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Le gîte

Chapitre 5

plat et dessert

Orgie / Partouze
Je ne ferais pas le déroulé du repas, je ne pense pas que le menu soit votre principale préoccupation. J’ai fait le même service que pour l’entrée et vous vous doutez bien que ce n’est pas ma poitrine qui fut offerte mais mes fesses et ma chatte.

Bien sûr, Nadine n’a pas pu s’empêcher de me toucher les fesses et la chatte pour faire remarquer à tout le monde que j’étais déjà humide.
— Sous tes airs sages, tu es quand même une petite salope. Regarde comme tu es mouillée, en ponctuant ses mots avec des pressions sur mon bouton.
Je ne souhaite pas répondre mais je ne peux pas m’empêcher de bouger sous ses doigts inquisiteurs.
Comme pour l’autre plat, mon mari et André ne profitent pas plus que cela de la situation. Par contre arrive le tour de José. Il me fait poser le plat sur le bord de la table et poser mes mains pour que je me cambre à côté de lui. Il palpe mes fesses comme s’il éprouvait leur plasticité puis les ouvre avec ses mains. Je ne ressens pas la même chose suivant les personnes même si elles me font les mêmes caresses. José m’inspecte plus qu’il ne me caresse, je suis vraiment mise à nue et en plus devant mon mari qui n’ose pas me regarder. Puis il se penche et commence à me lécher...non pas la chatte mais directement sur mon anus. Il pousse avec sa langue, se retire et me mords un peu pour mieux revenir sur mon petit trou. Alors que je ferme les yeux, je sens une main qui vient me pincer un téton, et je ré-ouvre les yeux avec un gémissement.
Ce n’est que pour mieux voir que Nadine est train de sucer mon mari, en voyant sa tête aller et venir au niveau de la table.
Comme pour l’entrée, Maïté donne le tempo et demande de m’asseoir à ma place pour que nous puissions manger le plat. Les discussions vont train et quelques mains s’égarent.
C’est alors que Nadine demande à boire.
— Patrick, c’est une affaire d’homme, tu pourrais faire le service pour servir les verres à tout le monde !— Euh oui, pas de soucis, si cela vous fait plaisir bredouille t il en se levant.— Eh mais attends, tu dois le faire comme ta femme !
Elle se lève alors, passe derrière lui pour lui ôter son polo. Il ne dit rien et se laisse faire. Puis elle se colle contre lui pour baisser son bermuda, qui était déjà déboutonné, avec un sourire carnassier. Elle baisse le tout d’un coup sec et son caleçon vient aussi, pour nous faire découvrir une belle érection.Elle se rasseoit et au moment ou Patrick finit de la servir, elle lui empoigne le sexe. Elle commence à le masturber lentement pour le décalotter entièrement. Elle le plaque contre elle sur le côté et montre à la table le sexe raide.  Elle prend ensuite ses bourses à pleine mains pour tirer dessus et les remonter. Sa caresse est à la fois lente mais ferme.Je vois que Patrick se mord les lèvres, certainement par gène mais aussi sous le plaisir.
-Tu as aussi un petit cul dis donc avec ta petite bite !
Le pauvre rougit jusqu’aux oreilles ne sachant pas si c’est un compliment ou non.
Mais elle n’a pas dit son dernier mot, son autre main libre plonge dans sa raie et commence un lent vas et vient à ce que je peux deviner du mouvement de son bras. Il est pris en étau avec la main qui l’ouvre derrière et l’autre main qui l’emprisonne à la base de sa queue et ses couilles comprimées. Elle lui fait faire face pour lui donner un coup de langue.
-Tu es tout à moi mon beau, tu vas voir on va bien s’amuser !
Il n’a pas le temps de répondre qu’elle l’embouche entièrement. Sous l’effet, il ouvre la bouche en penchant la tête en arrière. Satisfaite de l’effet qu’elle lui procure, Nadine se retire et mouille avec sa bouche le majeur de sa main gauche, tout en regardant chaque personne de la table avec un petit sourire en coin.Elle veut que tout le monde sache et comprenne ce qu’elle va faire. Elle re-mouille son majeur et vient le glisser dans la raie de Patrick. Celui-ci grimace mais je ne sais pas si c’est de douleur ou de plaisir, peut-être les deux...
Il est maintenant face à elle, le bassin en avant et les jambes légèrement fléchies, et surtout la bite tendue vers elle dans une position presque grotesque mais visiblement prisonnier des mains fermes de Nadine.
— Alors tu lui as mis un doigt dans le cul lui demande José .— Oui le majeur entier et en plus il devient plus raide, il aime cela.— Eh ! dit-il en grimaçant.— Ne fais pas ta mijaurée, on sait que tu as pris la queue d’André dans ta raie et que tu en as jouis. Si cela ne te plait pas, tu peux toujours partir.
Mais en disant cela elle l’embouche de nouveau et me regarde dans les yeux. Ses mouvements de vas et viens reprennent et il se laisse faire.A-t-il abdiqué sous le plaisir, je suis à la fois étonnée et curieuse de le savoir.
Maité intervient alors.
-Nous n’avons pas de dessert mais je crois que nous allons en déguster un bien plus doux.
Elle me fait signe de me lever et de la rejoindre. Elle me place debout devant la table et se met derrière moi.
— Tu es toute à moi, dit-elle fièrement.— Oui...Elle m’embrasse tendrement dans le cou et retire mes vêtements. Je sens son désir de me voir nue pour elle, devant les autres.— Tout m’appartient pendant cette semaine jusqu’aux moindres gémissements et toutes tes jouissances !— Oui, Maïté.
Elle prend délicatement chaque téton entre ses doigts et les étire. Même si je ne la vois pas, je suis sûre qu’elle doit sourire. Puis ses mains prennent possession de ma poitrine dans un pression ferme pour finir par mes pointes dures en les vrillant sous ses doigts. Je me blottis entre ses bras sous le plaisir, chaque caresse devient plus forte et je ne peux m’empêcher de pousser un cri à la dernière. C’est ce qu’elle devait attendre pour montrer aux autres son pouvoir sur moi.Sa main glisse alors sur mon ventre et descend sur ma chatte. Elle n’a plus besoin de me dire ou me faire comprendre, mon corps réagit, je fléchis mes jambes pour mieux les ouvrir et lui laisser la place. Ses doigts cherchent mon humidité et ouvrent mes lèvres. Mais cela ne doit pas suffire car elle me dit dans un souffle :
— Viens contre moi.
Elle s’assoit et m’entraîne avec elle, toujours prisonnière de ses bras, je n’ai aucune envie de m’échapper. En m’asseyant contre elle, je sens quelque chose de dur contre mes fesses, je réalise alors qu’elle porte un god ceinture. Elle pose ses mains sur mes cuisses et me les fait ouvrir en grand face à tout le monde.
— Je te veux ouverte et offerte me souffle-t-elle
Je pose un pied sur le bord de la table, pour ne pas perdre l’équilibre, mon autre jambe se replie un peu, mon bassin ne peut être qu’en avant. Ses doigts reprennent leurs exploration, m’ouvrent de nouveau et débusquent mon bouton.
-Vous pouvez vous approcher pour mieux voir, n’ayez pas peur.
Je sens des mouvements autour de moi, je suis dans un état second et préfère me concentrer sur les sensations que me procure Maité. Ses doigts s’activent un peu plus vite sur ma chatte, je sens qu’elle vient chercher mon plaisir, je gémis doucement en me calant contre sa poitrine. Son souffle dans mon cou me fait sentir qu’elle aime et qu’elle aussi est troublée et excitée.
— Laisse moi faire.
Je souris intérieurement car ce n’est plus "laisse toi faire" mais Laisse moi faire, symbole que nous glissons dans les profondeurs du plaisir et du désir.
Je sens une de ses mains dans mes cheveux qui me fait tourner la tête sur la gauche, je reviens à la réalité et vois que André et José sont debout tout proches de nous et que Nadine et Patrick sont à genoux devant moi entre mes cuisses.
La main dans mes cheveux se resserre et me dirige vers le sexe d’André qui est dressé. Celui-ci se pose sur mes lèvres puis Maïté me pousse sur cette queue, je n’ai qu’à entrouvrir mes lèvres pour qu’elle trouve son chemin. André ne bouge pas, et moi non plus, c’est donc Maïté qui commence le mouvement avec sa main dans mes cheveux et m’ordonne d’aller au plus profond ou de me retirer. C’est bien elle, qui coordonne avec ses deux mains le plaisir, l’une sur ma nuque et l’autre sur mon bouton. C’est toujours elle qui me fait sucer, ce n’est pas moi qui suce et c’est terriblement excitant ! Je commence à gémir et à souffler avec cette queue en bouche. Alors que le plaisir monte, elle s’arrête brusquement et me fait tourner la tête de l’autre côté.
C’est bien la queue de José qui se présente, j’entrouvre les lèvres, obéissante, et Maïté me pousse à la sucer. Le plaisir recommence, plus fort, au rythme imposé par Maîté. Même si je n’aime pas trop le personnage de José, elle me fait sucer cette queue et me fait prendre du plaisir à être offerte comme cela. Je suis maintenant presque au bord de la jouissance, elle le sens, elle le sait...
— Jouis pour moi !
C’est un ordre, une injonction, un désir et surtout le déclencheur de ma jouissance ainsi offerte devant tous !
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