° ° °Je ne peux pas croire que j’aime cela.  Certes j’ai déjà été sodomisée quelques fois auparavant mais je n’avais pas toujours aimé. Sauf la fois où étant déjà bien baisée mon amant avait fini par me remplir le cul. Mais jamais je n’avais reçu un membre aussi gros en moi et encore moins dans mon fondement.
Il me besogne comme une bête. Il savoure cet assaut dans le cul d’une bourgeoise. Certes je m’habille sexy et coquine mais je ne suis pas sexuellement ouverte. Je suis en train de découvrir que j’aime être dominée et déchirée par une grosse bite.Certes j’aime être désirée mais je ne pensais pas qu’être ainsi saillie et souillée serait pareillement excitant.  Mes seins sont écrasés dans ses mains alors qu’il me bourre le cul sans pitié. Entendre ses grognements d’homme viril et au contrôle me fait sentir à quel point je suis une faible femme.Je comprends alors que je m’habille ainsi juste dans l’espoir qu’un homme me mette à ma place en me possédant. 
J’éprouve de plus en plus de plaisir et commence à jouir malgré moi. Mes plaintes se transforment en gémissements et couinements de jouissance. Mes entrailles serrent son gros membre de plus en plus et convulsivement.Il va compléter ma possession, mon avilissement en vidant sa semence au plus profond de mon  cul.
(A suivre...)Je poursuis mon idée et ressortant de son cul, je lui ordonne de se relever et d’aller se placer contre la fenêtre. Elle obéit. Je la mate, la regarde avancer à deux mètres de moi : qu’elle est belle et bandante ainsi, à poil et avec ses bottes, ses larges fesses se balancent au rythme de son pas chaloupé, elle me rend dingue ! Elle arrive devant le cadre de la fenêtre, tourne sa tête d’un air charmant de petite allumeuse, et me demande : « Là ? » Je lui réponds :
« Oui là, c’est parfait. Tiens-toi bien, cramponne-toi parce que tu vas t’en prendre plein le cul. » Elle pose ses mains, essaies de s’accrocher. Son visage est contre la vitre. Il y a des fenêtres allumées en face. Le sillon profond de ses fesses est encore bien luisant et glissant. C’est sans problème que j’y insinue mon chibre dur et tendu et que je trouve sa rosette encore ouverte que je force sans douceur.Elle crie, et aussitôt elle se prend des grands de pine dans le cul : elle se remet à gueuler. Mes mains enserrent sa taille un peu enrobée, elle m’excite ! Je la maintiens fermement et je continue à lui envoyer des grands coups de reins, je l’encule sans douceur. L’appareil photo est oublié, pour l’heure. Par contre, je prends ma ceinture et la lui passe autour du cou et je commence à serrer doucement. Elle s’inquiète un peu, mais je lui parle près de l’oreille d’une voix rassurante et chaude : « - Tu t’es déjà fait enculer en te faisant étrangler, ma chérie ? Tu sais que ça décuple le plaisir ?! » Je serre un peu plus, elle devient rouge, elle a le souffle court, elle panique un peu. Je relâche la traction. Elle aime cette domination mais la sensation de suffocation lui est désagréable, et elle prend peur. Elle me supplie entre deux coups de pine : « - Non, s’il te plait… J’étouffe, je… Je n’aime pas…— OK ma chérie. Mais pour compenser, comme tu ne veux pas me faire plaisir, tu vas être mise à l’amende : je vais ouvrir la fenêtre et tant pis pour toi, tout le voisinage t’entendra gueuler, jouir, et avec un peu de chance, verra ton visage, et comprendra que tu es en train de te faire défoncer le cul ! » Elle minaude un peu mais je ne la laisse pas tergiverser : j’ouvre la fenêtre, et je mets à la pilonner, à lui ravager le fion. Ses mains crispées s’agrippent au rebord et elle pousse des cris déchirants, des cris désespérés, elle ne peut même pas se contenir, ses cris montent, sa jouissance l’envahit ! Ses beuglements vont ameuter tout le quartier et lui coller la honte de sa vie. Heureusement qu’elle n‘est pas connue dans ce coin. Mais quelle humiliation ! Ma queue est en feu, mon plaisir monte douloureusement, et de plus en plus… et soudain j’éjacule à longs jets puissants, je t’envoie ma purée tout au fond de ses boyaux, tout en attrapant ses seins et les pressant comme des outres. Nous sommes étroitement enlacés, moi serré contre son dos, je lui ai un peu mordu l’épaule sous l’effet de cette jouissance brûlante. Nous nous effondrons sur le sol, ma queue toujours bien plantée en elle. Après quelques instants à reprendre nos esprits, je lui indique le chemin de la douche. Elle reste de longues minutes sous le jet d’eau chaud et apaisant.Quand elle ressort, je suis assis sur le canapé en train de visionner les photos. Je lui demande si elle veut les voir, mais elle répond : « pas maintenant— OK, mais tu ne vérifies pas combien il y en a et combien je te dois ?— Je te fais confiance.— OK. » Je prends mon carnet de chèque.  « - Bon. J’ai pris 140 photos – comme l’indique le compteur sur le viseur – à 2€ la photo ça fait 280 € plus… deux heures (presque deux heures mais j’arrondis) à 150 €… je te fais donc un chèque de 580 €. Il y aura un bonus pour toi – comme c’était convenu – ça sera pour les tirages des meilleures, à 5 € pièce. Va falloir que je regarde tout ça en détail. Et la prochaine fois, je te donne un chèque pour ces tirages, OK ? »
° ° °
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