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La Gestionnaire

Chapitre 7

La domination

Trash
Après la découverte de la sodomie, Charlotte devient une fervente adepte de cette pratique. Nous n’avons plus jamais de relation sexuelle sans une sodomie profonde, longue et durable. Elle prononce des insanités au cours de notre relation. Elle rivalise de grossièretés. Au téléphone, dans ses mails, elle me demande de l’enculer.Ce week-end, je viens la voir. Elle est sur le quai de la gare. Elle porte son trois-quarts beige. Sous ce manteau, dépassent ses deux magnifiques jambes. Elles sont gainées d’un voile noir. Ses longs cheveux blonds tombent sur ses épaules. Elle avance vers moi en se déhanchant. Tous les hommes qui descendent du train se retournent sur son passage. Elle accentue le balancement de son cul, qui scandalise les femmes qui la traitent de pute et tancent leur mari qui se laisse distraire par la séduisante blonde. Elle m’embrasse et se frotte contre moi. Elle me prend par le bras et nous nous dirigeons vers sa voiture. Elle s’installe dans son siège. Elle ouvre son manteau. Elle est nue mis à part ses bas. — Tu n’as pas froid aux yeux...— Pourquoi tu me dis cela ?— Venir à poil sous ton manteau sur le quai de la gare... c’est un coup à se faire violer debout...— Mince...— Quoi mince ?— J’ai raté quelque chose...Elle éclate de rire et se penche vers moi et me roule un patin d’enfer.— Je t’emmène...— Vu que tu tiens le volant, je suis obligé de te suivre, tu ne crois pas...Elle prend la direction de sa maison. Arrivés, la nuit est tombée. Elle s’occupe de moi comme une servante. — Que veux-tu ?— Je vais prendre une douche...A mon retour, elle m’attend, à genoux sur le tapis du salon. — Mon Maître adoré, venez avec moi...Elle m’entraîne dans le jardin. Elle me guide vers l’abri qui a déjà été le témoin de nos agapes. Elle ouvre la porte, allume l’ampoule qui diffuse une lumière blafarde. Elle me tend mon sac à malice. Je l’avais laissé la dernière fois. — Je t’offre un autre sac... mais d’abord je crois qu’il faut que tu me mettes dans la même position que tu m’avais mise...— Tu veux que je t’attache en croix ?— Oui...Je sors les menottes, les plots de maintien. Charlotte est de nouveau immobilisée, disponible, offerte. Elle ne porte que ses bas. — Bande-moi les yeux...J’obéis à sa requête.— Maintenant fouille dans l’autre sac...
Je desserre le lien qui ferme ce nouveau sac. Je plonge la main à l’intérieur. J’en sors différentes choses : un martinet de cuir noir, dont le manche est la réplique exacte d’un sexe masculin, un bâillon-boule et des pinces semblables à des pinces à linge......— Que dois-je comprendre ?...— J’ai navigué sur certains sites Internet et je suis tombé par hasard sur des sites SM...— Et alors ?...— J’ai envie d’essayer avec toi...— Montre-moi tes fesses, cambre-toi, montre-toi, écarte tes fesses...Je passe dans son dos et de la main je teste son entrejambe. Je trouve une fontaine entre ses lèvres.— Dis donc tu mouilles ? T’es une petite salope ! Tu as ta chatte trempée ! Charlotte baisse la tête. Elle ne proteste pas, comme si elle était effectivement prise en défaut.— Sais-tu que les petites salopes comme toi, on les punit ? Tu sais que tu mérites une correction ? -...Je n’attends pas vraiment de réponse mais je commence à véritablement prendre goût à ce petit jeu dans lequel elle s’est engouffrée volontairement.A ma grande surprise, Charlotte me répond :— Tu as raison ! Il est normal que tu me punisses ! — Tends tes fesses !Charlotte s’exécute et tend une adorable croupe offerte. Je lui assène une première claque sur les fesses. Charlotte sursaute, surprise. Elle ne dit rien. Je ne me retiens plus. Je cherche à faire crier Charlotte pour que ce soit une véritable punition. La fessée devient de plus en plus forte et de plus en plus rapide et, au lieu de crier de douleur, Charlotte commence à geindre de plaisir ! — Mais tu es encore plus salope que je le pensais ! Une vraie petite dévergondée ! Ne bouge pas de là, je vais m’occuper de toi !Je m’empare du martinet de cuir.— Tends bien ta croupe de salope, et écarte tes jambes ! Je passe sa main entre les cuisses de Charlotte. Elle est trempée. Charlotte attend la révélation. Comment va se passer la correction au martinet ? Je passe le manche du martinet sur la chatte brûlante. Charlotte tend encore plus ses fesses dodues, au-devant du manche. J’arrête et je commence à lui faire sentir les liens de cuir sur les fesses. Puis un premier coup, léger, presque une caresse.— Plus fort !J’accentue les coups. Je reste très en deçà de vrais coups pour faire mal. A chaque coup de martinet, Charlotte pousse une petite plainte, entre plaisir et douleur. Ses fesses prennent une teinte rose vif et se parent de légères zébrures. Je vérifie la chatte de Charlotte. Elle mouille de plus en plus. Je me mets face à elle. Je lui saisis les tétons entre mes doigts. Je serre et tourne la fraise. Charlotte se cambre et pince les lèvres devant la douleur qui lui irradie les seins.— C’est bon !J’en profite pour faire subir le même sort à son clitoris. Il est bandé et se redresse fièrement en haut de son sexe. Ce pincement déclenche de longs soupirs de Charlotte. — T’es vraiment une salope, tu aimes ça hein la fessée ? Tu en veux encore ? Sans attendre de réponse, je reprends le martinet et distribue quelques coups supplémentaires sur les fesses. Charlotte gémit. — Plus fort... vas-y, ne te retiens pas c’est bon... corrige-moi... vraiment...Alors, sans prévenir, je frappe un coup entre les cuisses cinglant son sexe offert. Charlotte pousse un cri. Rien ne m’arrête. Au contraire, son cri peu violent m’encourage. Je lui octroie une dizaine de coups à la suite sur les fesses. Charlotte gémit et se tortille à la fois de douleur, d’excitation et de plaisir. J’arrête la correction. Je saisis le martinet à l’envers et le plante profondément et sans ménagement dans le sexe béant et accueillant. Charlotte, surprise de cette intromission brusque et inattendue, sursaute. Mais aussitôt, son cul se met à onduler. Je bouge le martinet. Charlotte est aux anges. Elle soupire, gémit. Je la laisse apprécier le manche qui lui procure sans aucun doute des sensations agréables. Elle jouit de cette présence. Sans prévenir, je tire la raison de son plaisir. Charlotte crie.— Non encore... Remets-moi le... Profond... baise-moi... baise la salope que je suis... enfonce-moi-le... s’il te plaît...Je frotte le manche gluant de sa mouille sur son clitoris gonflé et irrité. Elle bouge son ventre pour essayer d’absorber la bite factice. Je l’en empêche et agace ses lèvres...— Encore baise-moi...Je réponds à son attente et surtout à cette chatte gourmande. J’entame une série de lents va-et-vient. Son sexe est tellement en manque que malgré la mouille qui inonde le manche, je sens la violente pression qu’exercent les muscles vaginaux sur l’olisbos. Charlotte est partie. Elle feule doucement. Elle jouit lentement puis le plaisir arrivant à grands pas, son bassin se déchaîne. Il est mû de mouvements incontrôlés. Son sexe mange la bite de cuir. Je suis obligé de tenir fermement le manche, sous peine de me le faire arracher par le cul avide de Charlotte. Elle est trop heureuse. Elle jouit trop. Je dois lui faire comprendre que c’est moi le maître et qu’elle ne doit pas jouir sans mon autorisation. Je retire d’un coup sec le manche de son sexe. Charlotte pousse un cri de déception.— Non remets-moi le... plante-le-moi dans le cul...Charlotte n’a pas saisi le sens de sa demande. Je présente le manche dégoulinant de mouille à l’entrée de sa rondelle fripée. J’insiste sur cette partie que je sais très sensible.— Je... non, pas ça, j’ai peur, pas par-là... avec ta bite oui... Mais pas avec ça...Je ne tiens pas compte de sa requête. Je continue de caresser l’anus de Charlotte. Lentement je pousse doucement. Charlotte pousse aussi de son côté pour faciliter l’intromission de l’intrus dans son petit trou. L’envie de se faire enculer est trop forte. Charlotte laisse son anus se détendre. La bague serrée se relâche et le gode trempé de ses sécrétions n’a aucun mal à entrer. Charlotte ondule de la croupe et trahit son plaisir. Quelques lents va-et-vient et le cul aspire le gode. Bien planté au fond de ce petit trou, les lanières pendent sur ses cuisses. Le plaisir arrivant, Charlotte bouge de plus en plus. Les brins de cuir cinglent les cuisses gainées des bas. Charlotte s’autoflagelle. Elle ne va pas tarder à jouir encore. Je lui claque encore les fesses. Avec pour ornement, le martinet planté au fond de son cul, elle est adorable.— Tu es une vraie chienne... une salope de première...Je la prive encore de sa jouissance en lui retirant le manche du martinet. J’ouvre ma braguette et libère mon sexe. Il jaillit car je commençais à manquer de place dans mon slip. M’installant derrière la croupe accueillante de Charlotte, je lui dis:— Écarte-toi bien les fesses, offre-moi ton petit cul que je l’encule...Cet ordre semble lui plaire et elle s’ouvre. Ses fesses s’écartent largement m’offrant une vue ravissante de son anus béant et dilaté à souhait par la récente défonce. Je la sens très excitée par la perspective à venir. Je pointe mon sexe sur le petit trou. Je titille doucement le petit trou quelques instants. Je pousse d’une seule fois. L’anus ne se fait pas prier et cède sous la pression. J’investis la cavité chaude de ses entrailles. Charlotte pousse un petit cri de surprise aussitôt suivi d’une plainte mêlant plaisir et douleur masochiste.— Encule-moi bien à fond, bourre-moi défonce ta salope, ta petite pute...Charlotte ne se sent plus. Elle profère des insanités inattendues dans la bouche de la jeune et jolie bourgeoise qu’elle est. A grands coups de reins, je me soumets à ses désirs. Accrochée par les poignets et par les pieds, Charlotte est à ma merci. Pour éviter qu’elle ne m’expulse sous ses coups de reins violents, je la saisis par le gras de ses hanches. Je la pilonne. Je sens la jouissance arriver. Le sperme monte dans mon sexe et se déverse dans son cul. Je jouis. Charlotte aussi et pousse un hurlement. Charlotte a des orgasmes aussi violents que bruyants ! Tout le quartier doit se demander ce qui se passe dans cet abri...Le plaisir a fait place à la fatigue. Je libère Charlotte de ses entraves et la reconduis dans la maison. Nous prenons une douche commune. Je la masse, allongée sur le lit. Elle s’endort, un sourire sur les lèvres et le visage serein. Je m’endors aussitôt.
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