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Glacyanne avait pris le taxi

Chapitre 1

Divers
Glacyanne avait pris le taxi pour rentrer chez elle. Encore toute absorbée par ses pensées, visiblement très fâchée, lorsque son regard se posa enfin sur lui. Il faut reconnaître qu’elle s’habillait toujours très sexy pour aller chez son copain et elle avait pensé qu’il adorait cela. Venant de le quitter, elle était évidemment encore toute en beauté. Elle se fit poser de longs ongles rouges, se fit faire un maquillage fin mais sophistiqué avec les lèvres très soulignées. Pour l’occasion, Glacyanne avait une micro jupe couleur pêche et un petit top en coton assorti. Particulièrement suggestive, cette tenue la mettait parfaitement bien en valeur : ses jolis seins ronds n’étaient pas entravés par un soutif et donc à peine cachés alors que cette petite jupe vraiment très courte ne dissimulait presque rien de ses longues jambes parfaites...
— Comment ai-je pu être aussi stupide ? Se demanda-t-elle. Oh non ! il vaut mieux l’oublier !
Mais elle comprit que cela n’expliquait pas tout. C’est parce qu’elle aimait Pierre et qu’il avait cherché à la protéger ! C’était là quelque chose qu’elle savait depuis longtemps, en fait, depuis qu’elle l’avait vu pour la première fois, il avait occupé une place de plus en plus grande dans ses rêves. Enfin dans son coeur !

Le pauvre chauffeur bafouillait des mots sans suite, maintenant trop occupé à la mater comme un fauve pensant fondre sur sa proie. Ne pouvant détacher son regard de ses jambes (vraiment très dénudées par le fait que, pour ne pas la froisser, elle avait bien remonté sa jupe avant de s’asseoir dans l’auto !), elle vit son regard se perdre au plus haut de ses cuisses et s’allumer vicieusement. Elle détaillait le personnage : beau jeune homme d’environ 25 ans, brun, viril, habillé avec classe, il émanait de lui une assurance et une masculinité tout à fait séduisantes. De plus, son eau de toilette à la fois forte et ambrée avait déjà titillé ses narines, ce type sentait bon le mâle, le vrai ! Elle décida soudainement de lui avouer :
— Excusez-moi, je viens de me faire larguer par un malotru qui a été très désagréable avec moi. Je suis très en colère.
Le trajet en voiture ne dura que quelques minutes. Prenant le soin de rouler lentement, il jetait de constants regards dans son rétroviseur sur ses jambes... Le chauffeur se fit un plaisir d’ajouter :
— Je comprends mal ! Quand on vous regarde, on a plutôt de quoi être séduit. Vous êtes franchement superbe !
Elle n’ajouta rien à sa remarque mais le remercia discrètement. Elle avait maintenant la conviction que ce chauffeur lui servirait de mec de ses rêves et elle savait déjà qu’elle lui plaisait beaucoup. Elle finit par comprendre qu’elle était la seule responsable de cette obsession sexuelle qui la rongeait. Le désir qui couvait au fond de son ventre et qu’elle avait tant de mal à contenir n’avait au final peut-être rien à voir avec son amour pour Pierre.
— Eh bien, vous m’avez l’air d’être un grand spécialiste en plastique féminine. Si on allait plutôt discuter de votre opinion chez vous ?
Le chauffeur cru devenir fou en entendant cette proposition. Il prit la direction de son logement, heureux et abasoudi par ce que le destin lui mettait dans l’assiette !! Elle voulait connaître les délices de l’amour sauvage. Elle montrait un curieux mélange d’assurance et de timidité. Ses gestes, ses regards, ses inflexions vocales étaient celles d’une jeune fille qui se cherche, qui n’a pas encore l’assurance d’une femme. Mais ce qu’elle disait dénotait un caractère trempé, bien déterminé, elle savait déjà parfaitement ce qu’elle voulait.

Ils étaient chez lui, dans son petit appartement minable, assis à la table de sa kitchenette, à discuter vaguement du corps féminin. Elle le regarda dans les yeux, ensuite elle l’embrassa avec fougue. Leurs bouches se frôlèrent, leurs langues se lèchèrent, toutes les fibres de son être répondirent à son étreinte. Il avait allumé un baiser en elle. Glacyanne était là avec lui et leur langue se mêlèrent en un baiser torride, ils restèrent là quelques instants à se caresser, puis dans un murmure Glacyanne parla :
— Vous me prenez peut-être pour une folle ?

Il était là près d’elle, paralysé d’émois, incapable de dire un mot. Elle n’en pouvait plus d’attendre, elle décida de passer à l’attaque. En un clin d’oeil, elle ôta sa jupe qu’elle plia soigneusement, puis sa culotte qu’elle rangea dans son sac à main. Elle s’approcha de lui, ouvrit largement les jambes, le sexe offert, et dit :
— Faites-moi tout ce que vous voulez. Tu veux me baiser hein mon cochon ? Allez dis-le à ta pute que tu veux la baiser.— Bravo, je suis ravi de votre audace...
Bien que surpris sur le coup, ce nouveau langage l’excitait beaucoup. Elle s’installa confortablement dans le fond d’un vieux canapé et releva ses jambes bien hautes, lui laissant ainsi entrevoir un mignon petit slip noir dentelé.
— Tu les trouves comment mes jambes petit vicieux ?
Puis elle déposa une cheville sur chacune de ses épaules. Tout en lui caressant délicatement les joues du bout de ses sandales elle commença à se malaxer les seins. Il pouvait sentir la merveilleuse odeur de ses pieds. Un délicieux mélange de cuir et de salin.
— Et mes pieds ? Qu’en penses-tu de mes pieds ? Petit salaud, ils te font bander mes pieds non ?
Pour toute réponse l?homme se mit à embrasser et à lécher ses pieds à travers les lanières de ses sandales ce qu?elle approuva.
— Quel bon petit chien. Il faut maintenant enlever les sandales et bien nettoyer.
Il put alors admirer ses superbes petons, pas très grands, avec des ongles bien coupés et recouverts d’un appétissant vernis rose bonbon. Elle plaqua ses deux plantes directement sur son visage afin de lui en faire humer toute la saveur. Sandro lui massait doucement le bout des orteils.
— J’adore que l’on s’occupe de mes pieds, je t’en prie chérie lèche-moi bien, suce-moi les orteils un à un SVP.
Son arrogance de tout à l’heure faisait maintenant place à l’abandon. Les yeux à demi fermés, elle frottait doucement sa fente qu’il imaginait humide. La verge du chauffeur risquait d’éclater à tout instant. Elle le remarqua et lui dit d’un air malicieux :
— Sors-moi donc cette belle queue avant que tu n’abîmes ton pantalon.
Il délaissa un instant son délicieux casse-croûte, défît sa braguette et en sortit son pieu triomphant.
— Oulàlà, qui aurait pensé que tu puisses posséder un pareil engin. Je comprends maintenant pourquoi tu es très délicieux.
Glacyanne écarta complètement ses jolies jambes pendant qu’il s’approchit à plein nez. C’était une odeur à la fois particulière et enivrante. Il s’expliquait cependant mal comment elle pouvait être si mouillée. Après tout, elle s’était à peine caressée.
— Tu l’aimes ma petite chatte ? Elle est toute mouillée, tu as vu ?
Mais Glacyanne avait d’autres plans, du moins pour l’instant. Elle appuya ses deux pieds sur son ventre et commença à lui caresser le thorax puis descendit jusqu’à ses cuisses pour ensuite remonter à ses couilles, qu’elle massa divinement pour finalement attraper son sexe de ses deux pieds. Elle débuta un mouvement de va-et-vient. Il se mit à frissonner. Il fouillait sa chatte de ses deux mains. Elle avait toujours son petit slip noir. Ses orteils entouraient maintenant le gland d’une façon sans équivoque. La sensation était indescriptible. Il sentait la pression de plus en plus forte.
— Je vais jouir chérie, s’écria-t-il.— Allez viens avec moi, décharge ton bon jus sur mes pieds.
C’était surréaliste. Il était sur le point d’atteindre l’orgasme uniquement par ses pieds. Soudainement il se cambra, et commença à jouir, un long jet d’un liquide de couleur blanchâtre cracha sur ses pieds. Sans jamais lâcher prise sur sa queue, il continua d’éjaculer comme une fontaine. Son sperme se mit à gicler atteignant ses jambes, ses chevilles et bien sûr ses adorables petits pieds. Jamais il n’avait autant déchargé. Elle lui caressait gentiment le gland du bout des orteils, laissant ainsi échapper les dernières gouttes de sa semence. Elle le regarda en souriant et sans dire un mot agrippa son pied droit par la cheville et l’approcha de sa bouche. Sans hésiter elle sorti la langue et s’affaira à lécher tout le sperme qui s’y trouvait.
— Je me régale chéri et toi, tu n’en veux pas ?
Décidément cette fille est une vraie boîte à surprise. Il était tellement fasciné par ses pieds qu’il ne put résister bien longtemps. Sandro lécha donc son propre sperme en très charmante compagnie. Bien que un peu âcre, le goût n’était pas si désagréable. Leur langue se disputèrent les dernières traces de sa jouissance. Ensuite elle fila dans la salle de bains, puis elle se rhabilla. Elle était heureuse de l’avoir trouvé. Ils échangèrent leur numéro de téléphone, se donnèrent rendez-vous et elle disparu avec l’espoir de le revoir.
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