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Gérard

Chapitre 1

Prise en main

Gay
Courte présentation : je suis bisexuel, quoique probablement uniquement sexuel avec les hommes et sexuel et parfois sentimental avec les femmes. Toutes mes histoires marquées comme vraies sont vraies. Elles regroupent mes souvenirs, mon éducation sexuelle, ma formation... Tout est réel même s’il est probable que certains détails m’échappent, car le temps a passé (près de 20 années pour les plus anciennes, et les noms et quelques lieux ont bien sûr été modifiés pour garantir l’anonymat. Bref j’espère que vous aimerez. Si vous avez des questions, n’hésitez pas à me les poser !
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Au cours de mes études, au début de la vingtaine, j’ai passé beaucoup de temps sur les sites (ancêtres des applis) de rencontre gays. Plusieurs rencontres ont eu lieu, mais quelques-unes d’entre elles ont mené à de vraies expériences dont le souvenir me fait encore dresser le sexe et mouiller l’arrière-train. Je vais vous conter l’une de celles-ci, probablement en plusieurs chapitres, car j’ai vu de façon régulière cette personne pendant six mois. Celle-ci m’a fascinée dès la première seconde de notre rencontre, et m’a fait vivre des expériences dont je ne pensais pas être capable et que je n’ai d’ailleurs pas revécues pour certaines depuis.
Un dimanche soir de début d’automne, l’ennui. Bien sûr c’est le lendemain d’une soirée étudiante, encore un samedi passé à faire la fête, à boire, mais pas à baiser. Mon anus et ma bouche crient famine. Je suis sur citegay, à l’époque où celui-ci est populaire. Sur mon profil une photo de ma tête et une de mon corps, en levrette, le cul bien ouvert (prise par celui qui m’a initié, mais c’est une autre histoire). Et je décris ce que j’aime, H. 23 ans, aime les mecs plus vieux de 20-30 ans, bien montés, virils, avec un peu de ventre et qui savent être directifs, j’adore être à genoux devant eux.
Sur ces sites, comme sur les applis de nos jours, beaucoup de beaux parleurs, notamment de mecs mariés qui rêvent de défoncer une bouche ou un cul, mais que bobonne ne fait plus bander, ils savent que les mecs sont plus faciles, et puis un trou est un trou. Mais ça me lasse, ils ne sont jamais vraiment disponibles, ça dure peu de temps. Je veux un vrai gay, un mec qui saura me prendre en main, qui saura éveiller mon potentiel.
19h30, un message de Gérard (pas encore Maître G. qu’il deviendra par la suite). Il commente mes photos, me demande si je reçois. Je lui dis que oui, j’habite une toute petite maisonnette avec un lit en duplex, 30 mètres carrés, avec des voisins peu bruyants, et une petite cour sans vis-à-vis (vive les études dans des départements peu peuplés). Il me demande ce que j’aime, je lui décris. Il me dit que lui aime se faire obéir, initier des jeunots. Il a 54 ans, 1m75 (je ne fais que 1m68) de très gros bras, un bide rebondi, mais pas trop gros, du charme vu ses photos. Il refuse de m’envoyer sa queue, pour garder la surprise, mais l’envoie moulée dans son jean. Le paquet donne envie.
On discute pas mal de si on se rencontre, ce qu’on aimerait. Je lui dis qu’un de mes fantasmes est proche de celui du viol, d’être nu à genoux dos à la porte quand il arrive et de le laisser faire. Avec bien sûr des limites, capotes, gels, pas de violence (fessées et petites claques avec plaisirs, mais pas plus) et si je dis stop il arrête. Il me répond que ça lui plaît beaucoup, et me dit : si tu veux, je suis là dans trente minutes. Mon anus palpite, je dis d’accord. Trente minutes pour me préparer c’est suffisant. Il me dit : lave-toi juste bien le cul, j’adore le manger. Je m’exécute.
Trente minutes plus tard, je suis à genoux au milieu de mon petit salon, c’est du carrelage, j’ai mis une serviette sous mes genoux pour avoir moins mal (je suis un peu douillet). J’ai les mains derrière le dos. Sur la table basse, j’ai posé du poppers, du gel, des capotes, un plug que j’ai (diamètre moyen, pas mal pour ouvrir un cul avant la chevauchée)... J’entends la sonnette, et la porte qui s’ouvre. Il enlève ses chaussures. Ses chaussettes. Je ne le vois pas, il ne dit rien. Il continue à se déshabiller. Je le sens nu maintenant.
Il s’approche de moi, attrape le poppers, et l’ouvre, il me fait respirer deux grandes rasades, une par narine. Me laisse m’imprégner, puis recommence. Deux fois encore. Je suis directement dans un état second. Je vois sa queue en gros plan, belle, tendue, avec un joli cockring en métal. Épilée, comme mon cul. Il approche sa queue et me dit son premier mot : « Suce ».
Je prends sa queue en main, « Non, laisse tes mains dans le dos», je les remets dans mon dos, ouvre la bouche, et je commence à lécher toute sa verge, je la couvre le plus possible de salive, car je sais qu’il aime aller loin dans la gorge, et qu’il voudra que je le fasse. Je lubrifie intensément sa queue, je bave au maximum dessus, je sens la bave couler aussi sur moi. Puis je gobe le gland, le suce doucement. Je sens alors sa main sur ma nuque, une pression continue, d’abord légère, puis ferme. Sa queue rentre, millimètre par millimètre. Je prends des petites respirations, mais sa queue est un peu trop longue. Je ne bouge pas, j’attends son verdict. Il me remet deux rasades de poppers, semble satisfait et commence à me donner un rythme. Je bave intensément. J’entends soudain un bruit de bouteille, je lève les yeux, je vois pour la première fois son visage, il est beau, dur, plein de charme. Il a ouvert une très grosse bouteille de bière, et commence doucement à la boire.
Je suce longuement sa queue, toujours à genoux, toujours les mains dans le dos. Il boit tranquillement sa bière, imprime le rythme, mais ne dit rien de plus, les seuls bruits sont ceux de sa gorge qui avale la bière, et de ma bouche qui avale sa queue.
Soudain, il m’attrape les cheveux, et s’assoit sur le canapé, sa queue presque entièrement dans ma bouche, m’obligeant à me pencher, je sens un haut-le-cœur, mais j’arrive à me contenir. Il me sourit: « C’est bien, continue ». Je continue encore et encore. Il pose la bière, déjà à moitié vide, et commence à me caresser le corps. Ses mains sont rêches, mais précises. Il sert mes tétons, les tord doucement. Puis il écarte mes fesses, il place un doigt à l’entrée de mon anus, le tapote doucement. Sa main descend sur mes couilles, qu’il sert doucement, puis fermement. Juste avec assez de force pour que cela soit presque douloureux sans vraiment l’être. Il bave sur son doigt, et rentre une première phalange. Il saisit ma tête et m’imprime un rythme ultra-rapide tout en tournant sa phalange dans mon cul. Je gargarise, je bave, je me sens comme une chienne, j’adore. Après je ne sais exactement combien de temps de ce traitement, mais je sens qu’il apprécie, il est bien.
Il se relève, me fait me lever pour me mettre à genoux sur le canapé la tête contre le dossier. Il sort alors une paire de bracelets en cuir qu’il me met pour attacher mes mains dans le dos « Comme cela tu ne me gêneras pas pendant que j’explore ton cul ». Je suis à genoux, la tête écrasée, les mains liées, et je sens ses mains qui écartent mon cul. Puis sa langue, qui se pose sur mon anus, c’est électrique ! Divin ! C’est une de mes pratiques préférées, l’annulingus avant de me faire défoncer : je me sens à ma juste place. Au début il y va doucement, des coups de langue basiques, mais rapidement il se met à laper mon cul, sa barbe de trois jours frotte sur mes fesses, sur ma raie et sur mes couilles, il me mange littéralement le cul, longtemps, passionnément. Il en profite pour me masturber très vite et très fort, c’est douloureux, de plus en plus, mais je suis dans un état second, je me sens jouir. Il avait pris un verre, il recueille mon jus.
Il commence à enfoncer un doigt au complet, puis deux, il les tourne, les retourne, il joue avec mon cul, les écarte. Quand il sent que c’est bien prêt, je le sens remplir mon cul de gel, et il me dit : « Pour mieux lubrifier, on va ajouter ton jus petite salope », il verse mon sperme dans mon cul. Je n’ai qu’une envie, qu’il mette sa queue. Il va exaucer mon souhait, je sens son gland. Et d’un seul coup je panique « Vous avez mis une capote ? » Il prend le poppers, le débouche, le colle sur mon nez en agrippant mon cou et me dit « T’en fais pas, tu rêves d’être violée, je vais réaliser ton rêve ». Et en me faisant sniffer une énorme rasade dans chaque narine, il enfonce toute sa queue.
Je me sens transpercé, rempli, il ne bouge plus, pour me laisser le temps de prendre le choc. Je me sens tellement bien et j’ai tellement peur « ahhhhh c’est bonnnn, mais la capote s’il vous plaît... » Il me roule alors une grosse pelle et me dit « Ne t’en fais pas je suis sain, profite tu vas aimer » alors je m’abandonne totalement. Et lui commence son pilonnage. Dès le début il y va vite, fort, puissamment. Il me met des fessées, de plus en plus fortes, je crie, je hurle, je suffoque, j’aime tellement ça. Sa bite est ferme, ne débande pas. Il travaille mon cul comme il le souhaite.
De temps à autre, il sort sa queue et écarte bien mes fesses pour voir mon trou ouvert, qui se referme trop vite à son goût. Il prend le plug et l’enfonce, le ressort, des dizaines de fois, je ne vois pas son visage, mais je sens son sourire pervers à chacun de mes cris. Je sens sa joie, sa fierté. Il renfile sa queue. Après un temps qui me paraît long, mais sans doute pas plus de dix minutes, il me met debout, s’assoit sur le canapé, et me fait m’empaler sur sa queue, face à lui. Mais la position est difficile à tenir, je fatigue. « On va changer un peu de style ».
Il me détache les mains, me fait m’allonger sur le dos sur le canapé, la tête dans le vide. Il met remet le plug dans le cul et me fait ramener les jambes vers les épaules, passe mes mains sur les cotés des jambes pour les rattacher. Je suis ainsi bloqué sur le dos, jambes relevées, le cul bien disponible. Il reprend sa bouteille et en vide encore un bon quart. Il me regarde l’œil vicieux, et me dit « Voyons si on peut rentrer ma queue complètement ».
Il approche sa queue de ma bouche, que j’ouvre grande. Ma gorge est alignée, en théorie ça devrait rentrer, mais je n’ai jamais avalé si loin une queue. Il entre doucement sa queue, en me tenant le gorge pour que je reste stable. Encore une fois il y va doucement. Ca bloque, il recule, re rentre, encore et encore, je bave beaucoup, ma gorge se lubrifie. Il ressort, finit sa bière, me remet beaucoup de poppers dans le nez, saisit mes deux tétons, place sa queue à l’entrée de ma bouche et dit « allez c’est parti ». Et là il tord mes tétons et enfonce sa queue d’un coup. Et elle rentre. Il reste bloqué au fond 2, 3, 4 secondes, je me sens étouffé. Il ressort, un gros filet de bave, relie sa queue à ma bouche. Il recommence. Plusieurs fois. Il se met à me mettre des petites claques, des bifles. Puis il retourne vers mon cul, et rentre sa queue directement, il me bourine. J’ai le visage couvert de bave, le cul rempli. Je suis défoncé, je suis bien.
Il fait de nombreux aller-retour entre ma bouche et mon cul, me dit de me délecter du goût mêlé de ma bave, de mon cul et de mon sperme. Et j’avoue, j’aime, j’adore, je me sens à ma place. Ça dure encore un peu de temps, puis il me détache. Me met à genoux par terre, les épaules aussi par terre et me remet sa queue, il va de plus en plus vite, ma queue est totalement débandée, la sienne me paraît énorme, je suis totalement consacré à son plaisir. Et là il jouit. Son sperme remplit mon cul, il met sa queue bien au fond pour me « féconder comme une petite salope ». Et il ne bouge plus. Ce n’est pas la première fois qu’on jouit au fond de mon cul, mais c’est la première fois que c’est quelqu’un que je ne connais pas, et pourtant je me sens bien, heureux.
Il sort de mon cul et me relève la tête. Sa queue est à moitié débandée. Couverte de son jus, du mien, de gel, de bave de mon cul. Il me demande si j’ai aimé. Je dis que oui, que j’ai adoré, c’est tout ce que je désire, que je suis heureux d’avoir enfin trouvé quelqu’un qui peut m’apporter ce dont j’ai envie. Il me dit que je pense donc le revoir. Je lui dis que oui, que je suis prêt à tout pour le revoir, qu’il est le mâle parfait pour moi. Il me dit « très bien, si tu veux me revoir, tu ouvres la bouche et tu avales. Sinon je me casse et adieu ».
Je suis à genoux devant lui, je remets mes mains dans le dos, je sens ses doigts de pieds qui fouillent mon cul, ils se couvrent de son sperme. Je le regarde et j’ouvre la bouche. Il prend sa queue, la dirige vers ma bouche, et son urine sort. Des flots d’urine, la bière était là pour cela. C’est chaud, mais le goût n’est pas trop mal (vive la bière ou le thé). Il m’inonde le visage puis le corps. Il s’arrête pour que j’avale, c’est la première fois que je bois de la pisse, du jus d’homme, et c’est une révélation, je suis au firmament. Ses doigts de pieds continuent de fouiller mon cul, je suis couvert de pisse. Après au moins une bonne minute, la source se tarit, je me jette sur sa queue pour la nettoyer. Je le rends bien propre, puis il m’indique ses pieds, je les lèche aussi. Il me remet le plug dans le cul, le ressort, me le donne à lécher. Je me métamorphose en chienne. Je suis bien.
Épuisé, je m’écroule au sol, il se rhabille. Et me dit « Bien, je t’appelle bientôt, garde le cul bien rasé et sois disponible ». Et il disparaît. Je regarde ma montre, il est 23h30, plus de trois heures en son pouvoir...
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