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Gouinage en famille

Chapitre 5

Le secret d'Annie

Zoophilie
La fin d’après-midi se passe tranquillement. Après le repas, Marie, Marie-Loup et Jeanne s’installent au salon devant le film du soir alors que Manon prétexte une migraine pour se retirer dans sa chambre et se sentir seule pour appeler sa voisine comme elle le lui avait promis. Pour se mettre en conditions, elle se met nue sur son lit, commence à se caresser les seins et s’enfonce deux doigts dans la chatte pour bien sentir les objets qu’elle « héberge ».Elle appelle Annie.
— Annie, tu es seule ?
« Oui, je suis dans la chambre, Jean est à la télé, j’attendais impatiemment ton appel en me caressant. Et toi où es-tu ?
  « Je suis sur mon lit à poil. J’ai sorti les capotes de mon vagin en faisant des aller et retour avec chacune, en caressant bien mon clito. Bien évidemment me reviennent les images de notre partie avec ton mari, mais c’est de toi dont j’ai envie ce soir. La vue de la capote qui contient ta mouille m’excite terriblement. Je la promène sur ma figure, sur mes seins, sur mon ventre... Je t’imagine devant moi, debout en train de me faire un Striptease. J’adore tes siens, je voudrais les lécher à pleine bouche. Oui, ouvre bien ta chatte, montre-moi ton cul, je suis sûr que tu dois lui mettre de grosses queues avec des godes énormes plus celle de Jean. Je sens que je mouille terriblement à tremper mes draps.
— « Continue à me parler comme ça. C’est ce que je souhaitais en te demandant de m’appeler pendant une de tes séances solitaires. C’est bandant, tu me parles de mes seins, si tu voyais mes tétons, ils sont dressés comme de petites bites, je me les excite en leur mettant à chacun une pince à linge, c’est bon, ça fait mal quand je les remue, mais je suis un peu maso. Quand nous nous reverrons, je t’apprendrai d’autres jeux. Quand je me déchaîne, je deviens bestiale, une vraie chienne. Je choisis les plus gros objets pour me bourrer la chatte et le cul. Je rêve d’une vraie queue pour me défoncer.
Ça y est, je sens l’orgasme monter, essaie de jouir en même temps. Je pars, je gicle comme un homme qui éjacule ».
— « Moi aussi, tu m’as fait monter comme toi, je suis une vraie fontaine, je recueille mon jus dans un verre, je vais le mélanger au tien dans la capote et je l’amènerai à ma prochaine visite. Tu me dis que tu rêves « d’une vraie queue pour te défoncer », mais tu as celle de ton mari. »— Oui, mais il n’est pas toujours là quand je suis en chaleur. Et même, comme tu as pu le voir, s’il est inventif dans le déduit. J’aime la fantaisie, l’insolite. Nous en reparlerons, mais tu m’as tellement excitée ce soir que j’ai hâte que tu viennes me voir. Viens, je t’attends les cuisses grandes ouvertes, ma chatte est offerte.— Moi aussi j’ai terriblement envie, mais tu sais bien que ce soir, ce n’est pas possible.— Oui soyons sages, mais peux-tu te libérer demain matin vers 10 h, je serai seule, Jean sera occupé au marché en ville.— OK, je me débrouillerai pour me libérer à demain donc. Je t‘embrasse là où tu as envie.
Après avoir reposé son téléphone, Manon est dans une telle excitation, qu’elle ne peut se satisfaire d’un seul orgasme aussi puissant soit-il. Elle a envie de se masturber les deux trous. A part une bouteille de coca toujours présente au pied de son lit, car elle se la met souvent dans la chatte, elle ne trouve rien pour sa partie arrière. Elle pense donc aller voir dans la table de nuit de sa mère et revient avec un des nombreux godes bien rangés. Assise sur le gode enfoncé dans son cul, elle se ramone le devant avec le goulot de la bouteille jusqu’à pratiquement l’engloutir et se déclenche ce nouvel orgasme qu’elle recherchait. Elle garde les objets pour s’endormir.
Au réveil du matin, le gode est tombé par terre, mais la bouteille est toujours là. Pas question de s’épuiser avant d’aller retrouver sa voisine.Après le petit-déjeuner pris en commun, elle s’habille en tenue de ville et demande à Marie si elle peut prendre la voiture pour la matinée. Pas de problème, voilà notre Manon partie à son rendez-vous chez Annie.
En arrivant, la porte d’Anne est fermée malgré la chaleur déjà bien présente à cette heure-ci.
Après avoir frappé, une voix un peu lointaine se fait entendre :
— Entre Manon, je suis au salon.
Surprise, surprise, Manon trouve Annie allongée par terre, les cuisses écartées, les seins à l’air. Le chien Rex allongé à côté d’elle semble dormir.
— Annie, tu vois, je t’attendais, comment vas-tu depuis hier soir ?— Bien, j’ai fantasmé sur ton corps toute la nuit en rêvant à notre rencontre. Regarde, j’ai amené la capote avec ton jus, j’ai fini de la remplir avec le mien.— Tu es adorable, viens me la mettre dans la chatte, moi aussi j’ai pensé à toi. J’ai des choses à te raconter, viens que je te caresse.— je vois le gode sur la table, veux-tu que je te baise avec ? — non pas maintenant, j’ai envie de quelque chose de plus vivant.
Annie s’est assise et tout en plongeant, ses mains dans le corsage de Manon pour lui caresser les seins, elle lui souffle à l’oreille :
— Regarde Rex, il dort, il est gentil et il aime bien sa maîtresse.— Annie ! tu ne veux pas me faire comprendre que « quelque chose de plus vivant, c’est lui ? Tu ne vas pas me dire que tu as envie de te faire baiser par un chien ? »
  « Si Manon. C’est mon coin très secret. Tu vas être la seule à savoir. Ça a commencé l’année dernière. J’étais en train de prendre un bain-de-soleil quand, à moitié somnolente, je rêvais que quelqu’un me caressait l’entrecuisse. En fait, je ne rêvais pas, c’était Rex qui me léchait les jambes jusqu’à ma culotte. Je n’ai rien dit, cette marque d’affection n’était pas désagréable. Comme il insistait, l’idée folle m’est venue d’enlever ma culotte et de le laisser faire. En fouillant dans ma touffe, il est arrivé à me lécher la chatte et sa langue râpeuse sur mon clito n’a pas tardé à me mettre en transe. J’ai joui en laissant échapper une bonne dose de cyprine qu’il a vivement absorbée comme pour me nettoyer. Depuis, je m’amuse quelques fois avec lui quand Jean n’est pas là. Si je suis chaude, il le sent comme sur une chienne en chaleur et me fait comprendre ce qu’il veut.Je te déçois, je te dégoute ? »
— « Non pas du tout, j’ai vu quelques scènes de zoophilie sur internet, c’était excitant, mais comme tu sais, j’aime beaucoup faire l’amour avec des femmes. »— Oui, mais tu as eu l’air d’aimer te faire baiser par Jean.— Oui, mais de là à « m’amuser , comme tu dis avec un chien... Mais dis-moi, tu te fais sucer... mais plus ? »— Oui, je lui ai appris à me baiser et même à m’enculer. Tu ne peux pas savoir la jouissance quand je me mets sa queue, elle est énorme avec une grosse boule et quand il commence à gicler, c’est puissant, par saccades, et plus abondant qu’un homme.
Pendant leurs discussions, Rex s’est réveillé et se dirige vers les cuisses de Manon.
— Non Rex, laisse-la, elle n’est pas prête. Tu vois, il a dû sentir ta chaleur, je suis sûr que tu mouilles, il sent ta mouille.— Oui, je suis trempé, mais c’est toi qui m’as excité.— Regarde comment je fais. Viens mon chien-chien que je te caresse. Oui, tu aimes.
Les mains d’Annie se promènent lentement sur le corps de Rex pour atteindre son sexe. Après quelques va-et-vient sur les couilles et le fourreau, une énorme tige rouge terminée par une grosse boule apparaît.
— Regarde Manon comme il bande, tu veux le caresser ? — Je n’ose pas le dire, mais oui, j’ai envie.— N’aie pas de crainte, branle-le, je vais le sucer et tu vas voir comme il me monte, il a l’habitude quand il est bien excité.
Manon prend le membre de Rex en main et s’affaire en se caressant la chatte.
— Laisse-le faire, il a bien senti ta mouille, il va aller la lécher, détends-toi.
Effectivement, Rex fouille la toison de Manon qui a écarté ses cuisses, offrant une vulve ouverte et commence à passer sa langue sur son clito.
  « C’est bon Annie, c’est merveilleux cette langue râpeuse, je sens que je ne vais pas tarder à jouir. Viens me caresser les seins en même temps.Oui ça y est, je pars Ahhhhhh c’est bon, c’est bon !»
— « A moi, laisse-le-moi maintenant, je veux qu’il me baise »
Annie se met en levrette et comme prévu, Rex a compris, enserre le torse de sa proie et présente sa queue à l’entrée de la grotte. Annie doit le guider en prenant le membre derrière la grosse boule rouge. Maintenant, la salope est pénétrée et baisée comme une chienne qu’elle est devenue. Tout à coup, Rex se raidit.
— Je sens son jus qui se déverse dans mon con, c’est sublime.
En se retirant, Rex laisse échapper un imposant jet de sperme probablement mêlé de cyprine., Manon s’approche avide de ce jus (on a déjà vu qu’elle affectionnait particulièrement le sperme et autre sécrétion) le recueille avec sa main et le porte à sa chatte.
— Eh bien, tu as vu Manon, maintenant, tu es la confidente de mon secret que je gardais précieusement. Es-tu convaincue ? — Oui, mais la prochaine fois, j’aimerais essayer de me faire baiser à mon tour. — C’est promis, nous ferons une partie de baise endiablée. — Merci Annie, quel bonheur cette découverte que tu m’avais promise à mots cachés ; je me sens hyper-salope comme une nympho que je suis probablement devenue désormais, tu deviens ma maîtresse. — Pas complètement, parce que tu sais, j’aime bien aussi être soumise, c’est ta mère qui m’en fait découvrir l’intense plaisir.— Bon, il faut que je rentre. A plus Annie, salut Rex, je t’aime bien.
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