Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par Anonyme
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 3 J'aime
  • 0 Commentaire

God Save Ma Pine!

Chapitre 1

Hétéro
Nous étions mariés depuis a peu prés un an et nous commencions à bien nous connaître. Ma femme assumait de mieux en mieux ses fantasmes et elle acceptait les miens sans problèmes.
Un jour, alors que je me baladais du côté de Pigalle, je rentrais dans un sex-shop lui acheter deux beaux godmichets. En rentrant à la maison je les lui avais glissés sous la couette.
Ce soir la je la laissais monter au lit avant moi en lui disant simplement qu’une surprise l’y attendait. Le résultat ne se fit pas attendre bien longtemps, en effet une dizaine de minutes après qu’elle se soit couchée, je commençais à entendre des petits soupirs en provenance de notre chambre, jugeant le moment opportun je décidais donc de monter la rejoindre. Devinant qu’elle serait en pleine action j’avais préparé ma caméra vidéo et j’arrivais donc dans la chambre en filmant, j’étais déjà bien excité rien qu’à l’entendre gémir comme une chienne et mon slip marqué d’une belle bosse commençais à me gêner.
Lorsque je pénétrais dans la chambre, la caméra au poing, je la découvris allongée sur le lit, les cuisses remontées très hautes sur sa poitrine mettant en valeur son beau cul, elle se branlait avec l’un des deux god, la chatte grande ouverte, pendant qu’elle suçait l’autre goulûment.
Me voyant avec la caméra elle fut d’abord un peu gênée puis elle esquissa un sourire; se prêtant au jeu elle se retourna pour me présenter son cul, elle avait maintenant le god dans sa chatte, rouge de plaisir, clito gonflé comme une petite bitte. Une fois en levrette son cul bien haut, le trou bien écarté, elle entreprit de se dilatait le fion avec ses doigts mouillés. J’avais la bitte en feu, comme elle commençait à me faire mal je l’avais sortie pour la soulager en me branlant d’une main tout en continuant de filmer ma grosse salope en train des se ramoner et le con et le fion.
Elle avait effectivement abandonné les doigts pour se fourrer le deuxième god dans le cul et elle y allait gaillardement avec les deux trous occupés, chacun son jouet, pas de jaloux, si ce n’est la bouche qui a part gémir comme une chienne, ne faisait pas grand chose. Je décidais donc de l’occuper, pensant que se serais mieux que la pignole avec ma main, je lui enfournais mon gros chibre dans le gosier avec tellement d’entrain que j’arrivais quasiment jusqu’aux couilles, ayant les deux mains occupées à s’astiquait, elle ne put que subir et se mettre à sucer.
Ma femme visiblement satisfaite de la situation, à quatre pattes, chaque trous occupés de belles façons, l’un par ma queue prête à exploser, les deux autres par des engins de bonnes tailles, ne se préoccupais plus de la caméra elle se répandait en insanités qu’elle réussissait à grommeler la bouche pleine, du genre : - ’ humm, qu’elle est bonne ta queue ’, - ’ mon salaud, t’aime ca me mater, hein ’ ou - ’ j’ai le cul défoncé, oh oui !! ’ et bien d’autres encore.
Dans l’excitation, toujours en filmant et s’en m’en rendre compte je lui cravachais la figure avec ma bitte et j’étais prêt à jouir quand elle se remit sur le dos en me présentant entre ses cuisses charnues bien écartées, les gods enfoncés bien au chaud chacuns dans leurs trous. Elle retira celui de son cul, laissant le trou largement ouvert, tout en me suppliant : - ’ vient, encule-moi, bourre-moi le cul, mets-la moi bien profonde, jusqu’aux couilles ’, ce que je fit sans tardais et avec plaisir. Je n’eus pas besoin de forcer pour l’enculer, un vrais boulevard, elle s’était tellement dilaté le cul avec son jouet que j’allais et venais dedans sans aucun problème. Ayant goûtée à la queue et n’ayant plus goût au plastique, elle commençait à se masturber le clito avec le deuxième god alors qu’elle faisait aller et venir le premier dans sa chatte. Je lui défonçais le cul sur toute la longueur de ma queue et je n’allais pas tardais à lui lâchais mon foutre quant au comble de son extase elle fourrât le deuxième god dans sa chatte complètement explosée, je voyais dans le viseur de ma caméra les deux gods s’activer ensembles dans sa chatte distendue et n’en pouvant plus je lâchais la sauces.
Un soir, de retour de vacances au Mexique, nous avions invité un couple d’amis à dîner, un digestif à la main nous étions en train d’évoquer ce séjour et ma femme leur propose d’en voir les images. Moi, sûrement sous l’effet du digestif, comme par le plus grand du hasard me trompe de cassette et au lieu de voir les totems Incas nos amis ont eu le droit à la charmante vision de mon totem dans le cul de ma femme.
Diffuse en direct !
Regarder son live