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Gérante du magasin sans soutien-gorge

Chapitre unique

Hétéro
J’habite une petite ville dans le sud du département de l’Ardèche. Au calme, tranquille, quelques commerces de proximités et une moyenne surface d’une grande enseigne nationale. 
L’été il y a beaucoup d’activités dans les rues à cause de l’affluence des touristes français et étrangers. Il y a des marchés, des concerts en plein air. J’adore ces moments, ces soirées à déambuler dans les rues à la fraîcheur du soir. Je mate aussi les corps de ces femmes légèrement vêtues, m’approche d’elles et parfois les effleure.
Je vais souvent dans les commerces de la ville pour faire mes achats chez les producteurs locaux et dans le centre commercial. Oui le centre commercial pour une seule raison...la responsable du magasin. Une grande brune aux cheveux courts, de longues jambes, une taille fine, des yeux noirs, des lèvres fines. 

Chaque fois que j’y vais, je suis sous le charme. Elle marche dans les rayons d’un pas rapide ce qui bouscule et fait rebondir sa grosse poitrine. Parfois elle remplit les rayons. C’est un délice de la voir s’étirer vers le haut pour poser des boîtes de conserves, d’admirer ses petites fesses rondes quand elle s’accroupit pour ranger les produits en bas des rayons. Sa chute de reins ne me laisse pas indifférent. 

J’imagine passer la main pour effleurer sa peau douce. Comment ne pas rester insensible à la vue de ses énormes seins sous une blouse imprimée des couleurs du magasin, avec son prénom, Juliette, épinglé. 

Quand je passe en caisse, je plonge les yeux dans son décolleté. La raie profonde entre ses deux seins me laisse rêveur. Je désire glisser ma bite raide entre ces deux masses charnues, rondes.

— Bonjour...comment allez-vous ? me demande-t-elle quand je passe au bout du rayon en se relevant pour me rejoindre.— Bien...merci et vous ?
— Très bien merci...j’espère que vous n’avez pas encore un problème de prix ! ajoute-t-elle en faisant un signe de tête sur mon chariot.
Elle s’approche un peu plus au point de coller sa poitrine contre mon bras.
C’est vrai que plusieurs fois, cinq en quinze jours, il y a eu un écart de prix entre celui affiché en rayon et celui en caisse. Chaque fois elle vient me voir pour contrôler et s’excuser. Sauf que la dernière fois, il y a une semaine, elle n’a pas fait que s’excuser verbalement.

La semaine dernière donc, j’entre dans le magasin peu de temps après l’ouverture. Il n’y a pas beaucoup de clients. J’avance dans les rayons. Elle est là, habillée d’un legging bleu foncé avec des dessins de coquillages et fruits de mer, d’une chemise. Ses cheveux attachés en chignon lui libèrent le cou.
— Bonjour, dit-elle avant de disparaître.
Au moment de passer en caisse, je constate encore une fois que le prix affiché en rayon est différent de celui en caisse. La caissière appelle la responsable. Juliette arrive et affiche un large sourire.
— Je suis désolé monsieur...venez avec moi...on va régler ça.
Elle m’invite à la suivre dans son bureau. Il fait chaud dans cette petite pièce. Elle tire une chaise pour m’assoir.
— Donc...dit-elle en passant une main sur sa nuque...il y a un problème avec un prix ?
— Oui, dis-je simplement.
Elle fouille dans les papiers sur le bureau.
— Mais ce n’est pas la première fois, ajoute-t-elle.
Je réponds oui de la tête sans savoir pourquoi je suis là. Elle se lève et se dirige vers une armoire. Je la suis du regard. Sa grosse poitrine se balance à chaque pas. Elle roule des hanches. Je constate en souriant que les motifs sur son legging sont assez bien placés. Hasard de la découpe ou de la couture mais sur chaque fesse, un petit poulpe est imprimé avec les tentacules qui disparaissent entre les fesses. Sur le pubis, une grosse coquille avec une moule ouverte et un bigorneau à la place du clitoris. 
Elle se penche pour prendre un paquet de feuille et expose son petit cul à mes yeux. Je me régale quand j’aperçois le tissu du legging entre les fesses avec une petite tâche d’humidité. Signe de transpiration ou d’excitation ? 
Elle se penche encore un peu plus, écarte les pieds et plie les genoux. Sa chemise pend sous elle et me laisse admirer sa grosse paire de seins sans soutien-gorge. Ma bite gonfle doucement à l’idée de la glisser entre les deux.
Elle retourne derrière son bureau, jette un rapide coup d’œil sur la bite qui déforme mon pantalon. Elle consulte les feuilles avant de s’arrêter.
— Voilà...dit-elle en relevant la tête...je m’excuse encore pour les erreurs de prix.
Je vois qu’elle transpire, des gouttes de sueur coulent sur son front, entre ses seins.
— L’informatique...souvent des problèmes, dis-je.— Oui...ajoute-elle en se penchant sur son bureau. Elle pose et écrase sa poitrine dessus.
Elle ne peut pas ignorer ma bite tendue dans mon pantalon. Je vois son regard fixé dessus. Elle ouvre la bouche, passe sa langue sur les lèvres. Elle pivote sur son fauteuil frottant sa poitrine contre le plateau du bureau. Sa main tient un stylo qu’elle porte à sa bouche. Elle m’excite la coquine. 
Je commence à me caresser discrètement à travers mon pantalon. Mais cela ne lui a pas échappé. Elle pose son stylo, se lève de son fauteuil comme sur un ressort. Elle s’approche de moi, s’assoit à califourchon sur mes cuisses. Elle m’attrape la tête, la tire contre elle et la plonge entre ses seins volumineux. Mon visage s’enfonce dans cette masse de chair tendre et ferme à la fois. Je la prends par la taille, lui caresse le dos, empoigne ses fesses.
— Tu m’excites mon salaud, dit-elle en relevant ma tête pour m’embrasser.
Sa langue fouille ma bouche, lèche mes lèvres, aspire ma langue pour la sucer. Elle remue son bassin sur ma bite maintenant dure. Elle bouge d’avant en arrière. Elle donne des coups de reins violents. Elle me plaque contre le dossier de la chaise avant d’empoigner mes cheveux et de tirer ma tête en arrière. Elle me lèche le cou, l’oreille, mord le lobe. L’autre main tire sur mon teeshirt pour pincer et tirer sur mes tétons.
— AAaaoouuu ! dis-je en riant.— Tais-toi ! ordonne-t-elle en prenant ma mâchoire entre ses doigts, tu ne bouges pas.
Elle m’embrasse avec plus de force et d’énergie. Elle déboutonne sa chemise. Sa grosse poitrine se dévoile devant mes yeux. Deux beaux gros seins fermes, ronds avec de petites auréoles et gros tétons. Elle se redresse, attire ma tête vers eux et oriente ma bouche vers un téton. Elle secoue ma tête de gauche à droite pour frotter ce téton dur contre mes lèvres. Elle fait de même avec l’autre sein.
Elle retire sa chemise tout en gardant ma tête contre ses seins. Lorsque je lui mords un téton elle tire ma tête en arrière par les cheveux et me donne une gifle.
— Tu fais ça quand je le dis ok ? dit-elle.
Un peu surpris par la gifle je ne bouge plus. Elle m’embrasse et tire sur mes tétons. Je laisse échapper un gémissement de douleur mélangé à du plaisir. Ma bite se gonfle encore un peu plus. Juliette se dresse et s’assoit sur le bord de son bureau.
— Regarde dans quel état je suis à cause de toi...dit-elle en écartant les cuisses et pose sa main sur son pubis.
Son legging trempé entre ses cuisses.
— Ma moule et mon bigorneau trempent dans mon jus, ajoute-t-elle exhibant les motifs sur son legging.
Elle tend le bras et m’attire contre elle à genoux entre ses cuisses. Ses mains bloquent mon visage contre le tissu mouillé. Une forte odeur iodée s’en dégage. Comme sur sa poitrine, elle frotte ma tête contre sa chatte couvrant mon visage de sa mouille. Je tends les bras pour attraper ses seins. Je reçois une claque sur les mains.
— Pas touche...dit-elle avant de retirer son legging.
Je ne résiste pas et sors ma bite. Je me branle doucement. Elle me regarde, sourit. Devant mes yeux une fente aux lèvres épaisses, pendantes et gonflées, apparaît. Son clitoris se dresse en érection sur deux centimètres.
— Quand il est comme ça, dit-elle en tenant sa tête à quelques centimètres de la mienne, je vais avoir un violent d’orgasme.
Elle écrase ma bouche contre sa fente si fort que mon menton et même mon nez disparaissent dans son intimité. Elle presse ses seins, tire sur les tétons. Je me branle plus vite, caresse mes couilles.
— Comme c’est bbooonnn, lâche-t-elle quand de la mouille éclabousse mon visage.
Elle se frotte plus fort sur mon visage. J’avance ma main entre ses cuisses pour glisser un doigt entre ses fesses et titiller son anus. Elle cambre aussitôt les reins et resserre ses jambes autour de ma tête. Elle me repousse. Je tombe à la renverse.
— Oh non…pas de ça avec moi, dit-elle en posant sa chaussure sur mon torse.
Elle me domine de toute sa hauteur, me montrant sa fente baveuse, humide. Elle pince son clito et le branle. Plusieurs doigts s’enfoncent dans sa chatte poilue. Ils ressortent couverts de mouille. Elle s’assoit sur mon torse et me les donne à lécher, à sucer. Je vois sa chatte devant mes yeux. Elle joue avec son clito.
— Il te plaît, reprend-elle en le pinçant entre deux doigts et le branle comme une petite bite.
Je fais oui de la tête.
— Bouffe-le !
Elle s’assoit sur mon visage. Ses grosses lèvres m’empêchent de respirer. J’essaie de me dégager mais elle me tient fermement. Malgré sa silhouette fine, elle est musclée. Elle résiste. Elle se soulève et se laisse retomber plusieurs fois. 
Ma langue pointe dans sa chatte baveuse. Mon nez heurte contre son clito qui grossit encore. Elle se déhanche sur mon visage, me chevauche rapidement jusqu’à ce qu’elle jouisse en se mordant le bras pour ne pas se faire entendre dans le magasin. 
Ses jambes écrasent ma tête alors qu’elle pèse de tout son poids sur moi. Mon visage couvert de mouille, ma bouche pleine de son jus, elle se redresse et s’assoit lourdement sur la chaise.
Cinq minutes plus tard elle me raccompagne vers la sortie du magasin. Je reste encore perturbé par ce qui vient de se passer.
— Au revoir, à une prochaine fois, dit-elle alors qu’elle retourne dans son bureau.
Et cette occasion se présente trois jours plus tard. Je déambule dans les rues de la ville au milieu des habitants et touristes. J’aperçois de dos une silhouette que je reconnais immédiatement. Sa chevelure en chignon confirme mon jugement. Je fais le tour d’un groupe de personnes et avance vers elle sans la regarder. C’est elle qui vient à ma rencontre et me prend le bras. 
Une mini-jupe plissée cache à peine ses jolies fesses nues à la peau bronzée. Son teeshirt court laisse voir la base de ses seins libres de soutien-gorge.
— Bonsoir...dit-elle à mon oreille pour se faire entendre par-dessus le bruit.— Bonsoir, dis-je en faisant pareil tout en écrasant son sein contre mon bras.
Elle retient mon bras contre elle pendant quelques secondes puis m’entraîne vers ses amis. Tous me font un signe de tête en guise de bonsoir, sauf une jeune femme, dans la trentaine, qui me regarde sans rien dire, ni rien faire. Elle porte sa canette à ses lèvres, boit une longue gorgée. Elle s’essuie la bouche d’un revers de la main puis fixe Juliette durement. Les deux femmes échangent un rapide regard puis Juliette me tire par le bras pour aller danser. 
Les morceaux se succèdent. Les contacts entre nous se font pressants, langoureux, sensuels. Alors que les dernières notes résonnent sur la place, Juliette, transpirante et en nage, m’emmène vers le lavoir quelques rues plus loin. Après s’être aspergée le visage et le torse d’eau elle s’assoit sur le banc à côté de moi. 
La lumière pâle du lampadaire illumine faiblement son visage. Au premier son de cloche, comme un signal de départ, elle monte à califourchon face à moi, retire son teeshirt. La poitrine jaillit devant mes yeux comme de gros obus qui rebondissent quelques secondes. Elle les prend en main pour les serrer, les pétrir. Elle pince les tétons. 
Elle m’attire vers cette poitrine qu’elle écrase sur mon visage. Elle bouge son buste de droite à gauche comme pour me donner des claques avant de m’embrasser à pleine bouche. Elle frotte son entrecuisse sur mon short déformé par ma bite tendue. Elle glisse une main pour la toucher. Cette caresse est douce, comme irréelle. Ses doigts s’enroulent sur la tige puis glissent dans un mouvement lent et régulier. 
Elle monte et baisse son bassin en se frottant le pubis sur ma bite encore dans mon short.
— Vas-y caresse-moi ! me dit-elle avant de m’embrasser.
Je reste sur le banc sans rien faire à savourer l’instant. Elle me prend la main et la pose sur son sein. Je la regarde droit dans les yeux. Elle me sourit. Je commence à le caresser, le pétrir. Je joins l’autre main. 
Elle ferme les yeux et pousse un gémissement quand je lui embrasse un téton et le mord. Elle tire ma tête plus fort contre sa poitrine. Son bassin bouge rapidement contre ma bite qu’elle vient de sortir de mon short. Je suce, lèche ses tétons durs et pointus.
— Continue, gémit-elle alors qu’elle crache dans sa main pour couvrir ma bite de salive.
Elle se met accroupie sur le banc, se retient par le dossier et pousse son string sur le côté. Le contact entre sa fente et mon gland est un délice. Elle le frotte contre son clito dur. Elle imprègne le bout de ma bite avec sa mouille qui suinte de sa fente. Elle se masturbe sur ma bite sans la faire pénétrer en elle. 
Elle gémit, serre les dents quand son bouton est écrasé, excité. Elle couvre ma bite sur la longueur avec sa mouille. Quand je pose une main entre ses cuisses, mes doigts s’enfoncent dans cet orifice lubrifié et bouillant. 
Elle marque un temps d’arrêt, contracte ses muscles sur ma main qui la fouille, le pouce sur le clito. Je couvre ma bite encore un peu plus de son jus intime. Elle s’empale dessus. Elle se laisse glisser doucement pour entrer le gland en elle. Je la vois fermer avec force les paupières, sa mâchoire se crispe. 
La base du gland entre, elle s’arrête et respire plusieurs fois lentement. Je lui caresse le dos, les fesses que j’empoigne pour la maintenir en hauteur. Elle fait signe de la tête de haut en bas. Je retire mes mains pour les poser sur ses seins. Elle prend une grande inspiration puis s’empale d’un seul coup sur ma bite.
— Oouuaaaa, dis-je accompagné d’un rire nerveux.
Elle se soulève en tirant sur ses bras accrochés au dossier du banc. Elle se laisse tomber avec encore plus de force et de rapidité. Ses fesses claques sur mes cuisses. 
Ma bite s’engouffre dans son conduit vaginal se couvrant encore de mouille et de cyprine. Parfois elle reste empalée sur ma bite et roule du bassin. J’empoigne ses fesses pour l’accompagner et profite pour effleurer son anus.
— Oouuiiii, crie-t-elle quand deux doigts le forcent.
Elle rebondit comme une déchaînée sur ma bite. Je suce ses tétons, je mords les pointes. Elle cambre les reins pour sentir ma bite en elle et contracter les muscles de son sexe sur le mien. Alors que je pousse ma main sur son pubis et tire sur son clito elle explose. 
Elle se colle à moi, écrase sa poitrine contre mon torse. Ma main pince plus fort son clito. Elle tremble, sa respiration se bloque, son bassin remue de façon saccadée sur ma bite. Je sens mes couilles se contracter. Je la soulève pour l’asseoir à côté de moi. 
Ma bite est couverte de mouille. Juliette donne un coup de langue dessus avant d’enfoncer mon sexe tendu dans sa bouche. Elle caresse mes couilles pleines. Sa langue lèche le gland. Une main sur les boules, elle me branle de l’autre jusqu’à ce que je libère mon jus épais. Elle recrache aussitôt ma bite pour laisser le sperme s’écraser sur le gravier.
Au même moment une voix féminine résonne derrière nous.
— C’est avec lui que tu baises alors ?
Juliette se relève sans se cacher, calme. Je couvre ma bite avec mon short. Je suis surpris de voir la jeune femme aperçue lors de la rencontre avec ses amis. La trentenaire, un bandana sur la tête, une canette dans la main. Elle sort de l’obscurité et vient vers nous. Elle s’approche de Juliette, lui pose une main sur la joue.
— Et c’est comment ? ajoute-elle en me regardant.
Les deux femmes s’embrassent.
— C’est différent, répond Juliette qui enlace son amie. Pas mal…mais différent. Tu veux essayer ?— Sûrement pas ! reprend la femme au bandana.
Elles s’éloignent sans se retourner.
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