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La Gestionnaire

Chapitre 6

La découverte et la révélation

Trash
Pendant qu’elle prépare le déjeuner, je m’absente. Je vais faire un tour dans le jardin. Au fond, un abri de bois attire ma curiosité. Je manœuvre le bec-de-cane de la porte. Je découvre un local très propre. Tous les outils de jardin sont rangés. Une grande place est libre au centre de la pièce. La charpente est haute. Il me vient une idée... je retourne vers la maison.Nous prenons notre repas tranquillement, sous la véranda. Le soleil réchauffe la pièce. A la fin du repas, l’ambiance est au farniente. Charlotte me regarde. Elle se pose des questions. Que vais-je lui imposer comme nouvelle preuve de sa soumission ? Je l’aide à ranger les restes de notre repas. Charlotte me pose la question que j’attendais. Elle est trop curieuse et comme dit l’adage, la curiosité est un vilain défaut.
— Alors que m’as-tu prévu comme... éducation pour cet après-midi ?— Tu souhaites donc vraiment être... éduquée ?— Oui, j’ai envie de répondre à tes désirs, tes envies et tes fantasmes... je veux être ta chose...— Ce que tu veux est très grave...— Oui mais je le veux...— A partir de maintenant, tu vas être ma chose, mon esclave... OK ?— Oui,...— Tu devras obéir à tous mes ordres sans aucune discussion possible. Si tu souhaites arrêter, tu devras dire "stop Jérôme". C’est le mot de passe qui me fera stopper toute éducation... définitivement. Notre relation se terminera aussitôt... d’accord...— Oui, ordonne, je suis prête...— Bien, on y va...
Charlotte n’a pas changé de tenue. Nous sortons par la terrasse. Nous partons dans le jardin. Je la tiens par les hanches. Ma main glisse sur sa fesse. Elle cambre son cul. Ma main ne résiste pas. Elle descend encore et passe sur le tissu de la jupe. Les fesses sont là offertes. Je les flatte. Elles apprécient. Charlotte se cale contre moi. Je guide sans aucune intention Charlotte vers l’abri de jardin.
— C’est quoi cet abri ?— C’est là où je range les outils de jardin.— Fais-moi voir...— Ce n’est qu’un abri...
Charlotte ouvre la porte. Je la pousse à l’intérieur. Elle avance sans résistance. Elle vient de comprendre. C’est là que son dressage va commencer.
— Place-toi au centre, juste sous la poutre !
Charlotte avance et se retourne, face à moi. J’avance auprès d’elle. Du bout de ses doigts, je lui caresse la joue. Elle est brûlante. Mes doigts descendent dans son cou, plus bas, vers la naissance de ses seins. Charlotte est une belle bourgeoise. Elle aime à être à ma merci, mais un sentiment de honte la ronge. Elle attend un baiser. Mais rien ne vient. Elle sent les doigts parcourir sa peau fragile. Ses doigts arrivent à la naissance de ses gros seins.
— Tu as de très beaux seins.
Charlotte rosit de plaisir sous le compliment. Ma main s’insinue entre les pans de sa veste. Sa respiration s’accélère.
— Ote ta veste !
Lentement Charlotte ouvre les pans de tissus et dénude un peu plus sa poitrine, la rendant légèrement impudique. Je la regarde dans les yeux.
— J’attends...
Je pose la main sur sa hanche et descends un peu, caressant, effleurant le galbe de ses fesses superbes qui tendent le tissu léger de la jupe. Charlotte ouvre la bouche, mais aucun son ne sort. Elle baisse la tête. Ses mains remontent doucement et se posent sur le bouton suivant de sa veste. Elle le défait en poussant un petit gémissement qui la fait rougir. Les pans s’ouvrent davantage et laissent apparaître la vallée de ses seins. Je lui souris, les yeux rivés sur ce vallon entouré par cette poitrine opulente. Elle défait le dernier bouton. La veste ne s’ouvre pas complètement. Elle bâille sur la poitrine ronde et nue. Je tire lentement sur les pans. Charlotte frissonne et ferme les yeux pour cacher la honte qui l’envahit. Je la regarde, la détaille. Je tire encore sur les pans suffisamment pour que la veste dévoile son ventre nu et la quasi-totalité de sa poitrine. Charlotte cambre ses reins pour faire pigeonner ses seins, comme pour les offrir. La jeune femme retrouve un semblant de lucidité.
— Jérôme... non... tu ne vas quand même pas me demander de me déshabiller ici... pas dans cet abri...
Je fais celui qui n’a pas entendu. Collant mon ventre contre le sien, je lui fais sentir mon désir.
— Tu sens comme j’ai envie de toi, comme tu m’excites...— Oui mon Maître adoré...
Elle pousse son bassin en avant frottant encore plus son bas-ventre contre mon pantalon. Les yeux fermés, Charlotte sort sa langue, et cherche à m’embrasser. Je m’abandonne à son envie. Doucement, je pose mes lèvres sur celles de la femme et sors ma langue qui se mêle à la sienne. Mes mains glissent à l’arrière de sa jupe et caressent doucement ses fesses. Puis, je me recule un peu, la fixe. Elle a le souffle. Ma main glisse sous sa jupe. Elle trouve le sexe nu. Les lèvres sont humides de mouille. Je la regarde en souriant. Charlotte est inquiète. Elle ne sait plus ce qu’elle fait.
— Je t’en prie... qu’est-ce que tu vas faire... non ! Pas ici... j’ai honte...
Mais elle s’abandonne davantage et cambrée, avance son ventre vers la main baladeuse. Mon autre main descend vers sa poitrine à demi nue, effleurant du bout des doigts la peau sensible. Je la sens frémir. Charlotte est face à moi, à moitié nue dans cet abri de jardin, la poitrine offerte sous sa veste. Le plaisir malsain lui comprime et remonte ses seins. Elle sent les mains masculines sur elle. Son rythme cardiaque s’affole. Mes deux mains sont sur sa poitrine. Elles passent sous les pans de la veste entrouverte. Je soupèse les seins lourds. Je la questionne:
— Ça te plaît... avoue... petite salope...
Je sens sa poitrine se gonfler et ses tétons durcir dans mes paumes. Charlotte me regarde dans les yeux. Elle se recule un peu et m’offre sa poitrine. J’accentue mes caresses. Charlotte balance sa tête en arrière. Elle offre sa poitrine aux agaceries de mes doigts.
— Avoue... cela te fait mouiller comme une folle.
La honte fait rougir la femme offerte.
— Je n’ai jamais autant mouillé...— Cela te plaît...— Oui mais j’ai honte...— Tes gros seins me plaisent... ils sont très excitants...— Je suis heureuse que tu les aimes...— Aller continue, pose ta veste...
Je ne la quitte pas du regard. Charlotte hésite. Un violent frisson la saisit. Ses mains tremblent. Passant par-dessus sa honte grandissante, elle fait passer le col de la veste sur ses épaules. Je lui prends les mains et doucement les passe dans son dos. Je lui dis :
— Ne bouge pas... Reste comme cela.
Je saisis des deux mains les pans de sa veste. Tout en la fixant droit dans les yeux je lui demande :
— Tu sais ce que je vais te faire, maintenant ?
Charlotte se mord les lèvres. Elle ne sait quoi dire. Trop de choses lui traversent la tête. Elle bafouille des mots sans suite...
— Tu vas m’enlever ma veste... tu vas me mettre torse nu... tu vas exposer mes seins...
Je lui souris. Lentement je tire sur les pans de tissu dans son dos. La veste s’ouvre en grand, dévoilant ses gros seins blancs. Je la sens se tendre. Elle est inquiète. Charlotte a rosi de nouveau. Elle a fermé les yeux pour ne pas voir l’envie de son amant, se raidir. Sa veste est posée sur ses avant-bras. La position avec les mains dans le dos la cambre. Sa poitrine pointe encore plus. Mes doigts se saisissent d’un mamelon. Elle sursaute. Mes doigts tiennent le bout de sein serré. Elle hoquette et pousse un léger cri. Des deux mains, j’empaume les seins gonflés. Ses tétons sont très durs et dressés. Je sens que sa poitrine est tendue en attente de caresses. Elle doit être douloureuse. Mes doigts explorent sa peau, s’amusent avec ses tétons durs. Je finis de faire tomber la veste. Elle finit par terre. Charlotte est nue jusqu’à la taille. Elle tend ses seins en avant. Elle quémande une caresse, des caresses...
— Tu aimes te monter... petite salope...— Oui, j’aime cela... Oui... oui... je... j’aime me montrer à toi... mais j’ai honte... j’ai honte de me montrer comme cela... je suis à toi...
Malgré elle, Charlotte bombe sa poitrine et me la présente, fière.
— Caresse-moi, passe tes mains sur mes seins... cela m’excite !— Tu ne te sens plus... tu es excitée comme une chatte en chaleur...
Je pose la main sur son sein gauche. Je sens son cœur battre très fort. Je pose l’autre main sur sa hanche et en me penchant près de son oreille, je lui murmure :
— Charlotte, tu vas m’exciter... montre-moi tes gros seins...
Les seins lourds et laiteux pointent, arrogants, les fraises incarnats, dures, érigées, obscènes.Le ventre en feu, Charlotte se cambre. Le tissu de sa jupe se tend sur ses fesses et remonte dévoilant les cuisses. Elle tend les pointes de ses seins durcies par la honte et l’excitation. Je la regarde droit dans les yeux. Mes doigts effleurent la peau satinée de la jeune femme, caressent ses seins et soudain, saisissent les pointes offertes des seins. Je les étire, arrachant une grimace de douleur et de plaisir mêlés. Charlotte a un haut-le-cœur. Elle sent mes mains ses fesses de bas en haut.
— Reprends la position que je t’ai demandée...
Elle a bien enregistré la position que je souhaite la voir prendre. Les bras croisés dans le dos, ses seins jaillissent de son buste. Ronds, pleins, surmontés de leur fraise granuleuse, ils appellent la caresse. Charlotte en est consciente et bombe plus le torse. Elle sait que j’aime ses seins, que j’adore lui sucer les pointes, les agacer de mes dents. Elle essaie de me tenter, de me soudoyer pour que je lui caresse la poitrine. J’approche d’elle. Elle frémit par avance de la caresse que je vais lui prodiguer. Les pointes de ses seins se tendent. Mais non, je vais la satisfaire immédiatement. Je sors de ma poche un foulard noir. Je le plie sur le travers. Je baise les lèvres de Charlotte. Je pose sur ses yeux le masque improvisé.
— Ne bouge pas ! Je te l’interdis...— Où vas-tu ?— Attends-moi...
Je sors de l’abri et me dirige vers la maison. Dans mon bagage, je récupère un sac. Il contient tout ce dont je vais avoir besoin pour éduquer Charlotte. En revenant vers le local, je constate que Charlotte n’a pas bougé d’un poil. Elle est là stoïque, immobile. Je rentre.
— Tu as bougé...— Non mon Maître, je n’ai pas bougé...— Tu oses me dire que je raconte des mensonges...— Non mais je n’ai pas bougé...
Je regarde dans le local. Bien rangés dans le coin, les blocs de maintien d’un chapiteau. Je vais en chercher deux que je pose auprès des pieds de Charlotte. Je sors de mon sac deux bracelets de cuir noir. Ils sont munis de mousquetons. Je les accroche aux blocs de béton. Charlotte est dans l’impossibilité de resserrer les pieds.
— Je ne peux plus bouger les pieds.— C’est ce que je veux...
Sa jupe est très courte mais en plus elle a une particularité. La fermeture éclair va de la taille jusqu’en bas. Je passe dans son dos. Je saisis le curseur et le descends lentement. Charlotte facilite la descente. Le tissu se sépare. Le cul de Charlotte apparaît, magnifique, somptueux. Les deux fesses sont rondes, hautes, fermes. Je ne veux pas en rester là. J’ai une idée en tête. Charlotte ne comprend pas ma manœuvre.
— Que vas-tu faire ?
Je ne réponds pas. Je cherche de nouveau dans mon sac. J’en sors deux bracelets de cuir noir. Ils sont prolongés de chaînes métalliques. J’équipe chaque poignet de Charlotte. J’attache les chaînes à la poutre qui est juste au-dessus de Charlotte. Je tends les chaînes. Charlotte est en croix, offerte.
— Tu vois ce que j’ai fait...— Je ne vois plus rien...— Tu sens alors...— Je suis à ta disposition, à ta merci... j’aime...
Je tourne autour d’elle. Je reste derrière elle. Elle se cambre, fait saillir ses jolies fesses. J’approche mon index de la raie de ses fesses et je commence à lui caresser son petit anus.
— Ah non ! ! Pas ça ! ! Me dit-elle sur un ton sec. On ne touche pas à mon anus, j’ai des principes quand même ! ! — De quoi ! Des idées de rébellion...
Je lui claque la fesse. Elle se plaint.
— Tu m’as fait mal...— C’est volontaire... tu vas m’obéir, maintenant...— Oui, mais ne me bats pas...— Tu n’as jamais été sodomisée ? — Non et je n’en ai pas envie ! — Dommage...— Pourquoi ?— Quand je vois tes fesses, je meurs d’envie de te sodomiser...— Et bien tu peux toujours espérer...— Je ne le pense pas une seconde...— Tu peux toujours essayer, je ne laisserais pas faire...— Dans la position où tu es, je ne te sens pas en position de force...— Salaud, n’en profite pas...— Je ne vais pas en profiter, je vais t’initier, doucement, gentiment...— S’il te plaît... non...— Si on le fait tout en douceur tu n’auras pas mal c’est sûr ! — Des amies ont essayé !— Tu vois, tu es la seule vierge de ce côté...— Elles ont eu le cul en chou-fleur pendant une semaine au moins...— Je te propose d’essayer... et si tu as mal, j’arrête... OK ?
Elle ne répondit pas.
— Tu me promets de prendre des précautions...— Oui, je te le promets...
Je cherche dans mon sac à malice. J’en extrais un tube de gel lubrifiant. J’en prends une bonne dose sur deux doigts. Je lui badigeonne la raie du cul.
— C’est froid...— Je sais...
Charlotte serre les fesses. Elle me bloque les doigts.
— Détends-toi... ne te contracte pas...
Je sens les deux globes jumeaux se relâcher.
— Voilà c’est mieux...
Je lui masse bien la rondelle fripée. Charlotte tend son cul rebondi. La rondelle serrée se détend. J’essaie d’introduire une première phalange. L’anus se contracte pour empêcher la pénétration.
— Non, ne bloque pas, au contraire pousse, comme si tu voulais aux toilettes...— Tu crois que c’est facile...— Tends ton cul et pousses comme pour chier...— Oh !...
Elle tente une poussée. Mon index gras entre.
— Han !— Tu as mal ?— Non, ça va...
Je bouge lentement l’index. Le va-et-vient lent et doux assouplit la bague serrée. Le cul se cambre, se tend au-devant du doigt fureteur. Je joins le majeur à l’index. Ils entrent ensemble sans difficulté. Le cul accepte la pénétration...
— Alors qu’en penses-tu ?— Hum...
Je lui claque gentiment la fesse de ma main libre.
— Aie !— Réponds à ma question...— J’ai honte...— De quoi ?— Je crois que je commence à aimer...— C’est vrai ?— Oui...
Charlotte ouvre ses fesses. Mes doigts entrent sans contrainte. L’anus est devenu souple et accueillant.Je la masturbe au cul. Elle aime.
— Jérôme, s’il te plaît... pénètre-moi...
Depuis que je lui perfore le cul, j’ai une érection d’enfer. J’ouvre ma braguette et extrais avec difficulté mon sexe. L’excitation m’a rendu énorme. Je graisse avec le gel, le bout de mon gland. Je plie un peu les genoux pour me mettre à la bonne hauteur. Je place le gland sur la rondelle. De mes deux mains posées sur chaque fesse, j’écarte le vallon fessier. Doucement, je pousse pour signaler ma présence à la bague brune. De la main je bouge ma verge sur la pastille. Charlotte me tient au courant de ses sensations.
— C’est très doux... c’est bon... une nouvelle caresse, inconnue jusqu’à ce jour... différente... autre...— L’initiation te plaît ?— Oui... continue... doucement toujours, mon amour...
Son anus est bien gras. Il est bien petit, face au gland de mon sexe. Je pose mon gland sur son anus et commençai à le faire pénétrer.
— Doucement... fais-moi aimer la sodomie ! — Tu veux que j’arrête ? — Non !... Mais vas-y très doucement !
Je continue ma lente poussée. Je m’enfonce régulièrement. Mon gland avance en dilatant la bague de son anus. J’arrête l’avancée pour que le muscle circulaire s’habitue à la dilatation. Je pousse à nouveau. Le gland entre complètement.
— Aie ! Ouf attends un peu... ne bouge plus... il faut que mon cul prenne la dimension de ta bite...
Je lui claque encore la fesse.
— As-tu fini de parler grossièrement... tu parles comme une putain des bas-fonds...— C’est toi qui me rends comme cela...— Menteuse tu aimes cela...— Vas-y, continue ! Enfonce-toi ! !
Je m’enfonce doucement. Mon sexe est entièrement absorbé par les entrailles de Charlotte.
— Tu n’as pas mal ? — Un peu... mais continue, je veux que tu me défonces ! !
J’effectue alors un léger va-et-vient. Charlotte couine. Elle pousse de petits cris mélangeant plaisir et douleur... doucement, les cris laissèrent leur place à de petits gémissements. Je vois qu’elle apprécie. J’accélère le rythme de la pénétration.
— Allez, défonce-moi ! ! ! Oh oh vas-y ! C’est bon ! ! ! ! ! !
Je pose mes deux mains sur ses fesses pour pouvoir la maintenir. Je m’enfonce au plus profond d’elle, sans cesse. J’aime cette pénétration. Sentir son sexe comprimé par son anus me procure un plaisir immense. Mais savoir que c’est la première fois que Charlotte se fait sodomiser augmente mon bonheur. Je suis son initiateur. Elle m’a offert sa virginité anale. Quand je suis au plus profond d’elle, quand mon pubis claque contre ses fesses, elle bouge ses fesses. Elle demande encore des va-et-vient. Elle ne veut pas que cela s’arrête. Le plaisir vient très vite. Je le sens monter en moi, avancer dans ma verge. Je pousse au fond de son cul. Elle me donne son cul. Elle le tend. Je me vide. Ma semence jaillit en elle, remplit son ventre.
— Ce n’est pas vrai !!! Que c’est bon !!! Jamais je ne pouvais m’imaginer le plaisir que j’ai ressenti par mon cul...
Vidé, je débande. Mon sexe sort de son anus martyrisé.
— Merci !... Tu es très bon initiateur... Tu m’as convertie !!
Je libère Charlotte de ses entraves de ses poignets. Je détache ses chevilles. Elle se retourne et tombe à genoux face à moi. Elle me prend par les fesses et se jette sur ma verge. Sa bouche se pose sur mon gland et elle engloutit mon sexe entièrement. Elle me pompe comme jamais elle ne l’avait fait. Elle me redonne de la vigueur. Je bande de nouveau. Elle m’aspire, cherche à faire venir encore la semence de mes testicules.
— Je vais te vider, t’assécher... tu ne pourras plus baiser avant un mois au moins...
Ma semence arrive. Elle le sent. Elle laisse mon gland sur ses lèvres et titille du bout de sa langue le méat de ma bite. Elle ouvre la bouche en grand, à s’en décrocher la mâchoire. J’éjacule dans sa bouche. Elle n’en perd pas une goutte. La dernière goutte sortant de mon sexe, elle la lape et nettoie le gland. Il ressort propre comme un sou neuf, luisant de salive. Je la prends sous les aisselles et la relève. Je l’embrasse tendrement pour la remercier du cadeau qu’elle vient de m’offrir.
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