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Gerard, mon maître

Chapitre 1

Gay
Il s’appelle Gérard et règne sur ma libido depuis 5 ans maintenant. Il n’a rien d’un apollon, taille moyenne, dégarni, ventru, poilu. Son prénom en fait, lui va bien et pourtant, personne au monde n’est capable de me mettre en transe comme lui. Aucune queue au monde ne me fait autant vibrer. Gérard me possède et je ne renoncerai à  ça pour rien au monde. Je ne suis pas amoureux de lui, en dehors du sexe, il ne m’intéresse pas et je ne le vois jamais pour autre chose que laisser s’exprimer la putain qui vit au fond de moi.
L’histoire que je vais vous raconter aujourd’hui est celle de notre rencontre et de ma première fois avec un homme, elle vous semblera sans doute bien fade et innocente en comparaison de ce que l’on peut lire ici. Néanmoins, sans cette journée-là, je ne serais pas, aujourd’hui, l’authentique salope qu’il m’a permis de devenir.
Séparé depuis peu de ma compagne après 8 ans de vie commune, j’étais terriblement déprimé, paumé et à la dérive. Mes seuls moments de "repos", c’étaient ces phases de phantasme absolu dans lesquelles je me laissais dériver à tous moments. Pour oublier, pour me sentir vivant. Je rencontrais aussi quelques femmes avec lesquelles je couchais sans grande satisfaction au final. Je voulais plus. Le monde du libertinage m’attirait, l’idée de pratiques un peu "perverses" aussi. Peu à peu, mes fantasmes s’orientèrent vers ces mondes-là  et je cessais de rencontrer des femmes pour ne vivre ma libido que cérébralement. Jusqu’ à devenir obsédé presque 24h/24. J’étais en transe permanente. Un après-midi, prenant mon courage à deux mains, je franchis les portes d’un de ces clubs/sauna. À part deux hommes, personne. J’espérais une arrivée féminine en patientant dans le hammam. Dans ce sombre local dont le seul éclairage était le peu de lumière filtrant à travers la porte de verre dépoli. Envahi de vapeur, quasi opaque, chaud, moite, le lieu nourrissait incroyablement mes désirs de sexe trouble. Un des deux hommes finit par entrer et engagea une conversation banale et chiante. À l’autre bout de la pièce, je répondais par monosyllabe, irrité d’être dérangé dans mes rêveries. Je commençais, machinalement, à me caresser, troublé par l’idée de me toucher tout en parlant avec cet homme de tout et n’importe quoi. Il ne pouvait me voir et la situation m’excitait. Il finit par partir et je replongeai dans ces langueurs troubles. Je somnolais à moitié, perdu dans mon monde. Je ne peux décrire l’excitation qui était la mienne. Ce douloureux et magnifique désir d’une autre chair. Je ne me rendis compte de l’intrusion qu’en sentant une présence s’allonger assez près de moi sur la place carrelée. Je ne l’avais pas entendu entrer. Mes yeux habitués à l’obscurité du lieu devinaient son corps, épais, lourd. J’avais envie de continuer à me toucher, mais cela risquait de ne pas être discret. Je restais silencieux et il en fit autant. Je n’entendais que son souffle. Je me sentais troublé par la proximité de ce corps nu et encore plus troublé d’avoir envie de toucher cet homme, sa peau. Je me demandais s’il était venu se poser là, sans m’avoir vu ou si cela était délibéré. Silence toujours. Juste nos souffles. J’entendais le mien perdre de sa régularité, accélérer un peu, se saccader. Je perçus des changement dans le sien aussi. Quand ma main se rapprocha de quelques centimètres, je ne pus y croire! Mais je la laissais continuer. Elle finit par frôler son flanc et je lâchai un profond soupir. Quand je voulus la ramener, effrayé à l’idée d’une rebuffade, voire d’un coup, la sienne revint la chercher et la posa sur son ventre. Que je caressais doucement, sans y croire toujours. Je me redressais à demi pour venir lécher sa peau, ses tétons, son ventre. Sa grosse main vint caresser mon dos, ma nuque, le haut de mes fesses. Délicatement, de l’autre, il m’attira à lui et m’embrassa. Quelle sensation étrange d’embrasser un visage râpeux ! La simple idée d’une langue d’homme dans ma bouche me fit bander comme jamais. Je repris possession de son corps, le léchait, descendant lentement vers sa verge qui devenait presque une obsession. Tout en me disant que je n’allais quand même pas sucer une queue. Ma langue parvint enfin à son pubis, son aine moite, odorante et ma joue vint mourir contre sa hampe dressée. Que j’embrassai doucement, léchai timidement. je remontai vers son gland dont la texture douce et veloutée sous ma langue m’émerveilla. Je soupirai d’aise en le coiffant de ma bouche. D’un léger mouvement du bassin, il me pénétra la bouche. je pris soin de ne pas l’agresser de mes dents et arrondis mes lèvres autour de sa queue. Une étrange paix m’envahit, couplée à un intense bonheur, tandis que je commençais des va et vient sur cette bite douce et vibrante. Je jouais de ma langue en espérant faire (du) bien. Je me guidai sur ses gémissements. Sa main vint se poser sur ma nuque, exerçant une douce pression. À cet instant, je compris que les "positions" étaient définies entre nous, sans qu’un mot fut dit. Il était le mâle, j’étais la femelle. Et je ne voulais pas autre chose. Ça aussi, je le savais maintenant. Au bout d’un moment, il m’interrompit. Quelle frustration !! Il me bascula sur le dos et revint m’embrasser, plus fort que la première fois, plus sauvagement. Un peu en "propriétaire". Ses doigts se mirent à jouer avec mes tétons et je m’étonnais de ressentir du plaisir de ce côté-là. Il me caressait avec rudesse, je le sentais s’exciter. Et j’aimais être l’objet de son désir. Sa main s’insinua entre mes jambes, saisit ma queue, la caressa, la malaxa avant de descendre saisir mes couilles, puis glisser entre mes fesses. Je me rendis compte que mon anus "palpitait" légèrement. Il y posa un doigt et commença à me masser. Mon excitation continuait de monter. Je le voulais, je commençais à vouloir sa queue en moi. Mais il continuait à me masser, me portant lentement à ébullition. Quand je fis mine de me redresser, il me plaqua contre le carrelage, m’enjamba et me colla sur le visage sa queue et ses grosses couilles poilues. Il se frottait sur mes lèvres, ma langue. je respirais son odeur puissante et chavirante. Puis sans un mot, il me fit me relever et m’entraina vers la porte. Je compris qu’il voulait monter à l’étage vers les coins "câlins". je le vis alors en pleine lumière, quinqua bedonnant, il avait de Jugnot bien plus que le prénom. Cette interruption faillit rompre le charme, mais son attitude restée très dominatrice, n’admettant pas le refus, me permit de rester dans le moment. En haut, il refusa la seule "cabine" disposant d’une porte pour choisir un coin fermé d’un simple rideau. Il me poussa sur le matelas et revint me fourrer sa queue dans la bouche. Peu à peu, je ressombrais dans cet état magique d’excitation soumise.Sitôt sa queue redevenue dure, il me retourna sur le ventre et se mit à me tripoter rudement les fesses. Puis les écarta sans ménagements pour y plonger sa langue qui vint titiller mon trou. Je le voulais et malgré moi, mon cul se soulevait pour aller à sa rencontre. j’essayais de lui faire comprendre que je voulais plus, mais il me fallut lui demander. Il fallut que je lui dise "prends-moi !" en suppliant presque. A ce moment-là, il sourit un peu crânement et me replaqua la tête dans le matelas. Je l’entendis fouiller dans le petit panier, près du matelas. Je devinai qu’il en sortait une capote. Peu de temps après, je sentis une substance froide et douce sur mon anus. Il me remassa un peu et je me sentis m’ouvrir. Puis il bougea et je sentis son corps écraser le mien et sa queue dure, chaude palpitante se poser dans ma raie. Puis inexorablement descendre jusqu’à s’appuyer à l’entrée de mon trou et s’y engouffrer, lentement, sans heurts et sans hésitation. La position m’empêchait de faire quoi que ce soit pour y échapper. Je me sentais fendu en deux. Sans vraie douleur (en tout cas raisonnable) mais avec une sensation incroyable, totalement nouvelle d’invasion. Son bassin vint s’appuyer contre moi. Je sentais mon anus palpiter autour de sa verge. Il me semblait bizarrement avoir attendu cet instant toute ma vie. Il commença à aller et venir lentement en moi, m’écrasant à chaque aller. Petit à petit, je sentis mon bassin accompagner le mouvement. Puis l’accélérer. Sans sortir de moi, il me fit remonter à quatre pattes, puis me fit lâcher les bras et enfoncer la tête dans le matelas. Mon cul tendu encaissait ses coups de boutoirs qui se faisaient plus puissants. Quel bonheur. Je voulais qu’il me défonce, qu’il m’utilise pour son plaisir, qu’il me déchire. Il m’a baisé ainsi, un long moment. Puis il est sorti de moi pour me remettre sur le dos. Il m’a levé les jambes pour les appuyer sur ses épaules et m’a pénétré à nouveau, sans hésitation. En entendant des pas dans l’escalier, j’eus un mouvement de recul et voulus me cacher. Il m’en empêcha et accéléra ses mouvements. M’arrachant des gémissements de plaisirs de honte mêlés. Je ne tardais pas à voir le visage du premier inconnu passer dans l’entrebâillement du rideau pour mater la scène. Il regarda un moment avant de sortir sa queue et de commencer à se caresser.
"Il baise bien ?", demanda-t-il à Gérard."Elle a besoin d’éducation, mais la base est bonne !", répondit Gérard.
Il avait dit "elle" et cela me troubla délicieusement. Il continuèrent à parler de moi, de mon cul comme si je n’étais qu’un jouet tandis que Gérard s’était mis à me défoncer joyeusement. Je regardais l’autre jouir dans sa main et regrettai presque de ne pas avoir senti ses jets chauds s’écraser sur ma peau. Il disparut ensuite.Gérard me regarda alors et me dit :
"Je vais te faire jouir, puis je jouirai. Deux solutions, soit je jouis dans ma capote au fond de ton cul et tout s’arrête là, soit je jouis sur toi et alors, tout commence... Je te préviens, si je jouis sur toi, considère ça comme un "marquage". Ce que nous avons vécu aujourd’hui, n’est rien comparé à ce que je peux te faire découvrir. Tu aimes ça, reconnais-le et tu veux plus, bien plus. Je peux t’y amener. À toi de choisir."
Puis il commença à me branler tout me défonçant et j’explosai sur mon ventre et sur sa main. Que je pris pour l’amener à ma bouche sans le lâcher des yeux. Je la nettoyai de mon sperme d’une langue gourmande. Il m’agrippa alors par l’arrière des cuisses qu’il poussa vers l’avant, me collant les genoux sur les épaules, puis entrepris de me défoncer comme jamais. Quand il fit mine de sortir, je n’eus pas un geste pour l’arrêter. Non plus, quand il ôta la capote et m’enjamba pour venir se branler au dessus de mon visage. Je reçus sa semence sur la figure avec reconnaissance et joie. Je dus me retenir pour ne pas la récupérer et l’avaler. Il me prévint d’ailleurs :
"Ne goutte pas mon sperme, tu ne me connais pas, tu ne sais pas si je suis sain. Mais à présent que tu es "à moi", ne t’inquiète pas, tu en auras l’occasion. A présent, je m’en vais, ma femme m’attend. Elle sera ravie de savoir que j’ai trouvé un nouveau jouet. Tu verras, tu l’aimeras aussi. Voilà mon numéro, je sais que tu appelleras. Demain, 19h. Bye salope."
Et il partit, me laissant tremblant, effrayé par ce que je venais de découvrir de moi, couvert de foutre et heureux.Le lendemain, j’ai appelé. mais ça, c’est pour plus tard, si vous le souhaitez.
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