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Gladys.

Chapitre 2

Deuxième partie :

Inceste
Gladys a feint de ne pas remarquer mon trouble, car j’étais certain qu’elle n’avait pas manqué de s’en apercevoir, et nous sommes partis pour le village dans ma Jeep Wrangler de 1989, que je n’utilise qu’en été pour la bonne raison qu’elle n’a pas de toit mais juste une capote, qui permet une fois dépliée de s’abriter des intempéries. Bien entendu notre arrivée a été remarquée, pas particulièrement à cause de la tenue de ma petite-fille même si pas mal d’hommes n’y ont pas été indifférents, mais parce que tout le monde se souvenait d’elle, dans cette petite localité d’un peu plus de sept-cent-cinquante âmes. Sans compter les touristes, qui nous envahissent chaque année en été.
Nous avons donc été obligés de faire des civilités, qui allaient du simple salut à un petit discours lui souhaitant un bon retour. Ma pitchounette s’y est prêtée de bonne grâce, semblant même heureuse dans certains cas de ces retrouvailles, si bien que j’étais le seul à me douter que sous sa façade enjouée, se cachait une profonde blessure. Elle m’a parue soulagée quand nous sommes entrés dans l’auberge, dans laquelle nous avons reçu un accueil tout aussi chaleureux mais plus sobre.
Une fois installés et que le serveur immédiatement tombé sous le charme de Gladys, nous a demandé si nous voulions prendre l’apéritif, j’ai été étonné qu’elle commande un kir, vu qu’elle n’avait pas bu une seule goutte d’alcool depuis son arrivée. J’ai d’ailleurs assez mal réussi à cacher ma surprise, principalement causée par ma propre bêtise de ne rien lui avoir proposé quand elle était chez moi, puisqu’elle s’est aussitôt justifiée mais plus amusée qu’autre chose :
― Je te rappelle que j’ai 19 ans, Papy.― Je le sais bien, ma Petite Grive. Et si je me sens idiot, c’est parce que je n’ai même pas pensé à te demander si tu bois du vin en mangeant, alors que j’ai probablement dans ma cave des bouteilles qui sont en train de mourir de vieillesse. Tout simplement parce que quand je suis seul, j’ai l’habitude de rester à l’eau. ― Ne te fais pas de reproches, car je suis comme toi alors ça ne m’a pas manqué.
C’était très rassurant vu son état d’esprit actuel, ce qui ne nous a pas empêchés de commander un bon Côtes-du-Rhône, pour accompagner nos steaks tartares.
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Après notre repas Gladys a voulu aller se balader sur le plateau, ce qui m’a fait plaisir ainsi qu’à Mendiant qui avait été privé de restaurant, et le soir nous avons mangé des grillades tout en finissant la bouteille de Gigondas du midi, que nous avions ramenée avec nous.
C’est au milieu de la nuit que l’orage a éclaté, ce qui était une bénédiction car nous manquions de pluie, et je n’ai pas été étonné grâce à la foudre de voir ma petite-fille entrer dans ma chambre, car elle avait toujours eu peur de ce genre d’intempéries.
Dans la lumière vive et brève de l’éclair j’ai pu constater qu’elle était complètement nue, tout comme moi sauf que j’étais dans mon lit allongé sur le dos, et quand elle m’a demandé après le coup de tonnerre qui a suivi d’une voix effrayée si elle pouvait venir me rejoindre, après une brève hésitation vite réprimée je lui ai répondu que oui. Car ce n’était pas la première fois que nous nous retrouvions dans cette situation, même si avant elle n’était pas encore une femme et avait toujours porté un pyjama en coton, tandis que moi j’étais en caleçon.
Quand elle s’est blottie contre mon corps sa tête posée sur mon épaule j’ai pu constater qu’elle ne jouait pas la comédie, vu qu’elle était toute tremblante et sursautait régulièrement deux fois, quand l’éclair frappait et peu de temps après quand le tonnerre grondait. Alors que j’avais passé un bras protecteur autour de sa taille, je n’ai pas tardé à sentir sa cuisse gauche se frayer un passage sous la mienne, celle de droite, et dans le même mouvement sa deuxième jambe est venue se poser dessus.
Jusque-là rien de bien dérangeant, sauf que ses deux membres musclés tandis qu’elle se rapprochait petit à petit, m’ont enserré, ainsi que les mâchoires d’un étau recouvertes d’une mordache de daim, comme si elle voulait empêcher toute fuite de ma part. Si bien que j’ai fini par sentir une pointe dure venir s’appuyer contre ma peau, qui ne pouvait être que le métal de son piercing intime.
Lorsqu’il a commencé à se déplacer lentement j’ai compris que ma petite-fille était en train de se caresser contre moi, j’ai pensé lui demander d’arrêter, puis après être resté indécis pendant quelques instants, je me suis dit que si ça pouvait la rassurer et la calmer, demain nous nous efforcerions d’oublier son comportement et que tout rentrerait dans l’ordre.

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Sauf que moi ça ne m’a pas détendu bien au contraire, vu qu’à ma grande confusion quand j’ai réalisé que le sexe de Gladys était devenu encore plus chaud et humide, à force de se frotter contre mon muscle fémoral, le mien s’est mis à augmenter de volume. Ce qui ne lui était plus arrivé depuis des années, et m’a en même temps épaté et épouvanté.
Étant donné qu’elle avait collé le sommet de son crâne contre ma joue, je ne pouvais pas savoir si elle s’était rendue compte de ma réaction physique, car je ne voyais même pas si elle avait les yeux ouverts. Cependant j’étais certain qu’elle agissait de manière consciente même si ce n’était pas forcément prémédité, et j’étais tiraillé entre des émotions contradictoires.
Car bien entendu il y avait l’interdit de l’inceste vu qu’elle était ma descendante directe, avec une génération d’écart, et ajoutée à cela notre grande différence d’âge. Puisqu’elle était une jeune femme de 19 ans et moi un vieillard qui en avais 56 de plus qu’elle, autrement dit 75. Ce qui ne semblait pas la déranger le moins du monde, et pour ma part comme un peu plus tôt dans la journée, j’avais l’impression de me réveiller après une longue dormance mais à présent également dans ma tête.
J’ai entendu clairement entre foudre et tonnerre le petit gémissement que Gladys a poussé quand elle a joui, alors que jusqu’à présent elle était restée silencieuse, réprimant très certainement toute manifestation sonore de plaisir, et son orgasme m’a été confirmé par les spasmes de son sexe devenu poisseux de mouille, tout comme la peau de ma cuisse.
J’ai alors pensé que tout était terminé et qu’il nous suffirait d’occulter ce moment, en évitant d’en parler, afin de pouvoir recommencer à vivre comme avant. Sauf que ma petite-fille en avait décidé autrement, en assumant ce qui c’était passé tout en étant résolue à aller plus loin. Car elle a attendu qu’un nouvel éclair la fasse sursauter et en même temps illumine ma chambre, pour poser d’un geste assuré sa petite main sur mon membre devenu raide comme la justice, et après l’avoir décalotté elle a commencé à le masturber lentement.
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Cette fois encore j’ai pensé l’arrêter, pourtant je n’en ai rien fait me contentant de rester passif, tout en appréciant le plaisir que je ressentais et que je pensais enfui à jamais. Prenant mon absence de réaction pour une acceptation, ce qui était le cas même si j’avais toujours le sentiment que ce qui était en train de se passer entre nous était mal, sans cesser de me branler Gladys s’est déplacée pour poser sa joue sur mon ventre, et elle a descendue sa tête jusqu’à ce que sa langue puisse venir toucher mon gland.
Je considérais qu’Anne mon épouse regrettée avait été une bonne suceuse, même si je manquais de moyens de comparaison vu qu’elle était restée à ce jour la seule femme que j’avais connue, dans le sens biblique du terme. Elle avait toujours mis du cœur ainsi que de l’imagination pour arriver à me faire éjaculer dans sa bouche, et ce qui ne gâchait rien elle adorait le goût de mon sperme.
Sauf qu’à présent, j’avais affaire à une virtuose. L’organe râpeux de ma petite-fille après un premier contact assez bref, s’est mis en action avec une agilité que je n’aurais jamais crue possible, caressant ma peau très sensible à cet endroit de ses picots, semblant parfois s’enrouler autour, puis se retirant quelques instants pour revenir à la charge, allant agacer le frein de mon prépuce ou sa pointe voulant s’enfoncer dans la fente du méat, comme pour le forer afin d’aller y puiser la moindre trace d’humidité.
C’était tellement délicieux que je n’ai pas pu m’empêcher de pousser des petites plaintes de plaisir, et probablement satisfaite du résultat obtenu Gladys a décidé de passer à l’étape suivante, puisque mon gland s’est retrouvé dans sa bouche. Elle a commencé à le téter tandis que la menotte qui m’avait masturbé est allée cette fois caresser délicatement mes testicules, à travers mes bourses poilues, puis sa langue est à nouveau entrée en action avec une vivacité quasiment surnaturelle, vu le peu d’espace qu’il lui restait pour se mouvoir.
Toutes mes réticences avaient été vaincues par la détermination de ma petite-fille à vouloir me faire jouir, ce que je croyais pourtant impossible quelques heures plus tôt à cause de mon âge, c’est pourquoi j’ai posé ma main sur sa tête, et tout en la passant lentement dans ses cheveux, je lui ai demandé d’une voix que j’ai trouvée plaintive :
― Mais qu’est-ce que tu es en train de me faire, ma Petite Grive ?
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Bien évidemment je n’ai pas obtenu de réponse, mais pour enfoncer le clou et pas seulement au sens figuré du terme, j’ai senti le bout de ma queue plonger de plus en plus profondément, pour passer de sa bouche à son œsophage et commencer de se frayer un passage dans sa gorge. Ce que je croyais être en mythe se transformant soudain en réalité, étant donné qu’Anne pleine de bonne volonté avait essayé une fois de me faire la même chose, mais prise de nausée elle avait dû renoncer et elle n’avait jamais retenté l’expérience.
Sauf que là sa petite-fille était en train de m’enfourner avec une facilité qui m’épatait, et une fois qu’elle m’a eu avalé en entier elle m’a recraché tout aussi tranquillement, faisant une courte pause mon gland retourné dans sa bouche afin de respirer, pour ensuite recommencer la manœuvre un peu plus rapidement. Sentir mon membre gainé de la sorte était en même temps inédit et délicieux, alors je me suis laissé aller à cette nouvelle manière de faire l’amour, sans avoir ne serait-ce que le début de l’idée de m’en plaindre.
Forte de son expérience qui ne devait pourtant pas être bien longue dans sa durée, Gladys a continué à faire coulisser sa tête le long de mon sexe accélérant peu à peu la cadence, si bien qu’elle a pu faire deux allers et retours sans avoir besoin de reprendre son souffle, puis trois en arrivant à quatre. Mois j’étais aux anges, me gardant bien de faire le moindre commentaire de peur que cet instant magique ne s’interrompe, jusqu’à ce que je ne puisse pas m’empêcher de m’exclamer :
― Putain, je vais jouir !!
Elle s’est alors immobilisée mon gland resté dans sa bouche, et trouvant peut-être le temps long parce que malgré mon annonce je tardais à venir, elle a recommencé à le caresser avec sa langue. Est venue une giclée de sperme qu’elle s’est empressée d’avaler, puis une seconde qui a subi le même sort ainsi que les suivantes, et quand la source s’est tarie elle a ressorti le bout de ma queue pour le lécher sur toute sa surface, avant de revenir poser sa tête sur mon épaule.
Et étant donné que pendant qu’elle me suçait l’orage s’était éloigné elle n’a pas tardé à s’endormir, car si je ne pouvais toujours pas voir ses yeux son souffle est devenu régulier. Épuisé par le plaisir et bien d’autres émotions, je n’ai pas tardé à faire comme elle.
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Quand je me suis réveillé le lendemain matin j’étais seul dans mon lit, c’est la raison pour laquelle j’ai d’abord cru que j’avais fait un rêve incestueux et impossible à réaliser, vu mon âge avancé, ce qui n’aurait pas été bien lourd de conséquences. Cependant il restait dans ma chambre des détails qui ne trompaient pas, comme par exemple l’odeur de sexe qui y traînait, ma peau légèrement rêche à l’endroit de ma cuisse où la mouille avait séché, mais aussi le fait que mon sexe n’avait pas repris entièrement ses dimensions au repos, un peu de sang étant resté pour continuer à le gorger.
Aussitôt le remord m’a pris et je me suis levé, avec la ferme intention d’avoir une conversation sérieuse avec Gladys qui mettrait fin à cette folle aventure, et j’étais même prêt à hausser le ton si elle s’entêtait. Ce qui ne m’était jamais arrivé avant, en tout cas avec elle. Sauf que quand je suis arrivé dans la cuisine dans laquelle elle se trouvait déjà, j’ai été accueilli par un sourire rayonnant qui m’a rappelé sa grand-mère.
De plus elle était perchée sur une paire de mules à talons aiguille de dix centimètres de haut, qui avaient appartenu à cette dernière et qui lui allaient parfaitement, vu qu’elle faisaient toutes les deux la même pointure. J’ai alors senti ma résolution fondre, comme de la neige au soleil du printemps.
Ces chaussures c’était moi qui les avais achetées à Anne, parce que son seulement je les trouvais très sexy mais elles avaient l’avantage de la hisser à mon niveau, si bien qu’elle pouvait me regarder dans les yeux sans avoir à lever les siens. Tout comme sa petite-fille actuellement. Ma femme les appelait avec humour ses pompes de pute, et elle les gardait aux pieds en permanence quand elle restait à la maison, que nous soyons seuls ou avec d’autres personnes, nus ou habillés, et même parfois quand nous faisions l’amour.
Je ne suis jamais arrivé à lui faire dire si elle les portait uniquement pour mon plaisir ou également le sien, car à chaque fois que je lui ai posé la question elle m’a répondu après avoir souri : Elles sont très confortables, mon Amour. Bien entendu plusieurs paires se sont succédé, car elle avait su où je me les étais procurées et a remplacé celles qu’elle utilisait quand elles devenaient usées, par d’autres qui étaient identiques.
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Les mules que Gladys avait aux pieds semblaient d’ailleurs neuves, quand elle a vu mon air renfrogné en arrivant son sourire s’est effacé, puis elle m’a dit :
― Si c’est à cause des pompes de Mamie, je peux les enlever.
L’entendre employer le même mot qu’Anne pour nommer ces godasses m’a fichu un coup au cœur, et j’ai répondu d’une voix que j’ai trouvé piteuse :
― Tu peux les garder si tu veux. Ce n’est pas de ça, dont nous devons parler.― Si c’est à cause de ce qui s’est passé cette nuit, j’en avais envie et toi aussi. Car je ne suis pas aveugle, et j’ai bien vu comment tu me matais hier. Alors à partir du moment où on est attirés l’un par l’autre, je ne vois pas en quoi c’est dérangeant. ― Ça l’est parce qu’il s’agit d’inceste, et que j’ai 56 ans de plus que toi.― Mais ça va déranger qui, si personne n’est au courant ?― Moi par exemple.
Elle n’a pas répliqué, sauf que la même tristesse que la veille est revenue sur son visage magnifique, c’est pourquoi je me suis senti moi aussi malheureux, et j’ai ajouté :
― Tu as quand même conscience que c’est une voie sans issue ? Car nous ne pourrons jamais rien construire de sérieux toi et moi, pour la bonne raison que comme le dit la chanson, tu es au printemps et moi en hiver. En plus, cela va nous obliger à mentir à nos proches. ― Pour ce qui est de mentir, je ne suis plus à ça près.― Comment ça ?― Mon père n’a jamais su, que je sortais avec un de mes profs. D’ailleurs tout ce qui l’intéresse, c’est de savoir que j’ai de bons résultats à la fac.― Et ta mère ?― Elle je lui ai dit, et elle m’a mise en garde en m’expliquant que ça ne pourrait pas durer. Mais je ne l’ai pas écoutée, parce que j’avais envie de vivre. ― Pourtant elle avait raison. Tu as souffert, mais ça ne t’empêche pas de reproduire le même schéma avec moi. ― Sauf que toi, tu ne m’abandonneras jamais.― Bien sûr que si je vais le faire, même si ça ne sera pas volontaire. J’ai 76 ans, et le temps qu’il me reste à vivre est par conséquent limité. Sans parler de l’aspect morale de la chose.
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Gladys s’est alors exclamée :
―Mais ça sert à quoi d’avoir de la morale, si les autres n’en ont pas ?!? Alors que j’étais naïve, un type m’a fait croire que j’étais la plus belle chose qui lui était arrivée !! Il m’a convaincue qu’en me faisant percer et tatouer, je serais encore plus belle. Il m’a demandé d’apprendre à marcher avec des chaussures de pute, et par amour pour lui j’ai tout accepté ! Me faire enculer et le sucer après, qu’il s’enfonce en entier dans ma bouche même si au début j’avais envie de gerber, mais aussi de me faire prendre par plusieurs hommes en même temps, avec certains de ses amis !
Tandis que j’étais atterré par ces révélations, elle a continué de la détresse dans la voix :
― Mais la vérité, c’est qu’il s’est servi de moi pour arriver à convaincre sa propre fille, qu’une relation entre jeune et vieux était possible. Et quand il est arrivé à la mettre dans son lit, parce que c’est quelqu’un qui se sert de son charisme pour persuader les autres, il m’a jetée comme une vielle chaussette ! Et maintenant, alors qu’il a brisé mon cœur en mille morceaux, c’est moi qui suis mauvaise ?!?
Elle a ensuite éclaté en sanglots, et me sentant piteux de l’avoir acculée au point qu’elle me fasse ces aveux, je me suis précipité vers elle pour la prendre dans mes bras. Tandis qu’elle s’y laissait aller ses yeux pleins de larmes baissés, je l’ai consolée de la manière que j’ai pu car je n’étais pas préparé à ça :
― Bien sûr que non, tu n’es pas mauvaise. Tu es juste déboussolée, parce qu’un salopard a abusé de ta jeunesse et de ta bonté. Moi, tout ce que je veux, c’est que tu retrouves ta joie de vivre. Celle que tu avais quand tu étais enfant, puis adolescente.
Elle a répondu en pleurnichant :
― Sauf que maintenant, je suis plus une enfant mais une femme. Avec d’autres envies et d’autres besoins.
J’ai alors tenté la carte de l’humour :
― Oui, ça je l’avais remarqué. Et je te signale au passage, que ta Mamie était loin de t’égaler pour ce qui est de sucer une queue.
Elle s’est alors mise à pouffer, sauf que je ne savais pas si c’était d’amusement ou de nervosité à cause de ses émotions, et c’est la raison pour laquelle j’ai continué :
― Comme on ne peut pas effacer ce qui s’est passé la nuit dernière, et que je suis autant sinon plus coupable que toi, étant donné que j’aurais dû t’arrêter avant que ça n’aille trop loin, je te propose un marché.
Gladys a alors relevé ses beaux yeux plein de larmes pour me regarder, et elle m’a demandé avec de l’espoir dans la voix :
― Quoi comme marché ?― Eh bien on va continuer comme ça, en partant du principe que si personne d’autre n’est au courant la morale sera sauve. Mais à la condition, que tu me promettes que quand l’été sera terminé, tu passeras à autre chose. Que tu essaieras de trouver un gentil garçon de ton âge, avec lequel tu pourras avoir des projets d’avenir. ― Mais toi, qu’est-ce que tu deviendras ?― Moi, déjà je croyais qu’avoir la queue raide c’était du passé, alors je vais profiter de ce sursit que tu m’as donné, en savourant chaque instant. Et quand tu repartiras, tout redeviendra comme avant et je recommencerai à vieillir, ce qui sera dans l’ordre des choses.
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Notre été incestueux s’est écoulé à une vitesse folle, et il n’y a pas que les températures qui ont été torrides. Bien entendu je pourrais vous le raconter, mais ça ne serait qu’une suite de situations sexuelles répétitives. Même si en ce qui me concerne elles ne l’ont pas vraiment été au départ, vu que Gladys m’a appris des choses dont j’ignorais l’existence. Inutile de préciser que comme je suis de la vieille école, je croyais que certaines d’entre elles étaient impossibles à réaliser. Peut-être que je mettrai tout ça par écrit un de ces quatre, mais pas tout de suite car en ce moment j’ai d’autres projets en tête.
Tout ce que vous avez besoin de savoir pour l’instant c’est que ma petite-fille a tenu parole, puisqu’elle est repartie fin Août le sourire aux lèvres, en m’annonçant que tout en retournant à ses études, elle allait maintenant s’intéresser aux hommes de sa génération. Puis elle a ajouté après sur un ton mutin, qu’elle espérait qu’ils ne seraient pas trop décevant par rapport à ceux qui sont plus mûrs.
Quant à moi, je ne suis pas vraiment retourné à ma vie tranquille d’avant.
Car figurez-vous que la superbe boulangère de notre petit village, qui fait baver d’envie tous les gars des environs quel que soit leur âge, et surtout depuis trois ans qu’elle est veuve, m’a un jour rendu une visite surprise en me servant un mensonge éhonté. Elle a prétendu qu’elle s’était inquiétée de ne pas m’avoir vu depuis quatre jours, et qu’elle était venue vérifier si tout se passait bien pour moi. Alors que je ne descends que deux fois par semaine vers la civilisation, pour la bonne raison je n’ai pas de gros besoins en ce qui concerne la nourriture que j’achète.
Mais bon, je ne lui en ai pas voulu pour cette petite malhonnêteté, et j’ai même été ravi de constater qu’elle ne portait rien sous sa robe gitane, quand elle l’a retirée avant que nous fassions l’amour, et alors qu’elle avait gardé ses sandales à talons aiguille aux pieds. Car bien évidemment, elle était venue pour cette raison et aucune autre. Depuis nous nous voyons régulièrement, je n’ai pas eu besoin de la convertir à la sodomie puisqu’elle la pratiquait déjà, tout comme les gorges profondes, car c’était moi qui avais un train et peut-être même deux de retard.
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Certains envieux n’ont pas tardé à médire sur mon compte, car contrairement à ce qui s’est passé avec Gladys, avec Audrey puisque c’est son prénom nous avons décidé de vivre notre relation sans nous cacher, l’assumant pleinement. Les pisse-froid prétendent qu’il n’est pas normal qu’une femme d’à peine 43 ans, fasse profiter de ses charmes à une vieille canaille dans mon genre, mais c’est tant pis pour eux.
Moi ça ne me dérange absolument pas, que ma nouvelle amante ait le même âge que la plus jeune de mes filles, qui soit dit en passant est la maman de celle qui a ramené mon sexe à la vie. Et je suis convaincu qu’en me lisant, vous allez vous aussi trouver ça normal.
Cette histoire qui commence à peine, peut-être que je vous la raconterai également un jour. Mais pour l’instant je dois vous quitter, car un coup de klaxon vient de me faire savoir que deux miches bien rondes et toutes chaudes, ne vont pas tarder à m’être livrées sur une paire de talons aiguille de dix centimètres de haut.
Alors souhaitez-moi un bon appétit.
FIN

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