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Le Glaive et la Moule

Chapitre 1

Orgie / Partouze
Aux confins de l’empire, entre Assyrie et Egypte, Terqa borde l’Euphrate. La petite ville abrite une garnison de plusieurs centaines de légionnaires. La paix romaine règne maintenant sur tout le territoire, après des années de guerre contre les barbares. Aujourd’hui la province est apaisée, Rome laissant les autochtones libres de rendre hommage à leurs divinités sur lesquelles règne Arta, la déesse de la fertilité. De nombreux temples lui sont dédiés mais c’est précisément à Terqa que se trouve le grand temple d’Arta, qui abrite la grande prêtresse et ses serviteurs. Janus, le gouverneur, est très attentif au respect des traditions locales, dans l’intérêt du maintien de la paix, et rend régulièrement hommage à Arta. Ancien de l’administration de Rome, Janus fait son âge. Ses cheveux se font rares, et son ventre présent. Le tout lui donne un air débonnaire trompeur. Il est capable de réprimer les révoltes avec une cruauté rare, et ne supporte pas le moindre écart à la discipline.
Il veille à impliquer ses subordonnés dans cette politique de main tendue et de collaboration, et ce soir, c’est au tour de Michelus, le nouveau centurion, d’être informé des coutumes locales. Il est arrivé il y a quelques jours de Tyr, après un long voyage sur les pistes désertiques en compagnie de son épouse Caelina, de quelques serviteurs, et d’une escorte. Né au levant, Michelus a la peau mate. Il est grand, athlétique, militaire. Complètement converti aux valeurs de Rome, très discipliné et respectueux de la hiérarchie, il est aussi très exigeant sur ce point. Notamment avec son premier subordonné : son épouse Caelina. Caelina est originaire des Gaules. Achetée par Michelus sur un marché de Tyr, elle a fini, par les plaisirs que son corps dispense, par le convaincre de l’épouser. De taille moyenne, une chevelure sombre se disperse en ondulant entre ses omoplates. Mince, la poitrine menue mais ferme, ses jambes musclées et bien galbées mettent en valeur une croupe de déesse. A la fois ronde et mince, souple et musclée, quasi parfaite. Sa taille de guêpe invite à s’en saisir, à s’en servir. Depuis le début de l’après-midi, Caelina a disparu avec Adriana, l’épouse de Janus, en vue d’être préparée à la cérémonie.
Le temple d’Arta comprend une salle de cérémonie relativement petite, en dehors des appartements de la prêtresse. Une pièce carrée avec au milieu une sorte de banc en bois d’ébène, étroit, aux quatre coins duquel sont sculptés des sexes masculins de très belle taille tout en restant réalistes. A leur base, s’accrochent solidement deux testicules bien ronds, comme gonflés. Les verges présentent la particularité de différer dans leur orientation, entre purement verticale et plus oblique. Au milieu deux flambeaux, sur un corps de femme aux larges proportions, la tête de vache d’Arta surveille l’ensemble de ses yeux ardents. Sur de petites tables, diverses fioles sont disposées entre quelques coupes où se consume un encens particulier, que Michelus n’a jamais respiré. Très agréable. Bien qu’un peu nerveux depuis ce matin car ne sachant pas exactement en quoi consiste la cérémonie, le voilà détendu, baignant dans une douce torpeur. Au vu des lieux et de l’ambiance qui règne, il se doute que la soirée risque d’être aussi un hommage à Vénus. Appréhension et excitation se mêlent en lui. Avec Caelina, ils aiment goûter aux plaisirs orgiaques, mais le voile de mystère qui recouvre la soirée l’inquiète. Les désirs de Janus sont des ordres, et quoi qu’il arrive, il faudra s’y conformer.
Des bruits de pas assourdis annoncent l’entrée d’Adriana. Michelus n’est guère surpris de la voir porter une robe pourpre très légère, quasi un voile. Celui-ci révèle une anatomie qui a connu des jours meilleurs. Ses seins gros et lourds, pendent un peu trop sur un ventre loin d’être plat. Ses cuisses et ses fesses sont grasses, dodues. La peau de son visage, outrageusement maquillé, s’est relâchée, épaississant ses traits. Mais ses yeux ardents, sa bouche large et pulpeuse évoquent le stupre et le lupanar. Elle arbore fièrement une chevelure blonde très épaisse et fournie, rare en ces régions. Elle évoque d’abord le dégoût à Michelus, mais le vice qu’elle suggère finit par lui donner des picotements dans le bas-ventre. Elle vient s’asseoir entre les deux hommes et sans façons, pose une main chaude sur le haut de leur cuisse.
— La cérémonie va commencer...
Précédée de deux jeunes beautés à la peau mate habillées de robes blanches très courtes, Elysia, la grande prêtresse fait son entrée. On remarque d’abord sa peau sombre, des provinces reculées d’Abyssinie. Ensuite, sa grande taille, son corps très athlétique, aux proportions parfaites. Ses seins nus, à la fois volumineux et fermes, ses cuisses musclées. Chacun de ses mouvements évoque tout à la fois la souplesse et la puissance, une certaine grâce sensuelle. Elle porte une cape de voile pourpre, une large ceinture de cuir noir dans laquelle sont glissés des anneaux de métal, ainsi qu’une sorte de baguette en cuir tressé. De hautes sandales de cuir noir montent jusqu’en haut de ses mollets. Elle se tient de bout devant la statue d’Arda, puis se prosterne en lui adressant ce qui ressemble à une prière. Michelus ne peut décoller son regard de cette croupe divine. Ce qui lui vaut un avertissement d’Adriana :
— Les regards sont autorisés mon cher, mais ne t’avise pas de toucher la prêtresse ou une de ses acolytes, sans quoi tu seras décapité...— Bien sûr Adriana... Mais tu admettras que le spectacle est plaisant !
Adriana caresse le phallus de Michelus, qui signale sa présence à travers la toge.
— Oui c’est ce que je constate...
Loin de retirer sa main, elle continue de caresser le centurion avec une grande légèreté, en le touchant à peine. Un coup d’śil à Janus révèle le même traitement, et les mêmes effets.
Elysia se relève puis appelle. Entourée de six hommes, Caelina fait son entrée dans le même voile pourpre qu’Adriana. Mais sa tenue est agrémentée d’un large collier de cuivre, ainsi que de quatre bracelets du même métal. Son visage est très maquillé. Noir sur les paupières, pourpre aux joues. Les six hommes ressemblent à des soldats. Ils sont grands, de taille quasi identique, cheveux courts, peau mate. Une musculature sèche mais présente. Un baudrier et des sandales de cuir noir sont leurs seuls habits. Ces six queues à demi dressées, longues et larges attirent le regard d’Adriana. Sa main se fait plus présente alors qu’un sourire vicieux élargit sa bouche, et que sa langue glisse autour de ses lèvres. Elysia psalmodie. Une musique entêtante provient de l’antichambre, sur un rythme lent.
Deux gardes enlèvent la cape de Caelina. Elysia sort une petite fiole et lui enduit le corps d’une sorte d’huile. Deux hommes commencent à la masser, tout en se frottant à elle. Caelina sent une douce chaleur pénétrer sa peau. Les deux sexes qui se frottent à elle grandissent, durcissent. Elysia prend les deux mains de Caelina et les pose sur les sexes dressés, commence à les en caresser. Sans se faire prier, la Gauloise continue la caresse, au rythme de la musique. Ces deux membres brûlants glissent et coulissent entre ses doigts. Ils sont longs, très droits. Ses hanches ondulent, sa poitrine se gonfle et se dégonfle un peu plus fort à chaque respiration. Les mains la caressent sur tout le corps, d’autres arrivent, s’insinuent. Caelina sent son sexe s’ouvrir et se gonfler. Comme des petits serpents, des doigts se glissent entre ses fesses, entre ses jambes. Quatre queues bien dressées se frottent maintenant à elle.
Elysia donne des directives et Caelina est assise sur le banc étroit. Jambes écartées contre un phallus d’ébène, elle s’y frotte comme une chienne en chaleur. Ses hanches roulent, son souffle est court, bruyant. Soudain, ses hanches se lèvent un peu plus haut et elle vient s’empaler dans un grand soupir sur la longue verge noire. Elle gémit, écarte les jambes plus fort et parvient à l’engloutir complètement dans un grand "aaaah" sauvage.
Sur le fauteuil, Adriana a relevé la toge de Michelus, et pris en bouche son sexe dur comme la pierre. En connaisseur, il savoure cette caresse. La vieille gourmande s’y entend ! Elle s’est mise à pattes et d’un regard a invité Janus à la prendre. Michelus sent le coït du gouverneur se répercuter jusqu’à la bouche de son épouse. Le spectacle est si excitant, la bouche d’Adriana si douce et si chaude qu’il sent qu’il va jouir, et relève Adriana.
— Allons, donne-moi ton jus ! J’en veux chaque goutte !
Et elle replonge sur hampe dressée, la pompe avec une vigueur et une adresse contre lesquelles Michelus ne peut lutter. Il se met à décharger à grands flots tout son foutre dans la bouche de la vieille salope. A-t-il jamais joui si fort ? Il pousse un long grognement, tout en appliquant la chevelure blonde d’Adriana sur son sexe.Janus la laboure avec une énergie qu’on n’aurait pas soupçonnée, ses hanches claquant bruyamment sur ses grosses fesses. Il observe avec attention Caelina monter et descendre sur le banc, de plus en plus vite. Elle engloutit goulûment les sexes qui, tour à tour, se présentent devant ses lèvres. Face à elle, un des gardes a pris place entre ses jambes et la lèche. Elle frémit très fort, en rythme. Ses mains branlent les queues solitaires. Les cornes d’Arta s’imposent à son esprit. Elle a l’impression qu’une légion de queues s’est lancée à l’assaut de son corps, elle est envahie, vaincue, réduite à la servitude.
Derrière elle, un garde vient s’asseoir. Elle sent immédiatement sa hampe dressée dans son dos. Elysia enduit son anus d’une huile odorante. Oh, Caelina comprend et se relève, puis vient poser son anus contre la bite dressée. Son sexe toujours rempli par la lance d’ébène, elle s’empale doucement, prise des deux côtés. Elle redoutait la douleur, mais, est-ce l’onguent ? Une grande vague de chaleur envahit ses fesses, son ventre, puis tout son corps. Elle est prise de tremblements dans une extase invincible. L’homme puissant entame un va-et-vient inexorable. Complètement perdue, Caelina en oublie de sucer. Une main la rappelle à l’ordre, et sa bouche se remet à donner du plaisir aux gardes. Mais un long orgasme la prend, la bloque, l’aveugle de couleurs vives. Seul un long oh oh oh oh faible et saccadé émane d’elle.
Difficile de rester insensible à ce spectacle, et Michelus arbore de nouveau une érection maximale. Janus, surexcité, jute dans le sexe chaud et large d’Adriana, qui après un long "Hmmmm" ne semble pas encore rassasiée. Elle lèche à petit coup la bite dressée de Michelus. Puis elle se retourne, et lui présente sa croupe.
— Allons soldat, vas-tu saisir les plaisirs que Sodome t’offre ?
Sans un mot, surexcité, et un brin vengeur, Michelus pénètre l’anus offert. Adriana pousse un petit cri réprobateur. Tant mieux, qu’elle ait mal cette vieille salope ! Et il accentue son coup de reins jusqu’à la pénétrer à fond ! Loin de le réprimander, Janus l’encourage.
— Très bien Michelus ! Embroche donc cette putain !
ET, prenant sa toison blonde, il l’oblige à le sucer, bandant lui aussi de nouveau. Les deux hommes sont surexcités par le spectacle qui s’offre à eux.
Caelina a joui puissamment, mais elle n’en a pas fini. Dans une coupe en or est présentée devant la queue qui vient de la sodomiser, et Elysea psalmodie une incantation. Elle prend la main de Caelina, en branle la verge dressée. L’homme répand presque aussitôt sa semence dans la coupe. Pendant ce temps, un autre des gardes s’est couché sur le banc sur le dos. Son phallus bien dressé. Du geste, Elysea guide Caelina qui ne se fait pas prier pour venir s’y empaler. Deux autres gardes viennent tour à tour se faire sucer ou caresser. Avec ses pieds bien ancrés au sol, Caelina rythme un coït énergique, dont le rythme augmente comme celui de la musique. Elysia psalmodie, entrant en transe. Un garde vient prendre place derrière Caelina et pénètre un anus encore bien gras et dilaté. La jouissance la prend de nouveau. Elysia recueille la semence des deux gades qui profitaient de la bouche de Caelina. Puis venant près de ses deux jeunes disciples agenouillées, leur fait boire le foutre qu’elles semblaient espérer. Elles lèchent la coupe jusqu’à la dernière goutte. Un dernier garde vient face à Caelina et profite de sa bouche. Contrairement aux autres, plus passifs, il s’en sert comme d’un sexe et lui baise la bouche, au même rythme que les deux autres, au rythme de cette musique qui hypnotise Caelina. Elle jouit sans discontinuer dans un long râle entrecoupé de hoquets.
Devant la scène, Adriana, vigoureusement sodomisée, gueule, hors de contrôle. Michelus, qui a déjà joui, fait preuve d’une endurance peu commune et la grosse jouit comme rarement, ce qui semble plaire à Janus, qui sourit bizarrement. Il plonge et sort son sexe de la bouche de son épouse, au gré de son plaisir.
Sur le banc, Caelina s’active sur les trois glaives qui la transpercent. Elysia semble devenir plus nerveuse, encourage, puis crie sur le garde qui sodomise Caelina. Elle le voudrait plus énergique, et, soudain, elle sort de sa ceinture l’espèce de verge en cuir durci. Elle commence à en flageller vigoureusement les fesses du responsable. Immédiatement, piqué au vif, il défonce littéralement Caelina pousse un long cri déchirant. Dans son sexe l’autre garde se met à l’unisson, et le ventre de Caelina lui semble exploser. Elysia continue de crier, et de flageller son garde, qui crie et baise de plus en plus fort, avec une violence que Caelina n’a jamais connue, ni même soupçonnée. Puis après un dernier coup de fouet, Elysia donne un ordre et présente sa coupe que le garde remplit dans un long gémissement. Immédiatement, l’homme couché sur le dos gratifie également Elysia d’une belle quantité de foutre chaud.
Michelus sent son plaisir monter. Cela semble se voir car Janus l’interpelle.
— Soldat, gicle donc ta semence sur elle, ne te gêne pas ! — A tes ordres, Janus !
Et il se retire d’Adriana, tremblante, gémissante et dans un long grognement, lui asperge le dos de foutre brûlant. Alors qu’elle tressaille à cette douce brûlure, Janus lui offre lui aussi ce qui lui reste de sperme. Elle n’en perd pas une goutte ! En revenant doucement de leur extase, les trois spectateurs assistent à la fin de la scène. Caelina, pantelante, est relevée et assise par les deux disciples d’Elysia qui lui offrent à boire. Seul, le garde qui est resté debout n’a pas encore délivré sa semence. Elysia l’appelle face à la statue d’Arta et, agenouillée devant lui, commence une fellation très sensuelle, engloutissant le membre entièrement. Le plongeant jusqu’à la gorge, puis le suçant, tournant sa longue langue sur ce vit long et dur comme un serpent s’enroulant autour d’une branche. Puis en le caressant, elle psalmodie, et sur un ordre le garde part dans une longue éjaculation en grognant.
Elysia, qui a tout recueilli, tend la coupe à Caelina. A demi inconsciente, elle avale en hommage à Arta la semence sacrée. Puis Elysia lui caresse doucement le visage et l’embrasse.
Alors que Caelina revient doucement à elle, Elysia claque trois fois des mains. La musique s’arrête, une autre commence. Les rangs des adeptes d’Arta se reforment, et ils quittent la salle vers les appartements de la Prêtresse.
Michelus s’approche de Caelina, hagarde. Elle l’enlace et il la prend dans ses bras puissants jusqu’aux fauteuils. Adriana, qui est redevenue maîtresse d’elle-même, appelle ses serviteurs. Bacchus demande lui aussi son hommage...
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