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Gilette

Chapitre 3

Lesbienne
J’ai failli tromper Gilette avec un garçon. Depuis que je suis avec elle, il me semble qu’il me manque quelque chose, sans pouvoir dire quoi exactement. Il m’arrivait, avant, de me faire baiser et me faire mettre le gode dans le cul. J’ai eu envie de renouveler une fois ce plaisir de la double pénétration. Une fin d’après midi, Gilette était absente, je me trouvais assise à coté d’un jeune de mon âge, mignon au possible. Je le voyais se tripoter la bite sans cesse, comme s’il se branlait. Il m’a donné envie de baiser.Et puis a surgi le visage de celle que j’aime, sans le lui avoir encore dit. Je me suis reprise de justesse au moment ou j’allais poser ma main sur la bite. J’ai simplement mis la main entre mes jambes resserrées pour ne pas succomber. En rentrant chez moi, le soir, ma voisine/amante n’était pas revenue de chez ses parents. Je ne l’ai revue que le samedi soir. C’est notre jour, depuis un bon moment. Comme il ne fait pas chaud, elle a mis son chauffage pour être à l’aise, nue. C’est bon de la retrouver, de la serrer dans mes bras, de l’embrasser sans fin. J’aime quand nos seins se touchent et se caressent. Moi, j’adore passer mes mains sur ses fesses. J’aime tellement son cul que je ne résiste jamais à le branler comme elle aime. Depuis deux fois, nous nous fistons le cul, justement pour notre plus grand bonheur. Je garde un mauvais souvenir de la première fois où elle a entré toute sa main dans mon anus. J’ai eu un mal de chien, heureusement compensé par le plaisir trouble que j’ai ressenti ensuite, surtout que je me masturbais. Nous nous étions munis de gants en latex, comme nous en avons à la fac de médecine. Je suis capable « d’avaler » dans mon cul bien plus gros que la première fois. J’en entre aussi gros dans celui de Gilette. Nous devenons de plus en plus amorale, dépravées, et pourtant toujours parmi les meilleures élèves de notre groupe. Nous ne cherchons que les plaisirs extrêmes, à croire que nous lisons uniquement des livres pornos inventés.Dernièrement, nous avons acheté, dans un sex-shop, divers petites gadgets qui nous servent bien : des boules de geisha qui nous maintiennent toujours prêtes à baiser, des pinces pour les tétons, agréables et excitants dès qu’on sait s’en servir, et surtout un double gode. Ce gode est notre chouchou. Nous finissons souvent nos samedis soirs avec lui, juste avant les fists nécessaires à l‘une et à l‘autre. Nous le prenons, l’une ou l’autre, pour le mettre dans un de nos deux trous, avant de le mettre dans l’autre ventre. Nous nous mettons en levrette, fesses contre fesses pour nous baiser ensemble. Au début de la baise, nous le faisons aller et venir avec une main pour ensuite nous contenter amplement des mouvements de va-et-vient. Nous ne nous ratons jamais pour obtenir deux orgasmes simultanés. Gilette me demande souvent d’arrêter un instant pour reprendre notre souffle. Nous nous couchons la tête aux pieds pour la fin, pour nous fister ensemble le con. Nous sommes des habituées du fisting. C’est notre dessert. Il faut bien dire que nous ne recommencerons pas avant le samedi suivant.Et puis, le temps passe. Nous passons les concours voulus pour nous spécialiser. Nous devenons internes dans le même hôpital, dans deux services différents. Nous pouvons nous arranger pour baiser une fois par semaine. Nous finissons par sortir, après plus de 9 années d’études du milieu hospitalier pour nous installer ensemble dans une ville moyenne comme gynécologue. Bien sûr, notre début est difficile, la clientèle rare. Petit à petit, nous avons enfin les patientes qui viennent de plus en plus nombreuses. Mais la vue, sans cesse, de sexes de femmes nous donne envie d’aller plus loin que la simple visite avec les spéculums. Il faut dire que certaines femmes sont fort sexy et désirables.Le premier dérapage a été le fait de Gilette à qui une patiente, après la recherche dans son sexe, avait une envie folle de jouir. Pour une femme médecin, c’est simple à deviner rien quand regardant la cyprine sourdre du vagin. Machinalement, Gilette a touché le clitoris. La patiente s’est ouverte dans l’attente du plaisir que, finalement, après réflexion, lui a donné Gilette. Pour parachever son œuvre, elle lui a donné rendez-vous pour le lendemain, en fin d’après-midi, tard. Bien sûr, Gilette, excitée de ce qu’elle a fait, m’en parle le soir. Nous faisons l’amour en nous finissant au gode dans le cul pour moi, dans le con pour elle. Puis nous avons décidé de satisfaire les clientes qui le demanderaient, nous satisfaire avec elles, également. A partir de cette époque, nous avons vu se développer notre clientèle. Certaines patientes avaient besoin de soins, d’autre n’avaient qu’un seul souci en tête, faire l’amour avec une femme. C’est d’ailleurs invraisemblable le nombre de femmes qui découvrent ainsi un plaisir nouveau.Nous nous arrangeons pour participer à deux pour ce genre de distraction, nous aimons trop les femmes. Nous avons ainsi convaincu une jeune de 18 ans de baiser en lesbienne plutôt que se donner comme elle le faisait avec une foule de garçons de son âge qui ne lui apportaient pas le plaisir demandé, qu’elle n’obtenait que par la masturbation. Elle a commencé à nous montrer comment elle se branlait. Voir cette adorable jeune fille couchée sur la table d’examen, les pieds dans les étriers, les jambes bien ouvertes, le sexe mouillée de désir, sa main gauche écartant le haut des lèvres, sa main droite avec deux doigts frottant le bouton, était des plus torrides. C’était moi qui la soignais, j’ai appelé Gilette pour qu’elle aussi regarde. Je connaissais déjà sa réaction, comme le mienne. Nous nous sommes mises nues, de chaque côté de la fille, nos mains sur nos chattes. Nous l’avons accompagnée jusqu’à son orgasme. Puis, ceci ne nous suffisant pas, nous nous sommes gougnottés devant elle. Nous étions sur le tapis, en 69, pour nous faire jouir. La jeune a tenu à participer à sa façon. Je me suis retirée pour lui céder la place. Pour sa première fois, elle avait une chance extraordinaire de se faire faire l’amour par Gilette. J’étais tout près, je voyais tout, y compris le cul de la demoiselle. Je n’ai pas pu retenir ma langue. J’ai léché son anus, j’aime ça et j’ai entré un doigt, un seul dans le cul. Je lui défonçais à peine l’anus. J’allais et venais librement dans son rectum. Je venais devant le couple pour voir ce qu’elle faisait à Gilette. Elle se débrouillait comme si elle avait appris tout depuis longtemps.Elle n’arrêtait pas de demander des « encore », tels qu’elle a passé une bonne partie de la nuit avec nous.Le pire ou le mieux, selon le principe où on se place, est qu’elle vit avec nous comme bonne à tout faire, son métier d’origine, bonne et amante de deux lesbiennes reconnues puisque pacsées
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