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Gourmande à Sali

Chapitre 1

Hétéro
Ils étaient en vacances au Sénégal, à Sali pour être précis dans une villa louée au mois avec un gardien. Une grande maison aérée avec un jardin et dans le fond de celui-ci la chambre du gardien. Les premières journées furent passées à la pêche au gros, mais ce n’était du goût de la femme et son mari continua à y aller tout seul
Elle profitait de ses journées pour aller à la plage, au marché, menant tranquillement sa vie. Le gardien lui proposa d’embaucher son cousin comme garde du corps puisque elle était souvent seule en dehors de la maison... après tout pourquoi pas ? Et c’est ainsi qu’elle eut un guerrier Bambara qui la suivait partout !
Grand, bien bâti le front légèrement fuyant il dégageait une force animale qui ne laissait pas indifférente…
Un matin après avoir fait un tour au marché nous allions à la plage. Elle aimait bien se déshabiller devant lui et se plaisait à imaginer qu’il avait des pensées délirantes en la voyant en petite maillot de bains, souvent à moitié incrusté entre ses fesses...
Ce jour-là elle portait un petit deux pièces blanc, non doublé. Ils se mirent à l’eau et nagèrent vers le ponton situé à une cinquantaine de mètres du bord. Il y fut bien avant elle et riait gentiment de sa lenteur quand elle prit pied sur le ponton, puis se tut quand elle s’étira lentement car le maillot non doublé était devenu translucide et la culotte ne voilait plus son abricot lisse et renflé allant même s’incruster dans son sillon intime. Ses yeux devinrent plus fixes et elle remarqua de suite un palpitement visible au niveau de son caleçon de bain. Faisant mine de rien mais troublée quand même par ce qui se devinait, elle continua à discuter un peu. Puis le silence se faisant et la chaleur augmentant elle déclara qu’elle allait plonger pour se rafraichir.
Debout sur le bord du ponton elle sentait son regard sur ses fesses et sur sa culotte incrustée entre qui dévoilait le blanc des deux globes. Prenant un appel du pied elle plongea et sentit immédiatement son bas de maillot glisser. Malgré l’eau salée elle ouvrit les yeux constatant que le bas de son maillot avait glissé au bas du pubis. Elle remonta sans y toucher et s’accrocha au ponton quelque peu gênée de la situation...
Mais se retrouver quasiment cul nu dans l’eau... quelles sensations ! Se tenant au ponton d’une main elle se caressa doucement les fesses, en se cambrant faisant glisser mon maillot plus bas sur ses cuisses pour les ouvrir et avoir la satisfaction de se toucher doucement la chatte, frôler son clito tendu et doucement s’introduire 1 puis 2 doigts en frémissant de la tête aux pieds... elle sentait son corps réagir, ferma les yeux... et des pieds se débarrassa de sa culotte de maillot.
— Ca ne va pas madame ?
Elle ouvrit les yeux en rougissant et en levant la tête
— euhhhhh.... j’ai un problème Mamary ! ( son prénom Bambara)
Dans la seconde qui suivit il était dans l’eau et sa main passée dans son dos la soutenait et la plaquant contre lui
— Vous avez une crampe ? Il faut bouger ! Aller bougez je vous dis ! Tenez-vous à moi, bougez !
Il attrapa ses mains pour les poser sur ses épaules la faisant rougir car ce geste la plaqua contre lui, lui faisant sentir sa virilité bien dressée dans son short de bain.

— je n’ai pas de crampes Mamary !.. euh... j’ai perdu le bas de mon maillot !
— le bas de votre maillot ?
— oui..... et devant son incompréhension elle avoua... j’ai perdu ma culotte de maillot !
Il la regardait toujours alors elle le repoussa un peu et basculait son bassin en avant pour qu’il puisse voir par lui-même... son pubis lisse et blanc tranchant sur le bronzage, son pubis renflé et bien fendu. Ingénument elle ouvrit les cuisses pour se coller à lui et croiser les jambes dans son dos.Sous le contact de son intimité chaude ainsi offerte son membre finit de se déployer et elle sentit son gland lisse et chaud venir caresser mon entre cuisses... Baissant la tête elle aperçut son maillot au fond de l’eau et se pencha à son oreille
— je sais où est le maillot mais j’ai envie de toi... fais-moi l’amour Mamary !
— l’amour madame ?... je ne comprends pas, oui je vous aime bien
Elle le regarda dans les yeux. Il ne comprenait pas, et elle le sentir bien que tendu comme un cerf en rut, il palpitait contre sa chatte. Glissant une main sous elle, elle saisit son pieu pour finir de le faire raidir présentant le gland dans l’antichambre de sa grotte trempée...et soupira
— baise-moi Mamary ! Nique-moi la chatte !!
Quand il se sentit prisonnier de son fourreau il lâcha le ponton et ils commencèrent à couler mais lui saisissant les hanches il la plaqua durement sur lui s’enfonçant complètement et d’une seule poussée en elle, cognant le fond du fourreau trempé lui faisant expulser l’air de ses poumons dans un gémissement non contrôlé et ils remontèrent de suite du côté opposé à la plage. Saisissant l’échelle il s’y accrocha et commença à la pilonner sans un mot en coups de reins puissants et amples lui faisant pousser des râles de plaisir alors que son fourreau se contractait autour de son pieu qui la défonçait jusqu’au col.Les cuisses bien ouvertes elle lui offrait sa vulve à baiser sans retenue l’incitant par mots crus aller encore plus fort, encore plus profond en elle, à la baiser comme une chienne sans se retenir et au bout de longues minutes de ce traitement intensif elle sentit une vague de plaisir l’envahir de la tête aux pieds jouissant sans retenue, tétanisée, plantée sans retenue sur le pieu palpitant dont le gland semblait vouloir s’enfoncer dans son col de matrice...
Reprenant son souffle, elle le repoussa se laissant glisser contre l’échelle et saisissant le pieu tendu elle le prit directement dans la bouche en lui massant le membre à pleine main le faisant frémir et se cambrer. Il avait un gland doux et chaud et elle s’appliqua lentement à jouer avec passant et repassant la langue tout autour, essayent de la glisser dans le méat et tout en branlant cette belle tige noire elle tentait aussi de lui aspirer les boules. Elle essayait de se l’enfoncer le plus loin possible dans la bouche, presque à suffoquer en salivant dessus et quand elle sentit le gland se cambre et palpiter plus fort elle le retira de sa bouche le posant sur sa langue sortie et accéléra son mouvement sur la tige épaisse... dans un râle il gicla longuement de la sève abondante blanc nacré dont elle avale une partie, le reste s’étalant sur son visage comme un maquillage.
Alors elle se laissa couler pour rattraper son slip de bains posé sur le fond et le ré-enfila tout en remontant à la surface et ils décidèrent de rentrer sur la plage ou ils se firent sécher par le soleil. Quand celui-ci se fit fort et agressif elle s’assit et proposa a Mamary de rentrer à la maison. Elle s’assit sur ses fesses face à lui et enfila sa robe en lui souriant. Elle le trouvait beau, bien bâti... et très efficace !Une fois sa petite robe blanche et légère enfilée elle passa ses mains dessous et se défit du haut de son maillot le faisant secouer la tête
— Ah il ne faut pas faire ça madame...— Et pourquoi ?
Il sourit largement
— vous êtes trop belle madame ! Ça va donner des idées aux hommes ce genre de truc !— parle pour toi ! Il y a que toi qui le sait !
Elle rit de l’expression de son visage puis toujours assise et en le regardant dans les yeux elle glissa les mains sous sa robe le long de ses cuisses, attrapa son slip de bains et le descendit jusqu’aux chevilles et s’en débarrassa. Puis elle s’étira longuement en ouvrant les cuisses lui permettant d’avoir une vue directe sur l’abricot entrouvert qu’il avait profondément fourré.
Posant les mains sur la serviette derrière elle, elle se cambra restant ouverte devant lui. Il devient gris.
— il faut cacher madame!
Elle lui sourit, resta ainsi quelques secondes puis se releva et lui demanda de rentrer avec elle à la villa....
(Suite au prochain numéro)
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