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La gérante de la galerie d'art

Chapitre 10

SM / Fétichisme
Avec son loup de velours, son soutien-gorge qui ceinture encore son thorax, ses bottes, on dirait une élégante Catwoman qui a perdu : elle vient de se retrouver dans le fond d’une impasse sinistre et va passer à la casserole !J’ai extirpé sans vraiment de douceur ses seins lourds à la peau mate. Globuleux, les voilà piteusement exposés, les belles pointes brunes et larges offertes indécemment à mon regard lubrique, et à mes mains avides. Le contact de l’air frais que ces mamelles rencontrent immédiatement en sortant de leur chic carcan ont un effet immédiat et attendu : les mamelons se dressent et durcissent à vue d’œil. Reposant ainsi sur la lingerie noire, ces belles glandes me tentent et je ne peux y résister. Je me saisis des deux tétines et commence à jouer méchamment entre pouce et index avec elles, les tirant et les tordant de plus en plus fort, jusqu’à ce qu’elle se mette à grimacer et à gémir ! Je m’arrête là car je sais que c’est une chochotte et que la douleur coupe son excitation : je la préfère bien juteuse et à point, fébrile comme une chatte en chaleur.
Je sors mon membre qui est déjà gros, dur et tendu comme un gourdin sous l’effet de ce qui m’est offert, et je vois à travers les orifices du loup de Jenna ses yeux s’écarquiller : je crois qu’elle est autant fascinée par la vue d’un énorme phallus en rut qu’elle-même a fait dresser que par sa soumission à l’homme viril et dominateur qui aime faire d’elle son jouet sexuel !
Sans autre forme de procès, prenant mon manche dans la main droite, je le dirige en plein vers sa cible : la bouche appétissante. Ses lèvres goulûment, comme si elles attendaient depuis trop longtemps ce moment, se referment sur le gland arrondi comme un gros champignon, le gobant d’un seul coup. Sa bouche satinée fait des merveilles, et malgré la contrainte du collier du cuir qui serre son cou délicat et en mord un peu la chair, elle se met à sucer avec avidité.Je l’aide un peu en posant doucement mes mains de chaque côté de sa tête de jolie brune et en balançant lentement mes reins d’avant en arrière.
Elle me pompe avec des bruits obscènes de succion qui résonnent dans la pièce. J’imagine déjà le bruit que fera sa chatte quand je ferai reluire son étroit conduit. Je ressors ma queue bien luisante et lui attrape à pleines pognes ses bons gros seins de femme mâture (ils ont gardé juste ce qu’il faut de fermeté pour ravir mes mains de catcheur) : je me mets à les presser fortement quelques secondes comme si je voulais en extraire un jus puis les rapproche, colle l’une contre l’autre ces belles masses vivantes, et glisse dans leur sillon ma pine monstrueuse, et je commence à lui besogner ses nichons de bourgeoise salope, la longueur de mon braquemart faisant que je bute à chaque montée contre son menton !

° ° °
« Gurg gurg huuugfhhh » Il me baise les seins sans relâche. Mais il voit aussi ma bouche ouverte lorsque je grogne. Il ne peut résister à l’idée de profiter de cette petite bouche de femme distinguée ainsi offerte. Il prend son membre d’une main et de l’autre il tire ma tête un peu en arrière et de côté. Sans attendre mon avis il pousse sa grosse queue dans ma bouche. Il peut voir le gland déformer ma joue. C’est tellement obscène d’entendre ma bouche émettre des sons aussi répugnants. Il sent qu’il ne peut pas résister plus longtemps avec sa bite dans ma bouche qui salive, mes yeux qui pleurent car j’étouffe sur ton membre. Que va-t-il faire ? Éjaculer dans ma bouche et souiller cette femme sophistiquée à sa merci ? Ou se retenir pour prolonger le plaisir C’est pourtant si tentant de se vider dans la bouche de cette femme d’affaires bcbg qui est en train de grogner en se prenant les premiers dix centimètres de cette grosse queue dans sa bouche. Il sait que je n’aime pas avoir du sperme dans la bouche mais il s’en moque.
° ° °

Cette cochonne me fait un effet bœuf, tant par ses mamelles de chienne à la peau mate que je baise à un rythme soutenu, que sa bouche qui accueille sans problème mon vit tendu. Faut dire que je ne lui laisse pas le choix : je baise sa bouche de grande bourgeoise en retenant sa nuque par le mousqueton du collier. Cette belle salope brune m’excite toujours autant… et même tellement que ne peux pas me retenir : je lui pars tout au fond de la gueule, lui envoyant des giclées de foutre épais et abondant.Je n’ai pas perdu le nord et mon réflex dans la main droite a pris plusieurs clichés.Maintenant je retire ma queue et je photographie ses lèvres entrouvertes qui laissent échapper mon sperme blanc. Ça lui coule sur le menton, les seins. Elle a un air écœuré. Je mitraille en rafales.Avec son beau visage couvert du loup noir, la photo est torride !
J’ai joui et je ne vais pas pouvoir la sabrer tout de suite. Pas grave, j’ai trouvé une nouvelle façon de m’amuser. Je rattache l’anneau du collier au piquet, qui va la maintenir attachée comme une esclave. Je vais chercher un long gode mauve de silicone souple, d’au moins quarante centimètres et un tube de gel lubrifiant.Quand je reviens j’en fais couler une bonne dose entre ses fesses plantureuses ; j’y passe ma main et lui en enduis copieusement son sillon et tout son entre-fesses, insistant bien sur la rosette.Puis j’en mets plein sur le bout arrondi du gode, et sans tergiverser j’entreprends de forcer son petit anneau culier. Elle se met à beugler, mais n’étant pas violent - au contraire patient et cherchant à apprivoiser son petit cratère - je finis par réussir sans trop d’efforts et l’extrémité ronde du jouet disparaît dans l’orifice.Je me mets alors à faire des va-et-vient sur une petite amplitude d’abord, puis allant de plus en plus loin, je finis par lui en enfoncer au moins la moitié.Je la laisse ainsi, son cul sacrifié, le long tube planté entre ses fesses, et j’immortalise cette vision obscène par plusieurs clichés sous différents angles.
Puis je m’en vais quérir le dernier jouet que je viens d’acheter : un petit boitier électronique (de la taille d’un I-Pad) avec de multiples connexions, je colle une électrode sur chacune de ses larges tétines brunes, et une sur chacune de ses petites lèvres.Le boîtier en main je me poste devant elle :
« - Eh bien maintenant, ma chérie, nous allons jouer ! »
° ° °
Je crache tant bien que mal ce sperme poisseux qu’il a vidé dans ma bouche. Souillée comme une salope mais après tout, à quoi m’attendais-je ?
Je reprends mon souffle et il m’apporte gentiment un verre d’eau. Je ne vois pas ce qu’il trame mais il me présente un gode monstrueux en longueur. Je balbutie que cela ne pourra pas rentrer, c’est trop gros…Mais c’est pire que ce à quoi je pensais. Il ne l’introduit pas dans ma chatte pourtant humide mais dans mon petit trou tabou.Je grogne qu’il ne peut pas, que ça brûle, que ça me déchire mais le lubrifiant aidant le gode passe la rondelle et plonge dans mon cul.
« Hhhhiiiiiiii ggggnnniiiii oooooohhhhhh mon dieu ahhhhhhiiii ooouuuuu c’est gros !!! »
Je tremble et me révulse. Les bouts de mes bottes éraflent le sol mais je ne peux échapper à cette pénétration Lorsque je me calme enfin parce qu’il cesse de me bourrer avec ce gourdin, je le vois amener des électrodes. Je commence à le supplier de ne pas me faire mal :
« Je ferai ce que tu veux, mais ne me tourmente pas ainsi. »
° ° °
Je colle aussi un patch sur le gros gode, celui-ci est fait pour envoyer des vibrations.
Je mets un programme en marche : des petites décharges comme des picotements sont envoyés de façon non synchrone à ses tétines et à ses petites lèvres. En même temps des vibrations de basse fréquence mettent en branle le gode, ébranlant tout son fondement, l’utérus, la zone G, et jusqu’au fond de son bas-ventre.
Elle se met à gémir de plus en plus fort, les décharges brèves stimulent ses muqueuses intimes, son bourgeon, tandis que je commence à faire aller et venir le gode de silicone dans son rectum bien lubrifié.La chienne se met à rapidement à jouir. Son gros cul m’excite, je lui assène des claques mesurées sur ses fesses épanouies, les rosissant petit à petit.Je lui attrape les tétons, les pinçote, les étire, les titille, les travaille ; la peau grenue des mamelons – ses belles médailles brunes - se hérisse, le courant électrique envoyé en pincements saccadés fait son effet. Elle n’en finit pas de décharger, elle supplie, elle exulte, elle demande grâce. Le gode lui fourbit le cul, ah elle aime ça la chienne ! Une salope en bottes et bas avec un gros gode planté dans le cul et les mamelles à l’air, et un loup vénitien sur les yeux, comme à un carnaval, quelle vision excitante !Je mitraille de clichés pour le fun et pour immortaliser ce souvenir, des photos précieuses pour mon album.
Quand elle n’en peut plus, que ses jambes flageolent et qu’elle est sur le point de s’effondrer, toujours retenue par le collier comme une chèvre, je me mets à lui claquer les cuisses (la partie nue, au-dessus des bas) de façon vacharde.  Elle se plaint, me demande d’arrêter, ce que je fais. Je prends quelques dernières photos, zoomant sur les petites marques rouges qui embellissent sa chair pâle, fixant mes œuvres.
Je la détache, l’aide à se relever (elle a toujours son gros bâton synthétique dans le cul, ce qui lui donne l’air pas très maline.) Je la contemple du haut en bas avec un sourire ironique et satisfait, et lui annonce que pour la prochaine séance (si bien-sûr elle souhaite continuer encore) j’ai très belle surprise. Que j’ai plein d’idées, plein de projets pour elle.Elle me questionne mais lui dis qu’une surprise c’est une surprise, et que je ne lui en dirai donc pas plus. Qu’elle doit me faire confiance, me fait-elle confiance ? Elle hésite un peu, bredouille quelques mots hésitants, acquiesce finalement. Je lui dis que, de toute façon, connaissant ses goûts, elle devrait apprécier, et que je ne ferai rien sans son consentement, comme d’habitude. Et qu’elle pourra toujours renoncer au dernier moment et partir. Tandis qu’elle se rhabille, je prends note de ses disponibilités pour les comparer aux miennes. Elles sont assez proches, j’en conclus que le jeu continue à l’intéresser et l’exciter. Nous prenons date pour dans dix jours. Elle se rajuste, donne un semblant d’apparence honnête à sa coiffure, prend congé, puis l’air intrigué et un peu inquiet elle prend la porte et disparaît dans la nuit.
(A suivre…)
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