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La Gestionnaire

Chapitre 22

5ème @-MAIL DE CHARLOTTE

Trash
DIMANCHEIl est près de dix heures quand je me réveille. Je saute du lit. J’enfile mon peignoir de soie noire. Je descends dans le hall. Virginie passe et sans rien me dire me prend par le coude et me conduit à la cuisine.
— Tiens installe-toi ici et mange. Que veux-tu café, thé... ?— Du thé, s’il vous plaît— Ne me vouvoie pas, on se dit tu, nous sommes dans la même galère toutes les deux. Enfin presque, moi c’est pour manger que je suis là, tandis que toi c’est pour le plaisir, il faudra que tu m’expliques...— Explique quoi ???— Comment peux-tu prendre du plaisir à être humiliée, battue, baisée, enculée...?— Cela ne s’explique pas, c’est ainsi...
Le peignoir glisse sur mes cuisses. Virginie jette un œil.
— Tu es belle...— Toi aussi, où est Maître FX ?— Il est parti chasser, sinon tu n’aurais pas fait de grasse matinée...— Je vais prendre un bain...— Attends, j’ai ordre de t’aider à faire ta toilette...
J’avale rapidement mon petit-déjeuner et nous grimpons à l’étage. Aussitôt, Virginie me fait couler un bain. Je me déshabille. J’entre dans l’eau chaude. Virginie n’y est pas allée de main morte avec les sels de bain. Je suis comme une star d’Hollywood. La mousse déborde de la baignoire. Virginie se déshabille aussi et entre dans la baignoire.
— Que fais-tu ?— Ordre de Monsieur François...
Elle saisit une énorme éponge et commence à me frotter. C’est très agréable. Elle en profite. Les sensations sont immédiates. Les pointes de mes seins se dardent et mon sexe bâille. Je vais prendre l’eau.
— Mets-toi à genoux...
J’obéis lentement. Virginie elle aussi change de position. Face à face nous nous regardons. L’éponge caresse les seins. Le plaisir vient instantanément. J’écarte au maximum mes cuisses. Je pose ma tête entre ses deux seins. Virginie prend mon menton entre ses doigts et relève mon visage. Je tends mes lèvres vers les siennes. Nos langues se mêlent. Je n’offre aucune résistance. Sa main remonte entre mes cuisses. L’éponge est douce sur mon sexe. Ses doigts rencontrent mon abricot. Depuis mercredi, une légère repousse a eu lieu.
— Tu piques un peu, je vais arranger cela après...
Je ferme les yeux toute au plaisir d’une caresse douce, comme une femme sait le faire. Pourtant il y a peu, jamais je n’aurais osé me laisser toucher par une personne de mon sexe. Elle découvre ma moule. Elle est juteuse. Ses doigts écartent mes lèvres pour s’y introduire tout doucement.
— Ne me laisse pas seule, caresse-moi aussi.
Mes mains remontent le long du corps longiligne. Je découvre ses seins. Ronds, hauts plantés, ils sont très fermes. Je commence une caresse sur les aréoles. Curieusement, elle n’a pas de bouts de sein. Mais il suffit de quelques secondes pour que pointe au milieu de la pastille brune, un petit pois. Elle souffle à mon oreille des mots d’encouragement.
— Oui, oui, comme ça, continue...
Ses mamelles gonflent, sa respiration est courte. Je présente mes doigts à l’entrée de son sexe. Il est dans le même état que le mien. Je guide sa main vers ma fente. Elle a compris et son index me frotte le clito. Nos bouches se joignent une nouvelle fois. Virginie sort de la baignoire, me laissant sur ma faim.
— Viens vite...
Elle m’attend avec une serviette de bain. Nous nous séchons mutuellement. Elle me tire dans la chambre. Je tombe à genoux face à cette jeune fille magnifique. Je respire son sexe. Il est recouvert d’un duvet fin brun. J’embrasse doucement son pubis. Je pointe ma langue et ajoute quelques petits coups. Cette caresse lui fait écarter les cuisses. J’en profite et j’enfonce deux doigts dans son vagin trempé. Virginie s’assoit maladroitement sur le lit. Elle me saisit la tête à deux mains. Elle s’allonge et guide mon visage vers sa grotte. Elle sent bon. Je lèche cet abricot offert. J’embrasse la peau sensible de son entrecuisse. Je remonte vers le petit capuchon rouge. De la langue je le soulève et découvre son petit bouton. Je le saisis entre les lèvres et le malaxe. La réaction est immédiate. Elle se met à crier de plaisir. Elle retombe et ferme les yeux. Sa respiration se calme. Quelques minutes après, c’est elle qui me repousse. Elle m’allonge sur le lit. Elle est à quatre pattes sur le lit et commence à jouer avec les pointes dressées de mes seins.
Elle tient dans sa paume l’un d’eux et mordille les tétons. Elle les suce, les croque, les mord avec rage. Je me déchaîne. Je ne me retiens pas et libère mes envies :
— Vas-y, j’adore quand on me les mord, ça m’excite, continue, c’est bon...
Mais Virginie délaisse ma poitrine. Elle plonge vers ma grotte. Elle s’occupe d’elle avec sa langue. Elle est jeune et pourtant tellement experte dans le jeu de langue. Elle a dû commencer jeune et elle a beaucoup d’avance sur moi. Mais la caresse est parfois douloureuse. J’ai trop envie. Je me laisse aller. Le plaisir arrive. Comme toujours, la boule se forme dans mon ventre, grossit, s’enfle et explose dans mon sexe. Je perds presque connaissance, c’est bien cela "la petite mort"...Mais, le bonheur n’est pas toujours long. A peine le temps de retrouver ma respiration que Virginie me prend par les cheveux et me tire vers la chaise de la coiffeuse. Elle m’assoit d’autorité et me dit :
— Reste assise et ne bouge surtout pas...
Elle récupère mon collier et mes bracelets de cuir noir posés sur la coiffeuse.
— Oh non pas toi, pas après le moment de bonheur que nous venons d’avoir...— Tais-toi...
Elle me fixe les accessoires de cuir noir. Je me retrouve attachée à cette chaise. J’ai les jambes écartées et les pieds attachés aux pieds de la chaise. Les cuisses largement béantes laissent ainsi voir mes petites lèvres et mon clitoris gonflé par le plaisir. Mes mains attachées derrière la chaise font ressortir ma poitrine ronde. Mes tétons sont encore gonflés par l’orgasme que Virginie vient de m’offrir. Je me regarde dans la glace de la coiffeuse. Je me trouve obscène, mais belle et désirable. Je commence à comprendre les dominateurs. Virginie se tient devant moi. Elle passe sa main entre mes cuisses et constatant ma jouissance sur ses doigts, elle me questionne :
— Alors ma jolie salope, t’as pas honte t’es toute mouillée...
Je pince mes lèvres. Elle me flanque une calotte sur la joue gauche.
— Alors, réponds, salope...
Une fois le choc de la gifle accepté, je la regarde droit dans les yeux et sans aucune crainte pour ce qui risque de s’en suivre je lui réponds :
— Oui c’est vrai, j’ai honte, mais je prends énormément de plaisir à avoir honte, à être humiliée...
Virginie est surprise de ma réaction. Elle commence à caresser mes seins. Elle prend un mamelon et l’étire très fort.
— Alors tu aimes être humiliée, eh bien je vais aussi te châtier pour te faire bien comprendre la situation. Ce matin tu es mon esclave. Maître Fx m’a donné carte blanche pour toi...
Virginie reprend la torture de mes seins. Elle tire sur mes deux tétons. La douleur est forte, mais assez supportable. Je commence à transpirer.
— Tu as mal ?— C’est supportable...
Je vois une lueur méchante passer dans son regard. Elle ouvre l’un des tiroirs de la coiffeuse. Elle en ressort des pinces à cheveux. Elles sont en plastique noir, mais surtout, elles possèdent les dents assez fines.
— Tu vas voir si c’est supportable, tes beaux gros seins vont avoir mal, tu aimes ça avoir mal aux seins ? Eh ! Ma salope
D’un geste vif elle m’attrape un sein. Elle l’étire de ses doigts, l’agace de la langue. Le téton pousse comme un fou. C’est presque une phalange de doigts d’enfant qui pointe sur mon globe blanc. Elle pose la pince, en veillant bien à ce que les dents se calent sous le téton. Je gémis de douleur. J’essaie par des mouvements de tronc de me libérer de la pince. Elle se frotte le sexe de la main. Une envie sourde la traverse. Elle se malaxe le clitoris quelques secondes. Elle se donne un petit instant de bonheur. Puis elle saisit une autre pince.
— Non pas sur les deux, laisse-moi m’habituer à la douleur, s’il te plaît...
Mais elle ne tient pas compte de ma demande. Elle réitère ma même manipulation sur mon autre sein. Je crie ma douleur. Je récolte une autre gifle.
— Tais-toi, tu n’as rien à dire.
Toujours en plantant son regard dans le mien, elle attrape les pinces et lentement, elle tire vers elle. Je crie fort, très fort. Elle relâche sa traction. Mes seins se sont étirés de façon incroyable. Mais elle reprend en main les pinces. J’ai peur qu’elle tire. Non au contraire, elle le remue de droite à gauche, de haut en bas. C’est pire que la traction en avant. La douleur s’estompe et se transforme. Le plaisir arrive. Je ne comprends pas cette mutation de la douleur en plaisir. Je gémis de plus belle. Je mouille je sens que je mouille. Elle n’arrête pas. Elle remue mes seins par mes tétons. Ils sont devenus rouge sombre. Le sang afflue et reste au niveau des dents. Toujours en gémissant, je me bouge sur la chaise. Mon sexe frotte suer l’assise de la chaise. La paille me pique, mais c’est trop bon. Je sens que je vais jouir si Virginie continue son supplice. Mais, voyant que son manège va me conduire au septième ciel, elle cesse d’un seul coup. Mes seins reprennent leur place. Virginie en profite pour me les gifler.
Je sursaute et geins. Elle me prend à pleine main chaque sein et les tord. Elle cherche à me faire réellement souffrir. Mes seins deviennent rouges sous la torture.
— Tu me fais mal...
Je me dandine sur ma chaise. Virginie, trop contente de mon aveu reprend de plus belle.
— Arrête, c’est trop fort...
Elle ne tient pas compte de mes suppliques et continue en accentuant les pressions. Mes seins sont écarlates. J’essaie toujours de me soustraire aux mains de Virginie. Mon sexe continue de s’irriter sur la chaise. Le plaisir vient, sournois, sous la douleur.
— Continue, je vais jouir...
Encore une fois Virginie arrête ses manipulations mammaires.
— S’il te plaît continue...— Si tu crois que je vais te laisser jouir maintenant, tu te trompes ma belle, tu jouiras quand et où je le voudrai, compris ?— Fais-moi jouir, pitié fais-moi jouir maintenant...— Non ! C’est moi qui décide quand tu jouiras compris ?
Je hoche la tête de haut en bas. Virginie se relève avec un sourire conquérant aux lèvres.
— Avance ton gros cul au bord de la chaise et vite...
Malgré les sangles qui me lient à la chaise, je réussis à placer mes fesses au bord de l’assise. Mes lèvres ont frotté sur la paille. Elles sont toutes irritées et très sensibles. Au bord de la chaise, elles retrouvent l’air libre et perdent la pression de mon propre poids.Virginie se penche face à mon sexe. Il est béant et à sa merci. Prenant avec ses mains chaque babine, elle les écarte, comme pour voir à l’intérieur. Je suis gênée. Je me sens rosir de honte.
— Alors salope, tu es en bonne position...
Je ne réponds pas ne sachant pas où elle veut en venir. Elle se recule et me claque le sexe. Je crie et ferme mes genoux.
— Ouvre-toi salope...— Non pas de claque, pas là...— Ouvre-toi...
Je desserre mes genoux libérant le sexe endolori. Aussitôt, un autre claque me fait monter les larmes aux yeux. Virginie fouille dans le tiroir. Elle sort un gros pénis en plastique. Il est énorme, noir avec un gland de la taille d’un poing d’enfant. Il mesure au moins trente centimètres de long. Des sangles et une ceinture sont installées permettant son utilisation par des femmes. Virginie se l’installe. Mais je n’avais pas remarqué qu’à l’opposé de l’énorme bitte, un autre sort. Virginie se pénètre avec la bitte intérieure et avance vers moi. Curieuse apparition d’une jeune femme avec un sexe d’homme qui pointe en l’air. Je le regarde avec étonnement, et envie...
— Tu en as envie, salope, cela te tente une bonne grosse bitte de black, tu mouilles de plaisir, tu sais ce qui t’attend, c’est pour ça que tu mouilles, tu aimes cela, les grosses queues, réponds...— Oui j’aime les belles grosses queues...
Elle s’approche de moi sur le côté et présente le sexe factice à ma bouche. Je la prends en bouche. Je commence par en sucer le gland. Il est vraiment énorme. Je ne peux qu’en sucer le bout. Mais Virginie n’est pas d’accord avec cette solution. Elle me prend la tête à deux mains et d’un coup elle enfonce la queue de plastique dans ma bouche. Mes lèvres sont complètement distendues par la taille de l’engin. Le gland est dans ma bouche et mes dents sont passées derrière le bourrelet. Je peine à respirer. Saisissant mes cheveux, il me contraint à commencer des va-et-vient lents mais fermes. Chaque poussée au fond de ma gorge me fait lever le cœur. Je m’applique pour satisfaire Virginie. Mais comment une femme peut-elle ressentir du plaisir en faisant sucer une bitte en plastique à une autre ? Je suce et humidifie le braquemart factice. Brusquement, elle me retire de la bouche mon bâillon. Elle me libère des mousquetons.
— Lève-toi...
Je titube un peu avant de me stabiliser face à elle.
— Mets –toi à genoux sur le tapis, et vite...
Je m’installe. Dans la glace de l’armoire, je me vois. Mes seins sont toujours ornés des pinces, mais je ne sens plus leur morsure.
— Ecarte bien les jambes...
Dans cette position, mon cul est très accessible. Virginie s’approche et m’assène une claque sur mon cul rond. Je crie, mais Virginie continue de plus belle. Encore une fois j’essaie de me soustraire aux claques.
— Arrête, s’il te plaît arrête...— Tais-toi, pose ton visage à terre et avec tes mains prend tes fesses à pleine main... écarte-les, je veux voir ton petit cul, ta petite rondelle salope...
Je m’exécute. Je suis sur le tapis, les genoux et le visage au sol. Virginie vient se placer derrière moi
— Ecarte tes fesses, mieux que ça, écarte tant que tu peux, sinon je vais te les écarter tes fesses...
Je lui obéis. Je tends mes fesses et sens ma rondelle se déformer. Mon anus est étiré en ovale, les ordres de Virginie me procurent des sentiments de honte et de plaisirs mêlés. Mon petit cul palpite. Je ne sais pas ce que va faire Virginie, mais je m’en doute. J’espère qu’elle va me forcer. Mon sexe dégouline de mouille. Je suis vraiment une chienne. Mon clitoris est sorti de sa cachette et darde fièrement au sommet de mes lèvres. J’attends la grosse queue dans mon ventre. Virginie s’approche encore derrière moi. L’énorme bitte pointe devant elle. Contrairement à mes espérances, Virginie colle le pénis sur mon anus et sans aucune précaution et sans aucun ménagement l’enfonce dans mon fondement. Je crie. Mon anus va se déchirer. Jamais un engin de ce diamètre ne m’a perforé. Je suis réellement défoncée. Virginie ne s’arrête pas à ces considérations. Elle commence alors un mouvement de va-et-vient puissant. Elle ne va pas vite, mais régulièrement et profondément. A chaque poussée j’avance de quelques centimètres.
Elle se recule et le sexe de plastique ressort de mon ventre. Le gland sort presque entièrement, dilatant encore l’anneau culier. Aussitôt sorti aussitôt entré, mon ventre avale cette monstruosité. Je me demande comme mes muscles peuvent faire pour ne pas se rompre.
— Tu aimes te faire enculer salope ?
Virginie me saisit les mains et tout en m’enculant me secoue comme un prunier. Elle s’enfonce complètement. J’ai mal. Elle reste bien au fond et c’est elle qui commence des va-et-vient sur le sexe qui est en elle. Elle chavire et feule. Elle jouit et s’appuie sur mon dos. Je ne peux pas résister à ce poids et mes genoux glissent sur le tapis. Le poids de Virginie, même si elle n’est pas grosse, pousse encore plus loin sa bitte de plastique en moi. Je hurle de douleur. Elle me laisse pleurer. Puis elle se relève. Elle vient en face de moi. Elle me saisit par les cheveux et me relève. Elle me présente son sexe devant mon visage. Sa toison noire clairsemée laisse bien voir sa vulve et ses lèvres charnues.
— Allez lèche moi...
Je lape les lèvres et j’enfonce bien ma langue dans son vagin. Je fouille son sexe. Je la pénètre de la langue. Je titille son clitoris. Virginie se laisse aller. Elle pousse de longues plaintes de plaisir. Elle maintient encore mon visage comme ce sexe ruisselant.
— Oui, c’est bon je vais jouir continue
Elle plie les genoux et tout en prenant appui sur ma tête, elle jouit comme une folle. Je lape la mouille. Je lave son sexe odorant. Elle me libère les tétons des pinces. La douleur du retour de la circulation sanguine me fait grimacer.
— Tu es contente, tu as bien joui, et elle s’en va dans sa chambre. — Ne bouge pas, je reviens...
A son retour, elle m’oblige à enfiler des bas à couture et à chausser des chaussures à talons hauts. Il est midi passé lorsque nous arrivons dans le salon. Virginie prépare l’apéritif. Elle ne m’adresse pas la parole depuis que nous avons fini dans la chambre.
— Que dois-je faire ?— Rien, tu attends...
Quelques instants plus tard, Maître FX arrive. Il est en tenue décontracté : pull ras de cou noir et jeans noir.
— Bonjour Virginie...— Bonjour Monsieur François...— Comme s’est conduite notre chienne ce matin ?
Je l’ai baignée et ensuite je l’ai enculée avec le gode noir, le gros...
— Lequel, petite cochonne, je suis sûr que tu as pris le gode double, pas vrai...— Euh, non Monsieur...— Chienne ! Réponds...— Mademoiselle Virginie a pris le gode double et quand elle m’a enculé, elle fait jouir...— Merci Chienne...— Il faut tout me dire Virginie, tu le sauras tout à l’heure. Tout est prêt pour recevoir mon amie...— Oui Monsieur François...
En effet une voiture fait crisser les gravillons de la cour.
— La voilà ! Georges en sera quitte pour ratisser la cour demain.
La porte d’entrée s’ouvre brusquement. Une tornade noire arrive dans la pièce. C’est une jeune femme de mon âge. Ses cheveux sont coupés court, à la garçonne. Elle porte un ensemble noir, pantalon et veste à manches courtes. Le boutonnage est assez bas. Je peux constater comme les autres, qu’elle ne porte pas de soutien-gorge. Elle doit avoir de petits seins, vu les faibles volumes qui déforment de la veste. Elle a de hauts talons.
— Bonjour François adoré, je suis en retard, comment vas-tu et qu’as-tu à me présenter de si urgent ?— Bonjour, Anaïs, regarde...— C’est ça !
Elle me regarde et tourne autour de moi. Elle me jauge, m’inspecte, m’évalue comme un maquignon le ferait d’une vache sur un champ de foire.
— Joli morceau, obéissante ?— Assez, mais elle a beaucoup à apprendre...— Tu l’as pour combien de temps ?— Un an...— Chouette, tu me la prêteras ?— Bien sûr...— Quand ?— Cet après-midi si tu veux...— OK, je n’ai rien de prévu...— Mais avant allons déjeuner...
Nous passons à table. Enfin eux, car, je reste debout derrière Maître FX. Anaïs demande que je mange avec eux.
— Tu sais, avec ce qu’elle va subir cet après-midi, il vaut mieux qu’elle soit en pleine forme...
Maître FX m’autorise à déjeuner avec eux. Le repas se passe entre gens du monde. Anaïs m’interroge sur ma vie, mon métier et plein de choses de la vie, de ma vie. Je lui parle de toi.
— Pourquoi vous a-t-il abandonné à François ?— Il part pour un an au Vietnam pour raisons professionnelles...
Elle me regarde droit dans les yeux et avec une lueur cruelle elle me lance:
— Il va revenir avec une petite Viet, il paraît qu’elles sont toutes très perverses et très accueillantes, il te laissera tomber après...
Les larmes me montent aux yeux. J’espère que tu me reviendras. Je ferais tout pour être à toi.La fin du repas arrive. Maître FX part de nouveau à la chasse, me laissant aux mains expertes d’Anaïs et de Virginie. Que vont-elles me faire subir ? Je suis incorrigible. J’ai des picotements dans le sexe...Anaïs se lève et m’ordonne :
— Viens, suis-nous...
Elle revient dans le hall. Je la suis sur mes chaussures hautes. Elle marche vite. Je me tords les chevilles. Virginie me talonne et se permet des commentaires désagréables à mon encontre.
— Chienne, tu ne sais même pas marcher avec des talons hauts...
Je voudrais la voir perchée sur des échasses de douze centimètres...Anaïs ouvre une porte dissimulée sous l’escalier monumental du hall. Des marches sombres descendent vers un lieu peu éclairé. Elle commence à descendre. J’hésite devant la première marche. Virginie me claque les fesses :
— Descends ! Espèce de gourde...
J’entame l’escalier. Aussitôt dans la pente, la fraîcheur des sous-sols remonte. Elle me glace la peau. L’escalier est long. Nous arrivons dans un couloir. Quelques mètres sur la gauche et Anaïs ouvre une porte massive en bois. Elle allume la pièce. C’est une cave voûtée. Une croix de bois est fixée au mur. Au plafond, des anneaux et des barres d’écartement pendent. Au sol et sur le bas des murs d’autres anneaux sont scellés.
— Avance ! Mets-toi au centre de la pièce
J’obéis comme une bonne esclave. En face de moi trône un fauteuil. Les accoudoirs ont une forme curieuse. Anaïs s’installe dans le fauteuil, face à moi. Je comprends la forme des bras du meuble. Elle s’assoit confortablement et pose ses cuisses sur les accoudoirs. J’ai une vue plongeante sur l’entrejambe de son pantalon.
— Virginie, viens me mettre à l’aise...
Virginie avance et commence à libérer la ceinture du vêtement. Elle dévisage froidement Anaïs. Celle-ci voulut prendre la parole:
— Anaïs, je ne comprends pas pourquoi c’est m...— Tais-toi ! Tu parleras quand on te donnera la parole !
Virginie continue sa tâche. Le crissement de la fermeture éclair coupe l’air. Anaïs prend appui sur ses jambes et soulève son cul. Le pantalon est violemment tiré vers le bas. Anaïs resserre les cuisses et se laisse dépouiller de son pantalon comme un lapin. Elle ne porte pas de sous-vêtement. Elle reprend la position. Virginie s’écarte et vient se mettre en attente à côté d’elle. J’ai une vue directe et plongeante sur son intimité. Son sexe est dissimulé derrière une toison brune très abondante. Tu m’avais dit que les hommes appelaient cela un "tablier de sapeur". Les poils lui montent jusqu’au nombril et lui mangent les aines. Elle me scrute.
— Charlotte, je vais t’expliquer la situation. Ecoute bien car je ne répéterai pas. Tu es à nous pour une durée d’une année. Pendant cette année, tu devras payer le prix fort pour ta pension. Ce prix, c’est la soumission dont tu feras preuve durant l’éducation que nous allons te dispenser. -...— Tiens-toi droite ! Les mains derrière la tête ! Les pieds écartés...
Les ordres se sont succédés rapidement. Ils ont claqué, sec comme des coups de fouet à mes oreilles.J’hésite, et ne prends pas immédiatement la position qu’elle m’a enjointe de prendre.Charlotte, apprends à obéir instantanément, ou bien cela se terminera mal ! Je me positionne face à elle en tenant bien compte de ses conseils. J’écarte les coudes pour faire saillir mes seins et mes pieds pour que mon sexe et mon cul soient offerts. Anaïs constatant mon obéissance, reprend la parole :
— Charlotte, en plus de ton collier, tu vas avoir une médaille... — Une médaille ?— Tais-toi et écoute. Une médaille avec un numéro. Ainsi tout membre de notre confrérie saura, à la vue de ce signe distinctif que tu es une de nos esclaves et que tu devras suivre ses ordres à la lettre, sans rechigner. Compris ?— Heu...— Compris ? Oui ou non...— Oui...— Oui Madame !— Oui Madame...— A la bonne heure...
Virginie s’approche de moi et accroche à mon collier une médaille métallique ronde. Elle brille de mille feux. Anaïs reprend :
— Tu seras le numéro 55, rappelle-toi bien de ton numéro, désormais, ton numéro de téléphone portable sera diffusé à tous nos membres. Tu pourras être appelée à toute heure du jour ou de la nuit, sept jours sur sept pour satisfaire les caprices de chacun et chacune de nous.— Tu es d’accord, j’espère...— Oui Madame...— A compter d’aujourd’hui, tu vivras ici. Tu iras à ton travail et tu reviendras passer la nuit au château. Ta vie sera organisée et planifiée comme nous le voulons. Nous souhaitons faire de toi une esclave parfaite, utile et socialement adaptée à nos désirs. Tu suivras les horaires suivants : réveil à sept heures, gymnastique avec Virginie, toilette à huit heures, petit-déjeuner à huit heures vingt départ pour ton travail à huit heures trente, travail de neuf heures jusqu’à douze heures, repas pris à notre maison de N, jusqu’à treize heures trente, quatorze heures travail jusqu’à dix-huit heures. Tu devras être de retour au plus tard à dix-huit heures trente. Dès ton arrivée, tu devras te laver et prendre ta tenue d’esclave : chaussures hautes, bas...— C’est tout...— Tais-toi, c’est la tenue officielle des esclaves de notre confrérie. Tu satisferas les envies de FX et nous mangerons à vingt heures. Après, tu dépendras de nos désirs et envies du moment.— Mais...— Il n’y a pas de mais...
Anaïs se lève et tourne autour de moi.
— Nous allons examiner la bête...— Ecarte bien tes coudes !
Je n’ai pas réagi suffisamment vite. Anaïs sortant une cravache de sa soutane, assène un coup cinglant sur mes fesses. Je hurle devant le coup qui m’a surpris. Aussitôt je plaque mes mains sur mes fesses.
— Ah oui, j’oublie ! Ajoute Anaïs, je ne répète jamais les ordres. Il y a une échelle des sanctions, que tu découvriras, la punition de base est le coup de cravache. Si tu es rétive, cela peut aller beaucoup plus loin. Un bon conseil, ne pas chercher à en savoir plus.
Mes larmes coulaient sur mes joues. La violence du coup sur mes fesses m’a fait très mal. Anaïs ne semble pas particulièrement émue. Elle commence son examen. Elle me fait ouvrir la bouche et regarde mes dents.
— Jolie bouche, dents saines et blanches. J’en connais certains qui vont aimer vider leur bitte dans ce joli réceptacle...
Elle poursuit la découverte de mon corps. Elle saisit mes cheveux et me secoue la tête :
— Cheveux bien plantés...
Elle est face à moi.
— Virginie, le centimètre...
Virginie tend un centimètre de couturière.
— Nous allons prendre tes mensurations...
Elle passe le ruban plastique dans mon dos. Il est froid et la sensation fait immédiatement réagir mes seins. Les pointes se dressent. Anaïs le remarque :
— Toutes les méthodes sont bonnes pour faire croire que tu as des gros seins. Elle tend le ruban. 92 centimètres, ordinaires. Ils pourraient être plus gros, les hommes aiment bien les grosses mamelles, les grosses loches...
Je ne dis rien. Pourtant, je sais que tu aimes bien mes seins, surtout parce qu’ils ne tombent pas. Elle rend le centimètre et saisit entre des doigts mes tétons. Elle les malaxe, tire sur les pointes. Elle cherche à trouver des défauts à fermeté et l’élasticité de mes attributs mammaires. Elle empaume mes seins en entiers.
— Pas mal. La peau est tendre et élastique.
Je pleure tant l’humiliation est forte. D’un geste énergique, Anaïs saisit mon collier et me guide vers le fauteuil.
— Assis toi, les cuisses sur les accoudoirs...
Je peine un peu à trouver mon équilibre, sur mes reins. Mon sexe et mon cul sont libres de toute entrave. La position fait que je suis ouverte à tout. Virginie me place les bras au-dessus de la tête. Ils sont maintenus étroitement en position à l’aide de lanières autour de mes poignets. Mes chevilles, ma taille et mon cou sont immobilisés de la même manière. Anaïs s’approche et se place entre mes cuisses béantes. Elle s’empare de pinces métalliques et, après avoir appuyé sur mon ventre, dégage mon sexe. Elle les fixe sur mes grandes lèvres. Immédiatement, je crie ma douleur. Anaïs me gifle à plusieurs reprises par des allers-retours cinglants.
— Si tu continues, je te bâillonne, tu verras, c’est encore beaucoup plus pénible !
Les pinces sont reliées à de fines chaînettes. Virginie les fixe aux montants du fauteuil. Ainsi, mon sexe est largement ouvert. Virginie procède de la même façon avec mes petites lèvres. Mon vagin est ainsi exposé aux vues des deux bourreaux. Anaïs augmente la tension des chaînettes ce qui me fait gémir encore plus. Cette fois, je suis ouverte. Mon sexe est grand ouvert, béant. Tout mon ventre est visible jusqu’au plus profond de mon être. J’ai honte d’être montrée, exposée telle une bête. Anaïs me malaxe le clitoris. Mes larmes redoublent. Elle me fait mal avec beaucoup de science et de savoir-faire. Je suis sûre qu’elle prend un plaisir malsain à ces agissements.
— Elle n’est plus vierge mais les chairs sont souples et toniques.
Elle plonge trois doigts dans mon sexe. Elle replie ses doigts en crochet et retire sa main. Ses ongles griffent mes muqueuses. Mes larmes coulent encore. Anaïs se penche aux pieds du fauteuil. Un ronron se fait entendre. La table se met à bouger. Mes jambes sont relevées vers le haut. Le mouvement ne s’arrête que lorsque je suis les pieds à la verticale de mon ventre et les cuisses à l’équerre. Mon ventre est tellement ouvert que s’il pleut dans la pièce, mon sexe se remplirait d’eau. Mais dans cette position c’est surtout mes fesses et mon petit cul qui sont mis en valeur. Mon anus est dégagé, offert aux vues de deux jeunes femmes.
— Cet endroit de ton corps est très important. Pendant ton éducation, tu seras régulièrement pénétrée par là. As-tu déjà été enculée, Charlotte ?— Oui Madame, Mon Maître Jérôme m’a initiée à cette pratique... — Nous allons découvrir cela...
Virginie sur un coup d’œil d’Anaïs saisit un objet métallique. En me tordant le cou, je peux apercevoir les mains des jeunes femmes. Elle m’introduit une sorte de canule mécanique dans l’anus. Elle n’a pas pris la précaution de m’enduire l’anus d’un corps gras, la pénétration est difficile. J’ai beau y mettre du mien, me détendre, me relâcher, pousser sur ma rondelle fripée, la douleur est là. Je crie car Anaïs bouge la canule. Aussitôt, Virginie me bâillonne avec une boule de caoutchouc. Elle est maintenue par une bande élastique qui fait le tour de ma tête. Anaïs pousse encore plus fort sur l’objet métallique. Je hurle dans la balle qui obstrue ma bouche. Je sens un renflement me toucher le gras des fesses. C’est fini, mon cul a avalé le système métallique. Pendant quelques secondes, mon anus s’adapte à la présence monstrueuse. La douleur s’estompe. Mais aussitôt, Virginie manœuvre l’engin. Je sens les parois de mon cul s’écarter en diamètre. L’objet est composé de quatre pièces identiques et elles peuvent s’écarter l’une de l’autre.
Mon anus est distendu au maximum. Si elles continuent, elles vont me déchirer ma rondelle. J’ai beau crier, hurler dans mon bâillon, rien n’y fait. Je me débats, sans plus d’effet. Puis tout s’arrête. Plus rien ne bouge. Ma rondelle supporte la dilation extrême imposée par la canule.
— Tu es très souple, Charlotte, souple à souhait, on peut t’ouvrir largement et même très largement. Mais on va voir si ton petit trou du cul se resserre aussi vite qu’il s’élargit...
Elle retire l’objet de mon cul. Mais elle m’introduit immédiatement un objet long et fin, comme un crayon.
— Serre ton cul. Nous allons te remettre sur pied. Si le crayon tombe, gare à toi...
Virginie libère les chevilles. Mes pieds tombent au sol. Le siège bascule vers l’avant et me voici mise debout sans le vouloir. Je serre très fort les fesses. Le crayon glisse dans ma cavité élargie. Je me concentre et contracte mon anus. J’y arrive. Je l’ai bloqué...
— Ça va, ce n’est pas trop mal, mais il va falloir travailler ce petit trou du cul...
Elle me saisit de nouveau par les seins.
— Ils sont très beaux...
Virginie intervient :
— Les tétons sont développés et fermes, on pourrait l’infibuler, ce serait très joli !
Je réagis à cette proposition...
— Oh non, mon Maître Jérôme ne veut pas que je sois percée...— Tais-toi. Pour l’instant tu es notre propriété, alors nous ferons ce que nous voudrons...
Virginie continue...
— Avec de grands anneaux, comme des créoles, qu’en pensez-vous, Anaïs ?— Je pense que ce serait très joli, et puis on pourrait y pendre des poids...— Bien, Charlotte, ton éducation va pouvoir commencer rapidement. Très vite nous pourrons te vendre afin de nous rembourser.
Virginie proposa alors :
— Mais si nous la vendions ce soir au Comte de L...— Quelle bonne idée, Virginie, tu le connais, toi le Comte de L. Il est charmant et il adore les culs. Bien tu vas rester ici. Virginie viendra te chercher.
Anaïs, vêtue de sa seule veste, quitte la salle, suivie de Virginie. La porte claque et j’entends le verrou clore le lourd battant de bois. La lumière s’éteint. Je suis dans le noir. Il se passe un long moment avant que les bruits viennent casser le silence des caves. La lumière m’aveugle et le verrou grince. Virginie m’interpelle :
— Allez chienne, il faut te montrer à la hauteur et séduire Monsieur le Comte...
Elle attache la laisse à mon collier et me tire en avant. Nous remontons l’escalier et entrons dans le grand salon. Maître FX et là assis dans son fauteuil de cuir. Assis face à lui, dos à moi, un homme âgé vu la tonsure de son crâne discourt. Maître FX cesse la conversation et dit :
— Cher ami, voici le petit bijou dont je vous ai parlé, certes, il y a plus jeune, mais elle est très bien conservée, et elle a beaucoup de classe et d’allure, avance Chienne...
Virginie lâche la laisse et j’avance entre les deux sièges. Monsieur le Comte est âgé, très âgé. Il a au moins soixante ans. Maître FX m’ordonne :
— Chienne présente-toi au Comte...
Je m’installe entre les deux hommes et j’attends les ordres.
— Regarde Monsieur le Comte...
Je pivote sur mes pieds et fais face à ce vieil homme. Il m’observe entre ses paupières plissées. Il me jauge, m’évalue. Maître FX commence la présentation :
— Elle est fière et a le port altier. Son regard lancé à la dérobée, montre sa connaissance des hommes et des jeux de l’amour. Elle est prête à tous les vices, tous les déchaînements, tous les avilissements.
Je suis face à lui. Je me cambre pour faire saillir mes fesses et je hausse mon buste pour que mes seins soient plus attrayants. Je relève la tête mais reste le regard baissé. Je fixe les chaussures de Monsieur le Comte.
— C’est une bonne esclave...
A ce mot je ne peux m’empêcher de tressaillir. Les sourcils broussailleux de Monsieur le Comte se redressent dès qu’il a entendu le mot d’esclave. Maître FX me dit :
— Penche-toi vers Monsieur le Comte...
Je me penche vers lui. Mes seins pendent légèrement. Mais je lis dans les yeux du vieux noble que mes seins le séduisent. Il faut dire que, même penchée en avant, mes seins gardent leur aspect rond et ferme. Sans aucun soutien, mes seins ne tombent pas en dépit de leur masse. Le Comte m’apostrophe :
— Approche !
Le vieil homme veut me voir de près. Je fais un pas en sa direction.
— Redresse-toi !
De nouveau en position cambrée, j’attends. Il se lève. Il est très grand. Il avance la main pour tâter et évaluer les appâts que je lui présente. Bien que ce ne soit pas la première fois qu’un homme va me toucher les seins sous la contrainte, j’ai un léger mouvement de recul. C’est la première fois qu’un vieux va me toucher. Maître FX dans mon dos me pousse vers le Comte. A croire que ce vieil homme lit dans mes pensées :
— Tu as peur ? C’est la première fois qu’un vieux va te toucher ?— Oui Monsieur le Comte...
Maître FX m’ordonne :
— Donne tes seins !
La main qui me pousse dans le dos m’oblige à tendre ma poitrine vers cette main fine. Elle saisit mon sein gauche. La peau de mon sein est douce, mais la main est dure. Sans ménagement elle le triture. Il me fait mal. Il cherche quoi dans mon sein. Je grimace.
— Etonnante souplesse pour des seins de ce volume et une fermeté à en croquer...
L’autre main s’empare de mon autre sein. Il subit le même traitement de fond. Docile, je reste cambrée, offrant ma poitrine.
— Donne-moi tes mensurations...— Je mesure 1,70 mètre pour 55 kilos. Mon tour de poitrine est de 92. J’utilise des bonnets C.
Maître FX me coupe la parole :
— Quand elle porte un soutien-gorge, ce qui est rare...
Il rit de sa plaisanterie...
— Continue...— Mon tour de taille est de 63 centimètres. Mon tour de hanches de 92. — Bien, très bien. Et le reste ?— Que voulez-vous savoir, Monsieur le Comte ?— Que sais-tu faire ? dans le domaine de l’amour ?
Je sais tout faire, je n’ai pas de tabou, ordonnez et je le ferai...
— Bien nous allons voir si tu dis vrai. Penche-toi en avant, joins tes mains et tends tes bras en avant, prends appui sur le dossier du fauteuil, jambes écartées.
Docile, j’obéis. Je prends la pose indiquée. Elle me fait pendre les seins et creuser les reins. Le vieil homme s’absorbe à une longue palpation des seins. Il jauge leur élasticité, leur poids, le satiné de la peau. Il fait rouler les tétons entre ses doigts pour les faire durcir. Cette nouvelle palpation effectuée avec la douceur d’un maquignon m’a fait souffrir. Je l’endure en silence. Monsieur le Comte semble satisfait. Il me claque la croupe comme le ferait un marchand de bêtes sur un champ de foire. La main, après la claque, revient sur mon postérieur. Elle tâte le globe fessier. L’index se fait fureteur. Il glisse entre mes fesses. Je sais ce qu’il cherche. Il trouve rapidement. La pastille brune et fripée est là. Sans précaution aucune et sans ménagement, l’index me perfore l’anus. Une, puis deux et trois phalanges me pénètrent. Je serre les dents. Il sort tout aussi brutalement qu’il est rentré. C’est le pouce qui se présente à l’entrée. Je pousse sur ce doigt pour faciliter l’intromission.
L’index et le majeur trouvent naturellement le chemin de mon sexe. Mon clitoris est serré entre les deux phalanges. J’ai mal.
— C’est vrai tu as l’air disposée à tout endurer, mais il y a bien quelque chose que tu n’aimes pas !— Je ne refuse jamais un ordre, Monsieur le Comte...— Virginie, apporte-moi ce que tu n’aimes pas, et toi ne bouge pas...
J’entends les pas de Virginie sur le parquet et sur le tapis.
— Voici, Monsieur le Comte...— Merci Virginie, tu la connais bien... — Oui Monsieur le Comte...
Puis il s’adresse à moi :
— Toi, tu ne bouges pas...
J’essaie de regarder ce que Virginie vient de donner à Monsieur le Comte. Mais il m’ordonne de tenir ma position.
— Garde la tête entre tes bras et ne bouge surtout pas !
Il tourne autour de moi. Il fait siffler quelque chose dans l’air et claquer dans sa paume de main. C’est un fouet ou un martinet ou une cravache, il s’arrête sur mon côté. Je vois le bout effilé de la cravache. Il s’approche du téton de mon sein. Il le titille, l’agace en le frottant. La caresse rugueuse m’excite. Mon bout devient dur et gonfle. Il pointe au milieu de mon sein. Cette caresse est malsaine. Je m’attends à un coup sur mon sein. Ce qui devait arriver arrive. D’un coup sec, Monsieur le Comte me cingle le mamelon. Je hurle et replie mes coudes pour mes seins. Il m’ordonne :
— Je t’ai dit de ne pas bouger !— Non, je vous en supplie, cela fait trop mal ! — Je croyais que tu ferais tout, que tu n’avais pas de tabou, que tu étais prête à tout, tu n’es qu’une petite menteuse, une frimeuse !
Tremblante et craignant un nouveau coup, je relève doucement mes bras pour reprendre la position qu’il m’a ordonnée. Je regarde mon sein. La douleur est encore cuisante. Je découvre une strie violette. Elle barre mon sein en passant par le bout du téton. Monsieur le Comte me contourne. Il s’installe de l’autre côté. Il répète la même manœuvre. La caresse du téton par le bout de la cravache et ensuite, le coup violent. Je crie encore, mais je ne replie pas mes coudes vers mes flancs. Je reste encore offerte à ses coups.
— Elle me plaît cette chienne, à combien me la faites-vous pour cette soirée ?
Maître FX lui adresse la parole:
— Cher ami, nous allons vous faire un prix d’ami, que diriez-vous de 1000 euros ?— C’est une somme pour une soirée avec une femelle...— Oui, mais elle accepte tous vos souhaits, réalise tous vos désirs, cela se paie...— Vous êtes dur en affaires, François, mais j’accepte avec mes conditions...— Bien entendu, dites ce que vous souhaitez, cher ami...
Il s’adresse à moi :
— Relève-toi et garde la tête droite, baisse le regard et écoute bien !
Il demande à Anaïs :
— Chère amie, je la souhaite vêtue de bas résille avec un porte-jarretelles. Tu vérifieras la propreté de ses trous. Ils seront tous visités pendant cette soirée. Va la préparer !
Anaïs fait une petite révérence et prend ma laisse et m’entraîne vers la salle d’eau. Dans l’espace d’un petit quart d’heure, elle me récure, me polit. Elle me ceint la taille d’un porte-jarretelles et m’enfile des bas résille. Le retour est rapide. Dans le salon, les deux hommes bavardent de chose et d’autres. Virginie leur a servi l’apéritif. Elle est à côté de Maître FX. Sa main est cachée sous la minijupe. Virginie a les jambes écartées et vu son regard, perdu dans le vide, il s’amuse avec son sexe. Elle prend son pied. Ses genoux se plient sous la caresse et le plaisir naissant se lit sur son visage. Maître FX sort sa main de dessous la jupe et pose son bras sur l’accoudoir. Son poing est fermé et seul son pouce est dressé vers le plafond.
— Remonte ta jupe et viens t’empaler sur mon pouce !
Virginie n’hésite pas un instant. Sa jupe est troussée d’un seul coup. Elle enjambe le bras de Maître FX. Ce dernier l’arrête :
— Présente-moi ton cul !
Virginie pince les lèvres, mais effectue un demi-tour. Elle recule sur l’accoudoir et vient, à tâtons, chercher de son sexe le pouce dressé. Maître FX la guide :
— Ce n’est pas ton sexe que doit enfiler mon pouce, c’est ton cul !
Virginie modifie son assise et présente sa rondelle fripée au pouce. Elle pousse. Sa rondelle se déforme et avale le doigt. Maître FX tourne la main, permettant aux doigts de sa main d’investir le sexe de Virginie. La main se referme sur le bas-ventre féminin offert. Le visage de la jeune femme trahit les mouvements des doigts en son ventre. Elle gémit. Ses dents se plantent dans sa lèvre inférieure. Maître FX se moque d’elle :
— Cher ami, regardez cette gourgandine qui se trémousse sur mon pouce. Elle aime se faire enculer. C’est une véritable petite salope...
Ils rient de la plaisanterie. Je vois sur la table basse du salon des accessoires bien alignés. Il y a un mors, un gros vibromasseur et un plug anal, épais et court. Tous ces ustensiles sont métalliques et brillent de tous leurs éclats. Hormis le mors, les deux autres objets sont posés verticalement. Ils se dressent debout sur la table. L’ensemble apparaît obscène face au raffinement de la pièce. Les deux hommes remarquent notre retour. Maître FX nous adresse la parole:
— Vous voici de retour...
Monsieur le Comte me demande :
— Approche un peu, petite chienne, tu es adorable dans cette tenue...
J’avance vers son fauteuil. Je m’arrête à un pas. Il en profite pour glisser sa main entre mes cuisses et arriver en haut, il me pince à l’intérieur de la cuisse. Je fais un écart de la jambe.
— Toujours aussi douillette...
Puis s’adressant à Maître FX :
— Me permettez-vous de la vêtir comme j’ai envie ?— Elle est à vous...
Anaïs, merci de la mettre en tenue décente pour dîner...
— Viens salope...
Dans un coin du salon, sur une desserte, un sac en papier kraft de grande taille trône. Anaïs en sort une petite robe noire à bretelles fines.
— Enfile ça, cela cachera ton cul et tes nichons...
J’enfile la robe. Elle est très courte et s’arrête très au-dessus de mes genoux. En réalité, elle s’arrête au-dessus de la bande plus sombre de mes bas. Le haut s’accroche à la pointe de mes seins et la découpe dans le dos montre le début de la raie de mes fesses. Anaïs plonge la main dans le sac et sort des bracelets de cuir.
— C’est pour tes chevilles et pour tes poignets.
Elle m’équipe. Chaque fois que je me retrouve harnachée ainsi, le plaisir monte en moi. Je serre les cuisses de joie. Anaïs me ramène vers le centre du salon. Monsieur le Comte s’adresse à moi :
— Chère petite salope, tu ne vas pas manger avec nous sans être contrainte. Oh, rassure-toi, ce n’est pas grand-chose. Regarde sur la table ! Choisis ton accessoire pour le dîner... — Heu...— Tu ne peux pas avoir le mors, alors choisis entre les deux autres...
Le gode est énorme et je me vois mal assise m’enfonçant cette bitte factice dans le ventre.
— Heu, je prends le plug...— Bien, avance, tourne-moi le dos et remonte ta jupe, et penche-toi en avant...
J’exécute les ordres sans broncher...
— Penche-toi plus encore...
Je suis souple et je pose mes mains sur mes chevilles.
— Écarte tes pieds. Et tes fesses avec tes deux mains.
Je suis prête à basculer vers l’avant. L’air de la pièce est frais à ma rondelle. Une sensation de froid sur mon cul me fait frissonner. Un doigt inquisiteur m’enduit le fondement d’un gel gras. Une chance, je ne vais pas être empluguée à sec. Le doigt amorce un mouvement circulaire dans mon anus. L’arrivée d’un deuxième doigt me fait grimacer légèrement. Ils gigotent dans mon trou assouplissant le muscle circulaire. Monsieur le Comte les retire et m’annonce :
— Tu vas t’enfiler toi-même l’ustensile que tu as choisi, sans t’aider de tes mains...— Mais c’est impossible !...— Arrête tes jérémiades, agis...
Je m’approche à reculons de la table. Je m’accroupis et la tête entre les genoux je regarde l’approche du plug vers mon cul. Le premier contact est avec la partie charnue de ma fesse gauche. Je recentre et descends un peu. L’objet froid fait contracter mon anus. Tous les quatre sont suspendus à mon enculade. Cette fois, la partie ronde et légèrement pointue du plug à trouver ma rondelle. J’appuie tout en poussant. C’est gros, très gros. J’arrête un peu pour souffler. Anaïs est passée derrière moi. Ses mains se posent sur mes épaules et appuient fort vers le bas. Le plug entre en force, repoussant les chairs à l’intérieur. Je hurle de douleur. Maître FX me fustige d’un :
— Tu as crié, tu seras punie !
Monsieur le Comte, plus calme nous demande de passer à table. Je me relève. La robe reprend sa place. La marche avec un objet dans le cul est plus malaisée que l’on peut le penser. Je me dandine en avançant. Virginie sourit et me lance :
— Alors on marche en canard...
Monsieur le Comte tire la chaise pour m’offrir l’assise. Je le remercie d’un regard. Mais pour s’asseoir, c’est une autre paire de manches. Le plug appuyé par le fond de la chaise me pénètre encore plus à fond. Je grimace. Maître FX me demande :
— Quelque chose vous gêne, chienne ?...— Non Maître, rien...
Virginie sert les plats. Chaque passage auprès d’un des deux hommes la gratifie d’une main chaude. Elle roucoule de plaisir. Pour moi, je me dandine d’une fesse sur l’autre. J’essaie ainsi de limiter l’inconfort du plug qui m’écartèle l’anus. Le repas se passe malgré mes douleurs anales. Nous retournons au salon. Je reste debout au milieu de la pièce. Anaïs attache mes poignets entre eux et m’oblige à m’agenouiller. Debout face à moi, Monsieur le Comte sort son sexe déjà en érection.
— Je vais maintenant baiser ta bouche.
Joignant le geste à la parole, il m’empoigne par les cheveux et force brusquement ma bouche. Il enfonce son sexe jusqu’au fond de ma gorge. J’ai un haut-le-cœur quand il bute contre ma luette. Il va et vient dans ma bouche. Il alterne mouvements rapides et lents, petites entrées et profondes embouchées. Mon rouge à lèvres dépose sur sa hampe des traînées rougeâtres mêlées de salive. Il retire son sexe de ma bouche et demande à Anaïs :
— Anaïs, serais-tu assez gentille pour mettre cette charmante petite salope en tenue...— Bien sûr, Monsieur le Comte...
Elle approche de moi.
— Mets tes mains derrière ta tête, et ne bouge pas...
Elle sort de derrière son dos un couteau très long et très effilé. Elle glisse la lame sous la première bretelle et tire en arrière d’un coup sec. La lame tranche sans aucune difficulté le tissu. La même manœuvre se répète sur l’autre bretelle. La situation est un peu angoissante mais elle m’excite. Mes pointes de seins se dressent et ce sont elles qui gardent ma robe retenue. Anaïs crochète son index dans mon décolleté. Elle me regarde droit dans les yeux. Une lueur de sadisme brille dans ses magnifiques taches. Elle tire un peu. La conséquence est immédiate. Le chiffon qui m’habillait choit à mes pieds. Monsieur le Comte s’adresse à moi :
— Je t’avais promis une punition, tu vas la recevoir. Mais pour ça, Anaïs va t’équiper correctement.
Elle va chercher sur la table, le dernier objet de torture. Elle me place le mors en bouche. Elle me l’enfonce le plus profond possible. Elle serre très fort les lanières. J’ai mal. Le mors déforme ma bouche et tire sur les commissures de mes lèvres. Je peine à avaler ma salive. Monsieur le Comte s’approche de moi et me parle :
— Je t’avais promis une correction, je vais te la donner.
Il me montre un martinet. Les fines lanières de cuir courent dans la paume de sa main. J’ai peur, je frémis, ma crainte doit se lire dans mes yeux vu qu’il me dit :
— Es-tu d’accord à être corrigée ?
J’hésite à répondre.
— Heu, un peu...— Comment cela "un peu" ? Je vais te corriger comme tu mérites de l’être, pose ta tête sur le tapis et garde tes fesses hautes...
Je ne sais pas quoi faire. Anaïs me pousse dans le dos. Je tombe sur une épaule pour éviter de me cogner le visage.
— Tiens-toi bien. Ecarte tes cuisses.
Je corrige ma position, avant d’être corrigée moi-même. Maître Fx intervient dans le jeu.
— Le spectacle est charmant, si tu pouvais te voir, Chienne, tes grosses fesses écartelées et au milieu ton trou du cul défoncé par un plug, c’est risible...
Monsieur le Comte commence par un premier coup léger, presque une caresse. Il connaît la résistance des femmes aux corrections. Les fouettées suivantes montent en gamme, de plus en plus forte. Le martinet choisit alternativement la fesse gauche et la fesse droite. Je geins dans ma bouche et des grognements trahissent ma douleur et mon plaisir. Monsieur le Comte est renseigné de la qualité de la correction par mes cris étouffés. Le dernier coup, je n’ai pas compté exactement le nombre que j’ai reçu, me cingle au niveau du sexe. Les lanières souples ont épousé soigneusement les formes de mon sexe. La brûlure est très cuisante. Mon ventre se contracte face à la douleur. Mais aussitôt, le plaisir arrive et me transcende. Monsieur le Comte se place face à moi. Il me retire mon bâillon. Je fais fonctionner ma mâchoire pour effacer les courbatures dues au mors et m’interroge :
— Alors, chienne, as-tu aimé ta correction ?
Je reprends ma respiration...
— Réponds, petite esclave soumise...
Ma mâchoire est encore douloureuse. Je hoche la tête en signe d’accord. Le ton monte :
— Réponds ! Je n’ai pas entendu.— Oui Maître, j’ai aimé...— Tu as aimé, un peu, beaucoup...— Oui Maître, j’ai aimé, beaucoup...— Si tu as beaucoup aimé, il faut en redemander !— Oui, Maître, donnez-moi encore le martinet...— Comme tu me le demandes si gentiment, je vais accéder à ta requête. Combien penses-tu en recevoir, sans crier ?— Je ne sais pas Maître, choisissez-vous même le nombre, mais je ne te place plus le mors et je ne veux pas un seul cri, compris petite esclave...— Oui Maître. Je veux bien...
Il me fouette très fort dès le premier coup. Je fuis devant la douleur. Mon cul cherche à éviter le prochain. Je me mords les lèvres pour ne pas crier. Les larmes me montent aux yeux. Les coups pleuvent. Je ne peux retenir mes pleurs et je cède. Les larmes inondent mes joues, diluent mon maquillage. Je vais être horrible. Les coups continuent. Je suis secouée par mes sanglots. La punition arrête. Malgré mes larmes, je suis fière de moi, je n’ai pas crié. J’ai résisté à l’envie de hurler ma douleur. Pendant quelques minutes, le silence couvre la pièce. Pas un mot rien ! J’ouvre les yeux. Je vois Maître FX affalé dans son fauteuil les cuisses écartées, le pantalon sur les genoux et Virginie s’activant sur sa bitte. Dans l’autre fauteuil, c’est Anaïs qui soulage Monsieur le Comte de la même manière. Les bruits gluants de succion troublent le calme apparent du salon. Je suis contente, je récupère. Je ferme les yeux. Un bruit me fait ouvrir les yeux. Les hommes se lèvent. Ils se positionnent face à moi
— Lève-toi...
Je me redresse avec difficultés. Se relever avec les mains attachées dans le dos n’est pas évident. Virginie me saisit par ma chevelure et tire. Je crie. J’ai horreur que l’on me tire les cheveux. Maître FX m’apostrophe.
— Chienne, tu nous as fait prendre notre plaisir, nous t’en remercions, mais nous sommes bien bons avec toi, nous allons te faire prendre ton plaisir toi aussi...
Les deux hommes s’installent en face de moi. Virginie et Anaïs les encadrent. Elles prennent en main les queues et commencent une lente masturbation. Les glands sont à quelques centimètres de ma bouche. J’ouvre grand ma bouche pour recevoir leur semence. Ils veulent se vider les couilles dans ma bouche. Je vais les satisfaire. Je vais les boire. Je jouis par avance du plaisir que je ressens dès qu’un homme se vide sur ma langue. Ma chatte me trahit. Elle se liquéfie. Les mains se font plus rapides sur les membres violacés. Virginie m’ordonne :
— Ouvre les yeux et ferme la bouche ! Tu as l’air d’une cruche la bouche grande ouverte, tu attends l’hostie ?
J’obéis. Les glands carmin sont face à mon visage. Les rythmes des mains se sont accélérés. Ils luisent de leurs sécrétions. Maître FX commence à geindre le premier. Anaïs est une excellente masturbatrice. Mais Monsieur le Comte lui aussi commence à souffler très fort. Simultanément, la jouissance m’emporte les deux hommes. Virginie me rappelle l’ordre :
— Garde ta bouche fermée !
Ils éjaculent sur mon visage. Les jets de foutre s’écrasent sur mon visage et mes cheveux. Cela ne s’arrête pas. J’en ai partout dans les yeux. Cela me pique un peu. Les jets se tarissent. Ils terminent leurs courses sur mes seins.
— Je suis couverte de sperme.
Virginie et Anaïs se mettent à genoux devant les deux hommes et les embouchent. Elles les sucent, les pompent récoltant les dernières gouttes de sperme. Je n’ai droit à rien. Elles les nettoient soigneusement et les habillent. Je n’ai eu droit à aucune décharge de semence. J’en pleure. Je suis humiliée. Monsieur le Comte me parle doucement :
— Tu es une vraie chienne, nous ne te ferons pas jouir ce soir...
Il s’adresse à Virginie :
— Reconduis-la à sa chambre, laisse-lui les mains attachées dans le dos pour qu’elle ne se donne pas de plaisir cette nuit...— Bien Monsieur le Comte
Virginie attache ma laisse et me conduit dans ma chambre. Elle me pousse sur le lit et s’en va. La lumière s’éteint. Je suis crevée. J’aurais bien pris une douche, mais je n’y ai pas droit. Je m’endors comme une masse.
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