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Glissement au libertinage avec Mélody

Chapitre 1

Orgie / Partouze
Quand on est lycéen fraîchement diplômé du bac, l’arrivée à la fac marque un grand tournant dans la vie. J’ai vu tous mes amis partir à l’université pendant que moi je repassais ma terminale. Quand ils me racontaient tous les délires et leurs sorties avec d’autres étudiants, j’étais bien jaloux dans ma pauvre vie de lycéen bien monotone avec toujours les mêmes gens, les mêmes profs sans avoir la moindre liberté. Mais une année plus tard, à moi d’en profiter.

À la différence de mes amis qui sont partis à l’université de lettres, je suis allé à celle de sciences pour y approfondir la biologie dans une grande ville de France. Après avoir trouvé un logement, me voilà enfin paré pour la rentrée avec plein d’idées d’amusement en tête et surtout prêt à choper toutes les petites étudiantes qui passaient. Mais bon, ça reste dans la tête, car à l’arrivée à l’université, il faut bien l’avouer, j’étais toujours puceau et je suis en plus un grand timide qui voulait que sa première fois soit parfaite. En clair, beaucoup de fantasmes dans la tête mais une fois la réalité en face, il n’y a plus personne.

Mais cette fois-ci ça va changer. Une grosse déception amoureuse en fin de terminale a changé mon état d’esprit. Cette fille me manipulait, m’a fait croire qu’elle avait des sentiments pour moi mais c’était surtout pour profiter de ma trop grande gentillesse. Après l’avoir vue à la soirée de fin d’année entre amis se taper mon meilleur ami avec un mec que je connaissais et que je ne pouvais pas supporter, j’ai décidé de ne plus chercher le grand amour et de faire ma première fois avec une fille et que ce soit parfait. Maintenant j’avance, je drague la première que je croise et tant pis pour les râteaux, je profiterai sexuellement de ma vie étudiante comme on voit dans les films américains. De plus, je suis dans une nouvelle ville où je ne connais presque personne, je n’ai pas de réputation qui me colle à la peau (même si elle était excellente, je ne voulais pas être le très gentil garçon du lycée).

La rentrée arrive et je regarde les filles dans l’amphi. J’ai de la chance, la biologie est composée à deux tiers de filles, le hasard fait bien les choses. Beaucoup de filles, de tous les looks : de la première de la classe au premier rang à la baba-cool du dernier rang en passant par les gothiques ou les filles « normales ». À ma grande surprise, le cliché de l’étudiante bimbo en mini-jupe n’est pas présent et après enquête, il s’avère que les bimbos ne suivent pas les études de sciences mais vont plutôt en droit ou en psycho pour « changer le monde ». Ce n’est pas plus mal, les autres filles sont plus faciles pour moi à aborder.

Quelques jours passent, le temps de s’adapter à cette nouvelle vie, de repérer les lieux dans cet immense campus et d’essayer de reconnaître quelques personnes. Je me suis fait quelques amis et amies mais je m’attarderai plus sur Mélody. Cette fille m’a fait découvrir le sexe et fait une initiation au libertinage. C’est elle qui m’a tout appris. Elle a quitté le pays maintenant mais à l’époque c’était ma sex-friend et c’était torride.

On s’est retrouvés assis l’un à côté de l’autre pour un cours de travaux pratiques (ordre alphabétique oblige par une prof de l’ancien temps). Elle est de taille moyenne, plutôt petite mais moi étant de grande taille, toutes les filles sont petites pour moi. Cheveux noirs, les yeux d’un bleu très clair, un joli sourire qui met en valeur son piercing sous la lèvre inférieure. De jolies formes, ni trop grosse, ni trop mince, un maquillage léger mais surtout une poitrine très volumineuse. Elle ne porte pas de décolleté, à vrai dire, malgré son joli physique, elle ne se met pas en valeur par des vêtements provocants ou un maquillage de pute. Elle porte un haut bleu très classique, un jean noir et des chaussures à semelles compensées. À ses yeux et son sourire, je sais qu’on va vite sympathiser et que bosser avec elle ne sera pas trop dur. C’est elle qui entame la conversation :
— Salut, moi c’est Mélody, ta binôme du jour.— Salut, moi c’est Manu, ton binôme de toujours car binôme d’un jour binôme de toujours.

Oui, j’ai un humour nul, mais c’est ma marque de fabrique. En tout cas, elle a quand même ri à ma blague.
— J’ai entendu parler de cette prof-là. Elle est terrible. Je suis sûr que si elle avait le droit elle frapperait les étudiants qui ne savent pas répondre aux questions.— C’est marqué « vieille bique » sur son front de toute façon. Suffit d’attendre que ça passe.


Mais les trois heures de travaux pratiques sont tout de même longues. Cette vieille bique ridiculise les élèves à chaque mauvaise réponse et les traites de bons à rien et de futurs chômeurs. Tout le monde baisse la tête quand elle s’approche, Mélody et moi les premiers. C’est tentant de la rembarrer, mais il vaut mieux éviter tant qu’elle n’a pas donné la note finale. À la fin de ces trois heures, la prof annonce qu’un lourd compte-rendu sur ce que nous venons de faire est à rédiger pour le mois prochain.
— Super, on va encore bosser ensemble.— Oui. Je suis content, tu es une bonne binôme. Tu ne manques pas de t’évanouir dès qu’on touche à ces petits insectes comme toutes les pétasses que j’ai vues au lycée.— Non, dans la science, il faut ne pas être dégoûté, sinon tu vas en droit ou en psycho pour changer le monde.

Éclat de rire de nous deux. Décidément cette Mélody est très sympathique. Il y aura peut-être moyen de faire quelque chose avec elle. Comme nous avions le même cours après-midi, nous allons ensemble au resto U. Tant mieux, je ne lâche pas l’affaire. J’apprends qu’elle est de Paris, que ses parents sont divorcés, sa mère est d’Afrique du Sud et son père tient un bar gay dans Paris, ce qui a causé le divorce.
— Ça te choque ?— Non. Je suis très ouvert d’esprit, je suis juste surpris.— Tu ne me juges pas ?— Non. C’est tes parents, tu n’es pas tes parents.— Tant mieux, ça braque beaucoup de monde quand je dis ça. D’habitude je le dis jamais aussi vite, mais je me suis dit qu’avec toi je pouvais le dire sans que ça te chose.— Tu t’es bien dit. Mais comment ça se fait que tu te sois retrouvée dans cette ville ?— Je voulais respirer un peu de la pression de Paris ou d’Afrique du Sud. J’ai plus cinq ans, je vis ma vie comme je veux, je sors avec qui je veux et je couche avec qui je veux.

Je souris. Est-ce un sous-entendu ? Je ne sais pas, je dévie malgré moi le sujet de conversation sur autre chose. Ma timidité lycéenne reprend le dessus. Je n’ai pas changé sur ce point, beaucoup de fantasmes dans la tête mais au moment de passer à l’acte plus personne.

Pour le cours de l’après-midi, nous ne sommes pas assis ensemble. Elle a rejoint sa copine et j’ai rejoint mes potes. On a convenu d’un RDV chez moi pour bosser le compte-rendu assez vite. Elle passera chez moi demain soir à 18 h. En finissant à 16 h, je pourrai commencer sans elle.

Elle est assise deux rangs devant moi. Pendant le cours elle a enlevé son pull. Je peux bien apprécier ses seins avec son débardeur. Ils sont tellement gros que son débardeur tout à fait classique devient un décolleté provoquant. Très provoquant. De là où je suis, j’ai une vue imprenable. C’est la première fois que je vois des seins aussi gros en vrai. Je pense qu’elle doit faire du bonnet D ou E et avec sa petite taille il paraissent bien plus gros. J’ai beaucoup de mal à me concentrer pendant l’après-midi.

Le jour J arrive. Je me fais plein d’idées dans la tête, je fantasme sur le fait qu’elle vienne en jolie tenue et qu’elle proposerait de passer à la casserole avant de bosser. Ou encore qu’elle vienne avec une de ses amies pour un plan à trois ou encore qu’elle me suce pendant que je taperais le rapport à l’ordinateur. Il faut que je me calme et vite, je ne peux pas être déconcentré à regarder son décolleté et je risque de me faire griller pour la suite. Vu qu’elle n’arrive pas avant une heure, je me dis que je vais faire comme dans le film Mary à tout prix : il faut que je décharge le fusil avant de la voir. Étant étudiant seul dans sa chambre universitaire, je ferme ma porte à clé, mets internet et vais sur mon site de vidéos pornos favoris. J’adore ce site, il y a plein de choix de vidéos et je fais mon choix selon mon humeur du moment. Étant très excité par Mélody, je cherche une vidéo de partouze étudiante sur un campus. Je trouve vite mon choix, prends un morceau de sopalin et me branle tranquillement devant le film. J’imagine Mélody à la place de cette fille prise en levrette par un étudiant.

Soudain mon téléphone sonne. C’est Mélody qui m’envoie un sms. En jetant un coup d’œil je peux lire :

« je suis en bas, la porte est ouverte je monte »

Et juste après elle m’appelle. Je me rhabille en vitesse, ferme mon ordinateur portable et décroche.
— Allô Mélody ? T’es déjà là ?— Oui je me suis trompée de groupe dans l’emploi du temps, finalement je n’ai pas cours. Donc je suis venu directement.— T’as bien fait. Ma porte c’est le numéro 124, au premier étage.— Je sais, tu me l’as déjà dit, je suis devant.

J’entends frapper, elle était juste derrière la porte et moi j’étais juste en train de me branler, j’ai encore mon sexe en érection dans mon pantalon. Pourvu qu’elle ne remarque rien. J’ouvre la porte. Elle est là, souriante, son sac de cours à la main et un pack de bière dans l’autre. Elle est habillée de la même manière que deux jours avant. Simple, sobre mais très joli sur elle.
— J’ai croisé six jolies blondes en route, je me suis dit que j’allais les ramener, ça sera plus sympa.— Tu as bien fait, entre. Je n’ai pas encore commencé, tu es là plus tôt que prévu.— Ce n’est pas grave, plus vite on commence, plus vite ça sera terminé.

On ressort donc nos brouillons et nos calculs pendant ces travaux pratiques. On commence par rédiger un brouillon de feuille propre avant de le taper au propre à l’ordinateur. Mélody est géniale. Très intelligente, elle trouve rapidement les réponses aux questions posées.
— J’ai un doute sur cette question. Faut que j’aille voir sur internet pour trouver l’info. Je peux prendre ton ordi ?— Vas-y, il n’y a pas de mot de passe, ouvre le direct.

Je suis concentré sur le graphique que je devais dessiner. Je l’entends ouvrir mon ordinateur et puis des bruits de rapport sexuels. Je tourne la tête pour voir ce qu’elle fait et je la vois de dos, immobile, bloquée sur ce qu’elle voit sur mon ordinateur. Je viens de me rendre compte que quand j’ai fermé l’ordinateur, je n’ai pas fermé le navigateur internet, j’ai juste fermé le clapet de l’ordinateur et quand elle l’a rouvert, le porno s’est remis en route. Très gêné, je vais vite à l’ordinateur pour fermer le film. Avant que j’y arrive, elle tourne la tête et me dit :
— Mais tu te matais un porno quand je suis arrivé ? Tu te branlais ?

À ma grande surprise, ce n’est pas du dégoût que je vois sur son visage, mais plutôt de l’admiration. De l’excitation même. Ses yeux se sont mis à briller et elle a un grand sourire.
— Non.— Ne mens pas. C’est pas grave. Il y a encore le sopalin sur le bureau.

C’est vrai, le morceau de sopalin est toujours là, à côté de la souris.
— Oui bon… désolé. Mais ne t’étais pas censée arriver aussi vite.— T’excuse pas, t’as raison de te faire plaisir. Moi aussi j’aime me branler devant un porno. Et on va sur le même site internet de vidéo. Qu’est-ce qu’elle est chaude cette nana !

Elle se retourne vers l’ordinateur et continue de regarder la vidéo comme si de rien n’était. Je suis debout, incapable de bouger. Elle me dit :
— On se fait une petite pause ? Ça fait une heure qu’on bosse. Amène une bière, je voudrais voir comment ça finit.

Je me décide à bouger, j’apporte deux bières que je décapsule et amène une chaise près d’elle. Apparemment, la fille sur la vidéo ne se contentait pu d’être prise en levrette par un seul homme. Elle faisait un 69 à une autre fille pendant qu’elle se faisait sodomiser par un Black assez fortement membré.

Mélody est à son aise. Assise confortablement sur la chaise, elle regarde le film et boit sa bière comme si on regardait un match à la télévision. Je ne sais pas trop bien où me mettre. Je suis pris d’un côté par un fantasme qui se réalise enfin et ma timidité légendaire de l’autre qui m’empêche de bouger.
— Pourquoi il n’y a que dans les films qu’on voit des nanas comme ça ? Franchement en France je ne sais pas s’il y en a.— Oui. Mais ça se veut être un film amateur mais je suis sûr que c’est des acteurs.— Pas sûr. Si c’étaient des acteurs, il n’y aurait pas de physiques ordinaires. Regarde le mec, là, un peu de ventre et petite queue. Et celui-là n’est pas rasé. Non je pense que c’est authentique ce qu’on voit. Une bande de potes très portés sur le cul.

Elle dit tout ça sans détacher les yeux de l’ordinateur et continue de boire sa bière. Je commence à devenir de plus en plus excité par la situation. Le film continue, d’autres mecs et filles viennent se rejoindre au couple au milieu du salon, une véritable partouze étudiante et Mélody regarde cela d’un regard coquin. La vidéo se termine.
— Oh non, déjà ? Mais on ne voit même pas jusqu’au bout, elle est nulle cette vidéo.

Elle prend la souris et choisit une autre vidéo. Une autre partouze étudiante avec des blondes à gros seins et des sportifs balèzes avec des grosses bites.
— Ah voilà, c’est mieux. Quitte à se rincer l’œil, autant regarder des jolis mecs et jolies filles.

C’est à ce moment-là qu’elle change complètement de position sur sa chaise. Elle lève une jambe au-dessus de l’accoudoir et défait le bouton de son jean et sa braguette et commence à se masturber juste à côté de moi tout en regardant la vidéo. Ne me voyant pas réagir elle me dit :
— Fais-toi plaisir. Finis ce que t’avais commencé, tu vas avoir les couilles bleues sinon. Ne te gêne pas. Des bites, j’en ai vues plusieurs.

Je me lâche de plus en plus. La bière et l’aisance de Mélody m’aident à me détendre, je baisse mon pantalon et reprends ce que j’avais commencé une heure plus tôt. Je sens la respiration de Mélody qui s’accélère, elle est de plus en plus excitée. Elle me dit le plus naturellement du monde :
— Ça te fait fantasmer les partouzes ?— Oui beaucoup. Je regarde pas mal de vidéos de ce genre entre jeunes étudiants.— Moi aussi. Qu’est-ce qui te plait dans cette situation ?— Le fait qu’ils soient tous jeunes, envie de découvrir leurs corps et de nouveaux plaisirs.— Moi ce que j’aime, c’est qu’il y a plein de combinaisons possibles. Un homme une femme, deux femmes ensemble, une femme avec deux mecs ou un mec avec deux femmes. J’adore.— C’est quoi tes autres fantasmes ?— Baiser à plusieurs. Des plans à trois avec deux mecs ou deux filles. Un plan à quatre avec un autre couple ou une orgie de ce genre. Mais j’aimerais commencer par deux mecs en même temps.

Nous parlons sexe et fantasmes tout en continuant à nous masturber. De temps en temps Mélody détache son regard de la vidéo pour me regarder dans les yeux en train de me masturber, avec un joli sourire coquin. Elle regarde mon sexe avec admiration. Je ne comprends pas trop pourquoi, mon sexe n’est pas énorme en le comparant aux mecs du film. Il est tout à fait normal, mes quinze centimètres sont dans la moyenne mais je pense qu’elle est très excitée par la situation.
— Et toi ? C’est quoi tes fantasmes ?— Baiser en groupe aussi. Mais en ce moment, mon fantasme c’est toi.

Je suis tellement excité par la situation qu’il n’y a plus de timidité. Là c’est mon envie de sexe qui prend le dessus.
— Oui, moi aussi.

Elle se lève de sa chaise et vient se positionner à genoux devant moi et commence à me branler. C’est la première fois qu’une fille touche mon sexe, je suis aux anges. Elle regarde mon sexe dur et droit dirigé vers elle et avec un sourire coquin en me regardant dans les yeux elle sort sa langue pour me lécher la verge. C’est très bon. Je la regarde faire, me laissant totalement guider par elle puis elle engobe mon sexe que je vois disparaître dans sa bouche. Je lâche un râle de plaisir. Je sens sa langue titiller mon gland, me lécher de haut en bas. Avec ses mains elle me masse les testicules ou me branle tout en léchant le bout du gland. Le plaisir monte vite mais je me retiens le plus possible. Je me souviens des conseils d’un copain qui me disait : « Pense à ta grand-mère, pense aux factures ou à des trucs chiants. Mais ne jouis pas tant qu’elle n’a pas pris son pied. Et si tu sens que ça monte, tu t’arrêtes et tu t’occupes d’elle pour redescendre. »

Et c’est ce que je fais, je me fais sucer quelques instants et je sens la sauce monter en moi. Avec un geste, je lui fais comprendre que maintenant c’est moi qui vais m’occuper d’elle. Elle se relève, se déshabille complètement et s’allonge sur le dos sur mon lit. J’ai enfin une fille dans mon lit. Et quelle fille ! Une grosse cochonne. C’est sûr, je n’oublierai jamais ma première fois.

Je n’ai jamais pratiqué de cunni, je n’ai encore jamais vu de sexe féminin en vrai avant ce jour. Mais Mélody me gâte. Comme dans les films, elle a le sexe entièrement épilé. Ses lèvres sont déjà ouvertes et son clitoris est tout gonflé. Je me rapproche d’elle. Je commence à la caresser, prendre ses énormes seins en main. Ils sont bien ronds, fermes, lourds, une poitrine très généreuse. Je lui embrasse les seins, titille ses tétons, les lèche. Mélody a l’air très sensible à ce niveau-là, je l’entends gémir et commencer à de déhancher. Je lui donne des baisers sur son corps en descendant petit à petit vers son intimité. J’ai enfin un sexe féminin à quelques centimètres de ma bouche. Je peux sentir le doux parfum qui en émane et à quel point elle mouille. Je parcours mes doigts sur ses lèvres, titille son clito. Elle gémit de plus en plus et se cambre inconsciemment. Du bout des lèvres je peux entendre :
— Lèche-moi…

Je ne la fais pas attendre plus longtemps. J’approche ma bouche de son intimité toute lisse. Elle prend très soin de son corps. Je dépose ma bouche sur son sexe et je peux goûter à ce délicieux nectar salé. J’ai vu beaucoup de films, je pensais tout savoir sur la théorie des cunnis. Mais la réalité est toute autre. Elle ne crie pas comme dans les films. Elle pousse quelques soupirs de plaisir mais ne semble pas surexcitée. Elle met une de ses mains derrière ma tête pour me guider. Elle me dirige vers ses lèvres pour la lécher et me fait remonter ensuite vers son clito pour que je le titille avec ma langue. C’est elle qui mène la danse, ce n’est pas plus mal car je vois qu’elle commence à prendre plus de plaisir.

Je finis par comprendre ce qui lui procure du plaisir et très vite je n’ai plus besoin de sa main pour me guider. Elle me lâche la tête et je la sens s’enfoncer dans le matelas et l’oreiller. Elle est proche de l’extase. Elle pousse un râle de plaisir et je la sens se contracter et son sexe devient très humide d’un coup. J’ai réussi à faire jouir une fille rien qu’avec ma langue et du premier coup. Même avec un peu d’aide, je suis très content.
Je remonte le long de son corps pour jouer avec ses seins le temps qu’elle reprenne ses esprits. Elle finit par émerger rapidement et me dit avec un regard coquin :
— T’as ce qu’il faut ?

Sans traîner, je passe ma main sous le lit pour en sortir une boîte de préservatifs. J’en sors un et le mets rapidement sur mon sexe. Mélody change de position et m’oblige à m’allonger sur le lit. Elle se met à califourchon sur moi et s’empale doucement sur mon sexe. Ça y est je deviens un homme.

J’ai mon sexe dur comme du bois dans la chatte de Mélody. Elle commence à faire des allers-retours. Tout doucement pour profiter d’un maximum de plaisir, puis de plus en plus vite. Je sens qu’elle se lâche complètement. Je vois ses seins arrogants bouger au rythme de ses mouvements. Je les prends en main et les caresse. Je titille ses tétons avec mes doigts et elle met ses mains au-dessus des miennes. Sa tête va en arrière, elle ferme les yeux et gémit franchement. Elle prend son pied, la coquine.

Je la sens monter en température. Son vagin se contracte autour de mon sexe et je ne vais pas tarder à envoyer la sauce. Je fais tout pour me retenir. Elle pousse un cri, toujours les yeux fermés et la tête en arrière. Elle a encore joui. Elle jouit très rapidement, la coquine. Peut-être qu’elle fait semblant, mais j’en doute vu les contractions de son vagin autour de mon sexe. En tout cas, elle a cessé ses mouvements et tant mieux, je peux me calmer et faire redescendre la sauce, je la regarde dans son état léthargique tout en la caressant sur les hanches, les seins, le cou. Elle me regarde à nouveau avec un sourire satisfait. Elle me dit :
— Je ne te pensais pas aussi doué.

Moi non plus, honnêtement. J’ai peut-être trouvé très rapidement ses points sensibles. Je lui réponds avec un sourire plein de fierté de lui avoir procuré du plaisir deux fois. Elle se retire et se met à quatre pattes à côté de moi, elle me dit :
— Prends-moi en levrette. Lâche-toi, mais préviens-moi quand t’es sur le point de jouir.

Je me relève et je me mets derrière elle. Elle est à quatre pattes, cambrée, ses jolies fesses dirigées vers moi prêtes à m’accueillir. Je profite du spectacle en lui caressant son clito. Mon sexe ne débande pas, mais je ne m’introduis pas tout de suite pour que mon excitation redescende un peu et que le rapport dure plus longtemps. Elle aime ça et finit par me dire :
— Baise-moi, qu’est-ce que t’attend ? Je suis au bout…

Je me rapproche de ses fesses et j’introduis mon sexe dans sa chatte toute humide. J’entre sans difficulté et mon sexe frotte contre la paroi de son vagin. La sensation est bien plus grande dans cette position. Beaucoup plus de plaisir sans aucun doute.

Je mets mes mains sur ses hanches et commence à faire des va-et-vient. Quel pied de prendre une femme à quatre pattes ! J’y vais doucement d’abord et puis de plus en plus vite. J’alterne sur les conseils de mon ami des mouvements rapides et lents. Le rapide pour le plaisir, le lent pour l’endurance. Mélody a la tête dans l’oreiller, elle pousse des petits gémissements à chaque coup de reins. Je deviens de plus en plus excité et je ne peux plus tenir très longtemps. Je finis par lui dire :
— Je sens que je vais venir.

Elle m’oblige à m’arrêter. Elle se met sur le dos de manière à mettre ses seins juste devant mon sexe gonflé. Elle enlève le préservatif qu’elle jette par terre et commence à me branler énergiquement tout en me regardant dans les yeux avec un regard de nymphomane. Je comprends qu’elle veut que je jouisse sur ses seins. Ils sont tellement beaux, aucun problème pour cela.

Je ne tiens pas longtemps. Je lâche tout ce que j’ai en réserve sur ses seins magnifiques. La belle sait très bien faire jouir un homme, elle stoppe et recommence ses gestes juste au moment où il faut. Je lâche plusieurs jets puissants sur ses seins et ils sont vite recouverts. Je lâche un cri de plaisir tellement c’est bon.

Quand je reprends mes esprits, je vois Mélody toujours avec son regard de coquine et avec un sourire satisfait. Elle continue de me branler doucement pour ne pas laisser la moindre goutte. Elle suce à nouveau mon sexe pour le nettoyer et quand je commence à débander elle me lâche et part se nettoyer dans la salle de bain. Je me rhabille satisfait. Remis de nos émotions, nous nous remettons à travailler comme si de rien n’était.

Après le travail, nous reparlons de ce que qu’il s’est passé. Nous convenons elle et moi que nous deux ce sera juste un plan cul. Du sexe, rien que du sexe, pas de sentiments. On est libre de faire ce qu’on veut, chacun de notre côté. Dès que l’un de nous a envie, il appelle l’autre pour une partie de jambes en l’air. Heureusement qu’on n’habite pas très loin l’un de l’autre. Il faut également être discret à la fac vis-à-vis de nos amis.

Ce n’est pas un coup d’un soir. On se voit régulièrement pour baiser, environ trois fois par semaine en le faisant une à deux fois à chaque fois. Je deviens de plus en plus bon et on prend de plus en plus de plaisir à chaque fois. Cette relation à deux va durer un peu plus de deux mois.

Je dis relation à deux, car au bout de deux mois, nous avons décidé elle et moi de franchir un cap dans notre relation plan cul.

À suivre…
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