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La gérante de la galerie d'art

Chapitre 11

SM / Fétichisme
Apres ces dix jours je viens au rendez-vous, un peu hésitante.Pourquoi suis-je hésitante. J’aime être ainsi traitée. J’aime être dominée par un mâle sans retenue qui sait ce qu’il veut. Un mâle qui me désire tant et qui sait me combler de façon si experte.Certes la douleur qu’il aime m’infliger est un peu trop. La douleur exquise que sa bite massive m’inflige est toujours la bienvenue.Je ne sais pas quelle surprise il me réserve cette fois-ci. L’anticipation est souvent meilleure que la surprise elle-mêmeJe viens vêtue plutôt bcbg comme d’habitude car je sais qu’il aime me prendre et me souiller lorsque je suis vêtue ainsi. Baiser une pute est trop facile.Mais cette tenue pousse les limites du bcbg. La jupe en cuir est un clin d’œil à nos rapports un peu extrêmes. Le décolleté est un appel au mâle en rut.

° ° °
Le soir du rendez-vous, une demi-heure avant l’heure convenue je lui envoie un sms très sec : « Il y a aura des instructions pour toi sur la porte d’entrée. Tu les suis et tu sonnes ensuite. Je te conseille d’être ponctuelle. »
La veille déjà je lui avais envoyé :
« Choisis une tenue très sexy pour demain, très b.c.b.g., très femme du monde. Ne me déçois pas, petite allumeuse. »
On sonne. Je ne me précipite pas pour ouvrir. J’attends une bonne minute. J’ouvre tranquillement la porte. Elle est devant moi, debout, presque frissonnante. Il faut dire qu’elle a trouvé le petit mot dans l’enveloppe qui lui était destinée sur la porte ainsi que le foulard noir. Elle l’a passé autour de ses yeux. Elle a dû avoir la trouille que des voisins de palier qui rentrent chez eux la voient ainsi. Je la sens toute tremblante de crainte, et sans doute humiliée. Le parfait attendrisseur. Elle doit être à point.
Je lui prends sa main fine sans la serrer et la tire dans l’appartement, la fais avancer de quelques mètres. Mes mains doucement posées sur ses épaules l’immobilisent et la font pivoter. Elle sent que je la place où je veux. Je lui intime d’écarter un peu les jambes. Docilement elle s’exécute.Puis je prends son fin poignet droit et lui lève. Elle sent qu’un bracelet se referme sur lui. Je fais de même avec l’autre. La voilà debout les bras en l’air, attachée. Elle entend que je m’éloigne de quelques pas, puis que j’actionne un mécanisme et ses bras montent, se tendent au maximum. Elle pousse un petit cri étouffé.

Je retire son bandeau et me voici devant elle :
« - Alors ma belle ? On est venue toute tremblante, mais excitée au rendez-vous, n’est-ce pas ? En tout cas, je dois reconnaître que vous m’avez gâtée, ma chère : cette tenue va à vous ravir et est parfaite. J’adore les salopes en jupe en cuir, j’adore les bourgeoises allumeuses, celles qui mettent le feu dans la tête des jeunes gens car elles se savent hautaines et inaccessibles. Le genre de femmes de pouvoir ou d’argent, de femmes mûres qui s’amusent à faire bander les jeunes mecs qui savent qu’ils ne pourront jamais les toucher… Ce genre de femmes qui se marrent intérieurement dans le métro, cachées derrière leurs lunettes de soleil, en voyant les yeux de merlan frit des jeunots qui bandent comme des ânes, serrés dans leurs jeans. Ces femmes qui savent que le soir ces petits mecs, dès qu’ils seront seuls dans leur lit se branleront comme des malades en repensant à la belle brune aperçue le matin, jambes bottées et croisées, que jamais ils ne pourront baiser !Mais moi, ma chérie, je n’ai plus cet âge, je ne suis plus étudiant, et j’ai acquis ce doit longtemps interdit de toucher ces déesses de chair. D’ailleurs, je ne vais pas me gêner… Et pour commencer, vérifions cette hypothèse, celle que j’ai exprimée dès le début : je suis certain que vous êtes déjà aussi mouillée qu’une adolescente d’un pensionnat à l’idée de l’imminent concours de masturbation avec ses voisines de chambre. »
Et là-dessus, la regardant bien droit dans les yeux, je passe ma main sous sa jupe et la monte directement entre ses cuisses. Je trouve la peau nue au-dessus des jarretelles, écarte le fin tissu d’un slip en dentelle (j’ignore à ce stade si c’est un tanga, un string ou un shorty), et mes deux doigts les plus longs s’insinuent doucement entre ses fines lèvres : J’affiche un sourire satisfait et diabolique en sentant le satin ourlé de son bijou féminin tout humide de rosée : elle mouille comme une chienne !Je ne fais aucun commentaire désobligeant sur le moment en enlevant mes doigts, mais tout en la fixant toujours dans les yeux je les fais passer lentement sous mes narines, les hume comme un connaisseur, comme un nez en parfumerie, un œnologue expérimenté, un amateur de havane, ferme à peine les paupières pour mieux m’imprégner de cet effluve puis annonce mon verdict :
« - Ou je ne suis plus un spécialiste ou c’est le parfum bien reconnaissable de la femelle en chaleur ! »
Elle s’attend à ce que je porte mes doigts à ma bouche comme un amateur de grand vin qui après avoir reniflé son verre, prend une gorgée pour la rétro-olfaction avant d’avaler religieusement… mais mes doigts entrent dans sa bouche, se frayant un chemin sans brutalité entre ses jolies lèvres peintes de rouge sombre :
« - Goûtez, Madame la femme d’affaire. N’est-ce pas que le parfum de votre rosée physiologique vous trahit, ou plutôt… vous trahirait si vous osiez vous défendre d’être cette belle salope mûre et mariée qui vient toute frétillante et de son plein gré pour être dominée sexuellement et totalement ? »
« D’ailleurs » ajouté-je après une à deux secondes pour laisser le temps à ma phrase de faire son effet, « un décolleté pareil, une pareille fenêtre mettant quasiment à l’air ces indécents roploplos est un aveu supplémentaire. Cette tenue montre par où vous brûlez d’envie de vous faire baiser… Je veux dire en plus de vos trois orifices, dont, je vous le promets, qu’aucun ne sera ce soir ni négligé, ni épargné ! »
Je passe lentement derrière elle et mes doigts se posent délicatement sur ses hanches, en haut de la jupe en cuir, comme si je voulais prendre la mesure de cette amphore bien bandante, j’appuie légèrement.Puis je m’approche imperceptiblement de son dos jusqu’à ce quelle sente mon souffle léger dans son cou. Mes mains montent en effleurant son ventre tendu, puis se plaquent sur ses seins, mes doigts se refermant comme des serres sur ses splendides et superbes globes de chair. Je les presse rythmiquement tout en lui susurrant juste sous son oreille gauche :
« - Vous allez être baisée comme jamais, ce soir, Madame, je vous en fais le serment. Et bien plus et bien plus fort que vous ne l’avez jamais été, bien plus que vous ne l’avez jamais imaginé. Et pour ceci, je vous ai réservé une petite surprise.Mais pour qu’une surprise soit une surprise, tout d’abord, il faut que vous ayez à nouveau les yeux bandés » dis-je en me ressaisissant du foulard et en le passant sur ses yeux et le nouant derrière sa tête. « Mais ce soir, le cadeau c’est vous… »
° ° °
Je rentre dans l’appartement maison en essayant de garder mes grands airs. Je marche bien droite, bien assurée de ma séduction. Je n’en menais pas large dehors, ainsi vêtue. Un ou des inconnus auraient pu prendre cette jupe en cuir, ces bottes, ce décolleté pour une invite.Bref. Je me comporte encore dans ce lieu comme la femme du monde que je suis, hautaine, sexy et prétentieuse. Classe et un peu coincée, mais qui a besoin d’être brisée, d’être remise à sa place. 
Rapidement ses caresses sur mes fesses, mes hanches, deviennent plus rudes. En un clin d’œil je me retrouve menottée. Je m’imagine, vue par un homme extérieur à cette scène, perchée sur mes talons hauts, ma jupe en cuir reflétant les lumières.
Il me pelote les seins et ses mains montent sous ma jupe. Je gémis mais j’essaie de rester droite et classe. Je ne veux pas jouer la femme facile. Si seulement je savais que derrière le miroir se trouve un inconnu qui le paie pour admirer la scène…Je sens ses mains monter sous ma jupe et caresser la lisière de mes bas.Ses mots un peu crus me font trembler à nouveau. Que me réserve-t-il ?
° ° °
Soudain, je me fais un peu brutal : attrapant les deux pans du chemisier entrouvert je les tire d’un coup sec de chaque côté. Les boutons s’arrachent et la voilà dépenaillée.
« - Voilà. Maintenant je vais te sortir toute ta nichonaille… Tu vas voir, tu vas avoir moins l’air d’une bourgeoise » Et ce faisant, je lui sors sans douceur ses gros seins de leur logement, les faisant passer par-dessus les bonnets.
« Là. On dirait vraiment la pute du boulevard, maintenant. Et même : de la plus vulgaire espèce. On dirait les grosses salopes qui allument les marins sur les quais d’Amsterdam ! »
Ses mamelons bruns sont déjà tout fripés, tellement ils sont turgescents. Je les effleure de la pulpe de l’index, histoire de la faire frissonner, ce qui ne manque pas. Elle se mord les lèvres.
Je délaisse ses seins, et mes mains, sensuellement, glissent le long de ses flancs, suivant en descendant la courbe de ses reins, puis, comme pour en éprouver la douce courbe, la ligne de l’extérieur de ses cuisses.Mes doigts descendent jusqu’à ses genoux, tâtent un peu le cuir des bottes… « La salope bottée » prononcé-je dans un souffle, avec un air légèrement de mépris, mais sans dédain.
« Voyons maintenant la chatte bottée… » Mes mains crissent sur le nylon des bas en remontant, puis attrapent délicatement le bas de sa jupe en cuir et commencent à la remonter lentement…
« Quitte à te donner l’allure d’une salope, autant le faire correctement… En retroussant cette jupe sur tes reins… Que tu aies l’air de la gourgandine, de la bonniche qu’on culbute à l’arrière de la voiture… Qui voulait passer pour plus qu’elle n’est, mais finit quand même défoncée par le mâle en rut. »
Avec difficultés, je retrousse la jupe serrée qui remonte en crissant, et la voilà bientôt enserrant sa taille, comme une ceinture lombaire.J’ai évidemment une vue sur ce superbe cul, à peine couvert sur les côtés par un brésilien très échancré, chic et sexy. C’est bien, elle connaît mes goûts à présents, elle sait que je n’aime pas beaucoup les strings : je préfère dévoiler moi-même ce que je veux et quand je veux.D’ailleurs, saisissant le haut du slip, je le tire très brutalement vers le haut, lui enfonçant dans la raie du cul. Le tissu doit meurtrir son anus, lui écarter la chatte et elle pousse un cri de surprise !
Elle est sûre d’avoir entendu une autre voix, une voix d’homme également, mais différente, et à moins de deux mètres d’ici, émettre un : « HUMMM… » satisfait.
Mais ma main droite ne reste pas inactive, et tandis que la main gauche lui fait un string improvisé et pénible, car mordant sa chair, lestement, je me mets à lui claquer le cul à la volée, une dizaine de fois. Ces beaux hémisphères bien épanouis, toujours aussi bandants, faits pour être fustigés, pincés, mordus, baisés, ne peuvent pas rester ainsi impunis : ils n’ont que ce qu’ils méritent, coupables de provoquer l’excitation incontrôlable des hommes et leur désir lubrique, voire leur frénésie sexuelle.
Elle crie, toujours aussi douillette (pourtant ces claques sont plus sèches que sévères) mais elle joue son rôle : elle sait que j’aime l’entendre gueuler comme une écolière humiliée de se faire dénuder et rougir les fesses devant toute la classe, alors elle se donne en spectacle, elle surjoue la femelle soumise qui se prend ce qu’elle a bien cherché et fait la fine bouche, à présent qu’elle est en train d’y passer. D’autant qu’elle a compris, il n’y a plus de doute, qu’elle a un spectateur anonyme… et un mâle aussi.
« Prends ça, petite catin, grosse pute bourgeoise ! C’est tout ce que ton gros cul mérite, une bonne fessée bien claquante, ça et la sodomie punitive ! Il est fait pour ça. »
Je cesse rapidement, la laissant bien savourer la chaleur qui irradie maintenant de la fine peau de ses hémisphères, et les vibrations qui ont secoué ses joues fessières, ébranlant en ondes brutales jusqu’à sa vulve.
Elle entend alors l’autre voix, grave et calme :
« Hummm… j’aimerais bien voir sa petite rondelle… »
Sans répondre à cette voix, m’adressant toujours à elle, je lui annonce :
« - Je vais te déculotter, salope. »
Et joignant le geste à la parole, je fais descendre le brésilien jusqu’en bas. La voilà l’air pas bien maligne, sa culotte sur ses bottes, au niveau de ses chevilles, la jupe retroussée sur sa taille, les roberts par-dessus bord. Qui reconnaîtrait la propriétaire de la galerie, sûre d’elle, raffinée, voire un peu précieuse, et parlant en connaisseuse des artistes dont elle cherche à fourguer les toiles ?Ah ça vaudrait une expo photo dans sa propre galerie… Je suis sûr qu’elle en fait des rêves érotiques : elle est à poil et en bottes au milieu de la foule du grand monde qui vient à son vernissage, au centre de la plus grande salle. Ou bien elle montre les photos grand format sur les murs, et tout le monde l’y voit, l’y reconnaît, harnachée et saillie comme une chienne, à quatre pattes, un gode dans le cul, le visage découvert. Les gens la reconnaissent, les regards se tournent vers elle, elle voit les sourires entendus, choqués ou salaces.
° ° °
Je suis choquée par cette brutalité et le fait qu’un homme nous observe me coupe le souffle.Je suis arrivée habillée sexy mais sophistiquée et maintenant je me retrouve quasiment nue comme un morceau de viande. Je balbutie que je n’ai pas donné mon accord pour être vue ainsi. Il me claque les fesses pour toute réponse.Je suis encore plus rouge et je comprends que dire le moindre mot serait une erreur. Quelque part mes tendances exhibitionnistes remontent à la surface.Je ne sais pas pourquoi mais savoir que quelqu’un nous regarde me fait mouiller. Jusqu’à présent je n’avais que le fantasme d’être vue par accident. Le fait que l’on puisse me voir, que j’attise la fougue d’un homme m’a toujours un peu excitée, mais là c’est encore différent car on doit être en train de me mater vicieusement.Il me fait tourner sur mes talons aiguilles de bottes comme pour montrer la marchandise. Il sort son gros sexe, je le sens, et cela m’inspire crainte et respect.Me tournant vers le miroir, il dit « humm je me demande si elle va pouvoir prendre tout ça. » Je pleurniche un peu « Oh non ça va me faire mal, soyez gentil, soyez doux »Il rit mais murmure à mon oreille « cela ne tient qu’à toi », puis retire le bandeau qui m’aveugle.
(A suivre…)
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