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Gisèle et Jo

Chapitre 1

Orgie / Partouze
Les enfants sont chez leur grand-mère, qui sait pourquoi nous les lui avons confiés. Bien sûr, nous ne lui avons rien dit. Allez camoufler à votre mère que c’est simplement pour avoir la paix et baiser tranquille ! Elle les accueille en souriant, d’un air entendu. Elle devait faire pareil à son époque.Gisèle est contente, nous allons pouvoir baiser longuement, comme avant, sans être dérangés par un loupiot à qui il manque une histoire débile de princesse ou d’espace selon l’âge. Ce soir elle décide que c’est un grand jour. Elle a acheté des petites choses dans un magasin pour être aguichante, c’est en tout cas ce qu’elle affirme.Je me suis arrangé avec une de ses copines qui viendra sur le coup de 23h nous déranger, depuis le temps qu’elle veut baiser avec une autre fille. Jo, je le sais, n’est pas ce qu’on pourrait appeler une fille sérieuse. Elle aime trop la baise pour s’attacher à un être humain. Gisèle n’est pas du tout au courant, la surprise sera plus forte encore. Nous allons dans un restaurant réputé où j’ai retenu les deux places, en prévenant que je voulais avoir fini au plus tard à 21 heures. Repas, vins fins, serveurs bien formés. Nous nous en mettons jusqu’à la gargamelle. Enfin seuls chez nous, elle file dans la chambre pour en revenir avec son attirail de femme fatale. Je vois une femme totalement différente. Elle est en bas, avec une ceinture pour les tenir, un slip mini en dentelle qui montre plus qu’il ne cache. Ses seins sont prisonniers de dentelles transparentes. Je remarque aussitôt qu’une tache suspecte est sur son slip. Elle mouille déjà. En plus elle me fait un effet qui ferait bander un âne, ce que je fais. Elle vient près de moi, me prend dans ses bras, m’embrasse comme rarement. Nos langues se connaissent pourtant. Mais aujourd’hui est spécial, une nuit d’amour nous attend, la première depuis longtemps. Elle a prévu ce que nous devrions faire : nous sucer, nous baiser, faire une incursion dans son cul, me lécher l’anus, me sucer totalement avant de tout recommencer.Mes mains s’occupent pour le moment d’enlever le soutien-gorge. Ses seins me sautent à la figure. Je les prends dans ma bouche pour les lécher à peine, les sucer beaucoup. J’aime les sentir grossir dans ma bouche.Pendant que ma bouche est occupée, et bien, par les seins, mes mains s’occupent maintenant de la partie médiane de l’individu. Je cherche la raie des fesses. Une fois trouvée, je passe lentement un doigt dans cette voie agréable. Je fais comme si je ne trouvais pas ma cible. Elle remue assez pour que mon doigt aille bien sur l’anus. Gisèle commence sa ritournelle en geignant. Juste le bout du doigt entre dans l’anus. Son cul s’écarte pour laisser le passage. Je peux y entrer facilement. Mon autre main fait le détour par devant : en écartant la culotte, je passe sur sa fente. Il me semble qu’elle est plus mouillée que les autres fois. Je ne fais que passer entre ses lèvres pour aller vers son clitoris. Sa culotte rejoint au sol mon pantalon, mon slip et ma chemise. Je suis plus nu qu’elle. Elle ne se gêne absolument pas pour prendre ma bite à pleine main pour me branler. Elle est plus lente que d’habitude : nous avons le temps. Elle ouvre en grand ses cuisses :"Baise moi.— Si vite ?— Oui, j’en crève d’envie, je me suis même branlée tout à l’heure. Baise moi."Quand une femme me demande ce genre de service, je ne refuse jamais. Elle vient sur moi, monte sur mon ventre. Je la regarde faire quand elle prend ma bite. Elle la place à l’endroit voulu. Qu’est-ce qu’elle est mouillée ! Elle se laisse aller sur mon ventre. Je vois et sens ma queue entrer dans son ventre. Je glisse à l’intérieur d’un con totalement excité. Je sens la douceur inégalée de son intérieur. Elle se lime seule, elle ne pense plus qu’à elle. Je la sens se raidir un instant. Son orgasme dure longtemps. J’ai au moins la chance de ne pas jouir. Elle me garde planté dans son sexe quand nous entendons frapper à la porte."Ce n’est rien, pour te faire plaisir j’ai demandé à ta copine Jo de venir pour faire l’amour avec toi."Elle ne me croit pas, elle se lève à contre-cœur ouvrir la porte dans la tenue d’Eve. C’est bien Jo. Il n’y a pas de surprise. Sauf que Jo embrasse ma femme sur la bouche. Gênée au début, Gisèle répond au baiser. Je commence à rebander. C’est Gisèle qui entreprend de déshabiller sa copine. J’assiste à l’opération toujours en bandant. Jo à son tour caresse le corps de ma femme. Elle est derrière elle, le pubis contre les fesses, sa touffe contre le bas des reins. Les seins sont la proie des mains de Jo. Il faut croire que c’est agréable rien qu’en regardant les yeux de ma femme, fermés totalement pour mieux profiter. Je me lève à mon tour pour me coller de l’autre coté de ma femme. Elle me sent bander : elle prend ma queue pour me soulager. Je refuse d’aller au bout, par contre, je ne me gêne pas pour la masturber lentement, aidée pas Jo. Gisèle jouit de sa position. Elle jouit tout court quand Jo fini de la branler. Les deux femmes m’entourent sur le lit. Leurs mains courent sur tout mon corps. Je n’échappe pas à une nouvelle masturbation. Cette fois, je ne sais pas qui me fait jouir : je jouis simplement. Je sens les deux bouches se disputer ma semence. Je suis hors-jeu. Elles en profitent pour s’aimer entre filles. Jo a mis ma femme presque assise, les cuisses écartées contre son sexe. Les voilà faisant un mouvement qui ne tarde pas à les mener à l’orgasme simultané. Elles s’entendent drôlement bien, mieux que ce que j’espérais. Elles changent de position pour adopter le 69. Ca me fait drôle de voir ma femme sur Jo. Elle la lèche normalement, comme si elle en avait l’habitude. Ce que je regarde actuellement c’est que son cul est libre, même si elle a mis deux doigts dans le cul de Jo. Je ne peux tenir davantage. Je l’encule lentement. Si elle se plaint, ce n’est que de plaisir. Ma queue coulisse bien dans son anus. Je sens mes couilles battre sur quelque chose, le visage de Jo. J’annonce que je vais jouir. Ma queue sort du cul de ma femme. C’est la bouche de Jo qui sert de réceptacle : tout mon sperme entre dans sa bouche. Par obligation je me retire, en laissant les deux ménades s’aimer. Jo change de façon de faire, elle sait tout faire. Elle fait écarter les cuisses de ma femme au maximum. Elle entre lentement tous les doigts d’une main dans le vagin. Elle force un peu pour tout mettre jusqu’au poignet. Je regarde le visage de Gisèle qui est dans la pure transcendance. Elle jouit sans fin. Elle s’écroule en demandant à Jo de partir, de revenir un autre jour, une autre foisNous restons seuls pour finir la nuit. Je n’ose pas la baiser encore. Il me semble que venir après un exercice comme elle a eu, je dois aller ailleurs. Nous passons en 69. Sa langue et ses lèvres n’ont rien perdu en agilité. Ma langue non plus. Nous reprenons comme si Jo n’était pas venu alors que Gisèle a pris un pied monumental. Ce que je sais c’est qu’elle jouit deux ou trois fois encore, juste avant que je lui donne sa récompense : une dose de sperme.
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