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Gouinage en famille

Chapitre 4

La tante et une partie à quatre

Inceste
Avant de passer à table, Manon monte dans sa chambre, tout excitée par la séance du concombre avec sa mère et la tête pleine des images de la partie chez les Rebières. Elle se couche sur son lit, écarte les cuisses et fouille sa chatte pour en extraire le string de Marie et la capote de Jean. Le tout est vraiment trempé de sa mouille. Elle se passe le string sur la figure et entreprend de sucer et de mâchouiller le préservatif en imaginant la queue de son voisin. Un malheureux coup de dents perce le récipient et le liquide coule dans la bouche de Manon. Goulûment, elle suce et avale le précieux liquide.
— A table ! invite Marie, nous déjeunons sur la terrasse.
Manon n’a pas le temps de trouver l’orgasme. Elle descend rejoindre sa petite famille. Tout au long du repas, elle ne cesse de scruter sa tante Jeanne assise en face d’elle, car elle se souvient de la demande de sa mère : « Maintenant, il te faut séduire Jeanne. Je pense que ce ne sera pas difficile, mais essaie de la provoquer pour que ce soit elle qui prenne l’initiative. »A cette pensée, il lui faut donc provoquer Jeanne et voir sa réaction. Elle commence à défaire un bouton supplémentaire de son corsage, ce qui libère encore plus sa poitrine sans soutien-gorge. A chaque mouvement pour attraper les plats, le corsage s’entrouvre et Manon marque un bref instant pour que Jeanne puisse bien la mâter. C’est gagné, car la tante n’a plus d’yeux que pour cette poitrine presque offerte.
— Restez à votre place, je vais servir le vin, propose Manon.

En passant derrière Jeanne, et en se penchant vers son verre, la jeune fille frôle ostensiblement la tête de sa tante avec un sein. Jeanne regarde fixement sa nièce qui continue à servir. Revenue à sa place, Manon observe le regard appuyé de sa tante.Marie qui a vu le manège, lance un coup d’œil à sa fille avec un geste d’approbation de la tête. Soudain, Manon sent un pied qui semble lui caresser une jambe. Elle réagit pour la forme en retirant sa jambe. Une deuxième caresse arrive et même réaction, elle se repositionne sur sa chaise. Le repas se termine sans nouvel assaut et Jeanne propose de desservir et de faire la vaisselle.
— Je vais t’aider ma tante si tu veux. Nous serons plus vite libres pour nous dorer toutes les quatre au soleil, propose Manon. »— Je veux bien. Allez, tout le monde debout !
Marie et Loup s’installent sur les transats. Manon et Jeanne se retrouvent à la vaisselle à la cuisine. Rien ne se passe.

Vers 17h, Marie décide d’aller faire un tour à la ferme des Rebières. Marie-Loup est montée dans sa chambre et Jeanne et Manon se retrouvent au salon devant un match de tennis.A la fin du match, Amélie Mauresmo est sollicitée par Nelson Monfort pour donner ses impressions sur une de ses élèves.
— Tu savais Jeanne que Mauresmo est gouine ? — On ne dit pas gouine, oui je sais que d’après la rumeur, elle serait lesbienne.— ça te choque ?
— Non pourquoi ?
Manon se lève du canapé et se plante devant sa tante.
— Ma tante, je n’ai pas bien compris ton attitude à table. A plusieurs reprises tu as semblé me caresser une jambe et j’ai surpris ton regard insistant sur mon corsage. — Ma petite Manon, est-ce que tu t’es rendu compte de ton attitude provocante avec ton corsage quasiment ouvert sur tes seins sans soutien-gorge et ta façon de t’approcher de moi en me servant le vin ? Même à mon âge, je ne peux pas être insensible à une telle chose. Je peux te dire que tu es particulièrement excitante comme ta sœur d’ailleurs.— Je peux comprendre cela, mais je suis ta nièce et je n’ai que 18 ans. Serait-ce que les femmes peuvent t’exciter ?
Jeanne se lève à son tour et fait un geste en direction du corsage de Manon.
— Ne me touche pas, tu dérailles complètement, je te répète que je suis la fille de ta sœur et que je n’ai que 18 ans et toi 50.
N’y tenant plus, Jeanne très excitée se jette sur Manon et l’entraîne sur le canapé. Elle lui serre les poignets pour l’empêcher de se débattre, introduit son genou entre les cuisses de sa nièce, et malgré les injonctions de sa proie « arrête tu es folle ! » plaque sa bouche contre la sienne. Manon refuse le baiser en détournant la tête et continue à se débattre, mais Jeanne couvre sa nièce de succions sur une oreille, sur le cou pour enfin atteindre un sein sous le corsage dégrafé. L’aspiration et le mordillement du téton semblent faire leur effet, car Manon se calme et s’abandonne aux caresses sous sa jupe.
— Tu vas voir comme c’est bon de se gouiner petite provocatrice. Regarde comme tu mouilles, je suis certaine que tu as envie. Donne-moi ton clito, je vais te faire jouir. Caresse-moi.— Non Jeanne, on ne doit pas faire ça, même s’il est vrai que j’ai fantasmé sur ton corps lorsque je vous ai surprises en cachette avec maman en train de vous caresser, nous ne devons pas continuer. — Tu as tord puisque je t’offre ce corps qui t’a fait fantasmer, profites-en. Moi j’ai vraiment envie de toi.
Cette fois, les deux bouches se rejoignent et s’ensuit un long baiser fougueux avec fourrage de langues.
— Jeanne, il faut que je t’avoue que j’ai baisé avec Marie ma mère et que j’ai dévergondé Marie-Lou qui n’avait jamais touché une femme. — Je pensais bien que tu n’étais pas la petite sainte-nitouche à maman, mais je ne t’aurais jamais crue ouverte à la baise lesbienne.
Soudain, la porte du salon s’ouvre et Marie apparaît dans l’embrasure. Aucune de nos deux partenaires ne se relève, et c’est Jeanne qui s’adresse à sa sœur :
— Viens avec nous Marie, Manon est très chaude, viens jouer.— Je veux bien, mais je veux qu’elle soit notre esclave, notre jouet. Debout petite salope, va mettre la tenue de pute que tu avais quand tu m’as agressée pour la première fois sur le bord de la piscine, tu vas nous faire un striptease.
Manon se lève et se dirige vers sa chambre. Au passage de la porte près de sa mère, elle lui envoie un baiser.
— A tout de suite.
Arrivée dans sa chambre, elle retrouve la parure demandée par Marie : Soutien-gorge noir à balconnets qui met bien en valeur sa poitrine, string vraiment ficelle qui lui rentre dans la raie, porte-jarretelles, le tout orné de dentelle rose. En enfilant ses bas, elle se caresse langoureusement les jambes et les cuisses en pensant au spectacle qu’elle va donner. Après avoir chaussé ses talons hauts, elle s’apprête à redescendre quand sa porte s’ouvre poussée par Marie-Lou.
— Manon, qu’est-ce qui t’arrive ? Que fais-tu dans cette tenue ? — Je vais baiser avec Marie et Jeanne qui m’attendent au salon.— Hum... Tu me donnes envie. Si on leur faisait une surprise ? Je descends avec toi, mais Tante Jeanne ne sait pas pour moi.— Si, j’ai eu l’occasion de lui dire que je t’avais dépucelée et que même si tu préférais les mecs, l’expérience de gouinage avait été passionnante.— Tu as baisé avec Tante Jeanne comme avec maman ? — Oui et je peux te dire qu’elle doit être bonne, à 50 ans ; elle a un corps splendide et comme maman, elle a une de ces paires de seins ... c’est elle qui m’a provoquée, mais nous avons été surprises par maman et c’est elle qui nous a proposé une partie en souhaitant que je sois leur jouet sexuel, un genre de soumission. Ton idée de leur faire une surprise est excellente. Tu vas venir les seins à l’air et mettre ton gode ceinture qui dépassera de ta culotte. En transparence, il faut qu’on voit bien les poils de ta touffe, je sais que maman aime ça.— OK, on y va.
A l’entrée des deux filles dans le salon, Marie et Jeanne qui sont en train de se caresser à moitié nues, n’en croient pas leurs yeux.
— Marie-Lou, tu vas entrer dans notre cercle, je veux te voir faire tes preuves. Caressez-vous toutes les deux, ordonne Marie.

Manon se colle derrière Marie-Lou en empoignant ses seins et en les faisant danser, descend ses mains le long de son corps jusqu’au gode qui émerge de la culotte et fait mine de le branler. Puis en repassant devant sa sœur face aux spectatrices, se caresse lentement les cheveux, la figure, sort un sein de son bonnet, continue vers sa chatte et en déplaçant son string à mi-cuisses, écarte ses grandes lèvres d’où émerge son imposant clito dressé comme une petite bite.
— Suce-la, Loup, baise-la avec cette queue qui fait envie et quand elle sera bien mouillée de cyprine, viens nous la faire lécher, ordonne à nouveau Marie.— Pas tout de suite Marie, je veux voir Manon se faire enculer et jouir par le cul. réplique Jeanne. « J’adore ça moi aussi, tu le sais bien Marie. »

Manon se baisse en levrette, Marie-Lou se sert de l’abondante mouille pour lubrifier l’œillet de sa partenaire et enfonce délicatement le gode dans ses entrailles.
— Vas-y Loup, à fond, baise-moi fort, encore, encore, je sens que je monte. Oui, oui, je pars. Ahhhhh que c’est bon ! — Venez ici maintenant les filles, donnez-nous vos chattes. Moi je veux ton jus et ton clito Manon, lui demande Marie. — Et moi, baise mon con avec ton gode Lou.
En se faisant sucer le clito, Manon se paye un deuxième orgasme et un nouveau jet de cyprine inonde la figure de sa mère.
— Viens coller ta chatte trempe sur la mienne, faisons coïncider nos clitos comme si tu me baisais Manon. Oui, c’est bon ! maintenant à toi de me bouffer jusqu’à ce que je parte. — Lou, lubrifie bien mon cul et viens en alternance dans mon con et mon cul, demande Jeanne d’un ton haletant.

La petite partie endiablée se poursuit par terre par une réunion des quatre corps qui se frottent, se caressent, se lèchent jusqu’à obtenir un orgasme collectif en inondant le carrelage.Epuisées, nos tandems de gouines incestueuses prennent un « repos du guerrier » bien mérité.
— Eh bien les filles, notre maison prend l’allure d’un véritable baisodrome. Il ne nous manque plus qu’une vraie queue d’homme pour nous enfiler une à une. J’espère que vous avez apprécié cette réunion, maintenant, il n’y a plus de secret entre nous. — Oui merci Marie, ta maison est vraiment accueillante, ajoute Jeanne.

Toutes partent dans un fou rire qui clôt le divertissement.

La journée se termine normalement. Probablement épuisées, les filles ne joueront pas les prolongations. Aucune allusion n’est faite à la suite de la partie de fin d’après-midi.Le soir venu, chacune vaque à des occupations diverses.

Dans son lit, Manon revoit le film de la journée : la visite chez les voisins, l’épisode du préservatif, le concombre, avec Marie et la terrible partie à quatre. Inévitablement, elle se caresse, mais malgré la formidable jouissance avec sa sœur, la tante et sa mère, elle regrette la disparition du préservatif rempli du sperme de Jean qu’elle a malencontreusement percé en le prenant en bouche. Demain, elle appellera la voisine pour avoir des nouvelles.
— Allo Annie ? C’est Manon. Comment vas-tu depuis hier ? J’ai beaucoup apprécié ta présentation à Jean. J’aurais une commande à te passer. — Dis toujours si je peux te satisfaire. — Voilà, j’avais gardé le sperme de Jean dans le préservatif, je me suis excitée en le suçant et malheureusement, je l’ai percé. Ma commande serait un ou deux préservatifs pleins du jus de Jean quand vous faites l’amour. En échange, je te promets que tu pourras me baiser quand tu auras envie avec Jean ou sans ton mari. — Je trouve ta demande un peu bizarre Manon, mais c’est excitant de la satisfaire. Je te ferai signe quand je l’aurai réalisée. — Merci Annie, j’ai vraiment envie d’être votre salope. Au fait, Maman ne sait rien de nos nouvelles relations. Si tu la rencontres, ne fais aucune allusion. Je compte sur toi.— OK, compte sur moi.—--------------------------

Notre petite famille s’est offert trois jours de mini-croisière sur la méditerranée et à leur retour, Manon qui avait oublié son smartphone retrouve, entre autres, un message d’Annie :
— Bonjour Manon, ta commande est prête, tu peux venir quand tu veux.
Très pressée de recueillir son colis, elle prétexte un parcours de jogging pour faire un tour par la ferme des Rebières.
— Bonjour Annie, j’ai lu ton message et me voilà. Jean n’est pas là ? — Non il est au corral avec les chevaux. La jument est en chaleurs et ils les surveillent.— Il a donc deux juments en chaleur, commente Manon avec un éclat de rire communicatif. — On peut dire cela comme ça, répond Annie. Mais il y a un étalon mieux monté que l’autre. Tu verrais ce gourdin sortant de son fourreau, c’est à faire pâlir un Sénégalais. — ça te fait envie Annie ? — Je crois que certaines femmes aiment bien la zoophilie. Mais entre, Jean ne va pas tarder à revenir.— Non, vraiment, je n’ai pas le temps, je suis partie faire mon jogging depuis une bonne heure et je ne suis pas présentable.
« C’est vrai que tu es moins sexy qu’en minijupe et corsage, mais ton survêt moule bien ta poitrine et ton petit cul. Ce sera pour une autre fois. Tiens, voilà ta commande. Il y a 3 capotes de Jean et je t’en ai ajouté une pleine de ma mouille. Je pensais te faire plaisir »
— Tu es un amour Annie. Je vais en faire bon usage. — En récompense, je voudrais que tu m’appelles quand tu te branles seule pour me faire jouir en t’écoutant me raconter.— Promis, peut-être dès ce soir.
Après avoir introduit les 4 objets dans sa chatte, Manon embrasse Annie en lui caressant l’entrejambe et repart sur le chemin de la maison.
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