Glory Hôles à Londres (suite) (du point de vue de Mme Loverstransis)
Le fait est que l’ambiance « pub » londonienne est propice à la détente. Les canapés Chesterfield encadrent une table basse Noguchi du plus bel effet, des fils accrochés au plafond viennent intimiser l’espace tout en laissant transparence et visibilité avec les voisins de tables. Sur le chemin, j’ai le temps de demander son prénom à mon « inconnu anglais » il s’appelle Elon, sa chérie « du moment » s’appelle Lyna, elle nous précède en tenant par le bras mon mari qui est déjà en grande conversation. Mon anglais parlé est un peu plus approximatif et je demande souvent à Elon de parler plus doucement ou de recommencer, mais cela le fait rire, alors ce n’est pas grave. Il est vraiment bien bâti, les épaules, la taille, je suis étonnée, je fais toute petite à côté avec mes 1m60. Il est ravi de cette rencontre en tout cas, il ne pensait pas « fuck » une Française et trouve que ma manière de jouir et notre « Oh oui » est beaucoup trop charmant !
On s’installe et je comprends très vite l’avantage de ce système de fils suspendus... on découvre en ombres et mouvements les espaces attenants, et pourtant, on a l’impression de ne pas être vu, c’est une sensation terriblement excitante. Je capte les bruits d’à côté, les mouvements d’en face, on ne fait pas « que » boire des verres dans ces petits coins. Elon revient avec la commande et me sort de mes songes ! Nos deux acolytes sont presque tristes d’apprendre qu’on est sur Londres que pour le week-end et que lundi, nous repartons pour la France. Raison de plus pour profiter du samedi soir ! On discute de tout et je vois bien Lyna qui profite des rires et autres pour passer sa main sur l’entrejambe de Ludo. Il bouge, et je le surprends à replacer son sexe que j’imagine déjà dur, ça manque de place dans le pantalon ?
De mon côté, les choses vont pas mal non plus, Elon me caresse lentement ma cuisse gauche en remontant toujours un peu plus... Je ne sais plus si c’est le fait qu’il n’y avait plus rien dans mon verre ou si c’est parce que je sens un peu la fatigue, mais en me mettant plus à l’aise dans ce canapé, j’ai le réflexe d’ouvrir mes cuisses et de poser ma jambe gauche sur la cuisse d’Elon. Un peu étonné au début, il continue tranquillement ses caresses sans le frein de mon entrejambe maintenant ouverte et tout acquise à sa cause. Le premier passage de sa main sur mon string réveille tous mes sens. Il passe avec la main grande ouverte et bien à plat, suffisamment lentement pour que je sente la succession de ses doigts. Au bout de quelques passages, il tent une première fois maladroitement de me décaler mon string pour créer un passage jusqu’à l’entrée de ma petite chatte.
Il veut être discret et ça m’amuse de le voir tenter de me doigter sans éveiller les soupçons de Lyna ou de mon mari, une petite parenthèse entre lui et moi en sommes. Comme il a de la suite dans les idées, il me caresse le ventre doucement et privilégie un accès par le haut, facilité par le fait que je me tende encore un petit peu.
Je bondis, quand ’il agrippe d’abord ma chatte avec toute sa main et seulement son majeur qui fait quelques va-et-vient. Cette sensation d’être totalement tenue me fait presque perdre pied en l’espace de quelques minutes.
Je profite de sa main pour onduler discrètement autour de son doigt, un peu de gauche à droite, un peu de haut en bas forçant la pénétration. Lui aussi joue à frotter ma paroi interne...
— Just a minute, Je me penche vers la table, posant tranquillement mes coudes exagérant ma cambrure. Je le regarde avec une telle insistance qu’il comprend tout de suite qu’il ne lui reste plus qu’à tout recommencer en partant de mon dos. Impossible pour lui de ne pas céder à la tentation, de m’agripper les fesses avec sa grande main, d’abord la droite puis la gauche avant de plonger sa main tout entière dans l’entre-deux. Son premier doigt est pour mon cul, puis rapidement, il englobe ma chatte entière, laissant son majeur et son annulaire s’introduire par de lents va-et-vient... De nouveau, j’enchaîne les ondulations douces, jouant de mon plaisir et du sien. Nonchalamment, je laisse traîner ma main sur son jogging, il bande comme un dingue et je m’amuse à serrer sa queue avec mes doigts. L’épaisseur du jogging participe encore plus à l’effet de grosseur que j’avais déjà détectée dans le glory hole et je m’excite seule à l’idée de redécouvrir dans une nouvelle aisance cette bite anglaise qui m’avait fait jouir.
Lyna n’a pas perdu de temps non plus et prise par mon propre plaisir et l’impression d’être la seule à profiter de la situation, je n’avais pas vu qu’elle branlait doucement mon mari. Je reste presque jalouse de voir son pouce passer avec rythme sur son gland, le laissant d’apparence imperturbable.
C’est Elon qui ne tenant plus, propose le premier d’aller explorer les coins câlins. Il m’attrape par la main et me tire en dehors du canapé, puis invite Lyna et Ludo à nous suivre. Il y a déjà du monde et les premiers coins plus intimes qui peuvent fermer sont déjà complets. Restent seulement plusieurs lits où de nouveau seul un rideau de fils fait office de frontière entre le dedans et le dehors.
On reste un moment à réfléchir à la situation avant que Lyna d’autorité, attire mon chéri sur un grand lit rond franchissant d’un seul mouvement le rideau de fils. Elon et moi prenons cinq minutes pour les observer, Lyna retire à la vitesse de l’éclair le peu de vêtements qu’elle porte et déjà à quatre pattes, se précipite sur le sexe de Ludo qui encore à genoux claque sans merci son joli petit cul, passant ses doigts dans la bouche pour lubrifier sa chatte et son petit trou par la même occasion. Toujours debout et contemplative, je n’ai déjà plus de haut ni de bas, il me reste juste mon bas de bikini qu’Elon a déjà écarté depuis longtemps. IL tient mes fesses à pleine main et à genoux, passe à loisir sa langue sur mon petit ou jusqu’à l’intérieur de mon minou. Je me cambre toujours un peu plus au point de presque perdre l’équilibre. Il me pousse d’un coup à l’intérieur de la frontière de fils pour retrouver nos amoureux, me place sur le dos puis se colle presque directement sur mon visage, son sexe à la main se masturbant déjà avec vigueur.
Sa main gauche passe derrière ma tête et d’un regard complice, je commence à gober ses testicules, puis je passe ma langue consciencieusement de bas en haut, tentant désespérément d’arriver au gland, mais chaque fois que j’aurais pu lui bouffer enfin la queue, il appuie sur ma tête pour me faire redescendre. Je proteste en agrippant avec mes ongles son cul musclé qui provoque un bond direct sur le côté et je peux cette fois me libérer et le placer sur le dos...
Ahhhhh enfin je vais pouvoir le bouffer ! Et hop me voilà en levrette, le cul en l’air, les pieds dépassant même du lit et des fils ! Je le masturbe lentement, laissant juste un peu de salive couler de ma bouche. Je passe mes doigts autour de son gland avant de fondre la bouche toute serrée sur sa bite, tentant en vain de tout avaler dès la première descente, ce qui provoque chez lui un petit « oh wait wait wait » qui me remplit de satisfaction ! En remontant, je ne perds pas un seul de ses regards presque suppliants de ne pas accélérer. Lyna qui n’a rien perdu de la scène profite de cette pause pour venir m’embrasser. Elle est à quatre pattes et je sens dans ses baisers les coups de reins de mon mari, les spasmes de son plaisir. J’ai presque du mal à me dégager de sa bouche, mais j’arrive à regarder par-dessus son épaule. Ludo lui écarte les fesses et joue de ses pouces, il sort et re-rentre, poussant à chaque fois jusqu’au bout de sa chatte.
J’en ai presque oublié Elon et je retrouve la bouche de Lyna autour de sa queue cette fois ! On s’applique toutes les deux à englober son membre et à synchroniser nos allers et retour depuis ses couilles jusqu’a son gland ! Lyna attrape une capote et l’enfile à son cher et tendre puis en maintenant sa bite bien droite, me fit signe de venir le chevaucher ! Cette fois, c‘est moi qui lui tiens la tête et qui joue avec ses sens ! Appuyée sur mes pieds, je monte et descends, claquant mes fesses sur le bas de son ventre ! Son sexe me remplit, mais j’arrive encore à rechercher un angle pour maximiser les frottements et je n’arrive pas à retenir mon envie de l’embrasser à pleine bouche. Je tire ma langue pour aller au contact de la sienne et je sens bien que ce petit jeu termine de le faire lâcher prise... « I’m coming... I’m coming... » je me retire d’un bon, me précipite pour lui libérer la queue et juste deux coups de langue suffisent à le faire exploser.
Je serre son sexe, mais rien ne le retient, et je me retrouve la bouche, les seins, pleins de sperme anglais. Je remonte pour lui dire merci et pour lui laisser un petit bisou, il est tout moite, on reste un instant l’un sur l’autre à regarder Lyna tenter de faire perdre la raison à Ludo, mais il lui agrippe le cou de la main droite et continue de fouiller sa chatte avec la gauche ! Il y a un côté presque bestial dans leur manière de s’offrir.
On finit quand même par se dire qu’une petite trempette ne serait pas de refus, on rassemble nos affaires, un petit mot à Lyna et Ludo pour leur dire qu’on va se doucher et hop direct sous l’eau ! C’est un espace collectif, il y a déjà quelques couples et hommes. Je me glisse sous une douchette, vite rejointe par Elon qui me frotte le corps avec la mousse et qui discute avec un beau métis, je comprends qu’il lui explique que je ne suis pas sa femme et que nos chéris continuent les galipettes. Il se rapproche et vient se présenter dans un Français trop mignon « bonjour je m’appelle Alison » je réponds un bonjour, presque rougissante, et le voilà qu’il prend ça comme une autorisation de me caresser également ! Quatre mains qui me frottent, le bonheur...
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