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Gisèle, le retour

Chapitre 1

SM / Fétichisme
Gisèle, du haut de ses 64 ans, commençait à être connue dans le milieu.
Le succès de  Clarisse, son nom de scène dans «Mamie dans la tournante », lui permit d’entrevoir d’autres propositions. Déjà, il y avait « Granny productions » qui se tenait prêt à la faire tourner, dans tous les sens du terme.  Toujours 1M65 et 50 kgs, son allure adolescente en totale contradiction avec son âge, son corps parfaitement entretenu par le fitness plaisaient énormément.
Elle retourna chez  Blanquart pour refaire son pressbook. Elle voulait faire plusieurs sets de photos  et lui demanda conseil.  Le photographe lui conseilla, en amont des clichés, de « personnaliser » davantage son corps comme il disait. Ce que faisaient beaucoup de stars du porno, certes beaucoup plus jeunes qu’elle. Elle devait avoir une allure spéciale qui attirerait l’oeil. Il lui conseilla de tirer profit de son anatomie frêle en l’exagérant. Il lui dit également que le créneau plus rémunérateur sur le marché était celui du fétichisme.
Elle décida de tailler ras ses cheveux gris et de se faire épiler la chatte comme les pros. Puis elle prit  sur ses économies et alla voir un tatoueur. Celui-ci lui grava un « Clarisse » autour du sein gauche,  avec un C assez imposant, lettrage style Coca Cola. Elle eut également recours au piercing . Elle portait maintenant un petit anneau d’or au dessus du clitoris et deux autres en travers des tétons. Elle décida aussi d’entamer un régime strict, modèle mannequin,  pour modifier son apparence . Au bout de quelques semaines ses joues s’étaient creusées, ses seins avaient quasiment disparus, ses côtes et ses hanches saillaient, son ventre était totalement creux et elle pouvait passer quatre doigts entre le haut de ses cuisses.  Ses fesses étaient devenues plates et les dernières vertèbres apparaissaient au dessus de son anus qui semblait plus large et plus enfoncé qu’auparavant.
C’est ainsi qu’elle retourna voir Blanquart. Celui-ci la félicita pour son allure et fit plusieurs sets de photos, chaque fois habillée, déshabillée, style « Avant, après ». il lui conseilla de créer un site payant et de mettre en ligne plusieurs clichés pour appâter le chaland. Comme elle n’était pas experte, il la renvoya vers un pro. Un mois après « Skinny Clarisse, la mamie maigre » était opérationnel. Il proposait  plusieurs sets où on voyait Gisèle en mariée, en pute, en avocate et bien d’autres  tenues. Bien sûr il fallait payer pour la voir se dénuder progressivement. Elle proposait aussi des séries sur mesure pour qui était prêt à y mettre le prix. Chat privé avec webcam  également, son business s’organisait progressivement. La plupart des demandes réclamait des mises en scène dans des tenues cuir ou latex. Blanquart avait eu raison.
La demande évolua, accessoires SM, mise en scène avec d’autres personnages. Gisèle décida de suivre le marché, sa retraite de fonctionnaire représentait maintenant son argent de poche. Elle contacta « Granny Productions » qui moyennant quelques sous, lui donna la liste de quelques acteurs et actrices qui pouvaient correspondre aux souhaits exprimés par ses clients. Elle fit ainsi plusieurs séries avec Marion, une jeunette de 18 ans bien gironde, qu’elle intitula « Clarisse incestueuse ». Pour 15 euros on la voyait, professeur,  se dessaper progressivement avec son élève dans une salle de classe, puis se toucher conjointement avant de se lécher dans un 69 sur mesure.
Suivirent «Clarisse et la Milf » avec Julie, une comparse de 45 ans, aux formes bien plantureuses où les deux se retrouvaient par hasard dans deux cabines d’essayage contiguës.  On en venait rapidement aux mains. Julie refusait les avances de la vieille avant de céder rapidement. Le lesbien se vendait bien. D’autres demandes affluaient dans ce sens. Gisèle dégota alors Marytsa. C ’est avec elle que le site explosa. Marytsa venait d’Ukraine et vivotait sous un statut de réfugié batard.
Elle avait 70 ans. Des cheveux maintenant plus blancs que blonds en tresse des yeux bleus. Surtout elle mesurait 1M85 pour 80 kilos. Des seins énormes, une croupe redoutable. Le contraste était saisissant avec la maigreur de Gisèle. Quand elles se pointèrent chez Blanquart, celui-ci connaisseur, dit à Gisèle, que « Ce truc là, çà allait marcher ! » Marytsa se retrouva vêtue en soubrette  tandis que sa maîtresse, Clarisse/Gisèle émargeait en femme du monde. Le succès de « Clarisse patronne » fut immédiat. D’autres demandes émergèrent concernant le duo. Il y eut « Clarisse au sauna », « les deux copines ». bref en tout une dizaine de scènes qui cumulaient les « likes ».
L’apogée fut « Les fantasmes de Clarisse». Là, les deux femmes habillées de cuir se soumettaient alternativement l’une à l’autre avec force caresses buccales et doigtés profonds. Ce fut le point de départ d’un nouveau chapitre. Les voyeurs insatiables de «  La mamie maigre » réclamèrent un film dans ce registre. Gisèle contacta alors « Granny productions » pour un remake plus hard et cette fois-ci animé des « Fantasmes de Clarisse».
On loua l’officine d’un maître du SM et le tournage commença. Clarisse découvrait la soumission entre les mains de Marytsa. Après une courte interview où l’ukrainienne lui posait toutes sortes de questions sur sa sexualité dans un français exotique, on rentra dans vif du sujet. La grosse l’obligea à se déshabiller, l’aidant nerveusement quand ça n’allait pas assez vite en la traitant de « vieille chienne» . Puis Marytsa lui fit mettre les mains sur la tête et se présenter les jambes écartées. Après lui avoir fourré sa langue dans sa bouche, elle passa derrière Gisèle et la pétrit du haut en bas de ses grosses pognes masculines. Elle s’était maintenant fixé sur les tétons de Clarisse qu’elle tiraillait dans tous les sens, les tordant sur eux-mêmes. Les anneaux des seins étaient fort pratiques pour accentuer la manœuvre. Clarisse/ Gisèle se mordait les lèvres en attendant que l’orage passe. S’en suivit une séance de badine où la slave zébra tour à tour avec force les seins, le ventre, les cuisses et les fesses de Gisèle. Les jambes bien écartées celle-ci reçut pour finir quelques coups bien ajustés sur ses grandes lèvres. Coupure.
Gisèle souffla un peu car les coups n’étaient pas simulés. Certains avaient laissé des traces sur sa peau et elle se passa de la Xilocaine pour atténuer les brûlures. La séance reprit. Marytsa lui attacha des poids aux mamelons par l’intermédiaire des anneaux  et l’obligea à se balancer d’avant en arrière pour étirer les tétons. Elle renouvela l’opération avec des pinces posées sur le sexe de Gisèle, poids plus lourds cette fois. Les grandes lèvres saillirent de plusieurs centimètres entre les cuisses maigres de la sexagénaire, qui dût se livrer à quelques flexions  sous les invectives et les claques de la grosse.
La dernière étape fut celle du tabouret. Gisèle la chatte et les mamelles toujours distendus par les poids dut s’asseoir  cuisses écartées, sexe offert, sur le fameux tabouret. Il avait une particularité : évidé sur le devant il comportait un mécanisme à bascule qui permettait en appuyant avec ses pieds de faire monter et descendre  verticalement sur une trentaine de centimètres toutes sortes de godes fixés sur le support prévu à cet effet. Gisèle s’installa tandis que Marytsa choisit dans la panoplie qui s’offrait à elle un phallus noir totalement hors normes de par sa taille et son diamètre ; c’était la réplique d’une bitte de cheval. Gisèle dut se lever pour que la grosse arrive à fixer l’objet sur son support. Le braquemart dépassait largement du tabouret en position basse. Gisèle plia les genoux pour approcher  progressivement l’objet de sa vulve. Elle se frotta lascivement sur le gland de latex pendant quelques instants puis essaya de le prendre. Marytsa guidait de ses doigts le mastodonte sur la fente de l’anorexique tandis qu’elle la branlait, crachant épisodiquement sur sa vulve.
C’était trop gros! La grosse le constata rapidement. Enduisant sa main de vaseline elle massa avec vigueur l’entrecuisse de Gisèle, puis continua son effort à l’intérieur du vagin faisant pénétrer autant de lubrifiant qu’elle pouvait. Finalement elle barbouilla abondamment la tête du gode de matière. L’exercice reprit . Gisèle amena sa vulve contre le gland artificiel  et se laissa descendre millimètre par millimètre. Marysta tira sur les pinces qui tenaillaient toujours les grandes lèvres de Gisèle. Elle les écarta au maximum pour favoriser le passage. Gisèle suait à grosses gouttes, ses chairs distendues au maximum. La bitte artificielle bloquait encore, puis les muscles cédèrent. Sous la douleur Gisèle se mit à se pisser dessus. Le liquide se répandit partout. « Mamie maigre » s’ouvrait progressivement . Elle arriva à poser ses fesses sur le siège du tabouret et souffla une peu. Sa vulve avait ingurgité une dizaine de centimètres de plastique. L’énormité de l’objet contrastait avec la maigreur du sujet. Gisèle posa ses pieds sur les pédales, ce qui poussa le gode vers le haut. La pénétration reprit. La grosse appuyait fermement ses pognes sur ses épaules pour la pousser vers le bas. Les cuisses et le bas ventre de Gisèle tremblaient fortement. Elle enfourna quelques   centimètres supplémentaires et sentit le gode butter sur son utérus. La taille du machin était si démesurée qu’il lui était impossible d’entamer le moindre va et vient. Elle était littéralement empalée sur le braquemart.
Marytsa lui menotta les mains dans le dos, lui attacha les chevilles aux pieds du tabouret et dégota une cravache. Après avoir retiré les poids des seins, elle entrepris de lui lacérer méthodiquement le torse ; le cuir laissait à chaque coup des stries rougeâtres. Gisèle pleurait.  Sa maigreur accentuait sa souffrance. Gisèle hurlait. La grosse lui colla un ors entre les mâchoires et continua son ouvrage. Le plus terrible était quand le fouet venait à atteindre la chair tendre d’un mamelon. C’était comme une décharge électrique. La grosse sadique s’en rendit compte et redoubla de précision. Des gouttes de sang perlaient maintenant et coulaient le long du buste de Gisèle. Ne sachant que faire elle se releva d’un coup et accoucha ainsi du monstrueux phallus. C’était toujours ça de moins mais, entravée comme elle l’était, elle ne pouvait se soustraire à la cravache. La séance dura encore une dizaine de minutes. Après avoir travaillé son ventre, ses cuisses et ses fesses, la grosse perverse finit en lui fouettant l’intérieur des cuisses. Les  chairs tendres se boursouflaient progressivement. Au dixième coup Gisèle secoua vivement la tête pour signifier à la grosse d’arrêter. Ce qu’elle fit. La vulve de Gisèle était violacée et tellement gonflée qu’elle saillait maintenant au travers des cuisses.
Le film connut un succès énorme sur plusieurs semaines. C’est à peu près le temps qu’il fallut au corps de Gisèle pour éliminer les stigmates du tournage. Secouée dans tous les sens du terme, elle se donna quelque répit avant de poursuivre son entreprise.
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