Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 32 J'aime
  • 2 Commentaires

La Gestionnaire

Chapitre 16

DEPART MOINS 2 SEMAINES

Trash
C’est avec beaucoup de tristesse et de crainte que je vois partir Charlotte et FXB. Mais elle avait choisi un style de vie pendant mon absence, à elle de l’assumer. En fin de journée, la première revenue de mes trois locataires est Carole. Elle est partie vêtue d’un tailleur noir très ajusté, elle me revient en robe droite, blanche, à fines bretelles, zippée de haut en bas. Un gros anneau tente la main. Le décolleté offert est tellement beau que l’on a qu’une envie : voir plus loin...
— Carole, j’ai très envie de tirer l’anneau vers le bas...— Si mon Maître le veut qu’il le fasse... Je ne suis là que pour satisfaire vos envies...
Je m’approche d’elle. Je joue avec l’anneau sans le mouvoir. Carole me regarde et attend avec impatience mon geste... De l’index, je suis la fermeture métallique. Mon doigt passe entre ses seins, traverse le ventre plat, s’enfonce dans la vallée entre ses cuisses et arrive au bas de la robe. La respiration de Carole s’affole. Elle attend une action de moi. Elle souhaite soit un déshabillage, soit une action de dressage... Je n’ai pas trop envie, l’épisode du début de l’après-midi avec Charlotte et FXB m’a suffi. Je la laisse avec son envie.
— Carole, tu vas me préparer une bière bien fraîche et me l’apporter sur la terrasse...
Elle se précipite vers la cuisine. Elle revient avec mon souhait. Elle me sert et attend.
— Carole, je veux que ta tenue soit exemplaire...— Commandez Maître...— Tu devras te tenir à côté de moi, les pieds écartés, les bras croisés dans le dos, la tête haute et les yeux baissés...
Aussitôt Carole prend la position que je lui ai indiquée.
— Ecarte bien les épaules...
Carole rectifie sa position. Ses seins sont écrasés dans la robe. Je saisis de l’index l’anneau. Je le tire vers le bas. Je libère ainsi la poitrine du carcan de tissu mais je ne montre rien... Je la regarde. Je fouille dans ma poche. Je lui présente une cordelette dotée de deux boucles coulissantes.
— C’est pour toi. Donne tes mains jointes, dans le dos.
Elle se retourne et me présente ses poignets. Soumise. Je glisse la corde, et resserre les nœuds. Je la pousse pour qu’elle s’asseye dans le fauteuil. Je pose mes mains sur ses genoux. Je l’oblige à écarter ses cuisses...

— Ouvre-toi
Je caresse l’intérieur de ses cuisses doucement. Surprise, elle sursaute et serre les jambes. Je lui lance un regard dur. Elle résiste puis se rend compte que son attitude va la faire corriger. Elle cède, ouvre largement les cuisses et me laisse l’investir. Mes mains courent sur les bas. J’atteins la dentelle du bas. Juste au-dessus, la peau satinée, douce et veloutée frémit sous ma caresse. Mes doigts montent encore. Ils vont trouver la peau lisse de son abricot. Surprise ! Un tissu barre l’accès au sexe de Carole. Mes deux index accrochent l’entrejambe du string. Je tire vers moi. Elle pince les lèvres. La ficelle frotte sur sa pastille brune. Le contact n’est pas agréable, vu sa grimace.
— Je croyais t’avoir dit que tu devais être toujours disponible quand tu es là !...
Elle baisse les yeux et murmure.
— J’ai...— Tu as...— Excusez-moi Maître,... j’ai oublié...— Regarde-moi... ce n’est pas bien d’oublier mes ordres... tu sais ce que je vais être obligé de faire...-... oui Maître...— Qu’est-ce que je vais être obligé de faire ?-... euh... vous devez me punir...— Bien, puisque tu me le demandes... je le ferai...
Elle écarte encore plus les genoux. Elle se cambre bien. Son envie de correction est palpable. Je bois tranquillement ma bière... Elle est assise inconfortablement. Ses mains croisées et liées dans son dos l’empêchent de s’asseoir correctement. Je la regarde se tortiller d’une fesse sur l’autre. Je me lève et me dirige vers l’étage. Je mets mes affaires de randonnées alpines, je sors une corde. Je la noue à l’un des supports du garde-fou de la mezzanine. Carole entend mais de sa place ne voit pas ce que je prépare. Je l’appelle. Elle arrive.
— Approche.
Elle a compris. Elle se positionne sous l’avancée de la mezzanine. Je libère ses mains et elle me les tend devant aussitôt, sans que je lui demande. Je la rattache et relie la corde avec celle qui pend du haut. Je raccourcis la corde du haut. Carole est immobilisée, les bras en l’air. J’ai fait en sorte que ses pieds portent au sol, mais que son corps soit tendu. Elle est très belle ainsi exposée. De ma poche, en bon campagnard que je suis et dont je suis fier, je sors mon Laguiole. Ouvert, il impressionne Carole. Je la sens inquiète. Je passe la lame sous la bretelle de la robe blanche.
— Oh non, elle est neuve...
Je tire un coup sec. La bretelle, tendue, part en arrière et claque sur l’épaule nue.
— Aie !...— Tais-toi...
Je procède de la même façon pour l’autre lanière de tissu... même claquement, mais aucun cri de Carole. Je pose le couteau sur la commode à côté. Je saisis l’anneau de sa robe et descends lentement le zip. Cran après cran, la fermeture est ouverte. J’ai l’impression de dépouiller un lapin, ou plus exactement une lapine. La robe tombe au fur et à mesure de la descente du zip. Je finis d’un coup sec. Le tissu chute derrière Carole. Elle est là tout de blanc vêtue, uniquement de ses bas, de son string et de ses chaussures hautes. Je prends mon couteau et pose la pointe dans le creux de l’aine. Carole a un mouvement de recul...
— Que tu le veuilles ou non, tu seras corrigée...— Mais, Maître, j’ai peur du couteau...— Tant pis pour toi...
Je glisse la lame sous la dentelle fine. L’éclat de l’acier traverse le fragile rempart. La pointe sort de l’autre côté du vêtement. Je tire sur la lame en glissant. Le tissu cède sous le tranchant. Le string se sépare en deux pans. Ils pendent entre les cuisses de Carole. J’attrape la ceinture et la remonte vers la poitrine. Carole se retrouve avec un triangle de dentelle sur le ventre. Tenant le triangle par la pointe du bas, je tranche d’un coup la ceinture. Je roule le petit chiffon en boule.
— Ouvre la bouche...
Carole obtempère. Je lui bourre son string dans la bouche.
— Carole, je vais te corriger... Je vais te fesser comme une petite fille qui n’est pas obéissante... C’est normal... qu’en penses-tu ?
Carole hoche la tête. Je passe derrière elle. Ses fesses se contractent. Elles sont dures au toucher lorsque je flatte les dômes joufflus. La première claque arrive. Je n’ai pas retenu mon bras. Le coup est si fort qu’elle crie quelques secondes après. La violence et la surprise de la claque lui coupent le souffle. Ensuite, les coups continuent à pleuvoir sur une fesse, sur l’autre. La correction commence à faire rougir le cul de la petite Carole. Je tape fort. Charlotte m’a toujours dit que j’ai la main dure. Carole essaie de se soustraire à ma main. Je compte en moi le nombre de claques. A partir de cinq, Carole sait que la punition sera longue. Elle ne cherche plus à fuir les coups. Elle les attend. A quinze, les fesses de Carole se mettent à frémir. Elle tend son cul au-devant des claques. Son postérieur vibre à chaque coup. Je me suis promis d’arriver à vingt-cinq coups. Les cinq derniers, Carole commence à gémir. Ce ne sont plus des plaintes de douleur. Ce sont des plaintes qui trahissent la montée lente et inexorable d’un plaisir malsain.
Carole est maso. Elle prend plaisir sous les coups et sous la contrainte. Je cesse à vingt-cinq. Les fesses sont écarlates. Je place deux doigts à l’entrée de sa rondelle fripée. Je pousse pour casser cette résistance de son anus. Carole est surprise de ce genre de pénétration. La seule sodomie qu’elle a subie, c’est l’autre soir, dans la soirée spéciale. Mais je l’avais préparée. Elle avait suffisamment mouillé pour que son petit trou du cul soit lubrifié. Aujourd’hui, sa mouille a coulé sur ses cuisses et à tremper la dentelle élastique de ses bas. Elle crie dans son bâillon improvisé. Je retire les doigts. Pendant quelques secondes, je la laisse souffler. Je libère ma verge tendue. Je pose mon gland sur l’anneau musclé. Carole sent qu’elle va être enculée à sec. Un grognement est étouffé dans le reste du string. Je pousse encore. Mon gland franchit le premier cercle. Carole essaie de participer au viol de son anus. Elle pousse son cul en arrière, pousse comme pour aller chier. Mais le gland ne glisse pas.
Je pousse encore. Malgré ses efforts, j’ai l’impression que son anus se déchire. Mon sexe investit ses entrailles. Je sens qu’elle jouit sous la douleur de mon assaut. Je me vide dans son ventre. Son anus se contracte. Il me presse la queue. Carole jouit dans son string. Elle rue comme une cavale. Ses fesses viennent à l’encontre de mon sexe. Elles claquent contre mon ventre. D’un seul coup, elle se tétanise. Elle est tendue, crispée. Aussi vite tendue, aussi vite elle s’effondre, molle, suspendue au bout de la corde. Elle jouit si fort qu’elle perd connaissance. Je me retire de son ventre. Sa tête pend sur sa poitrine. Je la laisse reprendre son souffle. Je vais me laver. Au retour, elle est là, debout fière. Ses cheveux sont collés au son front. La mouille de son sexe coule sur ses bas et les salit. Mon sperme suinte de son cul et macule l’arrière de la dentelle. Je lui retire son bâillon.
— Merci Maître pour cette correction, j’en avais besoin... vous me comblez de joie et de bonheur...— C’est bien alors...— Maître, vous auriez pu me fesser plus longtemps... je suis prête à en recevoir encore plus... j’ai atteint le nirvana dans cette fessée... la prochaine fois, je vous dirai le nombre de coups que je souhaite en plus de votre choix...— Comme tu le veux...
Je la libère.
— Va te laver et reviens vite...— Elle file se refaire une beauté. Elle revient avec l’arrivée de Nancy et d’Andréa. Elles sont chargées comme des mulets. Elles choisissent chacune une chambre et s’installent. Pendant ce temps-là, Carole, vêtue d’une mini robe prépare le dîner.
Diffuse en direct !
Regarder son live