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Glissement au libertinage avec Mélody

Chapitre 3

Orgie / Partouze
Résumé des épisodes précédents : Tout juste arrivé à la fac, je rencontrais Mélody pendant un cours de travaux pratiques. Nous avions 20 ans tous les deux. Pour finir un compte-rendu que nous devions rédiger, elle est venue chez moi pour travailler. La séance de travail s’est vite transformé en ébat sexuel et depuis nous nous voyons régulièrement pour coucher ensemble.Très vite, nous avons décidé de franchir le pas dans notre relation et de réaliser un plan à plusieurs. Sur un site de rencontres libertines, nous avons pris contact avec Jérôme et Marie : un couple échangiste la cinquantaine et sommes allé chez eux un samedi soir pour une partie de jambes en l’air torride. Le soir, nous nous sommes couchés dans deux chambres séparées en échangeant les couples. Cette troisième partie de ma série est la suite directe du 2è épisode, le dimanche matin chez Jérôme et Marie…

En ce dimanche matin, je me suis tout d’abord réveillé ne sachant pas où je me trouvais. J’étais couché dans un grand lit dans une pièce que je ne connaissais pas. La raison de mon réveil est le mouvement de la femme à côté de moi qui s’est levée et ses pas m’ont tiré de mon sommeil.Tout me revient très rapidement. Nous sommes chez Marie et Jérôme. Ce couple tellement sympathique et généreux qui nous ont offert à Mélody et moi une partie de baise des plus torrides.
J’ai dormi avec Marie cette nuit mais tellement épuisé après nos ébats de la veille, nous n’avons pas fait de choses supplémentaires elle et moi. A y repenser je le regrette un peu aujourd’hui : avoir cette femme splendide rien que pour moi dans ce lit m’excite encore aujourd’hui.Marie n’a pas fermé la porte de la chambre quand elle est descendue à l’étage en dessous. Je l’entends ranger la vaisselle de la veille et parler à quelqu’un. Je reconnais la voix de Jérôme qui était levé aussi. Mélody était en bas aussi ? Je ne le savais pas et pour en avoir le cœur net je commençais à me lever pour les rejoindre. C’est à ce moment là que je vis Mélody ouvrir la porte de la chambre et m’appeler :-Tu es là ?-Oui. Marie n’est pas là, elle est en bas avec Jérôme.-Oui je sais. Il m’a réveillé quand il s’est levé.
Tout en parlant, elle est venue me rejoindre dans le lit pour prendre la place de Marie. Mélody était entièrement nue. Je dois dire que c’est très agréable et égaye la journée de voir son corps nu dès le matin. A ma grande surprise, elle se blottit dans mes bras et me donna un baiser. Mais ce n’était pas les baisers de d’habitude. Celui-ci était tendre, langoureux, peut-être même amoureux. En tout cas il était plein de passion. Après ce baiser, elle posa la tête sur mon épaule et me caressa le torse.-Excuse-moi, me dit-elle, j’avais envie ce matin-Ne t’en fait pas. J’avais envie aussi.Elle resta un petit moment silencieuse avant de reprendre :-Quelle soirée hier…je n’avais jamais connu ça. Ils sont tellement gentils-Le couple parfait. Pour notre première expérience libertine nous sommes bien tombés.-Oui. Lui est tellement bon baiseur. Il sait comment faire plaisir aux femmes.-Elle n’est pas mal non plus. Elle a un corps de rêve et c’est une sacré salope. On voit que les deux aiment vraiment ça.-Je suis sûr qu’ils baisent 24h/24h. Ils disent qu’ils ne font pas ça souvent, mais j’en doute. Vu le bien que me fait Marie, elle a du en bouffer des chattes.
J’adorais ces moments avec Mélody. Elle parle de sexe le plus naturellement du monde comme si elle parlait de la météo. -ça m’a surprise quand elle a voulu séparer les couples pour cette nuit ?-moi aussi. Ils sont vraiment échangistes jusqu’au bout. T’as fait quelque chose avec Jérôme quand vous étiez dans la chambre ?-non rien. Avec tout ce qu’on a fait je me suis écroulé de sommeil avant même qu’il me rejoigne dans le lit. Et quand je me suis réveillé il était déjà levé. Je pourrais presque dire que j’ai dormi toute seule cette nuit vu que je ne l’ai jamais vu à côté de moi. Et toi ?-Pareil, on a pris une douche rapide mais dès que je me suis posé dans le lit je me suis écroulé immédiatement. Elle m’a réveillé aussi en se levant.
Nous restons ensuite silencieux quelques instants. Mélody me caressait toujours le torse et j’avais la main posé sur sa hanche. Nous repensions à la soirée d’hier. En bas, Jérôme et Marie avaient finit de ranger la vaisselle. On entendait clairement leur discussion maintenant-J : sympas ces deux jeunes non ?-Ma : oui. Très mignons et coquins. T’as vu la petite ? Elle sait faire autant avec les hommes qu’avec les femmes-J : très bonne suceuse pour son âge. Elle a beaucoup de potentiel. Et lui ? Tu l’as trouvé comment ?-Ma : très mignon. Il sait prendre son temps pour faire plaisir aux femmes. Et il a une queue...elle n’est pas grosse mais très bonne.-J : oui il me tente bien aussi. J’aimerais beaucoup le sucer. Mais t’as vu comment il a régit quand t’as dit que je dormirais avec lui ? Ça l’a bloqué immédiatement.-Ma : oui il n’a pas l’air bi. Mais il est jeune, ça lui viendra surement. -J : C’est sûr, il n’a pas été réticent avec la chantilly hier soir. Je suis sûr qu’un jour il se laissera tenter.-Ma : Et j’ai vu comme il matait ta queue. Dans le fond il en a envie mais il n’ose pas se lâcher. On verra bien aujourd’hui s’il se laissera peut-être tenter. J : OK on les garde jusqu’à ce soir et j’ai besoin de ton aide pour le faire essayer.-Ma : T’en fais pas, j’ai déjà plusieurs idées en tête.
La conversation s’arrêta là. Je les entendais s’afférer à leurs petites affaires. J’étais estomaqué par leur discussion. J’ai du potentiel pour être bi ? Ils ont vu ça rien qu’à mon regard ? Mais je ne suis pas bi et si je matais le sexe de Jérôme hier soir, c’est uniquement parce que je voulais voir Mélody se faire plaisir avec. Dans ce genre de rencontre, on voit forcément le sexe de l’autre homme.Mélody se releva et me regarda avec un sourire :-T’es un homo refoulé toi en fait !-Arrête tes conneries. Je n’ai pas du tout envie de voir ma queue dans sa bouche. Je ne suis pas homo. Je suis hétéro, et je ne suis pas bi non plus-Oh dis-donc. Que les filles soient bi c’est normal pour vous les mecs, mais quand on parle de vous, vous ne voulez pas en entendre parler.-Écoute, toutes les filles ne sont pas bi. Qu’elles le soient c’est un fantasme pour tous les mecs. Moi je ne suis pas bi et ne compte pas le devenir.-Mais qu’est-ce que t’en sais que ne t’es pas bi ?-ça ne m’excite pas tout simplement. -et si je t’excite avant ? Si avec Marie on te suce et que Jérôme vient ensuite. Tu resterais excité quand même.-insiste pas, je ne veux pas qu’il m’astique. Je n’aime que les femmes et je n’aime pas qu’un homme me touche.-Il faut toujours gouter avant de dire qu’on n’aime pas. Je m’étais toujours dit que je n’aimais pas les femmes et quand je me suis fait brouter la première fois j’ai adoré. Les femmes savent comment faire plaisir aux femmes. Je suis sûr que c’est pareil pour les mecs. Il saura te faire du bien.-Bon ça commence à me saouler cette discussion. Je ne suis pas tenté par une expérience bi et rien ne changera. C’est tout.
Je le dis sur un ton qui voulait dire que pas de réponse n’était nécessaire. Mélody se blottit à nouveau contre mon épaule en s’excusant et elle m’avoua que c’est un de ses fantasmes de voir deux mecs se sucer devant elle. Nous sentions l’odeur du café monter dans les étages. Avec Mélody nous décidons de descendre rejoindre nos hôtes.Tous nos vêtements sont restés en bas. Nous allons donc descendre tous les deux entièrement nus. Un peu gêné je l’avoue. La veille ça ne me dérangeais pas mais nous étions tous dans un grand état d’excitation. Mais arrivé dans la cuisine, nous voyons que nos hôtes étaient nus eux aussi. Marie avait finit par hôter ses grande chaussures, seuls ses bijoux étaient sur elles. Elle avait les yeux fatigués mais toujours aussi coquins et charmeurs. Les deux étaient assis à la table de la cuisine et prenaient leur petit déjeuner. Ils nous ont invité à nous asseoir et avons pris le petit déjeuner ensemble.
Je ne détaillerais pas les discussions banales sur le boulot des uns et des autres ou les travaux que marie et Jérôme ont réalisé dans la maison. Je vais donc aller à l’essentiel, quand Mélody posa la question qui m’a mis mal à l’aise :-Mé : Vous pensez vraiment que c’est un futur mec bi ?-Ma : Vous nous avez entendu ? Je suis désolée, on pensait que vous dormiez encore et que vous ne nous entendez pas.-J : on aurait jamais dit ça comme ça dans le but que vous nous entendiez.-Mé : en tout cas on a entendu. Mais lui ne partage pas votre avis-Moi : inutile d’en parler d’avantage. Je suis hétéro et je ne suis pas attiré par une expérience bi. La proximité entre mecs n’est pas gênante quand nous faisons ce genre de choses tous les quatre, mais de là à ce que Jérôme me suce, ça ne m’excite pas.-J : et pourtant qu’est-ce que ça t’excite de voir deux femmes entre elles !-Moi : oui mais ce n’est pas pareil. Les hommes fantasment sur les femmes bi, mais moi je ne fantasme pas sur les mecs bi. Chacun ses gouts c’est comme ça-Mé : oui il est très borné-Moi : je ne suis pas borné. C’est mes gouts, mes envies tout simplement.
Les trois m’ont tous regardé avec un regard que je ne pouvais décrire et un sourire aux lèvres. Préparaient-ils quelque chose ? Je ne savais pas. Quoi qu’il en soit, après cette discussion, Jérôme et Marie se sont levés pour débarrasser la table et je pouvais voir que Jérôme bandait. Visiblement, parler de sexe même un tout petit peu l’excitait rapidement. Il aidait marie d’une manière peu commode. Il se mettait toujours derrière elle pour que son sexe touche ses fesses et la gêne dans ses déplacements. Marie riait, gloussait plutôt. Mais elle se laissa plutôt faire. Je la voyais tortiller du cul quand elle marchait et elle faisait souvent tomber des choses au sol pour les ramasser. Mais quand elle se baissait, elle gardait les jambes tendues pour nous montrer ses fesses. Jérôme jouait avec son sexe avec elle.
Avec Mélody nous regardions ce spectacle amusant. Une fois la table débarrassée, Marie se mit à genoux et prit le sexe de Jérôme en bouche. Cela faisait à peine 1h que nous étions levés et déjà la partie de sexe recommença. Quel beau spectacle. J’avais l’impression de voir un film X en vrai. Une jolie femme blonde aux gros seins suçant un mec bien membré dans leur cuisine chez eux. Pour faire monter l’excitation, Marie poussait quelques petits gémissements et commençait à se masturber. Jérôme était appuyé contre le plan de travail profitant du spectacle et du bien que lui procurait sa femme. Marie suçait avec soin. Elle lui aspirait le gland en le branlant. Elle léchait son membre de haut en bas, attardait sa langue sur son gland en le regardant dans les yeux d’un regard coquin. Jérôme regardait sa femme le sucer et posait souvent son regard sur Mélody avec un sourire.
Je la connaissais bien ma petite Mélody. Je savais qu’elle commençait à être très excitée. La preuve est vite arrivée. Elle décroisa les jambes et caressa doucement son minou qui je suis sûr était déjà bien humide. Mon excitation était de plus en plus importante aussi. J’étais content d’être nu à ce moment là, je pouvais bander à mon aise. Mélody se leva mais pas pour venir vers moi, elle alla vers Jérôme et l’embrassa à pleine bouche en lui caressant le torse. Marie passa sa main avec laquelle elle se touchait sur les fesses de Mélody pour des caresses sensuelles. Jérôme stoppa le baiser et fit signe à Mélody de retourner s’asseoir. Elle était visiblement déçue mais elle obéit. Marie ne s’était pas arrêtée. Elle suçait abondamment le sexe de son homme. On entendait le bruit de succion avec sa salive. Marie lui fit une gorge profonde et la pipe devenait de plus en plus baveuse. Mélody ne se gênait plus pour se faire plaisir. Elle se masturbait d’une main et caressait ses seins de l’autre. Elle pinçait ses tetons et ne détachait pas son regard de la scène. Moi aussi je me faisais plaisir et commença à me masturber doucement pour profiter au maximum de ce spectacle.
Marie accéléra la cadence. Elle voulait que Jérôme jouisse. Elle le branla de plus en plus fort et je voyais les traits de Jérôme se contracter. Il était proche de l’orgasme. Marie se debout pour l’embrasser, à côté de lui tout en le branlant. Jérôme poussait de plus de plus de râles et il finit par jouir. Toute sa semence arriva sur le carrelage. Marie regardait le sperme de son homme au sol avec un sourire satisfaite. Quand Jérôme eut finit de gicler, elle nettoya immédiatement pendant que lui se remettait de ses émotions. Mélody et moi restions silencieux sans détacher notre regard de la scène.-Ma : Si mon homme n’a pas sa pipe du matin, il est grognon toute la journée. -J : avec une suceuse comme toi, je ne peux pas m’en passer
Marie se dirigea vers nous. Elle prit Mélody dans une main et moi dans l’autre. Elle nous dirigeait au salon et nous demanda de nous asseoir dans le canapé. J’étais donc assis bandant comme jamais et Mélody à côté de moi qui avait son sexe très humide. Marie alla s’asseoir dans le canapé d’en face rejoint immédiatement par Jérôme.-Ma : nous aussi on veut profiter du spectacleSans attendre, Mélody se jeta sur moi et prit mon sexe en bouche pour me sucer. Elle m’étonnait à chaque fois depuis hier soir. Jamais elle ne m’avait sucé avec autant de fougue et autant de plaisir. Je la sentais brulante. Elle se releva et m’obligea à m’allonger. Une fois sur le dos elle me présenta son intimité à ma bouche pour se coucher sur mon sexe. Nos deux hôtes pourront assister à un magnifique 69 comme spectacle.
Mélody était trempée comme jamais. J’étais littéralement inondé de sa cyprine et je m’en réjouissais. J’adorais ça. Ses lèvres étaient grandes ouvertes et son vagin incroyablement chaud quand j’y insérais ma langue. Elle était tellement excitée que le moindre coup de langue la faisait gémir ce qui l’excitait d’avantage et elle me suçait avec encore plus d’ardeur. Ce qui m’excitait moi-même et j’enfonçais ma langue de plus en plus loin. Je la sentais gober mon sexe jusqu’au bout. Elle crachait dessus pour le lubrifier au maximum. Elle ne m’avait encore jamais sucé ainsi, c’était tellement bon.
Avec ma langue je titillais son clitoris. Dans son état d’excitation, elle atteint vite l’orgasme. Je la sentis s’écrouler sur moi m’étouffant presque dans son intimité. Elle avait la tête posée sur ma cuisse et je sentais son souffle sur mon sexe. Quand elle a repris ses esprits, elle s’est relevée et s’est mise devant moi. J’ai pu voir Jérôme confortablement installé dans le canapé à nous regarder. Il ne bandait plus mais il avait un bras autour des épaules de Marie et il lui caressait le sein. Marie avait les jambes largement écartée et se masturbait sans retenue. Quel délicieux spectacle à mes yeux. Mélody a recommencé à me sucer. J’étais long à venir je l’avoue. Mais avec toutes ses éjaculations depuis la veille au soir, je commençais à être vide mais toujours excité. Elle me branla avec fougue, me regardant dans les yeux avec son regard de cochonne. Ce regard a vraiment un déclic sur moi. Je ne mis pas longtemps à jouir après cela et ma semence atterrit sur moi comme j’étais toujours allongé. Elle me regardait jouir avec son regard de satisfaite. A côté de moi, j’entendais Marie atteindre la jouissance avec sa masturbation. Je voyais qu’elle avait fermé les yeux et qu’elle se blottissait contre Jérôme. Il ne faisait aucun doute qu’elle avait prit beaucoup de plaisir à nous voir Mélody et moi.
Remis de mes émotions, je me relevai, me nettoya et nous restons tous les 4 à nous regarder avec un sourire satisfait pour chacun. Ce dimanche allait être aussi torride que la veille j’en étais sûr.
Après cette petite séance matinale, nous décidons de ne pas rester enfermés à l’intérieur et de profiter du beau soleil de l’automne. Marie proposa d’aller réaliser quelques photos de charmes tous les quatre dans les bois juste à côté de chez eux et nous avons accepté avec Mélody immédiatement. Cela permettrait d’enrichir notre album photo sur le site internet.
Nous nous sommes habillés. Jérôme et moi étions habillés de chemise et pantalon. Mélody exigea que ni lui ni moi ne portions de sous-vêtements sous notre pantalon. De plus en plus coquine ma Mélody pensais-je. Marie monta à l’étage pour choisir une jolie tenue. Elle revient avec un joli ensemble en résille noir. Pour la première fois, je la vis mettre un string assorti. Il ne cachait pas grand-chose, mais juste ce qu’il faut histoire de dire qu’elle n’était pas nue. Elle voulait également prêter une tenue à Mélody, mais Marie étant beaucoup plus grande qu’elle, aucune tenue ne lui allait. Mélody s’est donc habillé avec sa guêpière de la veille. Les deux femmes prirent leur manteau par-dessus leur ensemble et nous sommes sortis.
Pas besoin de prendre la voiture, nous sommes allés dans les bois à pied. Jérôme a pris son appareil photo de pro et nous avons réalisé plusieurs shooting. Tout d’abord les femmes seules avec des positions érotiques contre les arbres ou sur les souches. Puis les deux femmes entre elles. Ce shooting était particulièrement excitant. Jérôme était bon photographe et ses photos racontaient l’histoire de deux jeunes femmes se rencontrant au hasard dans les bois, se dévoilant et finissant par se caresser et s’embrasser. Pas très original comme scénario me direz-vous mais simple et excitant.
Enfin, le tour des hommes arriva. Jérôme prit quelques photos de moi seul puis avec les deux femmes avec moi. Tout d’abord habillés, puis à moitié nus, j’ai ainsi pu avoir des jolies photos de charme avec deux femmes sublimes. Puis également quelques photos beaucoup plus osées avec des gros plans des langues des filles sur mon sexe dur. J’étais très tenté de les prendre l’une après l’autre dans ces bois mais Marie ne voulait pas. Elle était très joueuse et elle s’amusait à m’exciter au maximum et à deux doigts de l’éjaculation elle stoppa tout. Elle me dit qu’ainsi, ma jouissance serait plus grande quand j’éjaculerais plus tard dans la journée. Difficile de se retenir, mais Mélody trouvait l’idée enrichissante et Jérôme eut droit au même traitement que moi. Il n’était pas surpris, ils ont du jouer plusieurs fois à ce jeu.
De retour à la maison en fin de matinée, Jérôme nous a dit qu’il nous montrerait les photos plus tard car il ne fallait pas les regarder tout de suite. Marie ajouta qu’elles sont plus excitantes quelques jours après quand on les redécouvre. Avec Mélody, nous leur donnons leur adresse mail pour qu’ils nous les envoient ensuite.
Nous avons convenu d’aller au restaurant pour le déjeuner. J’ai insisté pour que ce soit moi qui paye pour nous quatre, pour les remercier de nous accueillir pour le week-end. Marie est allée mettre une tenue un peu plus correcte pour sortir en ville. Je dis un peu plus, car même si la tenue n’était pas indécente, elle restait provocatrice. Elle portait une minijupe noire assez courte et qui volait au vent et elle mit un chemiser blanc trop serrée pour elle avec sa poitrine. Pour couronner le tout, le chemiser était ouvert un bouton trop bas que ce qu’il faudrait. Faut-il préciser qu’elle ne porte pas de string et de soutien-gorge ? Mélody n’ayant pas d’autres vêtements, elle garda sa guêpière avec son long manteau. Mais elle gardait son exigence que Jérôme et moi ne portions pas de sous-vêtements.
Sur le chemin, je me dis qu’avec Marie habillée aussi court, beaucoup de monde la regarderait et que pour la discrétion, on pourra faire mieux. Mais je m’en moquais, j’étais loin de chez moi et je ne connaissais personne dans la région, pas de risque d’être reconnu par quelqu’un. Mélody était du même avis. Elle était très à l’aise dans la voiture. J’étais assis avec elle à l’arrière de la voiture de Jérôme. Une très belle voiture spacieuse avec les vitres teintées à l’arrière. Nous roulons un petit moment pour aller dans un restaurant que Marie et Jérôme connaissait.
Le déjeuner se déroula le plus normalement du monde. Nous discutons de tout et de rien et nous rions. C’était comme une sortie ordinaire entre couples d’amis. Les gens autour de nous savaient-ils ce que nous ferons après le repas et ce que nous avons fait avant ? Je ne crois pas, mais cette pensée m’excite. Les filles boivent plus que de raison. Marie entraîne Mélody pour lui dire que le plaisir est décuplé quand elles sont un peu pompettes. Par contre Marie fait attention que Jérôme et moi buvions peu. C’est bien connu, homme plus alcool ne donne pas toujours une érection.
Nous prenons notre temps pour manger et quand nous sortons de table l’après-midi a déjà bien commencé. Nous allons à l’entrée pour payer et les filles, sans doute un peu éméchées par les verres de vin, se tenaient main dans la main dans le restaurant. Tout le monde les regardait, y compris quelques femmes. A leur regard, je voyais que les clients du restaurant étaient soit outrés soit envieux. Il faut dire que la tenue de Marie attire l’œil, et de loin !
De retour à la voiture, Marie me demanda de monter à l’avant avec Jérôme pendant qu’elle serait à l’arrière avec Mélody. Je dis oui tout de suite car je savais ce qu’elles feraient une fois la voiture en route. De sa manière provocatrice, Marie demanda à Mélody de lui donner son manteau avant de monter dans la voiture. Mélody hésita mais voyant que la rue était déserte elle se résigna. Marie était contente de voir sa jeune amante en guêpière dans la rue. Nous sommes tous entrés dans la voiture et marie n’attendit même pas que Jérôme ait démarré pour embrasser Mélody à pleine bouche. Une scène lesbienne à quelques centimètres derrière moi, j’étais comme un dingue. Jérôme était content aussi. Il bougea le rétroviseur intérieur pour avoir une vue imprenable de ce qui se passait derrière.
Les deux femmes se dévoraient. Elles se caressaient. C’est Marie qui prenait l’initiative pour commencer. Elle embrassa Mélody dans le cou, sur sa poitrine avant de descendre plus bas à son intimité pour lui procurer un cuni. Mélody gémissait beaucoup. Mais à la différence de la veille, l’ébat entre les deux femmes n’a rien de pornographique. C’est beaucoup plus érotique, sensuel que bestial. Les rôles se sont ensuite inversés. C’est Mélody maintenant qui embrassait tendrement Marie, qui la caressait et lui lécha le minou. Certains diront que deux femmes à l’arrière d’une voiture ça n’a rien de sensuel, c’est pornographique. Ça l’est surement, mais comparé à leur fougue de la veille, cette fois-ci c’est érotique et sensuel.
Nous sommes arrivés chez eux. Les deux femmes ne se lâchaient pas. Elles étaient mêmes surprises qu’on soit arrivés si vite. Marie sortis de la voiture les seins à l’air, Mélody également avec sa guêpière qui ne cachait plus grand-chose et elles se dirigeaient vers la maison. Jérôme restait silencieux, en retrait, comme pour les laisser toutes les deux dans leur monde. Marie franchit le pas de la porte avec Mélody.
Jérôme me dit :-J’adore voir Marie comme ça avec les femmes. Elles sont belles tu ne trouves pas ?-Oui c’est tellement beau deux femmes qui se font plaisir. -Je sais ce que ma chérie prépare. Viens avec moi et fais-toi le plus discret possible. Laissons nos femmes dans cet état érotique sans hommes.
Je suivis Jérôme. Il monta directement à l’étage pour entrer dans la chambre où Mélody et lui ont dormi la nuit. Une jolie chambre encore plus grande que l’autre. Un lit king-size est également présent avec en plus une petite table et deux chaises dans un coin. Jérôme me fait signe de m’asseoir sans bruit. Je m’exécutais et je regardais à nouveau la scène lesbienne. Marie s’était mise totalement nue. Mélody a fait pareil. Elle a allongé Mélody sur le lit en lui demandant de fermer les yeux. Marie ouvrait la commode de la chambre et se dirigea vers le lit avec une paire de menotte et un bandeau pour les yeux. Elle mit le bandeau sur les yeux de Mélody et lui attacha les mains contre les barreaux du lit en lui demandant de se mettre à 4 pattes. Je voyais Mélody mouiller le lit d’excitation. Ça l’excitait cette situation. La tête dans l’oreiller, elle attendait de voir ce qu’allait lui faire sa maitresse. Marie retourna vers la commode et ramena plusieurs sex-toys qu’elle déposa sur le lit dont un qui attirait mon attention. J’ai toujours rêvé de voir ça en vrai. Après avoir embrassé Mélody tendrement, Marie prit l’objet en question. C’était un gode-ceinture de belle taille. Le godemiché installé dessus est de taille impressionnante. Blanc, translucide, Mélody allait passer un sale quart d’heure.
Marie se dirigea vers l’intimité de Mélody et lui dévora le minou une fois encore. Mélody gémissait de plus en plus fort. Puis elle se redressa et inséra un doigt puis deux dans la chatte de Mélody avec un sourire satisfait de voir l’effet qu’elle produisait. Elle s’arrêta d’un coup et vient se positionner derrière Mélody. Elle présenta l’objet à l’intimité de Mélody qui d’abord surprise se laissa faire et son vagin engloutit totalement l’objet dès la première pénétration. Marie avec un sourire me regardait puis fit un clin d’œil à Jérôme avant de commencer ses va et vient. Doucement d’abord et de plus en plus vite. Mélody hurlait de plaisir à chaque mouvement de rein de Marie. Il faut dire qu’elle y va assez brutalement et que la taille du godemiché doit lui faire beaucoup d’effet.
Marie donnait des claques sur les fesses de Mélody, elle l’insultait, la traiter de chienne, de salope, de pute et de garage à bite. La bourgeoise BCBG sait être très vulgaire et dominante quand il le faut. A côté de moi, Jérôme avait baissé sa braguette pour sortir son sexe et il se masturbait tranquillement regardant la scène avec un sourire. J’en fis de même. Ne pas avoir de sous-vêtement aidait beaucoup pour se faire un petit plaisir.
Marie cessa d’un coup son coït sur Mélody à moitié dans les vapes. Elle se retira pour prendre du lubrifiant sur la table de nuit et en mit sur le gode ceinture ainsi que sur l’anus de Mélody qui ne comprenait à moitié que ce qu’elle lui faisait. Quand Marie présenta l’objet à son œillet, Mélody prit conscience de ce qui allait lui arriver. L’objet était beaucoup trop gros pour elle et elle avait peur que Marie lui fasse mal. -Ma : tais-toi petite pute. Tu veux jouer ? Il faut assumer jusqu’au bout-Mé : vas-y doucement s’il te plait Marie— Ma : plus tu me diras de ralentir, plus j’irais vite. Alors tu te tais petite salope. Cambre-toi bien, ça fera passer la douleur.
Je m’attendais à une pénétration violente. Mais même dans sa domination, Marie n’était pas violente. Elle enfonça l’objet tout doucement. Quand le plus gros de l’objet a franchi son œillet, Mélody poussa un petit hoquet. On se saurait dire si c’était de la douleur ou du plaisir. Mais elle ne bougeait plus, elle fermait les yeux. Marie resta un instant ainsi le temps que Mélody s’habitue. Elle enfonçait de plus en plus l’objet jusqu’à ce qu’il rentre entièrement. -Ma : tu vois ma chérie, ça finit par rentrer tout seul.-Mé : hum….oui-Ma : garde-bien ton petit cul cambrée.Marie recommença à pilonner Mélody. Encore une fois doucement d’abord et de plus en plus vite. Mélody ne pouvait retenir ses hurlements. -Mé : ah oui continue !-Ma : t’aimes vraiment ça petite pute-Mé : oui vas-y plus fort. Je joui par le cul c’est trop bon.
A cet instant, Marie me jeta un regard noir. Elle me faisait signe de ne pas me branler, même doucement. Jérôme a vu ce regard, il s’arrêta tout comme moi et son sourire disparu. Quand Marie est dans cet état là et qu’elle vous jette ce regard, il ne vaut mieux pas la contredire.Mélody finit par avoir un orgasme. Tellement fort, tellement puissant que je suis sûr que le premier voisin l’a entendu au travers des murs. Jamais je n’avais vu Mélody jouir ainsi. Elle tremblait, à moitié évanouie, elle avait des spasmes musculaires de temps en temps. Elle resta dans cet état un petit moment. Marie eu tout le temps d’enlever le gode ceinture, d’enlever les menottes de Mélody et de venir la prendre dans ses bras, comme pour la réconforter après avoir passé une terrible épreuve. Elle lui caressait les cheveux, l’embrassa tendrement. Mélody finit par ouvrir les yeux, croisa le regard de Marie, lui fit un sourire et l’embrassa à son. Les deux femmes restaient dans cet état de tendresse intime quelques instants.
Marie nous regardait Jérôme et moi et attardait son retard sur moi. Me fit son plus joli sourire et murmura des paroles à Mélody que je ne pouvais pas entendre. Elle sourit, dit oui de la tête et me regarda à son tour. -Ma : tu viens nous rejoindre ? On a une petite surprise pour toi mon grand.
Je savais ce qui allait m’attendre. J’aurais les deux femmes pour moi et Jérôme resterait en retrait. Il ne bronchait pas, je suppose que c’était prévu depuis un petit moment. Je me déshabillais donc et vient m’allonger entièrement nus avec une érection encore bien dure. Il faut dire que depuis ce matin au petit déjeuner, j’étais à deux doigts de l’éjaculation sans jamais avoir pu rien balancé. J’étais terriblement excité et je commençais même à avoir mal aux testicules.
Les deux femmes se sont redressées, ont commencé à rire, à glousser et se sont mises à me sucer alternativement, parfois les deux en même temps. J’avais deux paires de seins à ma portée, deux magnifiques minous lisses qui ne demandaient qu’à être doigtés et léchés. -Ma : et si on faisait un petit jeu ? -Mé : on te bande les yeux et tu dois deviner qui te suce-Ma : mais pas le droit de nous toucher avec tes mains, tu dois nous reconnaitre uniquement avec ta queue.-Moi : oh oui j’adorerais. Les règles sont simples.
Marie alla chercher le bandeau pendant que Mélody me suçait avec un clin d’œil. Une fois le bandeau mit, j’entendais les deux femmes rires et passer au dessus de moi. Elles n’arrêtaient pas de changer de position pour ne pas que je sache qui est à mes côtés. Ce qu’elles ont réussi. Très vite j’étais incapable de savoir qui était à coté de moi. Je sentis une langue sur mon sexe, puis une deuxième. Ce jeu n’est pas aussi facile en fait. J’étais incapable de savoir qui me léchait à cet instant. Les deux restaient très silencieuses mais je les sentais à coté de moi. Après les langues ce sont les bouches qui se sont occupées de ma queue. Là aussi impossible de savoir qui me suçait. Les deux alternaient mais j’étais incapable de reconnaitre la langue agile de Marie et les fines lèvres de Mélody.-Ma : alors tu donnes ta langue au chat ?-Mé : ou plutôt ta queue aux chattes ?Nouvel éclat de rire. Je savais désormais que Mélody était à ma gauche et Marie à ma droite. Je pouvais reconnaitre leurs mains sur mes cuisses et sur mon torse. Mais pas leur bouche. -Ma : tu vois ce n’est pas si facile. Mais tu a bien joué le jeu, je crois que tu mérites une petite récompense.
Je sentais Marie me branler pendant que Mélody me massait les testicules. C’était très bon. J’étais tellement excité que je n’allais pas tarder à jouir. Mon sexe se contracter, j’étais tout proche de l’orgasme. Elles l’ont senti. Comme pour me donner la bonne réponse, Marie m’enleva le bâillon et j’ai pu découvrir qui me suçait.
Ce n’était aucune des deux filles, c’était Jérôme qui avait ma queue en bouche. Anticipant ma réaction, Marie et Mélody se sont mises sur moi et m’ont empêché de me dégager. Trop tard, l’éjaculation montait en moi et je ne pouvais plus me retenir. Je jouissais dans la bouche de Jérôme pendant que Marie continuait de me branler et Mélody de me caressait. C’était tellement bon, je n’avais jamais connu pareille jouissance. Je fermais les yeux et ne pouvait m’empêcher de pousser plusieurs cris de plaisir. A cet instant, je pensais que je m’étais fait sucer par un mec mais que je m’en fichais. J’étais dans l’orgasme.
Je reprends mes esprits petit à petit. Je vois les trois autres me regarder avec un grand sourire. Le regard qu’échangèrent les deux femmes me fait comprendre qu’elles avaient prévu ce coup depuis un long moment et que j’étais tombé dans le panneau.-Mé : alors l’homo refoulé ?-Moi : je ne suis pas homo refoulé.-J : non mais tu as giclé dans la bouche d’un mec qui t’a sucé du début à la fin-Ma : pourquoi tu crois que t’as pas réussi à nous reconnaitre ? C’était ni Mélody ni moi. Sauf au tout début mais on a vite laissé la place à mon chéri-J : rien de mieux qu’un mec pour sucer un mec non ?-Moi : je vous hais. Vous m’avez mené en bateau-Mé : avoue que t’as aimé. Avoue que c’était la meilleure pipe de ta vieJ’étais malheureusement obligé de constater que oui. Je ne sais pas si c’était la situation ou si c’est parce que j’étais excité depuis le matin, mais c’est la meilleure pipe qu’on m’ait fait jusqu’à présent. Jérôme se débrouille mieux que les deux femmes.-Moi : oui…la meilleure pipe de ma vie.
Les deux femmes explosèrent de joie. Elles me libérèrent de leur étreinte très satisfaite. Jérôme me fit un clin d’œil et se retira le plus naturellement du monde. Comme pour s’excuser de leur stratagème. Les deux femmes m’embrassèrent l’une après l’autre deux fois chacune.-Mé : excuse-moi, c’était mon idée. -Moi : quoi ? Ton idée ?-Mé : oui. C’est moi qui ai voulu la complicité de Marie pour le faire. Elle ne voulait pas me forcer mais j’ai tellement insisté qu’elle a finit par le faire.-Moi : et quand vous avez décidé ça ? -Mé : dans la semaine. Un soir j’ai appelé Marie et je lui ai dit mon fantasme de voir un mec sucer un autre mec. — J : quelques fois j’aime sucer des mecs. Dans le feu de l’action c’est très excitant-Ma : et comme Mélody a insisté et que Jérôme était emballé par ta queue, j’ai fini par céder et je lui ai proposé ce petit stratagème. Désolé de t’avoir fait ça par surprise. Tu nous en veux ?Les trois me regardaient d’un air qui ne pouvait me faire dire qu’une seule chose-Moi : non. Mais pu de rapports bi avant un moment ok Mélo ?-Mé : c’est promis.Et elle m’embrassa comme pour me remercier d’avoir prononcé cette phrase.
La fin d’après-midi approchait. Nos hôtes nous ont proposé un dernier verre avant de repartir. Nous l’acceptons avec nous avons pris congés avec Mélody.
Après de sensuels au revoir, nous retournons à ma voiture et nous rentrons chez nous. J’étais silencieux. J’étais à la fois énervé de m’être fait mené en bateau pour le dernier acte mais tellement content du week-end. Mélody rompit le silence :-tu m’en veux ?-Un petit peu. Je ne t’aurais jamais fait de trucs comme ça.-Oh je te connais. Tu ne vas pas m’en vouloir longtemps. Dans deux ou trois jours tu va vouloir que je fasse un saut chez toi-Tu me connais bien.-Mais ne t’inquiètes pas. Je ne te ferais pu de coups comme ça. Tu n’auras plus confiance en moi sinon, et je veux te garder quelques temps pour continuer à faire des plans à plusieurs.-Oui j’aimerais beaucoup continuer aussi. Même si tu m’as eu à la fin, ce week-end était génial. -je suis d’accord. Un couple adorable, tellement sympathique, généreux et coquin. Ils savent alterner les moments sensuels ou hard quand il le faut.— Oui on n’est jamais oppressés avec eux.-Tout à fait. Excuse-moi encore pour Jérôme. J’ai été assez égoïste je l’avoue.
A force de s’éloigner de la maison du plaisir, la réalité revient petit à petit dans nos esprits. Et l’état d’excitation permanent que nous avions nous a quitté maintenant. Elle comme moi avions toutes les idées claires à présent.-C’était égoïste oui. Merci de le reconnaitre.-Je te promets de me faire pardonner.-Ah et comment ?-On tachera de trouver une fille seule et on se fera un plan à 3 avec 2 nanas avant le plan à 2 mecs. Je te dois bien ça. Je lui fis un sourire. Après tout ce n’était pas désagréable cette fellation par un mec. On verra peut-être plus tard mais pour l’instant je me concentre sur les filles uniquement. Et puis nous sommes tout juste sortis d’un week-end coquin qu’elle me propose déjà le plan du suivant. Je ne peux pas lui en vouloir pour si peu. Mais elle méritera bien une petite vengeance personnelle.
Le voyage de retour fut long également. Pour me faire une avance sur son pardon, je demandais à Mélody que j’aille chez elle avant de rentrer. Elle ne broncha pas et dit oui tout de suite et me dit que je pouvais faire tout ce que je voulais.Une fois chez elle, je la pris violemment. Je lâchais mon instinct de mâle sur elle. A peine la porte de son appartement refermé je la mis à genoux et sorti mon sexe pour qu’elle le prenne en bouche. Une fois bien dur, je la relevais pour la plaquer contre sa porte d’entrée et la prendre par derrière. Son anus a été dilaté tout le week-end, je rentrais sans problème et elle n’avait pu aucune réticence à ce sujet. Quand je sentis l’éjaculation monter, je la fis remettre à genoux et déversait tout mon foutre dans sa bouche qu’elle délecta avant de l’avaler. Comme pour m’encourager dans mon envie de la dominer, elle me dit merci. Nous rigolons et je finis par rentrer chez moi. Très exténué de ce week-end très agité.En rentrant, je me connectais sur le site internet de rencontre pour voir une dernière fois les photos de Marie. Ils nous ont laissé un témoignage sur notre profil. On pouvait lire :« Un jeune couple mais qui a déjà tout l’état d’esprit libertin. Madame est splendide, douce sensuelle et coquine et monsieur est un étalon qui saura vous faire vibrer les filles ! Grosses bises à vous deux »
Très content d’avoir fait bonne impression à ce couple. Je leur laissais également un témoignage affectif sur leur fiche.
Voici donc comment s’est passé ma première rencontre libertine avec ce couple. Il y en a eu d’autres avec Mélody mais quelques temps plus tard et pour un tout autre genre de rencontre.
A suivre…
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